Le 08 décembre 2022 à 17:35:52 :
celle que t'aimes atteint 10/10
jusqu'à qu'elle atteigne le mur
Le 08 décembre 2022 à 17:31:19 :
On peut pas envoyer des enregistrements sur vocaroo ? On est obligé de les enregistrer ?
oui
Le 08 décembre 2022 à 17:28:54 :
Pour la 50 000e foisCe ne sont pas les FEMMES qui sont belles, c'est la FÉMINITÉ
Féminité = posture, coiffure, maquillage, appretement général
Raison pour laquelle n'importe quel mec lambda peut devenir "belle" en revêtant tous cet attirail
casse toi de mon topic le trap
Tu réponds quoi ?
Le serveur qui est déjà mort de rire derrière en te voyant en sueur
C'est une teub avec une cape qui fait du skate
J'ai développé un fantasme pire que le Shemale ou le Stab wound fuck, j'ai envie que l'on m'enfonce des choses dans l'urètre, et qu'à force ça se dilate et que je puisse y mettre des choses de plus en plus grosses, pour finir comme celui qui s'enfonce des vers dedans
C'est la catégorie pornographique « sounding » pour ceux que ça intéresse, ou « urethral souding ». Ça me rappelle la photo de la boîte de Tictac dans le prépuce dans un topic qu’un Khey avait posté il y a quelques années avec une histoire de cire chaude dans l'urètre
J'ai kiffé sur une petite meuf, Loryhana, une italienne de Limoges. Pendant un an, on était proches mais rien d'excitant. Habitant à Aubusson, j'me décide un jour d'aller la voir et de faire les cent kilomètres qui nous séparent. Mais j'ai une particularité : quand je vais voir une femme, j'ai des ballonnements, des nausées, et une envie de chier
J'ai vomi plusieurs fois en étant avec des femmes. J'peux vous raconter à peu près une dizaine d'histoires aussi dingues les unes que les autres sur ça. Mais ça m'arrive que des fois. 1 meuf sur 2. Je ne comprends pas comment et pourquoi mais il y a des femmes avec lesquelles ça va parfaitement bien. D'autres où j'suis hyper mal alors que j'suis pas si en stress que ça. Et donc, ce jour là, je décide d'aller la voir
Le stress commence un peu à s'emparer de moi. J'ai des gitanes convertibles sur la route pour évacuer mon stress. Il faisait nuit. Nouvelle lune, y'avait vraiment aucune visibilité dans le noir. Une fois passé Bourganeuf, j'ressens un stress encore plus important. J'me rapproche de cette meuf et de la rencontre fatidique. Mon estomac me joue un sacré tour. Habituellement j'vomis toujours mais là, une envie de chier énorme. C'est la seule fois que j'ai chié dehors pour tout vous dire. J'essaie de me retenir mais au bout de 20km, et à 20km de l'arrivée, impossible
Je dois à tout prix m'arrêter. Je m'arrête sur une aire de repos. Les aires de repos où il n'y a aucune station essence. A peine je sors de la voiture, j'lâche une merde sur un banc, énorme. Toute gluante. Et surtout en quantité. J'étais souvent constipé à ce moment là de ma vie donc quand je chiais, ça y allait grave. Et là, je chie. Mais un truc de malade. Une fois que je finis, je vais chercher un chiffon dans la voiture. Heureusement que je désactive toujours la lumière de la voiture quand j'ouvre la porte
Je m'essuie mais j'ai le cul rempli de merde comme jamais. Mais je sens qu'il me reste une énorme quantité sur le derrière et je n'ai absolument aucune solution. Qu'est-ce que je fais ? Je prends mon caleçon et je m'essuie avec. Une fois que j'ai fini, une nouvelle poussée. La haine. Il me reste une toute petite partie propre sur mon caleçon, donc je m'essuie avec. Sauf qu'il m'en reste encore énormément sur le derrière. J'essaie de frotter mon cul sur l'herbe. Mais malheureusement, ça n'essuie rien
Au même moment, y a un chauffeur je crois qui s'approche de moi. Il ne me voit pas parce que comme j'ai dit c'est la nouvelle lune et j'ai eu énormément de chances que personne n'ait débarqué sur cette aire en m'éclairant avec ses feux de croisement. Qu'est-ce que je fais ? Bah obligé de remonter le pantalon. Le cul rempli de merde. Mais à votre avis, vous pensez que je suis rentré ? Comme un con, j'suis allé la voir. Bref, je sens que ça se passe. Pas de stress, pas de ballonnements
A un moment donné, elle pose sa tête sur mes cuisses. Et elle me dit quoi ? « Tu ne sens pas la merde ? ». Au même moment, je sens également que ça pue à fond. Je lui dis « non, je ne trouve pas », tout en souriant. Elle se lève, me dit que « ça sent grave ! ». Je lui fais croire que j'ai pété. On est mort de rire. J'suis resté 15 minutes de plus et je suis rentré chez moi. En rentrant à la maison, je ne vous raconte pas l'état de mon pantalon comment il était, « cash dans le slibard ! », comme on dit