Les femmes volent notre énergie sans nous donner en retour, ce sont donc des parasites. A la limite elles nous prêtent leurs corps pour que l'on retrouve les sensations de notre état originel - le sexe lèse profondément le moi qui est bisexué, qui dans son intégrité et sa plénitude serait mâle et femelle, androgyne - via la pénétration mais même avec cela, elles sortent gagnantes. Une femme est, par son essence et par nécessité, un parasite, une exploiteuse, une voleuse. Tout ce que vous pouvez faire, c'est de les accepter comme elles sont et de les prendre comme elles sont faites, vous faire voler et payer ponctuellement le tribut. Elles ne vous donneront jamais rien, vraiment rien: ni une idée, ni un peu de force et moins encore un entrainement vers les hauteurs divines auxquelles l'esprit inquiet a toujours aspiré. La femme n'est qu'une créature sexuelle, sa vie sexuelle est toute sa vie qui la saisit toute entière. Il ne faut pas la considérer au-delà de sa nature.
Créatures de l'autre sexe, laissez moi vous dire ceci! Votre mépris a une telle saveur ; comme il agite et excite votre haine ! Méprisez-nous et haïssez-nous toujours plus, avec toujours plus de fougue et de constance : dans votre désapprobation se niche notre salut, et dans votre exécration, le philtre qui nous rend plus jeunes. Nous sommes prêts à recevoir vos coups ; nous attendons vos crachats comme des aspersions bénies et nous invoquons vos blessures en gage de rédemption.