Messages de Pitre_Descoff

Le 17 août 2021 à 21:00:55 :

Le 17 août 2021 à 21:00:11 :
Faut pas oublier le conformisme des masses, le fait est que si tu reprends quelqu'un sur son orthographe sur Twitter (ou autre d'ailleurs), tu sera vu comme un casse couilles et une horde d'imbéciles vont se foutre de ta gueule, et sans compter l'ortho, il y a la syntaxe propre au jeunes, le fait d'enlever le "que" par exemple: "Je crois il est fou"
C'est bien vu de parler comme ça, ça fait jeune yeslife, du coup tout le monde le fait.
Et c'est pareil d'un point de vue idéologique.

Ici aussi t'es vu comme un casse-couilles dès que tu reprends les autres.

Bof, après sur le forum les gens ne font jamais de trop grosses fautes alors y a pas vraiment de quoi les reprendre, je parle surtout du fait que mal écrire sur Twitter, c'est pas mal vu, c'est presque normal

Faut pas oublier le conformisme des masses, le fait est que si tu reprends quelqu'un sur son orthographe sur Twitter (ou autre d'ailleurs), tu sera vu comme un casse couilles et une horde d'imbéciles vont se foutre de ta gueule, et sans compter l'ortho, il y a la syntaxe propre au jeunes, le fait d'enlever le "que" par exemple: "Je crois il est fou"
C'est bien vu de parler comme ça, ça fait jeune yeslife, du coup tout le monde le fait.
Et c'est pareil d'un point de vue idéologique.

Le 15 août 2021 à 14:49:24 :
Vous vous moquez d'un mec tué par vos soi disant ennemis.

Pathétiques

On souligne l'ironie de la situation, sa négation du réel ainsi que du retour a cette même réalité qu'il a subit, et c'est vrai qu'avec du recul, ça prête à sourire

Les bandeurs de kpop :malade:
La seule question à te poser, c'est de savoir si c'est ton jour de chance.
Alors, fumier, c'est ton jour de chance aujourd'hui ?
Je vais tout de même pas me faire enculer sous prétexte que c'est un ami !
Si tu veux parler de la fois où j'ai vomi partout en me masturbant avec un crucifix, c'était ma première surprise-party

Le 16 août 2021 à 01:17:03 :

Le 16 août 2021 à 01:13:31 :
J'ai réfléchi à ce que tu m'avais dit l'autre jour, à propos de ma peinture ; j'ai passé la moitié de la nuit à y réfléchir. Et puis j'ai eu un flash. Après je me suis paisiblement endormi, et depuis je n'ai pas pensé à toi. Tu sais ce que j'ai compris ? Tu n'es qu'un gosse. Tu parles sans avoir la moindre idée de ce dont tu parles. Tu n'es jamais sorti de Boston.

Si je te dis de me parler d'art, tu vas me balancer un condensé de tous les livres sur le sujet. Michel-Ange, tu sais plein de trucs sur lui. Sur son oeuvre, sur ses choix politiques, sur lui et sur le pape, ses tendances sexuelles, tout le bazar quoi. Mais je parie que ce qu'on respire dans la Chapelle Sixtine, son odeur, tu connais pas. Tu ne peux pas savoir ce que c'est que de lever les yeux sur le magnifique plafond. Tu sais pas.

Si je te dis de me parler des femmes, tu vas m'offrir un topo sur les femmes que tu as le plus aimées, il t'ait peut-être même arrivé de baiser quelques fois, mais tu ne sauras pas me décrire ce que c'est que de se réveiller près d'une femme et de se sentir vraiment heureux.

Tu es un coriace ; si je te faisais parler de la guerre c'est probablement tout Shakespeare que tu me citerais « Une fois de plus sur la brèche, mes amis ! ». Mais tu n'as pas vécu la guerre. Tu n'as jamais tenu contre toi ton meilleur ami. Tu ne l'as pas vu haleter jusqu'au dernier souffle avec un regard qui implore.

Si je te fais parler d'amour, tu vas probablement me dire un sonnet. Mais tu n'as pas connu de femme devant qui tu t'es senti vulnérable. Une femme qui t'aie étalé d'un simple regard. Comme si Dieu avait envoyé un ange sur Terre pour toi. Pour t'arracher aux profondeurs de l'enfer. Et tu ne sais pas ce que c'est d'être son ange à elle. Et de savoir que l'amour que tu as pour elle est éternel. Et survivra à tout. Même au cancer. Et aux nuits passées assis dans une chambre d'hôpital pendant des mois en lui tenant la main, parce que les médecins ont lu dans tes yeux que tu n'avais pas l'intention de te plier aux heures de visite. Tu ignores ce que c'est que de perdre quelqu'un. Parce qu'on ne connaît ça que quand on sait aimer plus qu'on ne s'aime soi-même. Je doute que tu aies déjà osé aimer à ce point.

Quand je te regarde, ce n'est pas un homme intelligent et solide que je vois. Ce que je vois c'est un gosse, culotté, qui meurt de trouille. Mais tu es un génie Will, ça, personne ne le nie. Personne ne pourrait comprendre ce qui est au fond de toi. Mais toi tu présumes que tu sais tout de moi parce que tu as vu une toile que j'ai peinte et ça, ça te permet de disséquer ma vie. Tu es orphelin n'est-ce pas ? Tu crois que je sais quelque chose des difficultés que tu as rencontrées dans la vie, de ce que tu ressens, de ce que tu es, sous prétexte que j'ai lu Oliver Twist ? Est-ce que ça suffit à te résumer ?

Personnellement, j'en ai vraiment rien à foutre de tout ça, parce que je vais te dire, je n'ai rien à apprendre de toi que je n'apprendrai pas dans n'importe quel bouquin. À moins que tu veuilles me parler de toi. De qui tu es. Là ça m'intéresse. Là je suis à toi. Mais c'est pas ce que tu veux faire, hein vieux ? Tu as trop peur de ce que tu pourrais dire. La balle est dans ton camp.

On a dit une phrase, pas le script complethttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Je voulais pas le couper, fallait que je le mette en entier :rire:

Le 16 août 2021 à 01:14:29 :

Le 16 août 2021 à 01:13:31 :
J'ai réfléchi à ce que tu m'avais dit l'autre jour, à propos de ma peinture ; j'ai passé la moitié de la nuit à y réfléchir. Et puis j'ai eu un flash. Après je me suis paisiblement endormi, et depuis je n'ai pas pensé à toi. Tu sais ce que j'ai compris ? Tu n'es qu'un gosse. Tu parles sans avoir la moindre idée de ce dont tu parles. Tu n'es jamais sorti de Boston.

Si je te dis de me parler d'art, tu vas me balancer un condensé de tous les livres sur le sujet. Michel-Ange, tu sais plein de trucs sur lui. Sur son oeuvre, sur ses choix politiques, sur lui et sur le pape, ses tendances sexuelles, tout le bazar quoi. Mais je parie que ce qu'on respire dans la Chapelle Sixtine, son odeur, tu connais pas. Tu ne peux pas savoir ce que c'est que de lever les yeux sur le magnifique plafond. Tu sais pas.

Si je te dis de me parler des femmes, tu vas m'offrir un topo sur les femmes que tu as le plus aimées, il t'ait peut-être même arrivé de baiser quelques fois, mais tu ne sauras pas me décrire ce que c'est que de se réveiller près d'une femme et de se sentir vraiment heureux.

Tu es un coriace ; si je te faisais parler de la guerre c'est probablement tout Shakespeare que tu me citerais « Une fois de plus sur la brèche, mes amis ! ». Mais tu n'as pas vécu la guerre. Tu n'as jamais tenu contre toi ton meilleur ami. Tu ne l'as pas vu haleter jusqu'au dernier souffle avec un regard qui implore.

Si je te fais parler d'amour, tu vas probablement me dire un sonnet. Mais tu n'as pas connu de femme devant qui tu t'es senti vulnérable. Une femme qui t'aie étalé d'un simple regard. Comme si Dieu avait envoyé un ange sur Terre pour toi. Pour t'arracher aux profondeurs de l'enfer. Et tu ne sais pas ce que c'est d'être son ange à elle. Et de savoir que l'amour que tu as pour elle est éternel. Et survivra à tout. Même au cancer. Et aux nuits passées assis dans une chambre d'hôpital pendant des mois en lui tenant la main, parce que les médecins ont lu dans tes yeux que tu n'avais pas l'intention de te plier aux heures de visite. Tu ignores ce que c'est que de perdre quelqu'un. Parce qu'on ne connaît ça que quand on sait aimer plus qu'on ne s'aime soi-même. Je doute que tu aies déjà osé aimer à ce point.

Quand je te regarde, ce n'est pas un homme intelligent et solide que je vois. Ce que je vois c'est un gosse, culotté, qui meurt de trouille. Mais tu es un génie Will, ça, personne ne le nie. Personne ne pourrait comprendre ce qui est au fond de toi. Mais toi tu présumes que tu sais tout de moi parce que tu as vu une toile que j'ai peinte et ça, ça te permet de disséquer ma vie. Tu es orphelin n'est-ce pas ? Tu crois que je sais quelque chose des difficultés que tu as rencontrées dans la vie, de ce que tu ressens, de ce que tu es, sous prétexte que j'ai lu Oliver Twist ? Est-ce que ça suffit à te résumer ?

Personnellement, j'en ai vraiment rien à foutre de tout ça, parce que je vais te dire, je n'ai rien à apprendre de toi que je n'apprendrai pas dans n'importe quel bouquin. À moins que tu veuilles me parler de toi. De qui tu es. Là ça m'intéresse. Là je suis à toi. Mais c'est pas ce que tu veux faire, hein vieux ? Tu as trop peur de ce que tu pourrais dire. La balle est dans ton camp.

Will Hunting?https://image.noelshack.com/fichiers/2016/30/1469541952-risitas182.png

:ok:

J'ai réfléchi à ce que tu m'avais dit l'autre jour, à propos de ma peinture ; j'ai passé la moitié de la nuit à y réfléchir. Et puis j'ai eu un flash. Après je me suis paisiblement endormi, et depuis je n'ai pas pensé à toi. Tu sais ce que j'ai compris ? Tu n'es qu'un gosse. Tu parles sans avoir la moindre idée de ce dont tu parles. Tu n'es jamais sorti de Boston.

Si je te dis de me parler d'art, tu vas me balancer un condensé de tous les livres sur le sujet. Michel-Ange, tu sais plein de trucs sur lui. Sur son oeuvre, sur ses choix politiques, sur lui et sur le pape, ses tendances sexuelles, tout le bazar quoi. Mais je parie que ce qu'on respire dans la Chapelle Sixtine, son odeur, tu connais pas. Tu ne peux pas savoir ce que c'est que de lever les yeux sur le magnifique plafond. Tu sais pas.

Si je te dis de me parler des femmes, tu vas m'offrir un topo sur les femmes que tu as le plus aimées, il t'ait peut-être même arrivé de baiser quelques fois, mais tu ne sauras pas me décrire ce que c'est que de se réveiller près d'une femme et de se sentir vraiment heureux.

Tu es un coriace ; si je te faisais parler de la guerre c'est probablement tout Shakespeare que tu me citerais « Une fois de plus sur la brèche, mes amis ! ». Mais tu n'as pas vécu la guerre. Tu n'as jamais tenu contre toi ton meilleur ami. Tu ne l'as pas vu haleter jusqu'au dernier souffle avec un regard qui implore.

Si je te fais parler d'amour, tu vas probablement me dire un sonnet. Mais tu n'as pas connu de femme devant qui tu t'es senti vulnérable. Une femme qui t'aie étalé d'un simple regard. Comme si Dieu avait envoyé un ange sur Terre pour toi. Pour t'arracher aux profondeurs de l'enfer. Et tu ne sais pas ce que c'est d'être son ange à elle. Et de savoir que l'amour que tu as pour elle est éternel. Et survivra à tout. Même au cancer. Et aux nuits passées assis dans une chambre d'hôpital pendant des mois en lui tenant la main, parce que les médecins ont lu dans tes yeux que tu n'avais pas l'intention de te plier aux heures de visite. Tu ignores ce que c'est que de perdre quelqu'un. Parce qu'on ne connaît ça que quand on sait aimer plus qu'on ne s'aime soi-même. Je doute que tu aies déjà osé aimer à ce point.

Quand je te regarde, ce n'est pas un homme intelligent et solide que je vois. Ce que je vois c'est un gosse, culotté, qui meurt de trouille. Mais tu es un génie Will, ça, personne ne le nie. Personne ne pourrait comprendre ce qui est au fond de toi. Mais toi tu présumes que tu sais tout de moi parce que tu as vu une toile que j'ai peinte et ça, ça te permet de disséquer ma vie. Tu es orphelin n'est-ce pas ? Tu crois que je sais quelque chose des difficultés que tu as rencontrées dans la vie, de ce que tu ressens, de ce que tu es, sous prétexte que j'ai lu Oliver Twist ? Est-ce que ça suffit à te résumer ?

Personnellement, j'en ai vraiment rien à foutre de tout ça, parce que je vais te dire, je n'ai rien à apprendre de toi que je n'apprendrai pas dans n'importe quel bouquin. À moins que tu veuilles me parler de toi. De qui tu es. Là ça m'intéresse. Là je suis à toi. Mais c'est pas ce que tu veux faire, hein vieux ? Tu as trop peur de ce que tu pourrais dire. La balle est dans ton camp.

A titre personnel je trouve ça parfaitement dégueulasse
A titre professionnel je ne pense rien.
J'exécute.
On est venu, on a vu et il l'a eu dans le cul
Je fais une fête chez moi ce soir, ça te dirais de pas venir ?
Ecoutez Thérèse. Je n'aime pas dire du mal mais effectivement elle est gentille
T'as pas une gueule de porte bonheur
Bordel l'ost de Bleach
14/08/2021 15:00

Le 14 août 2021 à 14:58:34 :
Les premières saisons de Bleach c'étaient quand même quelque chose , bien au dessus de Naruto (avis perso bien entendu) .https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png
Le thème de l'espada :bave:

Les ost de Naruto première gen sont tout de même incroyables, elles perdent de leur charme sur Shippuden

Bordel l'ost de Bleach
14/08/2021 14:56
Shiro Sagisu maitre course :-)
Bordel l'ost de Bleach
14/08/2021 14:56

Ca peut être difficile à croire mais au vu de son succès et de sa longévité, Jul sera surement considéré comme un pilier du rap dans 10 ans, c'est même déjà le cas, il a engendré tout un tas de pseudos rappeurs zumba, c'est honteux mais voilà.

Sinon pour être sérieux Kanye pour ce qu'il a apporté au rap et à la musique de manière générale, on ne se rend pas compte mais sans lui pas de Drake, pas de Travis, pas de Juice WRLD etc
Sans compter son apport extra musical, au streetwear ou à la manière de gérer sa communication et son marketing
Puis y a le personnage Kanye, ses frasques, sa relation avec Kim K, sa "folie", on peut dire ce qu'on veut mais c'est déjà une icône de la pop culture