300 000 resistants sur 40 millions d'habitants mais tout le monde a eu un grand pere resistant
meme pas 1 % de la pop a cette époque était resistante
Depuis les années 1970, le discours convenu répète qu’après Vichy et la collaboration, pendant trois décennies, les Français ont vécu avec de « consolantes certitudes », grosses d’oublis. L’une d’entre elles ferait d’eux un peuple quasi unanime dans sa volonté quotidienne de lutte, affirmation poussée jusqu’à la galéjade avec la caricature des 40 millions de résistants . Légende rose propice aux sarcasmes, dénoncée à juste titre comme une fable, et sans doute fabriquée en partie par ses détracteurs. De façon moins simpliste, des historiens affirment la réalité et l’influence prépondérante d’un résistancialisme gaullien ou gaullo-communiste qui aurait caractérisé, jusqu’à la période 1970-1980, la mémoire dominante des années noires. Mémoire lisse, amnésique, qui transmettrait une vision complaisante des comportements collectifs. C’est en particulier à leur sujet que la notion de mythe résistancialiste renvoie à l’idée de fable, de mystification, d’un honneur inventé.
Sur l’origine et la construction de cette représentation d’une nation exemplaire, voire héroïque, un rôle déterminant est attribué au général de Gaulle, à la force du verbe, à son prestige et à son idée de la France. Il aurait fait don de la Résistance aux Français. Au prix d’un mensonge qualifié tantôt de sublime, tantôt de patriotique, ou les deux à la fois, mais en accord sur ce point avec la mémoire communiste, il leur aurait fait croire qu’ils avaient résisté en masse et qu’ils s’étaient libérés par eux-mêmes. Cette analyse est en partie légitimée par plusieurs historiens. Elle attribue une influence exceptionnelle à l’homme du gaullisme de guerre et elle lui assigne un poids décisif dans la fabrication du rapport au passé. Présente dans de nombreux manuels scolaires, relayée et vulgarisée par le discours mémorio-médiatique, elle s’est progressivement installée comme une vérité d’évidence, composante de la vulgate sur le comportement d’ensemble de la population. Elle ajoute qu’il a fallu attendre la rupture culturelle des années post-1970, et son travail de déconstruction, pour que l’imposture soit enfin mise au jour et décryptée.
Les déclarations publiques du général de Gaulle, pendant et après l’été 1944, sont convoquées pour confirmer qu’elles ont institué, par leur répétition, la réalité du grand récit qui ferait de l’immense majorité des Français des résistants. Récit dans lequel ils se seraient reconnus, et auquel ils auraient durablement adhéré3. Une importance majeure est attribuée à l’allocution du 25 août 1944 à l’Hôtel de Ville de Paris, dans l’émotion et l’effervescence des événements. Un court passage est régulièrement cité comme le texte fondateur du conte sur la France héroïque. C’est le célèbre « Paris ! Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! Mais Paris libéré ! Libéré par lui-même… », montré et entendu des milliers de fois
Le 10 novembre 2023 à 19:39:38 :
ce forum de menteur
incroyable c'est statistiquement impossible moinq de 1 % de resistant en 39 45 dont une bonne partie d 'espagnols et d'arméniens 300 000 resistants sur 40 millions d'habitants les grands peres des kheys ses sans couilles qui se sont inventés une vie
Depuis les années 1970, le discours convenu répète qu’après Vichy et la collaboration, pendant trois décennies, les Français ont vécu avec de « consolantes certitudes », grosses d’oublis. L’une d’entre elles ferait d’eux un peuple quasi unanime dans sa volonté quotidienne de lutte, affirmation poussée jusqu’à la galéjade avec la caricature des 40 millions de résistants . Légende rose propice aux sarcasmes, dénoncée à juste titre comme une fable, et sans doute fabriquée en partie par ses détracteurs. De façon moins simpliste, des historiens affirment la réalité et l’influence prépondérante d’un résistancialisme gaullien ou gaullo-communiste qui aurait caractérisé, jusqu’à la période 1970-1980, la mémoire dominante des années noires. Mémoire lisse, amnésique, qui transmettrait une vision complaisante des comportements collectifs. C’est en particulier à leur sujet que la notion de mythe résistancialiste renvoie à l’idée de fable, de mystification, d’un honneur inventé.
Le 10 novembre 2023 à 16:24:20 :
Le 10 novembre 2023 à 16:22:42 :
il y avait 300 000 resistant en 39 45 soit meme pas 1% de la pop sur 40 millions d'habitants et beaucoup étaient espagnols et arméniens , donc le mythe du grand pere resistant c'est fake ca a été crée par De gaulle pour la reconciliation nationale beaucoup de khey se sont fait mytho par papy qui devait surtout poucav a la commandantur plutot que d'exploser des rails de chemin de ferTu oublies l'armée de la Libération https://fr.wikipedia.org/wiki/Arm%C3%A9e_fran%C3%A7aise_de_la_Lib%C3%A9ration
c'etait 90 % des troupes coloniales ....
Tu peux plus parler de rien sans te manger un ban def en quelqu secondes les forumeurs toxique qui sont la h24 prennent un plaisir a ddb en boucle
Je vais sur l.autre forum c est plus libre
Je prepare son ITW exclusive en diret du panama