Le pire c'est que tu connais pas le moment fatidique à l'avance.
Tu peux mourir de tout et n'importe quoi sans t'y attendre, tu jour au lendemain ton corps et ta conscience disaparaisse tu n'es plus rien sauf pour ceux qui vivent encore mais tu n'es même plus là pour savoir comment la vie continue...
Tu prends une pompe à air et tu fais un trou dans les tétons, tu pompes.
Un truc dans le même genre que les ballons, ça foit bien fonctionner je sais pas si ça gonctionne sur les boules d'un mec par contre
On dit heureux les ignorants, tu m'étonnes que tu vois des gens de ton âge "heureux" car ils sont certifiés conforme à la sortie d'usine.
Une métaphore pour te faire comprendre qu'ils ont souvent la même panoplie :
- Un trait de caractère inexistant en individuel, une existence liée étroitement aux autres
- Une conscience limitée de soi et du monde qui les entoure
Bref, je peux continuer longtemps mais leur bonheur ne vaut rien. C'est n'est qu'une apparence qui te fait du mal car tu les envies mais crois-moi bien que personnellement je ne veux pas être à leur place.
Métro boulot dodo, personne me contrôlera d'une façon ou d'une autre et je veux vivre "libre" le plus possible
Aujourd'hui la réalité c'est que tu peux naître n'importe où et êtren'importe qui, t'as aucun impact réel sur ta vie jusqu'à la mort.
Tout est imposé, les normes, les réseaux sociaux, c'est encore pire de nos jours
Poufiasse c'st mon insulte préféré elle m'éclate
Sinon y'a zizi, zezette, bistouquette ou fion
En même temps quand tu vois le taux de métissage culturel dans les écoles dès le plus jeune âge, iln'y a qu'une seule langue que tout le monde puisse comprendre. Une langue universelle : la bêtise humaine.
L'effet de mode pour être quelqu'un sans se rendre compte que pour être quelqu'un il faut déjà arrêter d'être "tout le monde"