J'ai été dans un Open Space avec 32 personnes avec 0 personnes en TT
Je travaillais avec 2 femmes ultra ecolos putain
Le groupe Teams où ça s'envoyait des GIF de chats
Ensuite dans mon taff suivant y avait moins de monde et plus de TT mais le jour où tout le monde est en présentiel où y a la pimbeche de service qui fait que parler, qui se prend pour une princesse avec tous ses simps à ses pieds
Bien content d'avoir un poste de responsable et mon propre bureau maintenant.
https://www.actualite.co/134595/clint-eastwood-est-decede.html
Il était le cinéma. Un géant du cinéma mondial, qui a su captiver des générations de spectateurs avec son talent inégalé. Connu pour ses rôles emblématiques et sa réalisation visionnaire, Eastwood laisse derrière lui un héritage cinématographique qui continuera à inspirer.
Né le 31 mai 1930, Eastwood a gravi les échelons de Hollywood pour devenir l'un des acteurs et réalisateurs les plus respectés de l'industrie. Sa présence à l'écran, caractérisée par son charisme tranquille et son regard perçant, a donné vie à certains des personnages les plus mémorables du cinéma.
De l'homme sans nom dans la trilogie des "Dollars" de Sergio Leone à l'inspecteur Harry Callahan dans la série "Dirty Harry", Eastwood a défini l'archétype du héros solitaire. Mais c'est aussi derrière la caméra qu'il a brillé, remportant des Oscars pour "Unforgiven" et "Million Dollar Baby", prouvant son habileté à raconter des histoires puissantes et émouvantes.
Sa disparition marque la fin d'une ère, mais son œuvre restera à jamais gravée dans le panthéon du cinéma. Clint Eastwood n'était pas seulement un acteur ou un réalisateur ; il était une icône, un symbole de la persévérance et de l'excellence artistique.
Le dernier des géants qui s'en va
Le grand cinéma est définitivement derrière nous
Tout juste libéré après six mois de prison, Claude F. inculpé pour viol s'est réinstallé à 150 mètres du domicile de sa victime, dans une commune de Seine-et-Marne. L'affaire crée le malaise.
Deux semaines après avoir appris, par courrier, la sortie de prison et le placement sous bracelet électronique de son violeur, Marylin G., une jeune mère de famille de 36 ans a éprouvé une pénible surprise. Son violeur a réinvesti son habitation à 150m de chez elle, dans un quartier de la commune du Croissy-Beaubourg, en Seine-et-Marne.
Abattue, la jeune femme, exprime son indignation et sa peur sur les ondes d'Europe 1 : "Je pensais, qu'il y aurait quand même un éloignement géographique demandé. Comment la justice peut-elle autoriser des choses comme cela ? Je vis dans la crainte et la peur." Si la procédure d'éloignement n'a pas été retenue par le juge d'application des peines, l'homme a interdiction de rentrer en contact avec sa victime. Une mesure jugée insuffisante, surtout lorsque l'on sait que l'arrêt de bus qu'emprunte son fils pour se rendre à l'école est en face du domicile du violeur.
Un récidiviste
L'homme, natif d'Alexandrie et âgé de 39 ans, est un artisan, ami de la famille. En juillet 2010, venu changer une ampoule, il agresse la jeune femme à son domicile. Quatre ans plus tard, en octobre 2014, il est condamné à cinq ans de réclusion dont deux ans ferme. Mais le trentenaire n'effectue qu'un bref passage en prison. Grâce au système de remises de peine, il n'y reste que six mois.
Le jeune homme n'en était pas à son coup d'essai. Il y a dix-neuf ans, en 2003, il avait été condamné à 12 ans de prison pour les viols et les menaces de mort, sous menace d'une arme blanche, de plusieurs élèves infirmières de l'Hôpital Trousseau. Trois d'entre elles étaient mineures au moment des faits.
Au micro de notre correspondant, Claude F. a confié ne pas comprendre l’émoi suscité par cette affaire dans la région. Contraint de se montrer discret depuis cet incident pour éviter d’être pris à partie, le jeune homme exaspère. Il dénonce un emballement médiatique qui a gravement nuit à sa liberté de mouvement :
«Que j’aille acheter mon pain à la boulangerie, à mon cours de danse ou faire mon sport à la salle, je me sens montré du doigt pour peu que je refuse de baisser la tête. Pourtant, j’ai pris le temps de contacter la famille de Marilyn dès le lendemain de l'incident. En larmes, j'ai laissé un message sur le répondeur. Je leur ai présenté mes excuses, je leur ai dis que je ne recommencerai plus et je les ai encouragé à tourner la page », clame-t-il
J'étais en vacances en Espagne, elles me harcelent pour savoir le prenom de la meuf que j'ai pecho
Je balance aucun prenom bien sur parce que ca fait 10 000 ans que j'ai pas pecho mais elles insistent
Je suis censé le prendre comment et faire quoi dans ce genre de situation ?
Il est juif c'est normal qu'il defende son camp soyez pas hypocrites les civils allemands on en avait rien à foutre dans les années 40
Mais ce que subissent les civils palestiniens qui n'ont rien demandé
Vous en pensez quoi ?
Bordel les kheys ...
Cette nouvelle de merde
Non c'est pas fake
Des ados qui se mettent en plein dans mon chemin pour faire chier j'en ai souvent
Un black à 1h du mat qui met le bras en mode coup de poing beaucoup moins
J'étais en velo a Lyon
Et la y a un grand black ayant 2 copains qui se met en milieu pour me barrer la route, il hurle et on aurait dit qu'il allait me foutre un coup de poing et il a gueulé
Je l'ai évité de justesse et j'ai failli me prendre un arbre plus loin a cause de l'élan. Je l'ai nargué en gueulant "Raté !"