Voici les derniers sondages de l'élection présidentielle brésilienne cette année
Premier tour (avec Sergio Moro) :
Lula : 49%
Jair Bolsonaro : 27%
Sergio Moro : 9%
Ciro Gomes : 9%
João Doria : 2%
Simone Tebet : 1%
Rodrigo Pacheco : 1%
Alessandro Vieira : 1%
Premier tour (sans Sergio Moro) :
Lula : 51%
Jair Bolsonaro : 30%
Ciro Gomes : 10%
João Doria : 5%
Simone Tebet : 1%
Rodrigo Pacheco : 1%
Alessandro Vieira : 1%
Felipe D'Ávila : 1%
Intention de vote spontanée :
Lula : 52%
Jair Bolsonaro : 34%
Sergio Moro : 6%
Ciro Gomes : 6%
João Doria : 1%
Second tour :
Lula : 64%
Jair Bolsonaro : 36%
Lula : 62%
Sergio Moro : 38%
Lula : 67%
Ciro Gomes : 33%
Lula : 73%
João Doria : 27%
Ciro Gomes : 58%
Jair Bolsonaro : 42%
João Doria : 56%
Jair Bolsonaro : 44%
Sergio Moro : 56%
Jair Bolsonaro : 44%
TRIBUNE
Véronique Nahoum-Grappe
Anthropologue et ethnologue
Chaque samedi de ces mois de juillet et août, des manifestations hétéroclites ont lieu en France contre la politique sanitaire gouvernementale actuelle : on y entend résonner le cri de « liberté ! » , comme celui de « résistance ». On s’y élève contre la « dictature sanitaire » en quoi consisteraient les régulations collectives décidées au plan national contre le regain de Covid-19. Forcément en partie contraignantes, ces régulations sont mises en œuvre avec essais et erreurs, elles sont sans originalité et se voient expérimentées dans pratiquement tous les pays touchés sur la planète par l’actuelle et gravissime pandémie.
Dans la mouvance composite des manifestants, mettons de côté les libertaires et les extrêmes gauches diversifiées : leur argumentaire pose comme équivalents une dictature politique, faite pour dominer, opprimer, écraser le peuple, et une régulation sanitaire obligée, qui s’inscrit dans l’histoire séculaire des vaccins devenus obligatoires, par exemple à la naissance ou fortement conseillés, pour la santé du plus grand nombre. Les choix de politique sanitaire actuels seraient comme le cheval de Troie des atteintes à venir plus graves contre la démocratie. Ces analyses, qui supposent un bienheureux déni de la gravité du virus, peuvent évidemment être discutées – sous la condition de ne pas être intubé en réanimation sur le lit d’un hôpital débordé, lit cher payé par la Sécurité sociale.
En revanche, ce qui laisse rêveur ici, c’est le choix de slogans comme « liberté » et « résistance » par les mouvances d’extrême droite fort présentes dans ces manifestations. Il est loin le temps, plus d’un siècle, où les écrivains nationalistes Emile Erckmann et Alexandre Chatrian signaient ensemble des phrases comme : « Les libertés ? Les droits de l’homme ? Cet évangile monstrueux de la racaille ! » En 2021, l’extrême droite crie dans les rues « liberté ! » et « résistance ! »… Le mot « résistance », en France, fait évidemment référence en premier lieu aux luttes clandestines contre l’occupant nazi, sous un régime défait historiquement en 1945, mais dont bien des mouvances d’extrême droite sont nostalgiques. La « résistance » est une valeur nationale, enseignée dans les écoles, elle est même un « devoir de… » en cas de menace contre « les libertés » démocratiques… celles-là même que les régimes d’extrême droite au pouvoir tentent de détruire.
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L'auteur juge donc Le Monde selon :
1°/ Une tribune, qui ne représente donc pas Le Monde, n'est pas salarié du Monde
2°/ Le titre d'une tribune
3°/ Une tribune dont on ne connaît que 45.29% du contenu
https://youtu.be/uZk-VhzXajc?t=270
Ce pincement de lèvre et ce regard, c'est ouf comment les femmes n'arrivent pas à se cacher parfois...
Pas lu mais
Pas besoin de lire le reste de ton commentaire du coup.
Le 12 janvier 2021 à 23:23:44 GISreak a écrit :
tiper, fimbi ou racli = filleswewer = Matrixé
c'est B = bizarre
c'est wo = nul et ça se dit bcp dans le 91 aussi
Ça graille = style/cool
Y'a d'autres truc mais ça c'est vraiment typique du 91
Ayaaa fimbi c'est vrai, j'avais oublié.
De la D = de la merde aussi.
Wo = claqué / bad wo = ultra claqué
Yomb aussi mais je sais pas si ça se dit ailleurs.
Le 12 janvier 2021 à 23:16:10 PommePiDou[ a écrit :
Le 12 janvier 2021 à 23:07:31 LuisCastro a écrit :
Le 12 janvier 2021 à 23:05:37 PommePiDou[ a écrit :
Tout le monde dit ça partout en FranceA Nantes tout le monde le dit
Je vis à Lyon et au max les gens disent "c'est quoi les bails" mais c'est pas un tic de langage aussi prononcé.
"Lourd bail" "bails de fou"
"On a faut des bails" pour dire on a ken
"On en est bail" pour dire on est en coupleLe 12 janvier 2021 à 23:09:28 LuisCastro a écrit :
Le 12 janvier 2021 à 23:07:24 Tiboletricheur a écrit :
"Zyva"Jamais entendu, t'es d'où ?
Vasy en verlan
Et Nantes aussi on dit beaucoup boug
Ah ouais c'est marrant, je pensais que ça se limitait au 91.
Le 12 janvier 2021 à 23:07:24 Tiboletricheur a écrit :
"Zyva"
Jamais entendu, t'es d'où ?
Le 12 janvier 2021 à 23:05:37 PommePiDou[ a écrit :
Tout le monde dit ça partout en FranceA Nantes tout le monde le dit
Je vis à Lyon et au max les gens disent "c'est quoi les bails" mais c'est pas un tic de langage aussi prononcé.
Le 12 janvier 2021 à 23:04:44 campdubien78 a écrit :
Le 12 janvier 2021 à 23:02:52 LuisCastro a écrit :
Le 12 janvier 2021 à 23:00:58 campdubien78 a écrit :
Je pensais pas que ça venait de là bas, j'ai vu que dans le 91 beaucoup utilisait "boug" pour parler d'un mec aussiLe 12 janvier 2021 à 23:00:58 campdubien78 a écrit :
Je pensais pas que ça venait de là bas, j'ai vu que dans le 91 beaucoup utilisait "boug" pour parler d'un mec aussiYep c'est assez courant.
Autre truc qui me vient en tête c'est l'expression "tu grailles/ça graille" (équivalent de "tu gères"/"ça gère"). Pareil je ne sais pas si ça se dit dans les autres départements.Jamais entendu ça ici en tout cas. C'est spécifique aux mecs de tess ou ça se parle ailleurs?
Je suis pas forcément dans une ville de tess et je l'entends pas mal, du moins parmi les 18/25 ans.
Le 12 janvier 2021 à 23:00:58 campdubien78 a écrit :
Je pensais pas que ça venait de là bas, j'ai vu que dans le 91 beaucoup utilisait "boug" pour parler d'un mec aussiLe 12 janvier 2021 à 23:00:58 campdubien78 a écrit :
Je pensais pas que ça venait de là bas, j'ai vu que dans le 91 beaucoup utilisait "boug" pour parler d'un mec aussi
Yep c'est assez courant.
Autre truc qui me vient en tête c'est l'expression "tu grailles/ça graille" (équivalent de "tu gères"/"ça gère"). Pareil je ne sais pas si ça se dit dans les autres départements.
Pour vous c'est quoi les expressions typiques de chez nous ? Celles qu'on entendra pratiquement jamais en dehors du 91 ?
Je commence : le tic de langage de remplacer tout ce qui est truc, chose, machin, bidule par "bail".
Bonjour, bon après-midi et bonne soirée.
Puis-je, avant de commencer, dire que vous avez la possibilité de parler. Veuillez ne pas vous limiter à poser des questions. Je serai heureux d'essayer de répondre à toutes les questions que vous posez, mais mon principal intérêt est d'écouter vos opinions et vos suggestions, vos propositions et les aspects critiques que vous souhaiteriez soulever sur ce que nous avons fait. Alors, s'il vous plaît, utilisez cette occasion pour exprimer vos propres positions plus que pour poser des questions, mais bien sûr, je serai heureux d'essayer, si je le peux, de répondre à toute question posée. Mais mon objectif principal est d'écouter, ce n'est pas de parler.
C’est maintenant un grand plaisir d’être ici avec vous tous. Cette assemblée publique en marge de la Commission de la condition de la femme fait régulièrement partie de mon calendrier, et la CSW elle-même est un jalon annuel aux Nations Unies. Cette année, c'était malheureusement l'un des premiers événements à être reporté en réponse au COVID-19. Je suis enfin heureux d’avoir l’occasion de rencontrer la société civile des femmes et d’entendre vos idées et vos préoccupations.
La pandémie COVID-19 a au cours des six derniers mois bouleversé notre monde. Au-delà du virus lui-même, la réponse a eu un impact social et économique disproportionné et dévastateur sur les femmes et les filles.
Le COVID-19 aggrave les inégalités existantes, y compris l'inégalité entre les sexes. Nous assistons déjà à un renversement depuis des décennies de progrès limités et fragiles en matière d’égalité des sexes et de droits des femmes. Et sans réponse inquiète, nous risquons de perdre une génération ou plus de gains.
Depuis le début, les femmes sont en première ligne de la riposte, en tant que soignantes, enseignantes, personnel essentiel et aidantes dans leurs familles et leurs communautés.
Entre 70 et 90 pour cent des travailleurs de la santé sont des femmes, mais leurs salaires et leurs conditions ne reflètent souvent pas les rôles vitaux qu'ils occupent. L'équipement de protection individuelle est souvent conçu pour convenir à un homme standard, ce qui signifie que les travailleuses de soins peuvent être plus exposées au risque d'infection et que moins de 30 pour cent des rôles décisionnels dans le secteur de la santé sont occupés par des femmes. 70 à 90 pour cent des travailleurs de la santé font le travail, avec seulement 30 pour cent dans des rôles décisionnels.
Dans l'économie au sens large, la majorité des femmes dans le monde sont employées de manière informelle. Beaucoup ont été plongés dans l'insécurité financière à cause de la pandémie, sans revenu régulier et sans filet de sécurité sociale.
La pandémie a révélé la crise du travail de soins non rémunéré, qui a augmenté de façon exponentielle en raison des fermetures d'écoles et des besoins des personnes âgées et touche de manière disproportionnée les femmes. Avant le début de la pandémie, il était clair que le travail de soins - non rémunéré à domicile et sous-rémunéré dans l'économie formelle - était depuis longtemps un facteur contribuant à l'inégalité entre les sexes.
Aujourd'hui, la pandémie a révélé l'étendue de son impact sur la santé physique et mentale, l'éducation et la participation au marché du travail.
Il existe également des rapports inquiétants dans le monde entier faisant état d'une montée en flèche de la violence sexiste, car de nombreuses femmes sont effectivement confinées avec leurs agresseurs, tandis que les ressources et les services de soutien sont redirigés.
En bref, la pandémie expose et exacerbe les obstacles considérables auxquels les femmes sont confrontées pour faire valoir leurs droits et réaliser leur potentiel.
Les progrès perdus peuvent prendre des années, voire des générations, à se rétablir. Nous savons par l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest que lorsque les adolescentes quittent l'école, elles ne reviendront peut-être jamais.
Aujourd'hui, des millions d'adolescentes dans le monde ne sont pas scolarisées et des rapports alarmants font état d'une augmentation des grossesses chez les adolescentes dans certains pays. Chacun de ces problèmes est une crise dans une crise.
Militants distingués,
Protéger les droits des femmes et des filles pendant cette période est une priorité absolue pour les Nations Unies. Nous avons publié une note d'orientation au début du mois d'avril, appelant les gouvernements à prendre des mesures concrètes pour placer les femmes et les filles - leur inclusion, leur représentation, leurs droits, leurs résultats sociaux et économiques et leur protection - au centre de tous les efforts visant à lutter contre le COVID et à s'en remettre. 19 pandémie.
La première phase est la réponse sanitaire.
Bien que les statistiques indiquent que les femmes et les filles sont moins exposées au virus COVID-19 lui-même, elles souffrent de la réorientation du financement et des services de santé. Il est tout simplement contre-productif, par exemple, de ne pas donner la priorité aux services de santé maternelle et reproductive. La mortalité maternelle a baissé de près de 40% entre 2000 et 2017; nous ne pouvons pas revenir en arrière maintenant, mais il y a des signes que les taux augmentent à nouveau en raison de la pandémie, en particulier dans les pays en crise.
Les gouvernements doivent adopter une vision holistique de l'impact de cette pandémie sur la santé. Toutes les femmes ont droit à des services de santé sexuelle et reproductive de qualité et abordables. Les gouvernements ont la responsabilité de s'assurer que les femmes et les filles peuvent accéder à ces services, même pendant une crise.
À plus long terme, nous avons besoin de systèmes de santé qui répondent aux besoins et aux réalités de tous, y compris des femmes et des filles. Cela signifie prioriser et financer les soins de santé primaires et la couverture sanitaire universelle.
Nous exhortons également les gouvernements à donner la priorité à la protection des femmes contre la violence sexiste dans leurs plans nationaux COVID-19. Au début de la pandémie, après mon appel à un cessez-le-feu mondial, j’ai lancé un appel pour la fin de toutes les violences partout - des zones de guerre aux foyers - afin que nous puissions affronter cette pandémie ensemble, dans la solidarité.
J'ai été encouragé par la réponse; plus de 140 gouvernements se sont engagés à prendre des mesures pour désigner les refuges pour femmes comme essentiels et pour poursuivre et étendre les services en ligne. L’ONU est prête à soutenir ces efforts dans le monde entier. Nous avons déjà un partenariat bien établi avec l'Union européenne, l'initiative Spotlight, qui est la plus grande plateforme mondiale pour mettre fin à la violence à l'égard des femmes et des filles. Grâce à cela, nous sommes prêts à aider les pays à respecter leurs engagements en faveur d'une paix et d'une sécurité inclusives.
La deuxième phase de la réponse consiste à atténuer l'impact social et économique de la crise. Cela commence par mettre de l'argent entre les mains des femmes qui travaillent dans les économies formelles et informelles. Les transferts monétaires, les crédits et les prêts devraient être destinés aux femmes, afin d'atténuer l'impact immédiat des pertes d'emplois et de l'augmentation des responsabilités familiales.
Alors que les gouvernements injectent des stimulants et d'autres fonds pour remettre leurs économies au travail, ils doivent étendre les filets de sécurité sociale et reconnaître la valeur du travail de soins invisible et non rémunéré. Cela permettra de remédier aux vulnérabilités des femmes, de garantir le rôle central des femmes dans la vie économique et à long terme, de contribuer au développement durable et à des économies plus inclusives et résilientes.
La troisième phase de la réponse consiste à construire un avenir meilleur.
La pandémie ne fait que démontrer ce que nous savons tous: que des millénaires de patriarcat ont abouti à un monde dominé par les hommes avec une culture dominée par les hommes qui nuit à tout le monde - femmes, hommes, filles et garçons.
J'ai dit à plusieurs reprises que derrière nombre des problèmes dont je viens de parler, il y avait une question essentielle de pouvoir. C'est en effet sur cette question du pouvoir que nous devons concentrer tous nos efforts.
Il est clair que nous ne pouvons pas revenir aux politiques ratées qui ont entraîné la fragilité que nous constatons autour de nous - dans les systèmes de santé, dans la protection sociale, dans l'accès à la justice. C'est le moment de reconstruire des sociétés plus égalitaires, inclusives et résilientes. Notre feuille de route est le Programme de développement durable à l'horizon 2030.
Nous devons saisir l'occasion d'une réinitialisation économique pour garantir les droits à la vie, à la dignité et à la sécurité pour tous.
La pandémie nous a montré qui fait le travail qui compte vraiment: les infirmières, les enseignants, les soignants. Au fur et à mesure que nous nous rétablissons, nous devons nous en souvenir. Il est temps de mettre fin aux inégalités du travail de soins non rémunéré et de créer de nouveaux modèles économiques qui fonctionnent pour tous.
Les prestations telles que l'assurance maladie, les congés de maladie payés, les soins payés aux enfants et aux familles et les congés parentaux payés ne sont pas du luxe; ils sont essentiels au fonctionnement de nos sociétés.
Les étendre a inévitablement une dimension de genre, car une grande partie du travail des femmes est sous-rémunérée et sous-évaluée.
Mieux récupérer va au-delà des gouvernements. Le secteur privé, les universités, les institutions de toutes sortes et la société civile doivent être pleinement impliqués.
Il est essentiel de protéger et d'élargir l'espace civique afin que les organisations de la société civile puissent jouer pleinement leur rôle.
Nous devons également sortir de cette crise avec un leadership et une représentation égaux des femmes.
Les derniers mois ont vu une reconnaissance croissante dans les médias et à travers des recherches universitaires mettant en évidence ce que nous savons de façon anecdotique depuis des années: que les femmes leaders sont extrêmement efficaces. Les femmes chefs d'État, les ministres de la Santé, les agents de santé et les leaders communautaires sont largement reconnus pour leur empathie, leur compassion, leur communication et leur prise de décision fondée sur des preuves.
Leurs actions montrent la valeur de l'inclusivité. Cela va de soi: doubler les ressources, la capacité et l'expertise que nous mettons dans la prise de décision profite à tous.
Et pourtant, moins de huit pour cent des chefs d'État, moins de 25 pour cent des parlementaires et moins de 30 pour cent des décideurs en matière de santé sont des femmes. Les préjugés et la discrimination nous nuisent tous. Et encore une fois, c'est essentiellement une question de pouvoir.
C’est pourquoi j’ai fait de l’entrée de plus de femmes à des postes de direction à l’ONU l’une de mes premières priorités.
Je suis fier que nous ayons atteint la parité entre les sexes au début de 2020 avec 90 femmes et 90 hommes en tant que hauts dirigeants à plein temps, deux ans avant la date cible que j'avais fixée. Nous avons mis en place une feuille de route pour la parité entre les sexes à tous les niveaux de l’ONU dans les années à venir, et je vais insister pour sa mise en œuvre.
Nous le devons non seulement à notre personnel féminin, mais aussi aux personnes que nous servons.
Les organisations et les entreprises qui comptent un nombre égal de femmes à tous les niveaux sont plus efficaces, efficientes et résilientes aux chocs soudains.
C’est aussi la raison pour laquelle j’ai fait des mesures temporaires spéciales un numéro de signature de mon Appel à l’action sur les droits de l’homme. À moins d’utiliser des quotas et des mesures temporaires spéciales pour éliminer les préjugés et les obstacles à la participation égale des femmes, les femmes ne réaliseront jamais pleinement leurs droits et les sociétés ne récolteront jamais les avantages de l’égalité et de l’inclusion.
Chers avocats,
Bien que la pandémie de COVID-19 soit au sommet de nos préoccupations, nous ne serons pas distraits de tous nos autres objectifs.
Cette année est importante pour l'égalité des sexes, marquant le 25e anniversaire de la Déclaration de Beijing, le 20e anniversaire de la résolution 1325 du Conseil de sécurité sur les femmes, la paix et la sécurité, et la première année de la Décennie d'action pour les objectifs de développement durable.
En février, j'ai exposé nos priorités et notre programme dans un discours sur les femmes et le pouvoir à la New School ici à New York.
Nous restons déterminés à faire progresser les priorités des femmes et à garantir l'égalité de leurs droits et leur participation au programme de paix et de sécurité, sur le changement climatique, sur la construction d'économies inclusives et sur la réduction et l'élimination de la fracture numérique afin que les femmes aient un rôle égal dans la conception des technologies du futur.
Chers militants, chers amis,
Nous traversons des moments difficiles et personne ne s'attend à ce qu'ils se terminent bientôt.
Mais je tiens à vous rassurer, et à travers vous, femmes du monde entier, que l’ONU est à vos côtés et qu’elle travaille pour vous chaque jour, dans le monde entier.
Alors que nous célébrons notre 75e anniversaire, nous avons plus que jamais besoin de votre voix et de votre engagement.
L'Organisation des Nations Unies change et nous comptons sur vous pour participer à ce changement.
Au cours des 75 dernières années, nous avons assisté à des vagues successives de plaidoyer en faveur des droits de l’homme et des droits des femmes. Aujourd'hui, des jeunes femmes comme Nadia Murad et Malala redéfinissent le leadership pour une nouvelle génération.
À une époque de nationalisme et de populisme croissants, les forces opposées à la solidarité mondiale peuvent sembler écrasantes.
Mais si nous voulons relever les défis mondiaux d’aujourd’hui, de la crise climatique aux inégalités croissantes et à la fracture numérique, nous devons nous unir, rejeter les stéréotypes sexistes et âgés qui empêchent les femmes - et les hommes - de réaliser notre pleine humanité.
Je vous invite à vous joindre à nous et je vous promets que nous écouterons.
Aujourd'hui, comme je l'ai mentionné au début, je suis ici avec l'objectif principal d'écouter, et j'ai hâte d'entendre vos points de vue. Je vous remercie.
Bonjour, bon après-midi et bonne soirée.
Puis-je, avant de commencer, dire que vous avez la possibilité de parler. Veuillez ne pas vous limiter à poser des questions. Je serai heureux d'essayer de répondre à toutes les questions que vous posez, mais mon principal intérêt est d'écouter vos opinions et vos suggestions, vos propositions et les aspects critiques que vous souhaiteriez soulever sur ce que nous avons fait. Alors, s'il vous plaît, utilisez cette occasion pour exprimer vos propres positions plus que pour poser des questions, mais bien sûr, je serai heureux d'essayer, si je le peux, de répondre à toute question posée. Mais mon objectif principal est d'écouter, ce n'est pas de parler.
C’est maintenant un grand plaisir d’être ici avec vous tous. Cette assemblée publique en marge de la Commission de la condition de la femme fait régulièrement partie de mon calendrier, et la CSW elle-même est un jalon annuel aux Nations Unies. Cette année, c'était malheureusement l'un des premiers événements à être reporté en réponse au COVID-19. Je suis enfin heureux d’avoir l’occasion de rencontrer la société civile des femmes et d’entendre vos idées et vos préoccupations.
La pandémie COVID-19 a au cours des six derniers mois bouleversé notre monde. Au-delà du virus lui-même, la réponse a eu un impact social et économique disproportionné et dévastateur sur les femmes et les filles.
Le COVID-19 aggrave les inégalités existantes, y compris l'inégalité entre les sexes. Nous assistons déjà à un renversement depuis des décennies de progrès limités et fragiles en matière d’égalité des sexes et de droits des femmes. Et sans réponse inquiète, nous risquons de perdre une génération ou plus de gains.
Depuis le début, les femmes sont en première ligne de la riposte, en tant que soignantes, enseignantes, personnel essentiel et aidantes dans leurs familles et leurs communautés.
Entre 70 et 90 pour cent des travailleurs de la santé sont des femmes, mais leurs salaires et leurs conditions ne reflètent souvent pas les rôles vitaux qu'ils occupent. L'équipement de protection individuelle est souvent conçu pour convenir à un homme standard, ce qui signifie que les travailleuses de soins peuvent être plus exposées au risque d'infection et que moins de 30 pour cent des rôles décisionnels dans le secteur de la santé sont occupés par des femmes. 70 à 90 pour cent des travailleurs de la santé font le travail, avec seulement 30 pour cent dans des rôles décisionnels.
Dans l'économie au sens large, la majorité des femmes dans le monde sont employées de manière informelle. Beaucoup ont été plongés dans l'insécurité financière à cause de la pandémie, sans revenu régulier et sans filet de sécurité sociale.
La pandémie a révélé la crise du travail de soins non rémunéré, qui a augmenté de façon exponentielle en raison des fermetures d'écoles et des besoins des personnes âgées et touche de manière disproportionnée les femmes. Avant le début de la pandémie, il était clair que le travail de soins - non rémunéré à domicile et sous-rémunéré dans l'économie formelle - était depuis longtemps un facteur contribuant à l'inégalité entre les sexes.
Aujourd'hui, la pandémie a révélé l'étendue de son impact sur la santé physique et mentale, l'éducation et la participation au marché du travail.
Il existe également des rapports inquiétants dans le monde entier faisant état d'une montée en flèche de la violence sexiste, car de nombreuses femmes sont effectivement confinées avec leurs agresseurs, tandis que les ressources et les services de soutien sont redirigés.
En bref, la pandémie expose et exacerbe les obstacles considérables auxquels les femmes sont confrontées pour faire valoir leurs droits et réaliser leur potentiel.
Les progrès perdus peuvent prendre des années, voire des générations, à se rétablir. Nous savons par l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest que lorsque les adolescentes quittent l'école, elles ne reviendront peut-être jamais.
Aujourd'hui, des millions d'adolescentes dans le monde ne sont pas scolarisées et des rapports alarmants font état d'une augmentation des grossesses chez les adolescentes dans certains pays. Chacun de ces problèmes est une crise dans une crise.
Militants distingués,
Protéger les droits des femmes et des filles pendant cette période est une priorité absolue pour les Nations Unies. Nous avons publié une note d'orientation au début du mois d'avril, appelant les gouvernements à prendre des mesures concrètes pour placer les femmes et les filles - leur inclusion, leur représentation, leurs droits, leurs résultats sociaux et économiques et leur protection - au centre de tous les efforts visant à lutter contre le COVID et à s'en remettre. 19 pandémie.
La première phase est la réponse sanitaire.
Bien que les statistiques indiquent que les femmes et les filles sont moins exposées au virus COVID-19 lui-même, elles souffrent de la réorientation du financement et des services de santé. Il est tout simplement contre-productif, par exemple, de ne pas donner la priorité aux services de santé maternelle et reproductive. La mortalité maternelle a baissé de près de 40% entre 2000 et 2017; nous ne pouvons pas revenir en arrière maintenant, mais il y a des signes que les taux augmentent à nouveau en raison de la pandémie, en particulier dans les pays en crise.
Les gouvernements doivent adopter une vision holistique de l'impact de cette pandémie sur la santé. Toutes les femmes ont droit à des services de santé sexuelle et reproductive de qualité et abordables. Les gouvernements ont la responsabilité de s'assurer que les femmes et les filles peuvent accéder à ces services, même pendant une crise.
À plus long terme, nous avons besoin de systèmes de santé qui répondent aux besoins et aux réalités de tous, y compris des femmes et des filles. Cela signifie prioriser et financer les soins de santé primaires et la couverture sanitaire universelle.
Nous exhortons également les gouvernements à donner la priorité à la protection des femmes contre la violence sexiste dans leurs plans nationaux COVID-19. Au début de la pandémie, après mon appel à un cessez-le-feu mondial, j’ai lancé un appel pour la fin de toutes les violences partout - des zones de guerre aux foyers - afin que nous puissions affronter cette pandémie ensemble, dans la solidarité.
J'ai été encouragé par la réponse; plus de 140 gouvernements se sont engagés à prendre des mesures pour désigner les refuges pour femmes comme essentiels et pour poursuivre et étendre les services en ligne. L’ONU est prête à soutenir ces efforts dans le monde entier. Nous avons déjà un partenariat bien établi avec l'Union européenne, l'initiative Spotlight, qui est la plus grande plateforme mondiale pour mettre fin à la violence à l'égard des femmes et des filles. Grâce à cela, nous sommes prêts à aider les pays à respecter leurs engagements en faveur d'une paix et d'une sécurité inclusives.
La deuxième phase de la réponse consiste à atténuer l'impact social et économique de la crise. Cela commence par mettre de l'argent entre les mains des femmes qui travaillent dans les économies formelles et informelles. Les transferts monétaires, les crédits et les prêts devraient être destinés aux femmes, afin d'atténuer l'impact immédiat des pertes d'emplois et de l'augmentation des responsabilités familiales.
Alors que les gouvernements injectent des stimulants et d'autres fonds pour remettre leurs économies au travail, ils doivent étendre les filets de sécurité sociale et reconnaître la valeur du travail de soins invisible et non rémunéré. Cela permettra de remédier aux vulnérabilités des femmes, de garantir le rôle central des femmes dans la vie économique et à long terme, de contribuer au développement durable et à des économies plus inclusives et résilientes.
La troisième phase de la réponse consiste à construire un avenir meilleur.
La pandémie ne fait que démontrer ce que nous savons tous: que des millénaires de patriarcat ont abouti à un monde dominé par les hommes avec une culture dominée par les hommes qui nuit à tout le monde - femmes, hommes, filles et garçons.
J'ai dit à plusieurs reprises que derrière nombre des problèmes dont je viens de parler, il y avait une question essentielle de pouvoir. C'est en effet sur cette question du pouvoir que nous devons concentrer tous nos efforts.
Il est clair que nous ne pouvons pas revenir aux politiques ratées qui ont entraîné la fragilité que nous constatons autour de nous - dans les systèmes de santé, dans la protection sociale, dans l'accès à la justice. C'est le moment de reconstruire des sociétés plus égalitaires, inclusives et résilientes. Notre feuille de route est le Programme de développement durable à l'horizon 2030.
Nous devons saisir l'occasion d'une réinitialisation économique pour garantir les droits à la vie, à la dignité et à la sécurité pour tous.
La pandémie nous a montré qui fait le travail qui compte vraiment: les infirmières, les enseignants, les soignants. Au fur et à mesure que nous nous rétablissons, nous devons nous en souvenir. Il est temps de mettre fin aux inégalités du travail de soins non rémunéré et de créer de nouveaux modèles économiques qui fonctionnent pour tous.
Les prestations telles que l'assurance maladie, les congés de maladie payés, les soins payés aux enfants et aux familles et les congés parentaux payés ne sont pas du luxe; ils sont essentiels au fonctionnement de nos sociétés.
Les étendre a inévitablement une dimension de genre, car une grande partie du travail des femmes est sous-rémunérée et sous-évaluée.
Mieux récupérer va au-delà des gouvernements. Le secteur privé, les universités, les institutions de toutes sortes et la société civile doivent être pleinement impliqués.
Il est essentiel de protéger et d'élargir l'espace civique afin que les organisations de la société civile puissent jouer pleinement leur rôle.
Nous devons également sortir de cette crise avec un leadership et une représentation égaux des femmes.
Les derniers mois ont vu une reconnaissance croissante dans les médias et à travers des recherches universitaires mettant en évidence ce que nous savons de façon anecdotique depuis des années: que les femmes leaders sont extrêmement efficaces. Les femmes chefs d'État, les ministres de la Santé, les agents de santé et les leaders communautaires sont largement reconnus pour leur empathie, leur compassion, leur communication et leur prise de décision fondée sur des preuves.
Leurs actions montrent la valeur de l'inclusivité. Cela va de soi: doubler les ressources, la capacité et l'expertise que nous mettons dans la prise de décision profite à tous.
Et pourtant, moins de huit pour cent des chefs d'État, moins de 25 pour cent des parlementaires et moins de 30 pour cent des décideurs en matière de santé sont des femmes. Les préjugés et la discrimination nous nuisent tous. Et encore une fois, c'est essentiellement une question de pouvoir.
C’est pourquoi j’ai fait de l’entrée de plus de femmes à des postes de direction à l’ONU l’une de mes premières priorités.
Je suis fier que nous ayons atteint la parité entre les sexes au début de 2020 avec 90 femmes et 90 hommes en tant que hauts dirigeants à plein temps, deux ans avant la date cible que j'avais fixée. Nous avons mis en place une feuille de route pour la parité entre les sexes à tous les niveaux de l’ONU dans les années à venir, et je vais insister pour sa mise en œuvre.
Nous le devons non seulement à notre personnel féminin, mais aussi aux personnes que nous servons.
Les organisations et les entreprises qui comptent un nombre égal de femmes à tous les niveaux sont plus efficaces, efficientes et résilientes aux chocs soudains.
C’est aussi la raison pour laquelle j’ai fait des mesures temporaires spéciales un numéro de signature de mon Appel à l’action sur les droits de l’homme. À moins d’utiliser des quotas et des mesures temporaires spéciales pour éliminer les préjugés et les obstacles à la participation égale des femmes, les femmes ne réaliseront jamais pleinement leurs droits et les sociétés ne récolteront jamais les avantages de l’égalité et de l’inclusion.
Chers avocats,
Bien que la pandémie de COVID-19 soit au sommet de nos préoccupations, nous ne serons pas distraits de tous nos autres objectifs.
Cette année est importante pour l'égalité des sexes, marquant le 25e anniversaire de la Déclaration de Beijing, le 20e anniversaire de la résolution 1325 du Conseil de sécurité sur les femmes, la paix et la sécurité, et la première année de la Décennie d'action pour les objectifs de développement durable.
En février, j'ai exposé nos priorités et notre programme dans un discours sur les femmes et le pouvoir à la New School ici à New York.
Nous restons déterminés à faire progresser les priorités des femmes et à garantir l'égalité de leurs droits et leur participation au programme de paix et de sécurité, sur le changement climatique, sur la construction d'économies inclusives et sur la réduction et l'élimination de la fracture numérique afin que les femmes aient un rôle égal dans la conception des technologies du futur.
Chers militants, chers amis,
Nous traversons des moments difficiles et personne ne s'attend à ce qu'ils se terminent bientôt.
Mais je tiens à vous rassurer, et à travers vous, femmes du monde entier, que l’ONU est à vos côtés et qu’elle travaille pour vous chaque jour, dans le monde entier.
Alors que nous célébrons notre 75e anniversaire, nous avons plus que jamais besoin de votre voix et de votre engagement.
L'Organisation des Nations Unies change et nous comptons sur vous pour participer à ce changement.
Au cours des 75 dernières années, nous avons assisté à des vagues successives de plaidoyer en faveur des droits de l’homme et des droits des femmes. Aujourd'hui, des jeunes femmes comme Nadia Murad et Malala redéfinissent le leadership pour une nouvelle génération.
À une époque de nationalisme et de populisme croissants, les forces opposées à la solidarité mondiale peuvent sembler écrasantes.
Mais si nous voulons relever les défis mondiaux d’aujourd’hui, de la crise climatique aux inégalités croissantes et à la fracture numérique, nous devons nous unir, rejeter les stéréotypes sexistes et âgés qui empêchent les femmes - et les hommes - de réaliser notre pleine humanité.
Je vous invite à vous joindre à nous et je vous promets que nous écouterons.
Aujourd'hui, comme je l'ai mentionné au début, je suis ici avec l'objectif principal d'écouter, et j'ai hâte d'entendre vos points de vue. Je vous remercie.
Une question aux calviciées du forum.
J'ai toujours eu une grosse touffe de cheveux, mais en octobre/novembre de l'année dernière je me suis mis brusquement à perdre mes cheveux sur le vortex alors que je traversais une grande période de stress/déprime, au niveau génétique mon père qui a 62 ans n'a pas le moindre trou dans les cheveux et côté maternel j'ai pas connu mon grand-père mais j'ai vu qu'à 92 ans il avait encore des cheveux. D'autre part je me souviens que je souffrais de grosses démangeaisons au vortex à ce moment-là.
Problème : j'ai toujours le cuir chevelu en partie apparent maintenant, presque un an après, d'après vous ça sent la calvitie ou pas ?
Le 19 mai 2020 à 19:56:04 Le_Plombier01 a écrit :
Y'a des grandes chances que Neymar soit pas vraiment le père biologique du gamin quand même, il n'y a aucun traits commun, mais vraiment.
Ils ont les mêmes yeux.
Le 19 mai 2020 à 19:52:51 SurfinUSA a écrit :
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/18/7/1588497464-812470ba-6cc4-4cf6-b8fa-b7152a84be0d.jpeg Wtf non mais même par métissage c'est impossible. Sa femme s'est tapée un blanc là c'est obligé, le gosse est blanc de ouf et blond comme un norvégien
La mère de Neymar est blanche, c'est juste la loterie de la génétique.
Eh ouais, je suis bon qu'à écrire des textes de merde,
Les gens nous aiment un peu plus sans la misère
Khey, la couronne a l'odeur du ghetto
Bon qu'à peser les grammes, bon qu'à peser les mots
J'ai plus trop le temps de me voir dans le miroir
J'essaie de comprendre ce que je suis devenu, tard le soir
J'ai goûté, j'aime plus, un jour je regretterai
Pour l'instant je doute, un jour, je regretterai
L'inspi s'en va comme toi bientôt
Je continuerai en bas, à compter les zéros
Parce que je suis contaminé, j'ai que ça pour exister
Je reviens d'où t'as pas idée (quand j'aurai plus de haine, je m'en irai)
Ce monde, wallah, je l'ai vu, wallah
Mais ce n'est pas ce que je croyais, Manny
Mais tu sais quoi, peut-être que des fois
Peut-être que c'est moi, j'ai chaud au crâne
J'ai grandi dans le zoo, je suis niqué pour la vie
Même si je meurs sur une plage, je suis niqué pour la vie
Parce que ceux que j'aime ont la haine, je suis niqué pour la vie
Parce que je cours après ce biff, je suis niqué pour la vie
Merci pour les étoiles que t'as posées sous mon ciel
Me suis pas de trop près si tu veux garder tes ailes
Je récolte ce que je saigne, que le bonheur te prenne
J'ai lâché ma haine, j'ai causé ta peine
Je fais pas trop confiance, c'est la rue
Je confie ma conscience à la Lune
On danse la misère, on parle la guerre
Charbonne pour pas se perdre, 22 sur Casper
T'as bien géchan comme mon TZoo
Comme le Bât C, comme moi demain
Zoulou Tchaing
Je m'en bats les couilles du trône, je préfère être debout pour compter
Comme ça je vois mieux la monnaie arriver
Comme ça je vois mieux les haineux arriver
Avec une belle âme en train de chavirer (en train de chavirer)
Zoulou Tchaing (Zoulou Tchaing), zoulou Tchaing (Zoulou Tchaing)
Zoulou Tchaing (Zoulou Tchaing)
Je m'en bats les couilles du trône, je préfère être debout pour compter
Comme ça je vois mieux la monnaie arriver
Comme ça je vois mieux les haineux arriver
Avec une belle âme en train de chavirer (en train de chavirer)
Zoulou Tchaing (Zoulou Tchaing), zoulou Tchaing (Zoulou Tchaing)
Zoulou Tchaing (Zoulou Tchaing)
Si tout ça se résume à raconter ma haine
Priez pour qu'un jour, je change de thème
Malgré tous ces billets, je rattraperai jamais ce temps
Je vois mon âme qui chavire en bord de mer
Je pense pas à toi qu'une fois sur deux
J'ai pas pu être riche avant
Baba, pour ton sourire, je donnerais ma vie
Et peut-être même ma place au paradis
Je sais très bien que mon vécu n'est qu'un leurre
À côté de ta vie de merde
Je montais sur le toit pour finir en pleurs
Seul à penser "J'baise le monde"
Je suis pas trop aimé mais tant que toi tu m'aimes, leurs faux sourires, je les vois
Je pense que tu sais de quoi je parle, ces sourires que tu croises
Et qui changent quand on te tourne le dos
Dis, tu penses que Dieu nous écoute ? Dis, ces gens ne sont pas très fidèles
Différent, je me sens comme toi, à me dire que je partirai sur "La vie est belle"
Sur l'épaule, j'ai le Zoulou, pour pas oublier que je tiens d'un roi
Ce monde serait moche sans toi, et je refuse le paradis si t'y es pas
Putain ton cœur est fort, tu te rappelles, on était tipeu
Toi, t'avais le tarpé, tu nous disais "papa reviens d'ici peu"
Je t'aime, je t'aime, je t'aime, je rêve d'effacer tes cicatrices
Et pour sauver le monde entier, je donnerai pas un grain de ta vie
Je m'en bats les couilles du trône, je préfère être debout pour compter, comme ça, je vois mieux la monnaie arriver
Comme ça, je vois mieux les haineux arriver avec une belle âme en train de chavirer (en train de chavirer)
Zoulou Tchaing (Zoulou Tchaing), zoulou Tchaing (Zoulou Tchaing)
Zoulou Tchaing (Zoulou Tchaing)
Je m'en bats les couilles du trône, je préfère être debout pour compter, comme ça je vois mieux la monnaie arriver
Comme ça je vois mieux les haineux arriver, avec une belle âme en train de chavirer (en train de chavirer)
Zoulou Tchaing (Zoulou Tchaing), zoulou Tchaing (Zoulou Tchaing)
Zoulou Tchaing (Zoulou Tchaing)