Messages de FrankSalter

Sources :

[1] Il a été développé en 1964 par le biologiste anglais William Hamilton,dans son article "The genetical evolution of social behaviour".
[2] (Russell and al., 1985)
[3] (Littlefield and Rushton,1984).
[4] Rushton,2005
[5] Van Berghe, The ethnic phenomenon, 1981, p.18.
[6] Frank Salter, On genetic interests, 2007.
[7] (Dutton,2013)
[8] Harpeding et Cochrane, “The 10000 years explosion”
[9] toutes les études et cartes utilisées trouvables in “Individualism and the western liberal tradition”, 2019, chapitre 1 : “Recent population research”.
[10] ibidem, chapitre 7 : “The northern Hunter-gatherer cultural legacy”
[11] Il n’est pas étonnant dès lors de voir que les Tunisiens, Israeliens de France, ou les Turcs d’Allemagne votent majoritairement, lors des élections présidentielles de leur pays d’origine, pour les candidats politiques les plus à droite, tandis qu’ils votent très majoritairement pour les élections françaises pour des partis de gauche et d’extrême-gauche. Ils défendent leurs intérêts communautaires dans les deux cas : dans leur pays d’arrivée comme leur pays d’origine.
[12] ibidem, page 374.
[13] va dans le sens des liens forts intra-groupe induits par une histoire de vie lente (cf. Figueredo et al,2011)
[14] ibidem, p.159
[15] Agnoskin et Jonas, 2003
[16] Woodley of menie & Dunkel, 2015.
[17] Ganzach, 2011
[18] https://www.theguardian.com/news/datablog/2019/may/21/museum-art-collections-study-very-male-very-white
[19] https://wdet.org/posts/2019/09/06/88587-are-american-museums-too-white/
[20] https://www.sierraclub.org/outdoors/2016/12/unbearable-whiteness-hiking-and-how-solve-it
[21] https://www.theguardian.com/environment/2018/jul/13/hiking-african-american-racism-nature
[22] https://nmbx.newmusicusa.org/its-time-to-let-classical-music-die/
[23] https://www.la-croix.com/Culture/Alexis-Ffrench-pianiste-britannique-combat-cliches-classique-2020-02-23-1301079934
[24] Fehr & Gächter, 2002; Henrich et al., 2001.
[25] in “Une histoire des Juifs en Amérique”
[26] https://www.researchgate.net/publication/325659933_Jewish_Group_Evolutionary_Strategy_Is_the_Most_Plausible_Hypothesis_a_Response_to_Nathan_Cofnas'_Critical_Analysis_of_Kevin_MacDonald's_Theory_of_Jewish_Involvement_in_Twentieth_Century_Ideological_Mo
[27] https://www.lexpress.fr/actualite/societe/encore-aujourd-hui_482221.html
[28] in “Individualism and the Western liberal tradition” p.109
[29] Nettle,2007
[30] https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2017/09/04/portrait-robot-des-enseignants-en-france-une-femme-agee-de-43-ans-gagnant-2-461-euros-par-mois_5180636_4355770.html
[31] https://infos.emploipublic.fr/article/trop-de-femmes-a-l-education-nationale-eea-6365#:~:text=Les%20femmes%20repr%C3%A9sentent%2068%2C3,pourcentage%20d%C3%A9passe%20d%C3%A9sormais%20les%2082%20%25.
[32] Eurostat, 2019
[33] Dutton,2013
[34] Meisenberg, 2012
[35] Blume,2009
[36] Hayford et Morgan, 2008
[37] Koenig et al, 2012
[38] Race differences in ethnocentrism,p.212, Edward Dutton.
[39] Rowthorn et al, 2011
[40] Woodley of Menie et al, 2017
[41] Dutton et al,2018
[42] Peterson & Palmer, 2017
[43] Bergreen et al, 2017
[44] Woodley of menie, Saraff et Feltham, 2019, “Modernity and cultural decline : A socio biobehavorial perspective”
[45] Vanhanen, 2012
[46] Clarke, 2007

Conclusion :

Le sort des Européens semble sombre : tous les jours nous voyons des Européens et des immigrés parler de privilège blanc, de racisme institutionnel, de racisme anti-Blanc par nature inexistant, d’oppression systématique, de patriarcat blanc, etc. Chaque intérêt légitime des Blancs est bafoué, chaque revendication ridiculisée et rejetée. Tandis que les revendications, les exigences, les intérêts communautaires des exogroupes sont écoutées, appliquées, promues.

Des éléments semblent aller toutefois vers un retour progressif des Européens à un ethnocentrisme suffisamment fort pour avoir conscience du danger mortel que représente l’immigration/la cohabitation multiculturelle pour nos intérêts génétiques et pour mener des politiques migratoires nécessairement ethnocentristes.

- Le phénomène migratoire en lui-même, s’il continue, fera objectivement augmenter le niveau de stress, car le niveau de présence de groupes ethniques différents dans un même territoire fait augmenter le niveau de conflit ethnique, faisant nécessairement augmenter le niveau d'ethnocentrisme négatif dans les groupes s’opposant.
Les conflits intergroupes sont d’autant plus grands que les groupes impliqués sont distants génétiquement. [45]

- Le relatif faible QI des immigrants, accompagné du dysgénisme de plus en plus répandu chez les Blancs, feront baisser de plus en plus le niveau d’intelligence global des pays occidentaux, rendant les personnes plus sujets à avoir des traits de personnalité anti-sociales et peu empathiques (et donc ethnocentristes) et surtout faisant dégringoler nos standards de vie, faisant ainsi augmenter le niveau de stress et rendant l’histoire de vie plus -r (car les conditions optimales de reproduction et même de survie seront drastiquement réduites). Par conséquent, l’ethnocentrisme montera en flèche.

- La chute des standards de vie et la hausse ainsi que l’aggravation des conflits inter-ethniques rendra toute idée de “trade off” désuète : l’intérêt de déclarer la diversité formidable disparaîtra, l’intérêt de privilégier son groupe au détriment des autres sera incontournable.

- Les personnes religieuses seront de plus en plus nombreuses, du fait d’un fort stress induit par des conflits inter-groupe de plus en plus graves et meurtriers, et du dysgénisme chez les Blancs, l’intelligence étant corrélée à la fécondité [46]. Or nous avons vu plus haut que la religiosité est positivement corrélée à une forte fécondité. Les personnes faisant le plus d’enfants seront donc plus ethnocentristes..

Dans ce scénario optimiste, le dysgénisme semble malheureusement être un corollaire nécessaire à un niveau correct ethnocentrique mais particulièrement désastreux pour notre civilisation. Mais que pour notre groupe puisse rebondir, encore faut-il qu’il existe encore !

Des éléments nous échappent :

- Il est impossible pour l’instant de savoir si le système gauchiste anti-ethnocentrique européen pourra un jour faillir pour une raison ou pour une autre, ou si les Européens pourraient d’un coup, suite à un événement quelconque, se mettre à défendre beaucoup plus leurs intérêts génétiques. Et dans l’affirmative, quand cela aura lieu.

Quoiqu’il en soit, le meilleur moyen de rendre aujourd’hui les Européens plus ethnocentristes malgré le système actuel et leurs mauvaises prédispositions génétiques est de favoriser toute entreprise communautaire/associative/culturelle implicitement réservée aux Blancs, dans le sens où seuls les Blancs s’y identifient. Il faut également constamment réinformer, à notre petite échelle, les Européens sur l’histoire de leurs ancêtres et de leurs peuples, afin qu’ils en soient fiers et les informer des événements historiques et faits d’actualité montrant des exogroupes porter préjudice aux Européens.

Surtout, il faut LÉGITIMER MORALEMENT l’ethnocentrisme européen. Il faut faire comprendre que l’ethnocentrisme est profondément naturel, et qu’il est juste de vouloir le bien de son groupe, et que le groupe européen est particulièrement digne d’être protégé et chéri. Voilà la clé : casser le sentiment actuel des Européens qui consistent à se convaincre qu’ils doivent disparaître car cela est MORAL.
Enfin, il faut réapprendre aux Blancs qu’ils sont membres d’un groupe particulier, aux intérêts particuliers, et que la présence de groupes très différents au sein d’un même espace pousse à des compétitions, des stratégies de groupe, des conflits, qui sont extrêmement spécifiques, chacun devant assurer la victoire de SON propre groupe. “Seulement nous pouvons être nous”.
Il faut aussi réapprendre aux hommes Européens que la violence n’est pas toujours horrible et que tout doit être pour l’éviter, il faut tout faire pour briser la spirale infernale de la paresse et faiblesse intellectuelle et physique.

Le plus grand obstacle au retour de l'ethno nationalisme européen semble être en définitive l’armée de mutants génétiques, toujours de plus en plus nombreuse, toujours de plus en plus à gauche, toujours de plus en plus radicale. Rassurons-nous toutefois : défendant de plus en plus de concepts en -isme qui induisent un très faible niveau de reproduction, il se peut qu’il y en ait de moins en moins finalement !

4. Féminisme, taux de testostérone et vieillissement :

Les femmes cherchant par nature à nourrir/protéger/éduquer leurs enfants et à renforcer les relations familiales pour avoir un cadre propice au bon développement de ses enfants, elles ont un plus haut niveau d'amabilité et de conscienciosité que les hommes[29] : elles sont plus empathiques, compatissantes, suivent plus les normes et les pensées dominantes. Par extension, plus de femmes que d'hommes ont de chances d’avoir des formes extrêmes d’altruisme.

Or, le féminisme triomphe actuellement en Europe. De plus en plus de femmes sont à des postes clés dans les gouvernements occidentaux (Van der Leyen, Merkel, Jacinda Ardern, Sanna Marrin...), le corps judiciaire est massivement féminisé, notamment la magistrature. Les femmes sont largement majoritaires dans l’Education nationale[30] [31]. Les femmes entrent également de plus en plus dans l'armée, beaucoup deviennent cadres, ont des postes financiers importants, etc. En matière politique, il est recouru de plus en plus aux émotions, auxquels les femmes sont plus sensibles, plutôt qu’au raisonnement analytique, globalisant, plus masculin.

Elles ont ainsi un rôle décisionnaire de plus en plus important dans la marche des pays occidentaux, or étant naturellement plus empathiques et consciencieuses que les hommes, elles prônent d'autant plus le modèle établi, évidemment pro-immigrationniste, pro-diversité, pro-islam, etc et mènent/favorisent/acceptent majoritairement des politiques qui appuient ce modèle.

Cette influence sociale se fait évidemment au détriment des hommes, qui sont moins consciencieux et empathiques que les femmes, et ont donc plus de chances d'être négativement ethnocentristes. Par ailleurs, le taux de testostérone chute de manière drastique depuis des décennies chez les hommes européens, pour des raisons environnementales comme génétiques. Un haut taux de testostérone étant positivement corrélé à un faible contrôle de soi, à une plus grande agressivité, à un faible niveau d'empathie et d’obéissance aux normes, cela induit là encore une plus grande chance d'être négativement ethnocentriste. La chute de testostérone chez les hommes Blancs fait donc là aussi baisser le niveau d'ethnocentrisme européen.

Le fait que les femmes soient grandement majoritaires dans l’Education nationale, surtout au niveau de l’école primaire (82%!), se traduit par une très large propension à critiquer toute forme de violence, de colère. Depuis longtemps, on apprend très tôt aux élèves que la violence ne résout rien, que c’est quelque chose que font les faibles en réalité, qu’il ne faut pas chercher à se défendre, etc. Les harceleurs et petites frappes de collège-lycée peuvent s’en donner à coeur joie, ils auront des proies faciles qui ne se défendront pas, et s’ils se plaignent aux directeurs d’établissement ou professeurs, ceux-ci fermeront les yeux comme tant de récents faits divers où des élèves harcelés qui ont tout fait pour prévenir les autorités se sont suicidés car celles-ci ne faisaient rien et que les harcèlements n’arrêtaient pas.

Cet ultra-pacifisme béat, cette passivité face à la violence d’autrui, ce refus de la pratiquer soi-même quand c’est légitime, et l’absence de répression de la violence illégitime, sont des choses prônées par tout le système (politiques -qui aiment rappeler que l’Union Européenne c’est la paix-, professeurs, juges, etc.). Cela désarme les Européens, qui ont été conditionnés à accepter leur sort, à ne pas envisager de solutions politiques légitimes qui puissent apparaître immorales et surtout violentes, impensables dans le système démocratique actuel.

L’âge a également une importance. Les pays européens sont vieux. La moyenne d’âge des habitations de l’Union européenne est de 43 ans [32], tandis que l’âge médian en Afrique est de 20 ans, avec des pays comme l’Ouganda où l'âge médian est de 15 ans.
Or plus l’on vieillit, plus notre niveau d’amabilité, de conscienciosité, d’extraversion augmente, tandis que le neuroticisme baisse : Tout cela concourt à un ethnocentrisme positif plus haut mais à un ethnocentrisme négatif plus faible également.

5. Baisse de la religiosité et dysgénisme

La religiosité est assez significativement héréditaire (corrélation de +0.4)[33], ce qui est logique car plusieurs signes indiquent que ce trait ait été sélectionné en vertu des bienfaits qu’elle apporte au groupe :

- les personnes religieuses sont plus fertiles que les personnes non religieuses, peu importe la religion considérée[34]

- il y a une corrélation significativement négative entre les personnes athées et leur niveau d’ethnocentrisme positif comme négatif

Les personnes religieuses ont donc plus de fertilité et d’ethnocentrisme que les non religieux : cela signifie qu’elles sont adaptées du point de vue évolutionnaire dans le sens où ces deux critères augmentent à la fois le “reproductive fitness” et “l’inclusive fitness”.

Elles ont également un plus haut niveau d’amabilité et de conscienciosité, moins de maladie mentale et physique que les athées[35] [36] [37], ce qui favorise un comportement pro-social, et démontre un faible niveau de mutation délétère : cela apporte là encore un bienfait au groupe et démontre un bon niveau d’adaptation du génome à l’environnement.
Le comportement pro-social s’explique aussi par le fait qu’on croit qu’un Dieu moral voit nos actions et nous juge, de sorte que l’on a intérêt à être bon avec les différents groupes sociaux. Les groupes extérieurs seraient alors perçus négativement, comme ennemis de Dieu et de la communauté des croyants, damnés, ou méritant d’être châtiés. La religiosité augmenterait alors les doubles composantes de l’ethnocentrisme.

L’athéisme apparaît alors quant à lui comme un marqueur de mutation génétique délétère :
“Dutton et al.(2017) ont affirmé que la religiosité, qui est décrite comme fortement génétique, était de plus en plus selectionnée dans des sociétés complexes jusqu’à la révolution industrielle. Ainsi, avec la chute sélective, ils ont prédit que l’athéisme serait associé à des marqueurs de mutation génétiques, car les mutations mentales et physiques tendent à être co-morbides, et qu’environ 84% du génome concerne le cerveau”.[38]

En effet, depuis la révolution industrielle, la sélection naturelle se fait beaucoup moins sentir, puisque les standards de vie n’ont cessé d’augmenter, de façon encore plus spectaculaire au XXème siècle, et pendant les Trente glorieuses.
Il s’ensuit que les personnes ayant une forte surcharge en gènes délétères, développent un manquement aux instincts adaptatifs, tels que l’ethnocentrisme, et la fertilité, et ont des comportements généraux qui vont contre la sélection de groupe classique.
Ces personnes survivent par la chute du taux de mortalité alors qu’elles n’auraient pas survécu quelques décennies plus tôt, et réussissent à passer leur gènes . Au fur et à mesure des générations, de plus en plus personnes génétiquement prédisposés à ne pas être religieux et ethnocentristes se seraient alors répandus dans la population européenne.
Ces hauts niveaux de vie font de même baisser considérablement le niveau de stress, corrélé positivement à la religiosité, car le niveau de stress nous rend plus instinctif et donc plus réactifs à nos impératifs évolutionnaires.

Tout cela concourt à une population européenne de plus plus en athée, traduisant une population de plus en plus mutante (il y a en Occident de plus en plus de gauchers, d’autistes, de personnes hémophiles, ayant la mucoviscidose, etc.) et donc pas adaptée à ses impératifs biologiques :
Les athées ont une faible envie d’avoir des enfants[39], une forte charge mutationnelle [40] [41].
Cette forte charge mutationnelle se retrouve aussi chez les personnes s’identifiant à des mouvements et courants de pensée de gauche, qui ont tendance à prôner des choses allant contre les intérêts civilisationnels et génétiques de notre groupe : aux Etats-Unis, les démocrates sont moins beaux que les républicains[42], en Europe, les politiciens d’extrême-droite sont perçus comme plus attirants que les politiciens d’extrême-gauche[43].
La beauté physique est un miroir, un témoin de la faible charge mutationnelle dans le corps et dans l’esprit, permettant à un partenaire désirant se reproduire de deviner inconsciemment la qualité de sa transmission génétique s’il s’accouple avec tel individu.

Cela peut sembler moins étonnant désormais qu’il y ait tant de dirigeants européens importants qui n’aient pas d’enfants (Macron et Merkel notamment), et qui semblent si désespérément peu ethnocentristes.

Notons pour finir que l’explosion de personnes dotées de mutations délétères explique notamment le fait que la société soit incitée à être de plus en plus individualiste et tolérante car les comportements néfastes pour le groupe ou les individus sortant physiquement ou mentalement de la normalité sont de plus en plus nombreux, et que toute politique fondée sur la promotion de ce qui est génétiquement sélectionné pour la “fitness” du groupe irait contre leurs intérêts individuels. [44]

2. L'influence énorme de la propagande gauchisante :

La communauté morale dont j'ai parlé plus haut est aujourd'hui définie par la gauche intellectuelle, et qui s'est étendue à tout le spectre politique. Bien entamée après la Seconde guerre mondiale, et fortement accélérée après les années 1960 en Occident, l'influence gauchiste, anti-racialiste, égalitariste, anti-blanche, s'est retrouvée partout diffusée dans toutes les sphères importantes : médias, culture, art, politique, justice, académie, campus universitaires, etc.

Cette gauche n'enseigne aux Blancs qu'à détester leur histoire ancienne, proclamée insignifiante, sans faits de gloire, sans grandeur d'âme, sans aucune morale. L'esclavage, la Shoah, la colonisation sont sans cesse rappelés, avec une vision extrêmement culpabilisante et essentialiste : ce sont les Blancs et seulement eux qui ont fait ces horreurs,indépassables, et ils l’ont fait parce que seul les Blancs peuvent faire cela. Ils ont une énorme dette envers les autres races.

Tout cela participe évidemment à avoir honte de son propre groupe racial plutôt que d'en être fier, rendant l'expression d'un ethnocentrisme positif beaucoup moins évidente.

Les Blancs n'ont plus actuellement le moyen de s'identifier à des concepts/groupes sociaux et culturels/explicitement Blancs. Les identifications sociales prônées par la majorité des pays occidentaux ne correspondent pas à ceux espérés par les Blancs :

éloge des cultures exotiques, promotion du rappeur afro-américain, mythification de la "culture" banlieue, sports collectifs de plus en plus diversifiés et dès lors diffusés, personnages historiquement Blancs représentés par des acteurs Noirs ou autres sur Netflix ou la BBC, diversité raciale de plus en plus présente dans les productions audiovisuelles, souvent dans des rôles de pouvoir, nécessitant une haute intelligence, etc.

Tout cela concourt à faire baisser le niveau d'ethnocentrisme négatif chez les Blancs.

La musique classique, les émissions littéraires portant sur des auteurs classiques sont relégués à des créneaux horaires tardifs sur quelques chaînes de télé, les musiques très largement écoutées par les Blancs seulement, comme le métal, sont introuvables sur les ondes radio. Les films historiques sur tel évenement s'étant passé dans tel pays occidental sont très souvent critiques.

Les Blancs chercheront tout de même à tisser des liens sociaux sur la base de référents/activités non prônés par le système mais partagés seulement par les Blancs. Cela se fera de manière implicite, et sur la base de volontés personnelles : participation à une association de danse folklorique, randonnées, visite d'un musée, écoute d'un opéra, etc.

Bien sûr les médias et lobbies diversitaires ont bien compris cela : les personnes allant visiter les musées et les oeuvres proposées sont désespérément trop Blanches [18] [19], la randonnée est une activité souffrant d’une “insupportable blanchité” [20] , activité que les Blancs ont empêché aux Noirs de pratiquer à cause de leur racisme. [21]
La musique classique doit mourir car elle est “par nature raciste” [22]. Mais heureusement, quelques Noirs sont là pour “changer l’image” de ce genre musical perçu comme “ennuyeux, ringard, inaccessible”. [23]

N’espérez pas un instant pouvoir souffler un peu et prendre du bon temps seulement entre vous, bande de Blancs racistes !

3. L’ethnocentrisme européen face à la stratégie évolutionnaire de groupe des Juifs et minorités raciales :

Les peuples individualistes tendent à développer des réactions émotives négatives à l’encontre d’individus qu’ils ne connaissent pas, et qui ne jouent pas le jeu, ne respectent pas les règles, ne font pas la chose qu’on attend d’eux, de sorte qu’ils sont prêt à les punir pour cela même si cette punition doit leur coûter personnellement. [24]

Il s’agit de la “punition altruiste”. Les Européens auront donc tendance à ne pas rentrer en contact, à déconsidérer une personne qui n’a pas été réciproque, qui a agi pour elle seule, même si cela leur coûte quelque chose, au nom du principe de morale commune.
Cette défection n’existe pas dans les peuples qui tissent des relations sur la base de la seule parenté génétique : les interactions sociales sont restrictives au groupe, répétées, et les membres ont plus de chance de se connaître l’un l’autre, de sorte qu’ils savent déjà avec qui coopérer.

Comme dit plus haut, les groupes fonctionnant sur des bases claniques/tribales, bref, à faible fond génétique et fortement adaptés pour une sélection de groupe, sont collectivistes, et ont une morale particulariste : est moral ce qui est bon pour le groupe. Mac Donald propose l’idée selon laquelle les Juifs, en tant que groupe hautement ethnocentriste pour des raisons évolutives (fonds génétique très petit, niveau de consanguinité modéré, victimes de persécutions et expulsions, ce qui sélectionne génétiquement les individus les plus ethnocentristes), ont appuyé sur le principe de “punition altruiste”, typiquement européen.
Ils auraient ainsi cherché à faire culpabiliser les Européens, en disant que leur fierté nationale, leur conscience raciale, sont des choses moralement détestables, des pathologies, de telle sorte que ces derniers s'échinent à tout faire pour ne plus en être accusés, même si cela doit passer par aller contre leurs propres intérêts.

Ils auraient donc utilisé l’individualisme modéré voire fort des Européens pour le faire devenir radical, et utilisé leur altruisme naturel pour le rendre pathologique : exclusif aux exogroupes, inexistant pour leur propre groupe.
L’ethnocentrisme européen criminalisé et culpabilisé permettra d’envisager une société immigrationniste ou du moins acceptant petit à petit l’immigration massive, et donc une société devenant de plus en multiculturelle, multiraciale, facilement divisée, de sorte que le groupe juif ne sera plus qu’un groupe minoritaire parmi tant d’autres, avec un groupe majoritaire étant désormais désuni, partagé entre la “gestion” de nombreux groupes raciaux et ethniques. Cela permettrait de rendre l’identification du groupe juif comme exogroupe avec des intérêts différents et opposés à ceux Européens comme chose beaucoup moins évidente. Les Juifs, surtout ashkénazes, ayant une certaine proportion de génome européen, les traits physiques marqueurs d’appartenance ethnique seront perçus dans une société diversitaire comme étant beaucoup moins différents de ceux identifiables au groupe européen que ne le sont les traits physiques de Somaliens ou Japonais par exemple. Les Européens développeraient ainsi une plus grande tendance à identifier les Juifs comme faisant partie de leur groupe, de sorte que les intérêts des Juifs en tant que groupe seraient perçus davantage comme étant communs à ceux des Blancs.

Mac Donald développera dans un autre ouvrage, nommé “Culture de la critique” la psychologie juive, sa stratégie évolutive, et ses interactions et identifications progressives avec l’Occident et les Européens.
Pour apporter quelques éléments tendant à montrer l’influence que pouvaient avoir certains mouvements plébiscités par les juifs au XXème siècle qui s’attaquaient à l’ethnocentrisme européen, on peut parler :

- De la génération d’anthropologues et biologistes de Juifs américains de gauche tels que Boas, Montagu, Lewontin, Gould, etc. qui ont nié les différences raciales, surtout en terme d’intelligence. Les deux derniers seront notamment particulièrement décriés par leurs pairs pour leurs biais scientifiques dus à leurs visions politiques, et leur propension à voir du fascisme et du nazisme un peu partout.

- Des penseurs de l’école marxiste de Francfort, très majoritairement remplie de Juifs : Marcuse, Levinas, Horkheimer, Adorno… Ce dernier publiera en 1950 avec d’autres Juifs un livre nommé “La personnalité autoritaire”, où il estime que si elle n’y prend pas garde,
toute personne risque de développer “un syndrome autoritaire” et de se tourner vers des régimes fascistes, anti-démocratiques, et intolérant envers les minorités ethniques. Il définit également l’ethnocentrisme comme étant exclusivement négatif (c’est à dire préjudiciable pour les autres groupes), et surtout pathologique : c’est le résultat du syndrome autoritaire et certainement pas de l’évolution.

- A l’aube de la Seconde guerre mondiale, le philosophe Bergson et le scientifique Karl Popper, tous les deux Juifs, prônent la “société ouverte” : société anti-autoritaire, multiculturelle, pluraliste, individualiste. Soros, d’origine juive hongroise, reprendra ce nom pour son association mondialiste.

- Aux Etats-Unis, les principales associations historiquement anti-racistes, prenant la défense des “peuples de couleur” et prônant l’égalité entre races, telles que la NAACP, l’ADL, le SPLC, ont été et sont de manière très disproportionnée fondées et dirigées par des Juifs, comme l'affirment eux même nombre d’historiens juifs, tels que Howard Sachar. [25]

Le phénomène est similaire en France avec des associations telles que SOS Racisme, la Licra, le MRAP, etc.

On pourrait également parler de la psychanalyse ou des révolutions bolchéviques à travers l’Europe.

Il semble extrêmement plausible que l’implication et la grande surreprésentation de Juifs dans les mouvements intellectuels et politiques de gauche au XXème siècle constituent une stratégie évolutive de groupe, qui par nature entre en conflit avec celle des Européens. [26]

Notons enfin que la grande majorité des immigrés venus ces dernières décennies dans les pays occidentaux, ou qui sont en voie d’y entrer, sont membres de groupes ethnocentristes, collectivistes, de type tribal ou/et clanique : Arabes, Africains subsahariens, Maghrébins, etc. En ce sens, ils ont intérêt à participer au renversement du paradigme ethnocentrique européen, en se servant de la punition altruiste européenne : Beaucoup de ces immigrés parlent sans cesse de l’esclavage, de la colonisation, de l’apartheid, de la ségrégation raciale, pour culpabiliser les Européens. Bien sûr, ces maux ne sont condamnés qu’autant que les Blancs l’ont fait.

En France, la loi Taubira disposant que l’esclavage était un crime contre l’humanité n’évoque que «la traite négrière transatlantique ainsi que la traite dans l'océan Indien d'une part, et l'esclavage d'autre part, perpétrés à partir du XVe siècle, aux Amériques et aux Caraïbes, dans l'océan Indien et en Europe». La traite intra-africaine et surtout arabo-musulmane sont oubliées. Il ne faudrait pas en effet que “les jeunes Arabes” aient à “ porter sur leur dos tout le poids de l'héritage des méfaits des Arabes” [27].

La traite des Blanches n’est pas traitée dans les livres d’histoire et les documentaires télévisuels, ainsi que les conquêtes ottomanes ou les invasions arabo-musulmanes au Moyen-Age. El-Andalus est discuté seulement de manière méliorative, devenant un âge d’or culturel et une société multiculturelle pacifique, etc.

En définitive, la cohabitation de groupes collectivistes fortement ethnocentristes avec des populations individualistes hautement moralistes et modérément ethnocentristes fait que la compétition inter-groupe s’exerce fortement et que les groupes les plus ethnocentristes ont intérêt à s’appuyer sur la morale égalitaire et auto-punitive des peuples individualistes pour les faire culpabiliser et faire baisser leur niveau d’ethnocentrisme positif et négatif afin de faire triompher leur propre ethnocentrisme et in fine, d’étendre leur influence. Il s’agit ici d’une stratégie évolutionnaire de groupe basique.

Citons là encore Kévin Mac Donald qui résume fort bien la stratégie : “[Les Européens] montrent de haut niveaux de coopération avec les étrangers plutôt qu’avec les membres de la famille étendue, et ils sont portés aux relations de marché et à l’individualisme. Cela suggère la fascinante possibilité qu’une stratégie clé pour un quelconque groupe ayant pour intention de retourner les Européens contre eux-mêmes serait de stimuler leur forte tendance au châtiment altruiste en les convainquant de la culpabilité morale de leur propre peuple”.[28]

Le phénomène de gauchistes Blancs militant férocement contre l’ethnocentrisme blanc s’explique quant à lui aussi partiellement par des mutations génétiques, que l’on observera plus bas.

3. Prédispositions génétiques à l'individualisme :

Kevin Mac Donald, grand spécialiste de la psychologie évolutive de groupe, soutient que les Européens sont la population de loin la plus individualiste, et ce, pour des raisons largement génétiques. Certains peuples européens sont encore plus individualistes que d'autres (les Scandinaves, notamment les Suédois, puis en moindre mesure, les Baltes), cela étant du à la plus grande prévalence dans leur génome de gènes provenant des chasseurs-cueilleurs de l'Ouest (peuple européen autochtone) et Indo-Européens (peuple nomade venu des steppes pontiques et ayant conquis l'Europe), eux mêmes étant individualistes, tandis que les fermiers anatoliens, autre population autochtone, étaient eux moins individualistes( son génome se retrouve aujourd'hui principalement dans les populations blanches du pourtour méditerranéen). [9]

Appliquant la théorie de l'histoire de vie plutôt-K des Européens, Mc Donald affirme que ceux-ci auraient eu assez tôt besoin de rencontrer d'autres groupes afin d'accéder à des ressources peu facilement accessibles de manière stable et permanente, à cause des longues périodes de froid et du manque d'abondance de ressources locales immédiatement consommables. Les groupes humains pour aller récolter de la nourriture étaient également trop peu nombreux pour amasser suffisamment de ressources, nécessitant d’autant plus le contact inter-groupe. Étant habitués aux contacts inter-groupes pour acquérir/échanger des ressources, ils auraient développé un ethnocentrisme négatif modérément bas par rapport aux autres races. Avec de telles dispositions génétiques, puis le développement du commerce et de l'urbanisation, les Européens auraient été habitués à échanger/marchander/ et tout simplement vivre avec d'autres groupes toujours plus éloignés géographiquement et au niveau de la parenté génétique (de famille à tribu, puis de tribu à clan puis de clan à peuple, etc.), dans des sociétés toujours plus denses, et inter-groupes. Cela aurait d'autant plus fait baisser leur niveau d'ethnocentrisme négatif, les exogroupes n'étant pas forcément perçus comme hostiles, menaçants, indignes de confiance, etc.[10]

Kévin Mac Donald affirme que le modèle européen est individualiste : aristocratique chez les indos-européens, égalitaire chez les chasseurs-cueilleurs de l'Ouest.

Dans les deux cas, l'homme ne doit pas être bridé par la communauté pour ses choix de vie (mariage, métier, etc.), qui restent purement individuels, mais est jugé par "des communautés morales" : la réputation d'une personne se fonde alors sur le respect par elle de la moralité commune, partagée par la société. Il faut que la morale individuelle se confonde à la morale commune.

Les Européens ont une conception universelle des valeurs telles que la justice, la morale, etc : une chose est juste ou morale en soi, elle n'est pas juste ou morale en fonction de si cela touche tel groupe ou un autre, là où d'autres races diront d'une même chose qu'elle est morale si elle bénéficie à leur propre groupe et immorale si elle le défavorise, quand bien même il s'agit de la même chose dans les deux cas. [11]

"Les communautés morales sont les résultats autochtones de la culture occidentale, de la même façon que les clans fondées sur la parenté génétique, le mariage consanguin, l'enlèvement des femmes, et les harems pour les élites masculines sont les produits des populations du Moyen-Orient. Mon opinion est que les communautés morales observées aux origines de l'histoire occidentale et refaisant fréquemment surface ces derniers siècles sont fondées sur une tendance préexistante parmi les personnes individualistes de créer de tel communautés comme force de cohésion qui ne repose pas sur les relations de parenté génétique". [12]

La conséquence directe de cet individualisme est que tous les peuples européens ont massivement opté pour un modèle monogamique : le mariage est décidé par l'individu, plutôt que par le clan. Les Européens privilégient donc, pour leur reproduction individuelle, leurs intérêts individuels aux intérêts de parentèle étendue, la sélection sexuelle se fait alors sur la base de traits physiques attirants et de traits de personnalité positifs pour les couples mariés, et non pas sur ce qui est perçu comme bon par cette parentèle étendue. L’amour est fondamentalement la base des relations maritales européennes[13], ce qui n’est pas le cas dans les peuples collectivistes/claniques, qui instaurent le système de dot, d’harems, d’époux désignés par les parents/grand-parents, de mariages arrangés voire forcés, etc. Les liens émotionnels et relationnels entre époux et entre les parents et leurs enfants sont bien plus forts que dans des sociétés collectivistes, tribales, claniques, polygames, qui privilégient les liens relationnels forts avec la parenté plus éloignée.

Il est à noter que les Scandinaves, et particulièrement les Suédois, sont les Européens qui ont le plus de génome venant des chasseurs cueilleurs de l'Ouest, et qu'ils sont les Européens les plus individualistes : les membres d'une famille, même proche, créent peu de lien, et s'attendent à ce que chacun soit indépendant et autonome (les enfants quittent tôt le foyer familial, les grands-parents sont très indépendants, pas de solidarité alimentaire des enfants pour leurs parents, pas de notion d'imposition commune entre époux, etc.)[14]

L’individualisme modéré des Européens fait qu'ils ont moins le sentiment que chez d'autres groupes raciaux de faire partie d'un ensemble communautaire ayant à défendre des intérêts collectifs. La communauté morale est le seul facteur de cohésion autre que celle entretenue par les liens de parenté proche.

Aujourd'hui, cela défavorise toute entreprise communautaire identitaire blanche, et favorise l'adhésion, au moins en surface, à la morale commune actuelle, évidemment anti-ethnocentrisme Blanc.

II. Cause récentes :

1. L'absence de stress et la possibilité du "trade-off" :

La société de consommation actuelle, la société moderne occidentale, proposent un standard de vie jamais connu jusqu'alors par un Européen. L'espérance de vie est très haute, la mortalité infantile quasi inexistante, les famines ont disparues, les maladies qui autrefois nous terrassaient sont facilement guéries, les guerres sont un lointain souvenir. Ainsi, nous avons un niveau de stress extrêmement bas, car il y a très peu de choses qui risquent de nous tuer de manière brutale, d’empêcher notre succès reproductif.
Or, en situation de forte stress, nous réagissons sur des bases beaucoup plus instinctives, primitives. Les hormones et le cerveau reptilien sont activés. On agit inconsciemment pour nos intérêts génétiques, en premier lieu nous-même, par instinct de survie, si l'on est personnellement attaqué, et en second pour notre groupes apparentés, s’ils sont menacés.
Il y a des corrélations positives démontrées entre la peur de mourir et la volonté de se sacrifier pour le bien du groupe auquel on s'identifie : [15]

Le manque de stress fait que l'on peut se permettre de privilégier nos intérêts personnels plutôt que notre intérêt génétique de groupe, car l'on veut pouvoir profiter du système actuel, nous offrant un tel niveau de confort.
Bien que conscients des problèmes que l'immigration cause génétiquement sur notre parentèle, on se dit que cela reste du long terme, et que la menace de l'ostracisme social, de la persécution judiciaire, de l'attaque physique, vont à l'encontre de nos intérêts personnels, familiaux, etc, de manière immédiate.

Ajoutons que le QI étant à grand minima 50% héritable, et étant le meilleur facteur de prédiction du statut socio-économique, les personnes ayant un statut socio-économique élevé ont de grandes chances d’être intelligentes, donc de maîtriser les normes sociales implicites et donc de connaître les bénéfices de ne pas être perçus comme étant “racistes” dans une société pro-multiculturalisme.[16]. Leurs salaires relativement élevés, attendus du fait de leur statut social et intelligence,[17] leur permettront de surcroît d’avoir assez de moyens pour vivre dans des zones ethniquement peu diversifiées.

Il faut bien comprendre que les gens peuvent très bien être rationnels sur les méfaits de l'immigration, tout en la prônant eux-mêmes. Pour se sentir moralement juste, ils sont même prêts à s'auto-convaincre qu’ils ne sont en aucun cas ethnocentristes.

Autrement dit, les Européens font actuellement un "trade-off", un compromis socio-biologique : ce que je perds en intérêt génétique global à plus ou moins long terme, je le gagne en intérêt social immédiat : la tranquillité de vie relative que m'offre le fait de me dire anti-raciste et ouvert, versus les nombreuses difficultés qui m'attendent si je me dis nationaliste.

L'individualisme, la société atomisée, le besoin viscéral des Blancs de se sentir faire un acte estimé moralement bon en soi facilitent évidemment ce compromis.

Causes du faible niveau d'ethnocentrisme actuel des Européens :

I. Causes génétiques relativement anciennes

1. Fonds génétique plus large que chez les autres races :

Les Européens ont une variété génétique inter-groupe bien plus grande que chez les autres races. En comparaison, les Asiatiques du Sud-Est ont eux un faible fonds génétique.

Cela est due à une écologie moins dure en Europe qu'en Asie, de sorte que la compétition intra-groupe pour l’accès aux ressources est moins forte, de même que la pression sélective, les individus n’ayant pas à être parfaitement adaptés à l’environnement pour survivre.
De façon concrète, cette variété plus large veut dire qu'un Anglais est moins proche génétiquement parlant d'un autre Anglais pris au hasard que ne l'est un Chinois par rapport à un autre Chinois pris au hasard.

Les populations à haute variabilité génétique ayant une distance génétique plus large de ses membres que les populations avec un fonds génétique plus petit, les premières verront d’un moins mauvais oeil une interaction avec un exogroupe, car ayant une grande variété génétique, les dégâts que pourraient lui porter l’exogroupe seraient moins graves. Les Européens ont donc en cela un ethnocentrisme négatif moindre.

En comparaison, un groupe moins divers génétiquement qu'un autre serait plus ethnocentriste que ce dernier, car les gens du premier groupe étant plus liés génétiquement, l'altruisme inter-groupe paye plus en terme "d'inclusive fitness" que pour des gens moins liés génétiquement. Autrement dit, un exogroupe a plus de chances de causer un dommage préjudiciable à tel groupe d'autant qu'il en est éloigné génétiquement. Le groupe menacé développerait alors un ethnocentrisme négatif plus fort, par protection.

Frank Salter en déduit dans son livre "On genetic interests" que l'immigration représente un danger pour les intérêts génétiques d'un peuple d'autant que les immigrés sont éloignés génétiquement du peuple en question. Il y a notamment démontré par des calculs que l’interaction génétique, même superficielle, de Danois avec des Anglais a des conséquences réelles sur l’inclusive fitness du génome anglais. Si ce ne sont plus des Danois mais des Zoulous, et qu’ils ne sont plus résiduels mais nombreux, les conséquences deviennent catastrophiques.

2. Histoire de vie et traits du Big Five spécifiques

Bien qu'il n'y ait pas de gènes de l'ethnocentrisme ni des traits de personnalité spécifiquement ethnocentristes, certains traits comportementaux européens selon ceux tirés du modèle du Big Five induisent un ethnocentrisme modéré, voire faible :

Haut niveau global d'ouverture (ouverture aux nouvelles choses, aux nouveaux concepts, pas de peur de l'inconnu, capacité créative, goût pour le changement) et de conscienciosité (respect de la loi, et des normes sociales). Les Européens intègrent de façon morale les normes sociales, trait spécifique que l'on développera plus tard. Les normes sociales actuelles étant résolument pro-diversité, pro-multiculturalisme, il en résulte que les Blancs ont intégré le principe de ne surtout pas porter préjudice aux autres groupes ethniques/raciaux[7]. Leur haut niveau d'ouverture prédit une certaine curiosité pour les choses exotiques, les cultures étrangères, etc.

Les Européens ont également un faible niveau de neuroticisme (fait de ressentir fortement les émotions négatives), de sorte que toute expérience négative due à la confrontation avec un groupe extérieur a plus de chances d'être perçue comme moins grave qu'elle ne l'est en réalité, voire d'être oubliée.

Ces spécificités sont liées à l'histoire de vie plutôt lente des Européens. Théorisée par Philipp Rushton dans son fameux livre "Race, évolution et comportement" publiée en 1995, l'histoire de vie est liée à une stratégie reproductive de groupe qui diffère selon le milieu dans lequel ce groupe évolue. L'histoire de vie sera lente chez les groupes qui vivent dans un environnement dur mais stable, et rapide chez les groupes qui vivent dans un environnement opulent mais instable. Pour les premiers groupes, ils auront une stratégie reproductive particulière, dite -K : ils ne chercheront pas à faire un maximum d'enfants mais à prendre soin de leur progéniture, tandis que les seconds auront une stratégie reproductive -r : ils chercheront à en faire un maximum, le plus rapidement possible, mais ils s'en occuperont peu, ne mettront pas un maximum de ressources pour leur développement, etc.
L'environnement dur sélectionnera les individus intelligents car il faut des capacités cognitives fortes pour résoudre les difficultés induites par un tel environnement : ressources difficilement accessibles, rares, climat dangereux, reliefs difficiles, etc.
L'environnement stable sélectionnera es individus les plus coopératifs, altruistes, conscients des normes sociales explicites et implicites, car étant stable, il peut être prévisible, de sorte que le fait de coopérer pour chercher ensemble des moyens à long terme de lutter contre l'environnement difficile paye : ne risquant pas de mourir à tout moment, les membres du groupe peuvent se permettent d'être altruiste, coopératif, car cela ne risque pas de compromettre leurs chances de survie et donc leurs intérêts génétiques.
De tels traits comportementaux ont été sélectionnés pour les Européens du fait de plusieurs éléments : hivers très rudes et prolongés, révolution de l'agriculture au Néolithique (amenant à une sédentarisation, et donc à des ressources qui doivent être stables et locales, et protégés de groupes extérieurs, nécessitant des tactiques demandant une plus grande intelligence. La révolution néolithique a par ailleurs accéléré grandement l’évolution.[8]), sociétés de plus en plus densifiées et complexes nécessitant un haut niveau d'intelligence émotionnelle et sociale pour savoir se comporter en société, une plus grande spécialisation, etc.
Il s'ensuit que les Européens sont globalement altruistes, coopératifs, confiants et ouverts pour leur groupe comme pour des exogroupes, des étrangers. Cela traduit un ethnocentrisme relativement positif mais un ethnocentrisme négatif relativement faible.

Ce topic a pour but d'analyser et de comprendre les causes du faible niveau d'ethnocentrisme actuel des Européens. Il sera ensuite question de savoir s’il existe des moyens pour augmenter ce niveau d’ethnocentrisme, et si oui, comment.

Pour rester dans le sujet, et par simplification, je ne développerai pas trop tous les concepts présentés et ne parlerai pas outre mesure des différences d'ethnocentrisme entre les races et au sein même des différentes populations européennes, afin de dresser un portrait global.

Introduisons maintenant le propos en définissant ce qu'est l'ethnocentrisme et en quoi il est naturel.

L'ethnocentrisme est la vision qu'a un groupe de lui-même par rapport aux autres groupes. Plus spécifiquement, le groupe est auto-centré, et les groupes extérieurs sont considérés et évalués par rapport à lui-même.

Il peut être positif (le groupe se perçoit positivement, est satisfait de son mode de vie, de son histoire, de sa mentalité, etc.; il est fier d'y appartenir, il estime avoir un haut sens moral, etc.) et négatif : (les groupes extérieurs sont perçus comme hostiles, dangereux pour notre groupe, ils sont estimés inférieurs, nous sommes prêts à nous battre pour nous en protéger, etc.).

L'ethnocentrisme est un moyen supplémentaire de passer ses gènes, instinct évolutionnaire élémentaire chez tout être vivant, car chaque être vivant veut par nature se reproduire.

Le moyen le plus simple de passer ses gènes est évidemment la reproduction individuelle ("reproductive fitness") mais cela peut avoir également lieu de manière indirecte par une aide apportée à la reproduction du groupe, même si cela doit passer par la non reproduction individuelle. Dans la mesure où notre parentèle comporte un certain nombre de nos propres gènes, l'altruisme intra-groupe peut favoriser le succès révolutionnaire de l'individu si la parentèle survit et se reproduit. Ce concept d'altruisme pour le succès reproductif du groupe, pouvant aller jusqu'au sacrifice de sa reproduction individuelle est dénommé "inclusive fitness".

Philipp Rushton, spécialiste de l’intelligence et de l’évolution anthropologique a étendu ce concept en affirmant que les individus sont plus altruistes, empathiques, et coopératifs avec des personnes qui leur sont génétiquement similaires, et que "les individus génétiquement similaires tendent à se chercher et à constituer des environnements propices au soutien mutuel tels que le mariage, les amitiés, et les groupes sociaux.". C’est la théorie de la “similarité génétique”.

De nombreuses études sont allées en ce sens : Des époux ont une plus grande similarité des traits génétiques les plus héréditaires que deux individus pris au hasard, de même des couples ont un groupe sanguin plus similaire que des individus pris au hasard. [2] Les amis ont plus de chances de nous être similaire génétiquement qu'une personne prise au hasard. Les parents ayant perdu un enfant avaient un deuil plus marqué quand l'enfant leur ressemblait plus physiquement [3]. Une étude récente a montré que cette attraction pour les gens plus proches génétiquement de nous s’étendait aux groupes ethniques. [4]

L'ethnocentrisme apparaît donc comme un facteur de la sélection de groupe et donc, un moyen de protéger ses intérêts génétiques.

Van Berghe a développé le concept d’ “inclusive fitness”en affirmant que les humains ont évolué pour se sacrifier si besoin pour les intérêts génétiques de la parenté proche(famille, tribu, clan), mais également pour ceux de la parenté étendue, autrement dit l’ethnie et la race : “les sentiments raciaux et ethniques sont une extension des sentiments de parenté, [...] et l’ethnocentrisme et le racisme, des formes étendues de népotisme”. [5] Il affirme également que la parenté génétique entre deux personnes de même ethnie est suffisamment grande pour justifier le coût de l’acte altruiste, ce que prouvera également Frank Salter plus tard par des calculs. [6]