Messages de ContraGalileos

Combien d'années de solfège ?

Le 24 août 2024 à 23:30:19 :

Le 24 août 2024 à 23:29:20 :
C'est vrai mais en cas de maladie appelèe l'endométriose et qui n'est pas si rare. Le seul traitement médicamenteux est de supprimer les règles, donc de prendre la pilule en continue.

Plua de règles = plus de muqueuse utèrine (endomètre) qui migre dans les autres organes (=endomètriose).

Ah oui, le fameux endomètre qui disparait sous pilulehttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png
Il ne disparait pas, il est juste atrophique et ne subit plus le phénomène de décidualisation

Apprends à lire.

C'est vrai mais en cas de maladie appelèe l'endométriose et qui n'est pas si rare. Le seul traitement médicamenteux est de supprimer les règles, donc de prendre la pilule en continue.

Plua de règles = plus de muqueuse utèrine (endomètre) qui migre dans les autres organes (=endomètriose).

Le 24 août 2024 à 04:53:51 :

Le 24 août 2024 à 04:49:27 :

Le 24 août 2024 à 04:42:59 :

Le 24 août 2024 à 04:40:30 :

Le 24 août 2024 à 04:35:55 :

> Le 24 août 2024 à 04:31:35 :

>Je l'avais écouté en livre audio, mais j'ai arrêté à la moitié, c'est très répétitif

C'est aussi pour nous habituer à son univers. Je lui reproche aussi de faire les victimes trop passives pas assez humaines dans leurs réactions face à la mort, à part pleurer ou crier d'effroi. Moi on me dit que l'on va me V, torturer et tuer, je tente le tout pour le tout. Je réponds que je ne suis pas emballé par le projet. Et si je meurs au moins je serais mort d'une balle dans la tête - certains ont cette chance dans le livre -, pas comme un animal conduit à l'abattoir.

C'est vraiment typique du XVIIIe siècle, ça.
Quelque chose qui peut aisément ennuyer un lecteur d'aujourd'hui.

Si tu as lu Manon Lescaut, ça te rappellera le chevalier des Grieux, tiens.

Pleurer, se lamenter sur son sort, à l'époque un lecteur aurait été attendri alors que nous ça nous laisse de marbre et nous fait lever au ciel en soufflant.

Ça se voulait d'autant plus attendrissant que l'infortuné était jeune, belle, noble, innocente.

J'ai ressenti pareil avec Manon Lescaut ahi

Aussi les pleurs masculins n'étaient pas mal vus comme aujourd'hui.

C'était plutôt un signe de délicatesse.

C'est pour ça que, si tu as lu Candide ou Manon Lescaut, Candide et le chevalier ont ceci en commun qu'ils alternent sans problème entre moment de victimisation/pleurs/lamentations et scènes où ils n'hésitent absolument pas à se battre en duel à l'épée/pistolet à mort pour défendre une femme, ce qu'on attendait d'un homme +/- noble.

J'ai lu Candide au lycée.

Justement, quand les victimes susnommées font les orgueilleux face à la mort, je crois que Sade veut moquer cette prétention aristocratique d'être au-dessus du lot. Sade méprisait les duels et les combats pour l'honneur.

Je pense que tu gagnerais à t'intéresser à l'histoire des mentalités. Ça t'apporterait peut-être une nouvelle compréhension de tes lectures toi qui aimes la psychologie.

Le 24 août 2024 à 05:40:56 :

Le 24 août 2024 à 05:39:02 ContraGalileos a écrit :

Le 24 août 2024 à 05:32:31 :

Le 24 août 2024 à 05:23:48 ContraGalileos a écrit :
Les kheys rien à voir (quoique ?) mais j'ai un jour déniché un document incroyablement rare dans les archives.
Il s'agissait d'une compilation des lettres de tous les clients d'unemaquerelle de la seconde moitié du XVIIIe. Dedans, chacun se présentait et détaillait ce qu'il voulait. Tout : repas souhaité, lieu souhaité, horaire, physique de la /des femme(s). tenue, pratiques souhaitées etc.

Il y avait aussi des lettres des filles employées par cette vieille femme dans lesquelles elles se plaignaient souvent.

C'est ce genre de découverte archivistique qui relève du voyage dans le temps pur et dur.

Vous êtes plongés dans une part de l'histoire inconnue du grand public.

C'est une expérience exceptionnelle pour qui aime l'histoire brute et pratique : comment les gens vivaient quotidiennement.

Je peux vous faire un résumé : les hommes ont toujours été les mêmes.

Et du coup, combien de fois tu as bandé en lisant ces archives? :hap:

Ça m'a simplement fait rire. De gros cochons membre du clergé qui ont fait voeux de célibat mais qui préviennent la proxénète qu'ils viendront déguiser en bourgeois jusqu'à son bordel afin d'être incognito pour commettre leurs péchés mortels en passant par les vieillards impuissants dont le corps ne répond plus et qui sont désespérés.

À savoir que bourgeois ça veut dire "habitant d'une ville" simplement ici donc Jean-Lambda, ni mendiant ni clerc ni noble.
Bourgeois veut donc dire monsieur tout le monde dans ce contexte.

Ayaoooooo men be men

Il y avait aussi un recueil de chants paillards chantés sur place.

Il faut bien imaginer les clients ivres morts qui chantaient ça entourés de filles.

Les paroles étaient incroyablement irrévérencieux et scandaleuses mais écrites d'une telle manière qu'il fallait lire entre les lignes pour comprendre à quel point c'est scabreux. Il m'a fallu 2 lectures pour comprendre le texte.

C'est toujours bien écrits dans un beau français.

Il y avait aussi une liste de conseils pour les filles dont en gros "Les hommes ont des délires bizarres, soyez prévenues." et "lavez-vous avant d'aller chez un client".

Le 24 août 2024 à 05:32:31 :

Le 24 août 2024 à 05:23:48 ContraGalileos a écrit :
Les kheys rien à voir (quoique ?) mais j'ai un jour déniché un document incroyablement rare dans les archives.
Il s'agissait d'une compilation des lettres de tous les clients d'unemaquerelle de la seconde moitié du XVIIIe. Dedans, chacun se présentait et détaillait ce qu'il voulait. Tout : repas souhaité, lieu souhaité, horaire, physique de la /des femme(s). tenue, pratiques souhaitées etc.

Il y avait aussi des lettres des filles employées par cette vieille femme dans lesquelles elles se plaignaient souvent.

C'est ce genre de découverte archivistique qui relève du voyage dans le temps pur et dur.

Vous êtes plongés dans une part de l'histoire inconnue du grand public.

C'est une expérience exceptionnelle pour qui aime l'histoire brute et pratique : comment les gens vivaient quotidiennement.

Je peux vous faire un résumé : les hommes ont toujours été les mêmes.

Et du coup, combien de fois tu as bandé en lisant ces archives? :hap:

Ça m'a simplement fait rire. De gros cochons membre du clergé qui ont fait voeux de célibat mais qui préviennent la proxénète qu'ils viendront déguiser en bourgeois jusqu'à son bordel afin d'être incognito pour commettre leurs péchés mortels en passant par les vieillards impuissants dont le corps ne répond plus et qui sont désespérés.

À savoir que bourgeois ça veut dire "habitant d'une ville" simplement ici donc Jean-Lambda, ni mendiant ni clerc ni noble.
Bourgeois veut donc dire monsieur tout le monde dans ce contexte.

Le 24 août 2024 à 05:30:12 :

Le 24 août 2024 à 05:23:48 ContraGalileos a écrit :
Les kheys rien à voir (quoique ?) mais j'ai un jour déniché un document incroyablement rare dans les archives.
Il s'agissait d'une compilation des lettres de tous les clients d'unemaquerelle de la seconde moitié du XVIIIe. Dedans, chacun se présentait et détaillait ce qu'il voulait. Tout : repas souhaité, lieu souhaité, horaire, physique de la /des femme(s). tenue, pratiques souhaitées etc.

Il y avait aussi des lettres des filles employées par cette vieille femme dans lesquelles elles se plaignaient souvent.

C'est ce genre de découverte archivistique qui relève du voyage dans le temps pur et dur.

Vous êtes plongés dans une part de l'histoire inconnue du grand public.

C'est une expérience exceptionnelle pour qui aime l'histoire brute et pratique : comment les gens vivaient quotidiennement.

Je peux vous faire un résumé : les hommes ont toujours été les mêmes.

Très intéressant. En même temps, on est dans le moeurs du moeurs. Vous allez en faire un livre quand ?

C'est dans un coin de ma tête depuis ce temps. C'est vraiment ce que je préfère en histoire en plus, comment on vivait concrètement, la mentalité, le langage parlé, le vrai langage pas celui trafiqué typique du langage écrit, imprimé.

J'ai aussi l'impression que ce document n'a pas encore été exploité. Il faut que j'en parle à des gens du milieu de confiance pour leur demander ce que je peux faire.

Le 24 août 2024 à 05:03:30 :

Le 24 août 2024 à 04:52:55 :

Le 24 août 2024 à 04:49:56 :

Le 24 août 2024 à 04:45:06 :

Le 23 août 2024 à 02:58:20 :

> Le 23 août 2024 à 02:51:45 :

>> Le 23 août 2024 à 02:47:17 :

> >Justine ou les malheurs de la vertu est l'un des rares livres français que je possede. Je ne l'ai cependant jamais fini, le language est usé et pas vraiment imagé

>

> D'autant plus qu'il y a plusieurs versions sur le wiki source. Mais j'ai trouvé des descriptions physiques de Juliette et Justine dans les "Justine ou les malheurs de la vertu".

Oui mais autant avoir le livre en physique, et honnetement le français de Sade est bien trop ancré dans son époque. Là où le français du XIXeme est plus accessible et sans doute celui qui fit la renommée de la langue française dans le monde, celui du XVIIIeme est une veritable horreur.

Les versions actualisées sont pour moi traitrise à l'oeuvre originale et la quitte de sa substance.

Comment on peut trouver horrible le français d'un noble du XVIIIe siècle ?

C'est la quintessence de l'élégance et du raffinement...

Et encore, j'ai fait de la paléographie sur des archives juridiques du XVI-XVII-XVIII ème siècle pour les archives départementales de la haute Garonne. Le parler du xviii ème est reposant par rapport à celui des deux siècles précédents.

Parfaitement d'accord, c'est vraiment le mot : reposant. Après il y a des exceptions, j'ai déjà lu des auteurs du XVIe siècle au style d'une clarté incroyable et des auteurs du milieu du XVIIe siècle d'une lourdeur....

Bon là en l'occurence ça relève plus du style propre à chaque auteur et pas de l'époque. Comme aujourd'hui certains écrivent de manière incompréhensibles ou font des constructions trop alambiquées

Oui, le style dépend clairement du type. Montaigne est agréable à lire. Mais au Xviii eme ils évoluent dans leur façon de parler et développent une jolie écriture. La paléographie est plus simple à faire au xviii ème.

Oui, on sent que chez Montaigne c'est encore une langue en transition si je puis dire.

À la fin du XVIIIe siècle, le français a atteint la perfection en terme d'élégance et de simplicité.

Que penses-tu du style de Voltaire ?

Les kheys rien à voir (quoique ?) mais j'ai un jour déniché un document incroyablement rare dans les archives.
Il s'agissait d'une compilation des lettres de tous les clients d'une mère maquerelle parisienne de la seconde moitié du XVIIIe. Dedans, chacun se présentait et détaillait ce qu'il voulait. Tout : repas souhaité, lieu souhaité, horaire, physique de la /des femme(s). tenue, pratiques etc.

Il y avait aussi des lettres des filles employés par cette vieille femme dans lesquelles elles se plaignaient souvent.

C'est ce genre de découverte archivistique qui relève du voyage dans le temps pur et dur.

Vous êtes plongés dans une part de l'histoire inconnue du grand public.

Le 24 août 2024 à 04:49:56 :

Le 24 août 2024 à 04:45:06 :

Le 23 août 2024 à 02:58:20 :

Le 23 août 2024 à 02:51:45 :

Le 23 août 2024 à 02:47:17 :
Justine ou les malheurs de la vertu est l'un des rares livres français que je possede. Je ne l'ai cependant jamais fini, le language est usé et pas vraiment imagé

D'autant plus qu'il y a plusieurs versions sur le wiki source. Mais j'ai trouvé des descriptions physiques de Juliette et Justine dans les "Justine ou les malheurs de la vertu".

Oui mais autant avoir le livre en physique, et honnetement le français de Sade est bien trop ancré dans son époque. Là où le français du XIXeme est plus accessible et sans doute celui qui fit la renommée de la langue française dans le monde, celui du XVIIIeme est une veritable horreur.

Les versions actualisées sont pour moi traitrise à l'oeuvre originale et la quitte de sa substance.

Comment on peut trouver horrible le français d'un noble du XVIIIe siècle ?

C'est la quintessence de l'élégance et du raffinement...

Et encore, j'ai fait de la paléographie sur des archives juridiques du XVI-XVII-XVIII ème siècle pour les archives départementales de la haute Garonne. Le parler du xviii ème est reposant par rapport à celui des deux siècles précédents.

Parfaitement d'accord, c'est vraiment le mot : reposant. Après il y a des exceptions, j'ai déjà lu des auteurs du XVIe siècle au style d'une clarté incroyable et des auteurs du milieu du XVIIe siècle d'une lourdeur....

Bon là en l'occurence ça relève plus du style propre à chaque auteur et pas de l'époque. Comme aujourd'hui certains écrivent de manière incompréhensibles ou font des constructions trop alambiquées

Le 24 août 2024 à 04:44:54 :

Le 24 août 2024 à 04:40:30 :

Le 24 août 2024 à 04:35:55 :

Le 24 août 2024 à 04:31:35 :
Je l'avais écouté en livre audio, mais j'ai arrêté à la moitié, c'est très répétitif

C'est aussi pour nous habituer à son univers. Je lui reproche aussi de faire les victimes trop passives pas assez humaines dans leurs réactions face à la mort, à part pleurer ou crier d'effroi. Moi on me dit que l'on va me V, torturer et tuer, je tente le tout pour le tout. Je réponds que je ne suis pas emballé par le projet. Et si je meurs au moins je serais mort d'une balle dans la tête - certains ont cette chance dans le livre -, pas comme un animal conduit à l'abattoir.

C'est vraiment typique du XVIIIe siècle, ça.
Quelque chose qui peut aisément ennuyer un lecteur d'aujourd'hui.

Si tu as lu Manon Lescaut, ça te rappellera le chevalier des Grieux, tiens.

Pleurer, se lamenter sur son sort, à l'époque un lecteur aurait été attendri alors que nous ça nous laisse de marbre et nous fait lever au ciel en soufflant.

Ça se voulait d'autant plus attendrissant que l'infortuné était jeune, belle, noble, innocente.

Je n'ai pas lu Manon Lescaut, mais oui : ça me perturbe car c'est en décalage avec le vécu. Je sais bien que la narration est subjective et donc que Juliette n'est peut être pas un une narratrice fiable ; mais Sade a trop insisté sur la psychologie des bourreaux et pas assez sur celle des victimes.

Il est possible que Sade ait simplement été incapable d'imaginer de tels sentiments.

C'était probablement un psychopathes dont un des symptômes est l'absence d'empathie. Or, pour décrire les sentiments d'une victime il faut être empathiques.

Le 24 août 2024 à 04:42:59 :

Le 24 août 2024 à 04:40:30 :

Le 24 août 2024 à 04:35:55 :

Le 24 août 2024 à 04:31:35 :
Je l'avais écouté en livre audio, mais j'ai arrêté à la moitié, c'est très répétitif

C'est aussi pour nous habituer à son univers. Je lui reproche aussi de faire les victimes trop passives pas assez humaines dans leurs réactions face à la mort, à part pleurer ou crier d'effroi. Moi on me dit que l'on va me V, torturer et tuer, je tente le tout pour le tout. Je réponds que je ne suis pas emballé par le projet. Et si je meurs au moins je serais mort d'une balle dans la tête - certains ont cette chance dans le livre -, pas comme un animal conduit à l'abattoir.

C'est vraiment typique du XVIIIe siècle, ça.
Quelque chose qui peut aisément ennuyer un lecteur d'aujourd'hui.

Si tu as lu Manon Lescaut, ça te rappellera le chevalier des Grieux, tiens.

Pleurer, se lamenter sur son sort, à l'époque un lecteur aurait été attendri alors que nous ça nous laisse de marbre et nous fait lever au ciel en soufflant.

Ça se voulait d'autant plus attendrissant que l'infortuné était jeune, belle, noble, innocente.

J'ai ressenti pareil avec Manon Lescaut ahi

Aussi les pleurs masculins n'étaient pas mal vus comme aujourd'hui.

C'était plutôt un signe de délicatesse.

C'est pour ça que, si tu as lu Candide ou Manon Lescaut, Candide et le chevalier ont ceci en commun qu'ils alternent sans problème entre moment de victimisation/pleurs/lamentations et scènes où ils n'hésitent absolument pas à se battre en duel à l'épée/pistolet à mort pour défendre une femme, ce qu'on attendait d'un homme +/- noble.

Le 23 août 2024 à 02:58:20 :

Le 23 août 2024 à 02:51:45 :

Le 23 août 2024 à 02:47:17 :
Justine ou les malheurs de la vertu est l'un des rares livres français que je possede. Je ne l'ai cependant jamais fini, le language est usé et pas vraiment imagé

D'autant plus qu'il y a plusieurs versions sur le wiki source. Mais j'ai trouvé des descriptions physiques de Juliette et Justine dans les "Justine ou les malheurs de la vertu".

Oui mais autant avoir le livre en physique, et honnetement le français de Sade est bien trop ancré dans son époque. Là où le français du XIXeme est plus accessible et sans doute celui qui fit la renommée de la langue française dans le monde, celui du XVIIIeme est une veritable horreur.

Les versions actualisées sont pour moi traitrise à l'oeuvre originale et la quitte de sa substance.

Comment on peut trouver horrible le français d'un noble du XVIIIe siècle ?

C'est la quintessence de l'élégance et du raffinement...

Le 24 août 2024 à 04:35:55 :

Le 24 août 2024 à 04:31:35 :
Je l'avais écouté en livre audio, mais j'ai arrêté à la moitié, c'est très répétitif

C'est aussi pour nous habituer à son univers. Je lui reproche aussi de faire les victimes trop passives pas assez humaines dans leurs réactions face à la mort, à part pleurer ou crier d'effroi. Moi on me dit que l'on va me V, torturer et tuer, je tente le tout pour le tout. Je réponds que je ne suis pas emballé par le projet. Et si je meurs au moins je serais mort d'une balle dans la tête - certains ont cette chance dans le livre -, pas comme un animal conduit à l'abattoir.

C'est vraiment typique du XVIIIe siècle, ça.
Quelque chose qui peut aisément ennuyer un lecteur d'aujourd'hui.

Si tu as lu Manon Lescaut, ça te rappellera le chevalier des Grieux, tiens.

Pleurer, se lamenter sur son sort, à l'époque un lecteur aurait été attendri alors que nous ça nous laisse de marbre et nous fait lever aux ciels en soufflant.

Ça se voulait d'autant plus attendrissant que l'infortuné était jeune, belle, noble, innocente.

Le 24 août 2024 à 04:29:47 :

Le 24 août 2024 à 04:26:54 :

Le 23 août 2024 à 02:06:32 :

Le 23 août 2024 à 02:04:31 :

Le 23 août 2024 à 02:00:04 :

> Le 23 août 2024 à 01:58:13 :

>Je viens de prendre les deux, je vais commencer dans quelques minutes :oui:

Tu as commandé en ligne ? Tu peux même les trouver gratis sur Wikipedia. Mais je peux comprendre l'effet d'avoir un livre physique.

Je les ai trouvés gratuitement en format e.pub sur Anna's Archive. Je te ferai un retour.

Je crois même que tu les as aussi sur gallica, mais en vieux françois.

Le français de Sade n'est certainement pas du vieux françois. C'est du français moderne. On est fin XVIIIe siècle, pas au XIIe.

Oui pardon, mais c'est du françois tout de même avec les F à la place des S et l'imparfait different del celui d'aujourd'hui.

Non le F n'est pas un S. Le F et le S sont deux caractères d'imprimerie différents si tu regardes bien dans les ouvrages d'époques (va sur Gallica).
Et non plus pour les ois, j'ai édité mon message.

La fin du XVIIIe siècle est incroyablement moderne, à bien des égards.

Le 23 août 2024 à 02:06:32 :

Le 23 août 2024 à 02:04:31 :

Le 23 août 2024 à 02:00:04 :

Le 23 août 2024 à 01:58:13 :
Je viens de prendre les deux, je vais commencer dans quelques minutes :oui:

Tu as commandé en ligne ? Tu peux même les trouver gratis sur Wikipedia. Mais je peux comprendre l'effet d'avoir un livre physique.

Je les ai trouvés gratuitement en format e.pub sur Anna's Archive. Je te ferai un retour.

Je crois même que tu les as aussi sur gallica, mais en vieux françois.

Le français de Sade n'est certainement pas du vieux françois. C'est du français moderne. On est fin XVIIIe siècle, pas au XIIe. On écrivait à son époque déjà "français", "avait", "faisait" tels quels et non plus "françois", "avoit" ou "faisoit" qui étaient déjà archaïsants.

La majorité des roux ont les yeux marrons et pas n'importe quel marron souvent les yeux marrons très foncés.

Ce qui compte ce sont les traits du visage.

J'ai toujours eu de grandes facilités en grammaire grâce au niveau des cours de français de mon école primaire.

J'ai étudié le grec, le latin des années.

Et de mon point de vue l'anglais est la langue la plus sous-estimée par ceux qui ont un niveau faible. Pour ma part, je la trouve très étrange et difficile.

Mes 18 de moyenne chaque année ne changent rien à mon propos : niveau exigé trop bas et surnotage comme idéologie étatique. Facile et même normal d'avoir 18/20 dans ce contexte.

Combien de fois j'ai entendu des illettrés en français prétendre être nuls en espagnol mais être bilingues en anglais.
Leur moyenne en espagnol : 5/20
Leur moyenne en anglais : 12/20, au mieux.

Si tu es mauvais dans une autre langue romane alors que ta langue maternelle est le français c'est que tu ne comprends pas le concept de grammaire en général. Aucune chance que, par l'opération du Saint-Esprit, ton cerveau soit illuminé par la clairvoyance quand il s'agit de l'anglais. Ça n'a aucun sens.

L'anglais c'est n'importe quoi cette langue, du créole. Je la travaille tous les jours et je suis toujours régulièrement surpris de sa bizarrerie.

Le 17 août 2024 à 23:42:54 :
Littérature: Victor Hugo, Marcel Proust, Albert Camus, Simone de Beauvoir, Voltaire

Compositeurs: Claude Debussy, Maurice Ravel, Hector Berlioz, Gabriel Fauré

Philosophie: René Descartes, Jean-Paul Sartre, Michel Foucault, Henri Bergson

Peinture: Claude Monet, Edgar Degas, Paul Cézanne, Henri Matisse

Économie: Jean-Baptiste Say, Thomas Piketty, Maurice Allais, Frédéric Bastiat

Science: Marie Curie, Louis Pasteur, Henri Poincaré, Blaise Pascal

En musique : François Couperin, Jean-Philippe Rameau, Lully (école française), Guillaume de Machaut,

Algie vasculaire de la face

Les médecins ont des traitement spécifiques pour ça

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