Messages de VictimeSolide
C'est chaud.
Comme les grosse folles qui attirent souvent des prédateur ( les fameux beau père des faits divers), j'ai l'impression d'être un mec dans le même cas.
J'ai eu une enfance hors norme on va dire, coupé du monde, parents cas sociaux, père incestueux diagnostiqué sociopathe et complètement ravagé d'après plusieurs expertise judiciaire.
De mes 1 a 8 ans ca a été une violence extrême, j'ai énormément de souvenir terrifiant qui remonte même a mes 2/3 ans.
Le truc, c'est que j'ai déménagé dans toute la france environs 7 fois, et fais une dizaine d'école/collège différent.
J'ai eu une scolarit2é normal, mais en 3e (première année dans un collège de campagne après 4 ans de desco) , c'est la classe où pour la première fois de ma vie je me suis fais extrêmement victimisé. On me traitais de puant, de pauvre (toujours grandis dans la misère), on me lançais des cailloux. Je m'y suis même battu plusieurs fois, j'y'allais la peur au ventre.
Après, au lycée et tout j'était le mec marrant, pas ultra populaire mais j'avais mes groupes de potes.
Le truc, c'est qu'aujourd'hui, j'ai fais ma vie, je suis populaire la ou je taff parce que je suis extrêmement ouvert/accessible/sociable a l'extrème.
Genre, je réconforte/met a l'aise tout les nouveaux, beaucoup m'apprécie pour ça, mais d'autre franchissent très souvent les limites avec moi.
Plusieurs fois, y'a des mecs fraichement arrivé, qui une fois en pause avec tout le monde, se mettent généralement d'un coup a me faire des réflexions blessantes, provoquant un gros blanc/malaise général. Le mec se fais calmé par mes collègues ou par moi ( je réagis en m'énervant sur le mec, et je regrette après j'ai l'impression d'être un connard), mais généralement ce sont mes collègues qui le soulève, et après c'est malaisant avec le mec qui dis plus rien pendant plusieurs mois.
C'est souvent ce schéma la, je met naturellement le mec beaucoup trop a l'aise, et souvent ce sont d'ancienne victime/frustré qui en abuse.
Le jours où vraiment ça a dépassé les bornes, c'est une fois un nouveau un peu génant qui avais du mal a s'intégrer sauf avec moi, je l'avais bien mis en confiance, on était en pause avec les collègue et lui, on rigolais, et comme souvent je prend un peu toute la place dans la conversation, et a un moment, ce collègue frustré ma mis une claque derrière la tête en me disant " t'es con ".
J'était choqué, genre je l'ai poussé, et j'avais un réflexe de vouloir le déglingué tout en me disant " putain mais je fais 50cm de plus que lui, il est fragile timide c'est contre nature ". Entre temps j'ai un de mes collègue qui a commencé a le démarré et je voyais ce mec bégayé j'avais a la fois un seum immense contre lui, et a la fois de la peine de le voir a deux doigts de chialé.
Vraiment ça me détruit, autant je sait que j'ai beaucoup de bon amis qui m'apprécie parce qu'ils se sentent bien avec moi, autant j'ai l'impression d'être extrêmement vulnérable a tout les dégénérés.
Le pire, c'est que je suis névrosé, genre ce gars c'est un peu devenu la victime de la où on taff suite a ça, j'ai toujours le seum contre lui mais toujours une peine immense a l'idée de le voir souffrir ça me rend ouf.
J'ai été voir une psy y'a quelques temps, mais j'ai arrêté parce que déja elle avais l'air d'avoir du mal quand je lui parlais de mon enfance, et ça menais a rien.
Je pige pas, y'a beaucoup de mec la où je taff dans l'informatique, qui on subis pire que moi niveau victimisation dans leur enfance, pourtant ils sont normaux, ils en parlent naturellement parce qu'ils n'ont pas de problème d'égo, mais les frustrés viennent toujours a moi comme un aimant 
Je sait pas ce que vous en pensés, je cogite pas mal dessus, je vois pas comment faire. Désolé du pavé et merci a ceux qui on lu
ps: Comme j'ai dis, ce sont souvent des mecs qui se sont fais victimisé ou autre qui dérape avec moi de ce que je constate.