Le 07 décembre 2023 à 16:05:42 :
ça dépend si c'est un pénis féminin ou nonhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
aimer les bites bien viriles c'est un peu homo si je ne m'abusehttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
Ta en partis raison j’avoue les penis des shemales sont tellement classes ça donne envie de les sucer direct
Le 20 octobre 2023 à 12:53:59 :
Surcoté de fou la C
Pourtant beaucoup sont dedans
Le 20 octobre 2023 à 12:44:06 :
600 mille consommateurs et pas 6 millions
https://www.federationaddiction.fr/actualites/substances/cocaine-et-crack/hausse-de-la-consommation-de-cocaine-en-france-la-federation-addiction-travaille-a-des-reponses-adaptees/
Ça me paraît plus plausible parce que 6 million bordelent c’est trop gros je trouve quoique peut être que y’en a plus que 600 mille mais 6 million ça me parait abusé
Le 20 octobre 2023 à 12:31:19 :
"Comme 6 000 000 autres Français, la cocaïne fait partie de son quotidien."y a 6 millions de cocaïnomanes en france ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/17/1493343233-denzel5.png
Ca me paraît énorme ça ferait 11% de la population bordelent
Le 20 octobre 2023 à 12:28:19 :
Le prix que ça coûte en plus cette merdehttps://image.noelshack.com/fichiers/2023/29/3/1689760474-turc-fume.png
Ça a vachement baissé khey avant c’était 70 balles maintenant t’en trouve à 50-60 et ça peut même descendre a 30€ si t’en prends plusieurs
Un coup de boost
Avec ses effets globaux sur l’organisme, cette drogue est particulièrement appréciée pour son aspect énergisant, stimulant et coupe-faim. "Par son activité, cette molécule augmente la libération des neurotransmetteurs majeurs, explique Céline Eiden, pharmacologue au CHU de Montpellier et rapporteur national pour l’ANSM sur le suivi de la cocaïne. On a donc une tension neurologique et cardiaque en même temps." Une double stimulation déjà dangereuse pour la santé, accentuée bien souvent par une prise d’alcool bien supérieure à ce que l’organisme aurait supporté sans l’apport de cocaïne.
J’ai commencé à 18 ou 19 ans. J’ai trouvé un petit job étudiant et tous mes collègues en prenait. J’ai pu voir les effets que ça avait sur eux et quand on m’a proposé d’essayer, ça ne m’a pas fait peur." Aujourd’hui, Manon* a 26 ans. Comme 6 000 000 autres Français, la cocaïne fait partie de son quotidien. "Quasiment tous les week-ends, parfois en semaine aussi, même si je travaille le lendemain", précise la jeune femme, toujours sous forme de poudre. Ces deux dernières décennies, la consommation de cocaïne en France s’est nettement accélérée, jusqu’à hisser le pays en seconde place des plus gros consommateurs au sein de l’Union européenne.
6 million d’usager je pensais pas que y’en avait autant
Malgré le constat indéniable de la propagation de la cocaïne en France, l’analyse du changement de mentalité parmi les nouveaux consommateurs reste difficile. Pour Manon*, plusieurs facteurs pourraient entrer en compte : "J’ai l’impression que les soirées technos, où prendre ce genre de drogue est normal, ont joué un rôle en se développant autant. Peut-être aussi que ça reflète un sentiment de mal-être dans notre génération, qui essaye de fuir la réalité."
Selon Anna*, il y a un vrai problème de "surenchère" : "Quand on est adolescents, on commence par des cuites à l’alcool. Puis, on veut quelque chose de plus fort, on passe aux joints. Après, on s’oriente vers les drogues dures." Une limite que s’interdit de franchir la jeune femme, préoccupée de voir ses amis s’y adonner régulièrement. Car même si les effets de la cocaïne ne font plus vraiment peur, leurs conséquences sur la santé ne doivent pas être négligées. D’abord, pour le système nerveux central : « Dans 50% des cas, les complications sont de l’ordre psychiatrique, indique Céline Eiden. Des délires, des paranoïas, tentatives de suicide ou dépression… le reste, ce sont des risques cardiaques, comme des infarctus, tachycardie ou syndrome coronarien. »
Ces dernières années, le Dr Nicolas Franchitto observe une augmentation de la prise chez les très jeunes, étudiants, voire, lycéens et regrette de voir peu d’entre eux consulter les centres d’addictologies : « Ils n’écoutent plus leur corps, même quand les symptômes devraient les inquiéter. Même si, in fine, l’idée est de leur donner les moyens d’arrêter, nous suivons aussi des personnes qui n’ont pas envie d’entrer dans un parcours de soin. » Comme dans tous les marchés illicites, la qualité des produits consommés est très inégale. Avec l’explosion du marché mondial de cocaïne, les produits vendus sont aussi de plus en plus purs. Une plus forte concentration de molécules qui crée de plus grand risque de complications… et une plus forte dépendance.
On se drogue pour oublier sa condition d’esclave