Tout est fait sur place
Le travail de produits exclusivement frais. Les nombreux légumes frais, lavés puis découpés sur place
Ils utilisent des thermomètres pour contrôler la cuisson des aliments à chaque étape
Les cuisines neuves et propres
Daurade avec sauce Yuzu Miso, bordel on se croirait dans un restaurant de bourgeois rue Saint Anne avec 35€ le menu
Tout est frais, le poisson frit sur place, le citron Yuzu pressé sur place etc...
Repas d'un enfant de primaire au Japon :
Riz, Daurade, Soupe Chanko, Kinpira bardane et ce qui ressemble être un yaourt
Ca fait du poisson, de la viande, et au moins 6 légumes différents frais, le tout préparé sur place dans des Yoks géants
En France : tout est surgelé, préparé à des kilomètres la veille dans le meilleur des cas
Putain j'ai le souvenir que même les tomates en entrée étaient surgelées et gelées
"Les prix doivent être abusés"
https://youtu.be/j9xYsUPoQVs?t=690
33-38$ par MOIS bordel
Les MEUFS
https://img-9gag-fun.9cache.com/photo/aZ0EvQW_460svvp9.webm
Aucun problème de délinquance, des potes, des bonnes petites chattes serré, une vie intra et extrascolaire intéressant. Et ça ne se passe pas en France
https://webmshare.com/play/jxYyO
École française harcèlement, violences, niveau catastrophique, infrastructures éclaté, 0 vie intra scolaire. Chaud ça se passe en France
L'amour au Japon au lycée ------------------>
Toi ---------------------------------> https://streamable.com/jmumng même pas elle te donne l'heure
En France : Ne branle rien et se prend pour une princesse à vampiriser ton salaire
Au Japon : Femme au foyer adorable, intelligente, fertile et travailleuse
J'écrit France Lycée sur Youtube, dernière 24h en filtre :
Résultat :
Maintenant Japan Highschool
Dans l'un des deux pays il y'a 40% d'impots sur le salaire, devinerez vous lequel ?
La vie de couple austère et fade d'un couple japonais qui ne baise plus et qui est donc malheureux à cause du chiard qui prend toute la place et qui oppresse la mère de famille en l'obligeant à rester femme au foyer
Occidentale épanouie qui a priorisé sa carrière et est devenu une strong & dynamic woman https://youtu.be/HhjLXe0Xwqs?t=149
Ces uniformes fascistes ça fait froid dans le dos
INTER-LYCEE : FRANCE vs JAPON
Japon
France
Musique d'ambiance:
Le capitaine, gardien de l'honneur et de la réputation de son lycée, prend la pose du samouraï au repos avant la confrontation fatidique. Son assaillant et lui, tous deux et dans un seul mouvement, tenteront d'en finir en un coup sans qu'il n ' y ait de seconde chance
En effet, et il le sait, le japon le regarde, ses camarades le regardent. Et ce brassard qu'il porte au bras gauche, d'un jaune profond, pèse en ce moment même tout l'incalculable poids des sentiments d'Aomori Yamada, son lycée bien aimé. Son adversaire lui fait face prêt à transpercer sa garde. L'homme en noir, couleur du deuil, solennel, se tient de façon martiale, saluant le courage de ces deux lycéens devenus hommes
Notre Gardien n'est pas seul dans son anxiété, le vil félon rouge n'est pas en reste. "Qu'est ce qu'elle pèse lourd" doit il penser. Cette balle, celle là même, qui, sa jeunesse durant, il prenait un plaisir innocent à frapper sans retenue, lui parait à présent prendre l'allure du boulet du forçat. Ce n'est plus le ballon de ses jours heureux, il galérien restreint par son enclume métallique, son destin est lié à ce ballon qui s'envolerait volontiers si l'on ne prenait garde a bien le négocier
Le moment fatidique approche, tel le direct descendant de l'ancestrale lignée des guerriers samouraïs, le jeune Gardien d'Aomori Yamada, emplit ses poumons de bravoure, pour surmonter sa fébrilité, il hurle se mantra hérité des plus valeureux combattants de l'archipel, "KOOOOÎ! " "Viens!" L'atmosphère pesante, étouffante est pourfendue par cette injonction virile et foudroyante, le félon rouge ne peut plus reculer face à ce coup de tonnerre, le code d'honneur du guerrier samouraï ne saurait pardonner un tel affront qu'au prix d'un hara kiri réalisé prestement
La tension est à son comble et les Waifu inondent le stade de tous leur orifices, en même temps qu'elles passent par tous les états !
Quel sera le dénouement SHONENESQUE de ce face à face 100% IRL dans le Pays de OLIVENT & TOMENT?
Les commerçants du quartier qui sponsorisent ton équipe
La boulangerie qui mets une affiche "Samedi a 17h, tous derrière le lycée Tokonda !"
Le bus cotisé par les élèves, les parents et les vieux du tieks pour venir vous voir à la finale régionale
Kenji qui met un but a la 89eme pour le pauvre Nobi qui s'est blessé au match précédent pour sauver l'équipe
Le retour en héros le lundi à l'école
Les terminales qui jouent leur vie
"C'est notre dernière chance de ramener la coupe au lycée Tokonda..."
So Nazi
en COMPARAISON au CAUCHEMARD de TA VIE POURRIE en FRANCE
Ta vie au lycée en FRONCE : https://issoutv.com/videos/is-6364520b6a3db
https://issoutv.com/videos/is-636451d9429b5
https://issoutv.com/videos/is-6130c4fa65543
Leur vie au lycée en NIPPONIE
https://img-9gag-fun.9cache.com/photo/aZ0EvQW_460svvp9.webm
https://www.youtube.com/watch?time_continue=10&v=9qp6YdSKtPo&feature=emb_title
https://streamja.com/vEL9b
Polala quelle ambiance par les shabs de la classe
L'horreur... heureusement qu'on France on cultive l'esprit libre. Bon en contrapartie on plonge dans la misere absolue mais au moins on evite le fascisme
"Ouin ouin le Japon c'est loin d'être idéal hein"
"Bah vas y l'op si c'est si bien que ça"
"Ouais mais ils sont vieux ils font plus de gosses le pays est foutu"
"Au moins en France on est libre de penser, et pas formatés"
🎌 JAPON 🎌 Les LYCEENS CONFINES pour SAUVER les BOOMERS
Et Non les Shills, pendant que tu es masqué, piqué, pucé, confiné
Un commentaire ?
Chaud le disrespect des gestes sanitoriaux
Mais qui va protéger les BOOMERS NIPPONENT ?
Comment oses t'il faire jouer de vulgaires pouce ballon mineurs dans un stade olympique blindax de monde pendant que les Boomers risquent leur vie en sortant
Vous pensez quoi des équipement dispo à la scuela ? https://youtu.be/OWkos3KHjpY?t=509
Pourquoi ils sont pas masqués ces égoistes ? Pourquoi le japon décide de sacrifier ses Boomers
https://www.20minutes.fr/sport/3100299-20210810-jo-eps-tweet-jean-michel-blanquer-moque-sportifs-francais
Au NIPPONENT les PETITES MAMIES viennent VOIR les LYCEENS VAINQUEUR du TOURNOI NATIONAL et les féliciter
En France les petites BOOMEUSES viennent cracher sur les immondes lycéens qui ne mettent pas de masque en classe
Eux VivENT la SHONEN LIFE pendant que toi tu pourris dans ta covid life
https://twitter.com/Pierre_GTIL/status/1484659866438455298/video/1
Le 29 avril 2023 à 12:55:25 :
no commenthttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/14/6/1649458657-risitas-big-smile-sticker.png
C'est factuel
Les coachs vont même jusqu'à dormir dans le même lit que leur boxeur pour s'assurer qu'il irait pas se branler en screed
Le 29 avril 2023 à 12:11:40 :
Cerebrolysin = traitement initialement utilisé pour les traumatismes crâniens, AVC etc.Peu onéreux, excellent profil de sûreté, sourcée facilement/administrable en clinique privé. Il s’agit probablement d’une des meilleures solutions pour aider à « réparer » les cerveaux atteints par l’alcool, la drogue, les conçussions répétées et toutes les circonstances qui peuvent nuire à votre cerveau sur le longs termes.
Évidemment je ne suis pas médecin tout ceci est à titre d’informations et si traitement il y a il doit être absolument supervisé par des professionnels de la santé
dis en plus
Je pleure souvent de ne pas être né au japon en regardant la vie de lycée japonaise
un pays misérable et des habitants exécrable
en COMPARAISON au CAUCHEMARD de TA VIE POURRIE en FRANCE où c'est la fin de l'insouciance
Ta vie au lycée en FRONCE : https://issoutv.com/videos/is-6364520b6a3db
https://issoutv.com/videos/is-636451d9429b5
https://issoutv.com/videos/is-6130c4fa65543
Leur vie au lycée en NIPPONIE
https://img-9gag-fun.9cache.com/photo/aZ0EvQW_460svvp9.webm
https://www.youtube.com/watch?time_continue=10&v=9qp6YdSKtPo&feature=emb_title
https://streamja.com/vEL9b
Polala quelle ambiance par les shabs de la classe
Le 29 avril 2023 à 12:00:04 :
Lampe à lumière naturellehttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png
Y'avait un délire avec la fréquence
Oui, telle est mon histoire. Paris, la ville des lumières, la ville de l'amour, la ville de la culture, la ville de la mode. Tant de clichés pour décrire cette ville qui semble attirer tant de gens. Pourtant, pour moi, Paris est devenue la ville de la mort, la ville de la folie, la ville de la désolation. Depuis que je suis venu ici pour poursuivre mes études, ma vie a pris une tournure sombre et sinistre. J'ai perdu toute joie de vivre, toute énergie, toute passion. Je suis devenu un être vide, brisé, consumé par la douleur.
Tout commence dès que je descends les escaliers pour prendre le métro. Le vertige cognitif me saisit, les masses marchent de façon automatique, la mort dans l'âme. Les odeurs de pisse fermentée m'envahissent, la foule me presse, les panneaux publicitaires me crient des messages de consommation effrénée. Tout cela crée en moi un sentiment de dystopie, un sentiment de cancer. La vie en IDF n'a pas d'autre but que de fracasser la santé mentale des hommes.
Pourtant, je ne suis pas un être fragile. Avant de venir ici, j'étais normal, sociable, avec un hippocampe et un cortex préfrontal sans doute dans la moyenne. Mais depuis que je suis à Paris, je me suis transformé en un être paresseux et effrayé, hanté par la mentalité des gens, l'immobilier, la mixité culturelle et l'insécurité.
Je ne peux plus sortir sans être pris de panique, sans me sentir agressé par les clodos, sans subir les micro-agressions répétitives. Je suis un serf dans cette ville féodale, un esclave du système capitaliste qui m'a pris mon âme et mon identité.
Chaque jour, je suis pris dans une routine aliénante : trois heures de transport par jour, un boulot qui ne me procure aucune satisfaction, une pause déjeuner qui ne suffit pas à me ressourcer, un retour chez moi tard le soir. Je suis épuisé, déprimé, en colère. Je crie dans ma chambre, j'ai des accès de rage, je rêve de tout détruire.
Pourtant, je ne peux pas partir, je suis piégé ici. Je suis en proie à une force obscure, une aura perverse qui m'est sensible mais pas intelligible. J'ai exploré toutes les hypothèses, de la psychologie à la parapsychologie en passant par l'axiologie, mais rien ne peut expliquer ce phénomène.
Je suis condamné à vivre dans cette ville de malade, à subir la vie en cage parisienne, à perdre peu à peu toute humanité. Je ne peux que crier ma douleur, ma haine, ma tristesse. La vie n'a plus de sens pour moi, je suis déjà mort'ent.
L'alarme stridente de son téléphone le sortit impitoyablement de sa douce torpeur, son unique refuge. Invariablement, le programme millimétré de l'horloge intégrée profanait l'anéantissement de soi que le sommeil offrait à l'homme brisé.
Dans un réflexe pavlovien, il se réveilla apeuré, comme pris en flagrant délit, criminel oisif. Cette stimulation avait été incorporée à son être à force d'un usage répété et incessant, violant son esprit et sa volonté. Ce que cela annonçait n'était que vide et désintérêt.
Dès qu'il prenait conscience au petit matin, l'homme au réveil luttait, sa conscience à peine émergente, contre la rage folle envers ce que représentait ce rituel d'aliénation douloureuse du temps dans son existence.
L'homme au réveil se lève difficilement de son lit, encore groggy et engourdi par le sommeil. Il se dirige vers la salle de bain pour se rafraîchir le visage et se réveiller complètement. Il se regarde dans le miroir et ne reconnaît plus l'homme qu'il voit. Les cernes sous ses yeux témoignent des nuits sans sommeil qu'il a endurées. Ses épaules sont affaissées, son dos est courbé sous le poids de la fatigue et du stress.
Le réveil sonne strident, perçant l'air empuanti d'une ville putride. Rifson, tel est son nom, se lève, effleuré par la conscience qu'il n'aura aucun répit. Il sait déjà qu'il est en sursis, enchaîné à une routine absurde, emprisonné dans une ville qui n'est plus que l'ombre de ce qu'elle était. Paris est désormais un lieu sinistre, un champ de bataille où les vaincus sont les civils. Les trottoirs, auparavant pavés de rêves et d'espoir, sont maintenant jonchés de détritus et d'excréments. Les rues sont des rivières de sang, de crasse et de sueur. Les commerces sont des boutiques de misère, où les riches s'enrichissent et les pauvres se perdent. Les logements sont des taudis insalubres où la vie n'a plus aucune valeur.
Depuis que qu'il est arrivé dans cette ville, il a plongé dans un abîme de désespoir. Les rues de Paris sont envahies par une foule bruyante et agressive, qui l'a submergé dès son premier jour ici. Les études sont tout aussi insupportables. Il se sent comme un singe en manque de dopamine, qui passe ses journées à se masturber pour échapper à la réalité de ce monde de merde. La dissonance entre son être et ses études sans intérêt est insupportable, et il ne peux s'empêcher de penser que la seule façon de s'en sortir est de se suicider.
Les ondes négatives émanant de cette ville l'étouffent, l'oppressent, le tirent vers le bas. Il est pris dans un égrégore maléfique et avilissant qui l'oblige à devenir un golem, un petit soldat du capital. Il est un pur aliéné mental dont l'existence sert à légitimer le système d'oppression capitaliste.
Ses études sont insensées, elles ne peuvent être menées à bien qu'en étant un pur aliéné mental. sa souffrance n'est que le résultat de la confrontation entre son être entier et ses études bullshit. La vie est trop courte pour être gâchée de cette manière. Et pourtant... Boomers de merdes.
Il souffre énormément de sa vie près de Paris. Depuis qu'il a posé ses pieds dans cette ville, son état mental n'a fait qu'empirer. Il se sent de plus en plus malade, Rifson était en train de perdre la tête.Il n'est pas fragile, mais Paris est comme un virus qui infecte tout ce qui s'approche de lui. Depuis qu'il y était, il a développé des comportements malsains, des addictions et des vices.
Il s'est mis à chercher des explications, et a fini par découvrir l'article de John Calhoun sur le "Squared death". Il pensa que c'est exactement ce dont il souffrait. Mais ce n'est pas suffisant pour expliquer la profondeur de son malaise. Il a commencé à explorer la parapsychologie et a découvert l'existence d'un égrégore massif à Paris. Il y a quelque chose de pervers dans cette ville, quelque chose qui se nourrit de notre énergie et de notre vitalité.
Mais ce n'est pas tout. Paris détruit tout ce qui est bon et noble en lui. Les valeurs qui étaient au cœur de son identité ont été complètement balayées par l'atmosphère toxique de cette ville. Il est devenu une coquille vide, un zombie qui erre dans les rues de Paris en quête de quelque chose qui n'existe plus.
Et même lorsque il parvient à s'échapper de cette ville maudite, il ne peux pas retrouver ma santé mentale. Les effets positifs sont de courte durée et la réalité de Paris le rattrape toujours. Les transports en commun sont une source de stress constante, tout comme l'atmosphère oppressante et la pression sociale pour réussir dans la vie.
Le golem de Banlieue avait perdu tout sens critique et toute volonté de changer sa situation. Il avait vendu son âme à la ville de Paris, laissant son esprit se noyer dans un océan de décadence et de désespoir.
Chaque jour, il descendait les marches de Saint Lazare, devenant de plus en plus aliéné par le rituel satanique qu'il avait adopté. L'odeur d'ammoniac fermenté l'enveloppait, l'enivrant de sa douceur nauséabonde, tandis qu'il était entraîné dans un tourbillon d'émotions négatives.
Le golem avait cessé d'être humain depuis longtemps, et ne voyait plus que la mort comme une issue à sa souffrance. Il criait seul dans sa chambre, se cognait contre les murs, cherchant en vain une échappatoire à sa détresse.
Il avait abandonné toute forme de raison, acceptant son sort de vermine banlieusarde, prisonnier de son propre mode de vie décadent et corrompu. L'égrégore de Paris avait fini par le briser complètement, transformant son corps et son esprit en coquille vide.
Le golem de Banlieue était devenu l'incarnation de la dystopie parisienne, un être perdu dans un monde de misère et de corruption. Il ne restait plus rien de son humanité, juste une créature aliénée qui se traînait chaque jour jusqu'à Saint Lazare pour accomplir son rituel satanique.