Le 27 janvier 2023 à 11:12:42 :
Le 26 janvier 2023 à 17:51:29 :
Le 26 janvier 2023 à 17:08:19 :
VDD : flemme pour la 1, mais pour la 2, si le vendeur est un commerçant, je dirais d'abord médiateur de la consommation compétent vis à vis du commerçant, avec toute la procédure qui entoure sa saisine (je la connais pas mais j'imagine que tu dois déjà tenter une réclamation auprès du commerçant par exemple), puis tribunal de proximité ?Mais t'as bien fait de relever qu'il n'est pas précisé s'il s'agit d'un vendeur pro ou particulier, je pense que c'est pas fait exprès et le prof qui a rédigé le cas risque de se sentir bien con
C'est vrai que ça m'étonne que le cas pratique ne le précise pas, pourtant c'est le doyen lui-même qui a fait ce cas pratique et qui va le corriger, alors je me demande s'il va pas se sentir un peu provoqué si je pars du principe qu'il existe deux possibilités selon le fait que le vendeur soit un commerçant professionnel ou un particulier.
Au niveau de la procédure, avec ce que tu viens de me dire ça me parait plus clair et j'ai d'ailleurs trouvé ça :
Dans un arrêt du 22 septembre 2022, le Conseil d'État a annulé l'article 750-1 du code de procédure civile qui instaure l'obligation de conciliation et de médiation préalable au litige.
Donc je vais sans doute le mentionner et dire qu'il est directement possible pour lui de saisir le tribunal de proximité sans avoir eu l'obligation de tenter la médiation au préalable, ce qui m'arrange car du coup la 2) semble bouclée vu que c'est un montant inférieur à 5000 euros dans tous les cas.
C'est la 1) qui m'embête car du coup je sais pas si je peux jouer sur le terrain de l'obligation d'information, ou si je peux juste prendre le « tournait à 66 mhz, ce qui était particulièrement rapide » (mots du vendeurs) et dire qu'il y a un dol par mensonge.Ah ouais bien vu pour la décision du CE j'étais pas au courant, tu peux y faire référence en disant que l'obligation de passer par un médiateur n'est plus obligatoire mais que tu recommandes quand même au client d'entreprendre cette démarche, et qu'en cas de non succès tu déroules ensuite la procédure applicable (assignation ou requête), en faisant bien ton syllogisme à chaque fois.
Peut-être que la qualité du vendeur n'est volontairement pas précisée aussi, que c'est un "piège" et que le prof veut voir qui va le remarquer. Dans tous les cas il faut absolument le souligner, même si en soi ça n'aura pas trop d'impacts sur ton raisonnement.
Pour la 1), l'argument principal serait selon moi clairement le dol par mensonge (la vitesse du processeur étant très en deçà des standards actuels). Donc article 1137 (n'oublie pas ton syllogisme, et le régime de la preuve), puis jeu des articles 1130 et 1131 qui entraînent la nullité relative du contrat.
Et ensuite tu rajoutes qu'à titre secondaire, on pourrait aussi essayer de faire jouer le défaut d'informations (un ordinateur des années 1990 n'est par exemple pas adapté aux standards de performances et formats de vidéo actuels, ton client étant influenceur le vendeur aurait dû savoir que cette information est déterminante pour l'acheteur, à développer), qui est sanctionné par l'annulation dans les mêmes conditions que les art. 1130 et suivants que tu as évoqués précédemment (dernier alinéa de l'article 1112-1)
Ps : je parle évidemment du code civil à chaque fois
Le devoir doit tenir sur une page manuscrite (recto uniquement), donc je ne vais pas pouvoir développer autant mais garder l'essentiel, je vais quand même souligner que l'acheteur étant un influenceur (et non un professionnel), il ne peut pas lui être reproché à lui de ne pas avoir évalué les informations du vendeur.
Sur la procédure, j'ai bien soulevé qu'il pouvait éviter un procès civil en essayant une médiation avec le vendeur, puis l'assignation ou la requête, cependant j'ai un doute avec l'assignation, je sais qu'elle est obligatoire pour les litiges dont le montant est supérieur à 5000 euros, cependant quand le montant est inférieur, je sais que c'est par requête, mais l'assignation est-elle possible aussi?
En tout cas merci pour tes réponses, ça m'aide bien car au semestre 3 on n'a pas eu trop de cours de droit des obligations, pareil pour ce semestre en droit des affaires le professeur est absent à 70% du temps donc on a pas pu tout voir.
Le 26 janvier 2023 à 17:08:19 :
VDD : flemme pour la 1, mais pour la 2, si le vendeur est un commerçant, je dirais d'abord médiateur de la consommation compétent vis à vis du commerçant, avec toute la procédure qui entoure sa saisine (je la connais pas mais j'imagine que tu dois déjà tenter une réclamation auprès du commerçant par exemple), puis tribunal de proximité ?Mais t'as bien fait de relever qu'il n'est pas précisé s'il s'agit d'un vendeur pro ou particulier, je pense que c'est pas fait exprès et le prof qui a rédigé le cas risque de se sentir bien con
C'est vrai que ça m'étonne que le cas pratique ne le précise pas, pourtant c'est le doyen lui-même qui a fait ce cas pratique et qui va le corriger, alors je me demande s'il va pas se sentir un peu provoqué si je pars du principe qu'il existe deux possibilités selon le fait que le vendeur soit un commerçant professionnel ou un particulier.
Au niveau de la procédure, avec ce que tu viens de me dire ça me parait plus clair et j'ai d'ailleurs trouvé ça :
Dans un arrêt du 22 septembre 2022, le Conseil d'État a annulé l'article 750-1 du code de procédure civile qui instaure l'obligation de conciliation et de médiation préalable au litige.
Donc je vais sans doute le mentionner et dire qu'il est directement possible pour lui de saisir le tribunal de proximité sans avoir eu l'obligation de tenter la médiation au préalable, ce qui m'arrange car du coup la 2) semble bouclée vu que c'est un montant inférieur à 5000 euros dans tous les cas.
C'est la 1) qui m'embête car du coup je sais pas si je peux jouer sur le terrain de l'obligation d'information, ou si je peux juste prendre le « tournait à 66 mhz, ce qui était particulièrement rapide » (mots du vendeurs) et dire qu'il y a un dol par mensonge.
Bonjour,
je suis actuellement en L2 et j'ai un petit devoir à faire en une page, c'est un espèce de cas pratique pour une matière mineure mais je suis un peu perdu et je me dis que je passe à coté de quelque chose.
Le sujet est le suivant (reformulé) :
M.X est un influenceur. Il n'a cependant aucune compétence en informatique malgré le fait que ses activités le conduisent à poster de nombreuses vidéos sur les réseaux sociaux. Pour faciliter son travail, il finit par acquérir un ordinateur censé être assez puissant pour traiter des fichiers assez lourds. Le vendeur lui a indiqué que le microprocesseur « tournait à 66 mhz, ce qui était particulièrement rapide ». M.X, ravi, décide de payer sans sourciller les 3000 euros demandés par le vendeur. Peu de temps après, M.X s'aperçoit qu'il s'agit en réalité d'un ordinateur des années 1990 qui n'est en réalité pas performant et dépassé. Il vient vers vous pour agir en justice car il souhaite revenir sur cet achat et vous pose les questions suivantes:
1) Quels sont les mécanismes qu'il pourrait invoquer? Sur quels textes sont-ils fondés?
2) Par quel acte introductif d'instance la procédure débuterait elle ? (Plainte ?Assignation ? Requête ? etc.). Quels textes régissent cet acte introductif d'instance ?
Du coup je pensais partir sur un dol et erreur, cependant après réflexion aucun élément ne laisse apparaitre que le vendeur aurait menti de son plein gré, on ne sait pas non plus si c'est un vendeur professionnel ou un particulier. Quelqu'un pourrait m'aider svp? Car je sais que l'erreur est appréciée au moment de la formation du contrat mais elle peut aussi être invoquée après la formation de celui-ci.
Pour la 1) je pensais à L441-1 du Code de consommation, 1137 CC, et pour la 2) je ne sais pas non plus d'ailleurs
Bonjour je suis en L1 droit, pour vendredi prochain j'ai un sujet de dissertation en droit constit qui est : "Le projet de constitution tel qui vous est soumis à l’ambition de créer un régime parlementaire", c'est une citation de Michel Debré dans son discours devant le Conseil d'Éta le 27 août 1958. Cependant c'est la première fois que je vois un sujet comme ça sous forme de citation et je ne sais pas trop comment l'aborder.. quelqu'un peut m'éclairer svp?
https://mjp.univ-perp.fr/textes/debre1958.htm le discours est ici
Tout est déjà leak sur ce telegram (nofake)
Le 21 octobre 2021 à 20:07:37 :
Le 21 octobre 2021 à 20:05:02 :
Bonjour je suis actuellement en L1 et je galère un peu avec le droit constit, auriez vous des conseils pour mieux y arriver dans cette matière ?
On a fait les théories du contrat social, la souveraineté de l'état, le pouvoir constituant originaire et dérivé etc..A part lire des manuels ?
Y'a rien de compliqué dans le droit constit
une référence à présenter? me semble que mon prof n'en a pas donnée au début d'année ni mon chargé de TD
ou alors je prendsun truc dans la BU qui parle des notions générales en droit constit? je devrais sûrement en trouver je verrais
Up :
J'ai reçu une réponse du service scolarité
Monsieur, au-delà des différentes informations que vous avez pu trouver, chaque Université applique sa politique tarifaire et détermine ses critères. Nous appliquons donc les décisions prises en Conseil d'Administration.
bien cordialement,
Je rappelle que c'est une université public et que c'est une formation que j'ai obtenu via Parcoursup comme un étudiant classique, est-ce possible qu'une université en CA estime que deux ans d'interruption d'études = formation continue imposée ??
Bonsoir les Jean-Droit,
J'ai une question. J'ai eu 22 ans cette année et je suis en train d'essayer de reprendre mes études que j'ai arrêter après le bac. Je suis actuellement à 3 ans donc d'interruption d'études, l'an dernier j'ai tenté de m'inscrire dans une université via Parcoursup dans laquelle j'ai été accepté et j'ai été contacté par le service formation continue qui m'a indiqué que je devais remplir un dossier de formation continue et de payer ma licence entre 1100 et 3400€ selon les financements que j'avais car je cite ses mots :
"Deux année d'interruption d'études vous imposent de passer dans le service de la formation continue."
Très déçu, je ne cherche pas à comprendre car je n'ai pas les moyens de payer ni rien et je souhaitais juste reprendre mes études comme un étudiant normal.
Cette année je retente le coup dans cette même université sur Parcoursup qui m'accepte, j'envoie mes papiers administratifs et voilà que je suis à nouveau contacter par le service formation continue qui m'indique que je dois joindre un CV etc.. bref la même chose que l'an passé, je commence à trouver cela bizarre et je fais mes recherches et je tombe sur cela
https://services.dgesip.fr/fichiers/FAQ__FTLV.pdf
Je lis le numéro 4 et la je suis sous le choc, est-ce totalement illégal que de m'avoir dit l'an dernier que suite à mon interruption d'étude il m'était IMPOSER de payer ma licence 1100 a 3400€, je continue mes recherches et je tombe sur deux liens intéressants
https://desestre.fr/2016/02/05/reprise-detudes-precisions-importantes/
https://solidairesetudiantbordeaux.wordpress.com/2014/06/10/des-nouvelles-pour-les-reprises-detudes-a-luniversite-de-bordeaux/
Celui ci date de 2014
Bien entendu j'ai renvoyer un mail en confrontant directement le service à leurs affirmations de l'an dernier, et j'ai demandé à ce qu'ils éclaircissent le sujet car là je n'arrive pas à comprendre si ils essayent effectivement d'être malhonnêtes ou si c'est moi qui ne sait pas comprendre un texte ?