D'ailleurs Valéry à propos d'anatole france n'a jamais fait réference à une de ses oeuvre dans son discours d'entrée à l'académie française (il prenait le siége d'anatole). Il se contenta de dire "France", "France...", etc, et ce n'est qu'à la toute fin que l'on a su qu'il ne parlait non pas D'anatole France mais de la France (le pays).
Valéry troll rpz dans tous les cas il faisait la gueule à anatole france car ce dernier avait refusé un poéme de mallarmé dans la revue des parnassiens.
B. met ainsi en évidence la dimension sociale de la lecture : à l'école, dans les milieux littéraires, à l'université, il faut avoir lu certaines oeuvres de référénce. C'est une obligation sociale, et celui qui avoue s'y soustraire s'expose à de graves reproches. Il y a des livres qu'on doit avoir lu. C'est ici qu'intervient l'illusion sociale, que les personnes s'illustrant dans le domaine littéraire ont nécessairement lu les grands classiques. Dans les faits, personne ne s'expose à leur demander, et il règne une comédie sociale, un jeu de masques. B. dit par exemple que la plupart de ses étudiants n'ont pas lu les livres dont lui parle, et que lui-même généralement ne les a pas lus. De même pour les éminents professeurs de lettres, censés être les détenteurs de la culture légitime. Qui sont peut-être, comme ce héros de Un tout petit monde, chef de département d'une prestigieuse université anglaise, qui avoue brusquement n'avoir pas lu Hamlet de Shakespeare, à la stupeur de ses collègues, et qui se voit ensuite brisé dans sa carrière.
Moi quand j'avais avoué au lycée n'avoir jamais lu Shakespeare j'ai eu le droit à un regard méprisant de toutes les personnes qui m'ont entendu. Par contre pour parler de Valéry et Yeats y'avait personne
1) On peut très bien parler d'oeuvres et d'auteurs non-lus, comme Paul Valéry à propos de Bergson ou Anatole France qui, sans avoir ouvert un livre d'eux, peut en parler pendant des pages sans rien en dire.
Akhy le passage dans les cahiers où Valéry se plaint que l'on associe Bergson à la jeune de parque et qu'il est à deux doigts d'écrire : "je m'en ballec je l'ai jamais lu et j'en sais rien de sa pensée en dehors des dîners". faut en parler
A propos de :
Comment parler des livres que l'on n'a pas lus ? de Pierre Bayard, éditions de MinuitBayard, professeur de littérature à l'université, veut montrer qu'il n'existe pas de distinction tranchée entre lecture et non-lecture.
Il appelle non-lecture toutes les manières de se rapporter à un livre sans l'avoir lu.
Mais la non-lecture n'est pas la pure et simple absence de lecture.
Sur la masse immense de livres existants, même le plus studieux des lecteurs ne pourra jamais en parcourir qu'une partie minuscule. Notre rapport à la lecture est donc noyé au milieu d'une infinité de non-lectures. Non seulement les livres dont nous avons juste entendu parler, mais ceux que nous avons lu en partie ; ceux que nous avons en partie oublié ; ceux sur lesquels on a lu des choses, dans d'autres livres ; ceux dont on parle sans les avoir lus etc.
A limite, il n'y a (en droit) que des non-lectures, et parmi celles-ci quelques lectures, mais que nous commençons à oublier dès que le livre est refermé.Bayard propose de distinguer entre les livres parcourus (LP), les livres oubliés (LO), les livres dont on a entendu parler (LE) et les livres inconnus (LI), et pour chaque livre cité, il indique entre parenthèses le code correspondant.
Il ajoute des appréciations, du plus positif au plus négatif : ++, +, -, -- .
Ainsi, il écrira : "Hamlet (LP++)".Les différents chapitres servent à décrire le domaine de la non-lecture, et des possibilités qu'elle offre :
1) On peut très bien parler d'oeuvres et d'auteurs non-lus, comme Paul Valéry à propos de Bergson ou Anatole France qui, sans avoir ouvert un livre d'eux, peut en parler pendant des pages sans rien en dire.
2) On peut très légitimement parler d'une oeuvre non-lue, en fonction de ses valeurs culturelles, de ses préocuppations propres, comme les étudiants de Bayard, ou le peuple africain des Tiv, incapables d'admettre que le fantôme du père de Hamlet puisse lui parler.
3) On peut très bien tromper son monde sur ses lectures, y compris devant des gens ayant vraiment lu l'oeuvre dont on parle sans l'avoir lue.
4) On peut, comme Montaigne, oublier presque tout de ses lectures, et ne se souvenir que des notes prises sur cette oeuvre, c'est à dire ne se souvenir que de ce qu'on a écrit. Et encore M. dit-il ne plus reconnaître, au bout d'un moment, ses propres écrits.
5) On peut, comme ces critiques littéraires d'Illusions perdues de Balzac, parler de livres en fonction des circonstances, des impératifs du moment, des tractations avec les éditeurs, pour en dire une chose et son contraire d'une semaine sur l'autre.
B. met ainsi en évidence la dimension sociale de la lecture : à l'école, dans les milieux littéraires, à l'université, il faut avoir lu certaines oeuvres de référénce. C'est une obligation sociale, et celui qui avoue s'y soustraire s'expose à de graves reproches. Il y a des livres qu'on doit avoir lu. C'est ici qu'intervient l'illusion sociale, que les personnes s'illustrant dans le domaine littéraire ont nécessairement lu les grands classiques. Dans les faits, personne ne s'expose à leur demander, et il règne une comédie sociale, un jeu de masques. B. dit par exemple que la plupart de ses étudiants n'ont pas lu les livres dont lui parle, et que lui-même généralement ne les a pas lus. De même pour les éminents professeurs de lettres, censés être les détenteurs de la culture légitime. Qui sont peut-être, comme ce héros de Un tout petit monde, chef de département d'une prestigieuse université anglaise, qui avoue brusquement n'avoir pas lu Hamlet de Shakespeare, à la stupeur de ses collègues, et qui se voit ensuite brisé dans sa carrière.
Le but de ce livre est donc de nous déculpabiliser par rapport à toutes ces lectures que nous n'avons pas faites. Parce qu'il est impossible d'établir une distinction tranchée entre livres lus et non-lus et que l'on peut renoncer à ce fantasme d'avoir tout lu, et même de la lecture en général.
B. emprunte à Proust l'idée d'un livre intérieur, unique en chacun, empreinte que la réalité a laissée en nous, et dont nous risquons de nous éloigner en nous perdant dans les oeuvres des autres. L'auteur avoue lui-même qu'il lit de moins en moins et qu'il n'a plus l'intention de se passer de parler des livres sous prétexte qu'il ne les a pas lus.C'est donc une démarche assez proche de la psychanalyse. Quoique le nom de Lacan ne soit pas cité, l'expression de Bayard, "traversée du livre", ne peut manquer de faire penser à la traversée du fantasme. Si nous traversons le fantasme de la lecture, alors nous accepterons pleinement la non-lecture, ce qui permet, selon B., de libérer notre créativité, en nous laissant inventer des livres. Accepter l'oubli des livres est une condition préalable à un rapport dénuée de culpabilité envers la lecture.
Comme moi qui vous parle de ce livre de Pierre Bayard, que j'ai commencé à oublier et dont je ne veux pas me souvenir en entier, et que ce message va peut être sauver de l'oubli, brièvement, vous permettant, à vous, d'en parler autour de vous sans l'avoir lu, tout en commençant à oublier ce que j'écris... pour inventer, en toute innocence, un autre livre et d'autres messages.
Je reprends cet fiche de lecture d'hardware.fr et j'aimerais bien savoir ce qu'en pense le forum.
Le 14 mai 2021 à 12:45:55 :
Nivellement par le basSi tu n’est ni fils à papa surdoué ni scolarisé en ZEP tu finiras à la fac d’eco de ton département
Nanterre izi ma gueule.
Le 13 mai 2021 à 22:30:46 :
C'est dégueulasse sérieux
Le goût n'est pas un problème, le fou rire quand la personne à qui tu vas l'offrir va avoir vaut mille fois toutes les pâtisseries.
Ça ?
Dans tous les cas suffisait de voir la greve des modos pour voir que c'était un forum de merde. 6 heures sans modération et les personnes ne faisaient que spammer des topics antisémites, racistes et pornographiques quand ça ne partait pas dans le lolicon ou le gore.
Idem pour edwado qui avait trouvé une faille pour redirigé (ce qui avait mené )à une cloture du forum), la méthode s'est su et tout le monde en fransait un vers le cactus ou autre.
Le 18-25 a toujours été merdique, c'est juste que là la modération ne fait plus rien pour purger les topics de merde. Par contre elle supprime bien les topics intéressants et où il y a du travail.
Le 13 mai 2021 à 01:46:19 :
Le 13 mai 2021 à 01:38:44 :
Le 13 mai 2021 à 01:30:04 :
Le 13 mai 2021 à 01:23:28 :
bah ce sont les gars qui ont fait antitaxi quoij'en ai marre de la boucle tsai, il se passe quoi en ce moment. Le pire c'est que je clique sans regarder l'auteur quand le titre me plait.
Ayaaaaaaaaa bah écoute khey, t'es attiré par mes topics, il n'y a pas d'autres explications. Je poste vraiment pas tant que ça
Bah sur l'index des sujets il n'y a que "blackpill", meuf, tinder, taille, baiser, topic raciste, etc. Et le pire c'est qu'ils ne sont même pas supprimés alors qu'en 2016 c'était presque isnta-delette et les topics intéressants étaient debout. Aujourd'hui c'est l'inverse je passe 1 heure à vulgariser charles de vilmmorin ses inspiration, etc c'est delete alors que :
C'est du bidon ce forum, tous les topics sont bidons, du coup je crée les miens (et je vais arrêter très prochainement le 18-25, quand je posterai ça sera uniquement sur le Forum Livres).
Quand je participe à des topics, ça dure grand max dix minutes avant que le topic se fasse delete.
Très peu d'utilité ici, beaucoup de pyj et de twitterfags ont niqué le délire.
Ce sont les stickers et la massification des topics twitter qui ont détruit le forum. Le forum n'est pas aussi mature que HFR pour les stickers (je rappelle que HFR a des stickers depuis au moins 2005) du coup les personnes ne font que les spammer. Personellement je pensais que le delire risitas allait se tasser et que Lorient allait interdire les stickers. Idem pour les topics twitter, on avait interdit les topics periscope (appartenant à twitter) car ils étaient spammer sur le forum alors pourquoi on a pas fait de même avec twitter.
Le 13 mai 2021 à 01:30:04 :
Le 13 mai 2021 à 01:23:28 :
bah ce sont les gars qui ont fait antitaxi quoij'en ai marre de la boucle tsai, il se passe quoi en ce moment. Le pire c'est que je clique sans regarder l'auteur quand le titre me plait.
Ayaaaaaaaaa bah écoute khey, t'es attiré par mes topics, il n'y a pas d'autres explications. Je poste vraiment pas tant que ça
Bah sur l'index des sujets il n'y a que "blackpill", meuf, tinder, taille, baiser, topic raciste, etc. Et le pire c'est qu'ils ne sont même pas supprimés alors qu'en 2016 c'était presque isnta-delette et les topics intéressants étaient debout. Aujourd'hui c'est l'inverse je passe 1 heure à vulgariser charles de vilmmorin ses inspiration, etc c'est delete alors que :
bah ce sont les gars qui ont fait antitaxi quoi
j'en ai marre de la boucle tsai, il se passe quoi en ce moment. Le pire c'est que je clique sans regarder l'auteur quand le titre me plait.