Le 18 mai 2019 à 11:06:01 [E]ternity a écrit :
Stannis plus grand stratègeC'est quoi ses faits d'armes ?
Ah oui il a tenu Accalmie jusqu'à manger ses oncles face à ..... MACE TYRELL !!!! Le plus grand pleutre de l'histoire des 7 Couronnes !
Ensuite ... ah oui défait sur l'eau face aux Greyjoys
puis bien longtemps après défait sur la Néra, puis ah oui quand même pardon il arrive à mettre en déroute les sauvageons - QUEL GRAND STRATEGE - puis on continue ... ah oui face à un vrai stratège ... bah il perd ^^ et puis ? ah oui puis il est mort
ONE TRUE KING
Le 29 avril 2019 à 22:01:22 The_Professor15 a écrit :
Le 29 avril 2019 à 21:55:52 NasiqueFit a écrit :
Oui bien sur le Roi de la nuit defonce John Snow en 1vs1
T'en a d'autre des comme ça ?Euh oui en fait. Quand on shoote un dragon en vol à 800 mètres minimum, c'est qu'on a un tout petit peu de force, non ?
laisse le dans son univers...
Le 29 avril 2019 à 21:55:52 NasiqueFit a écrit :
Oui bien sur le Roi de la nuit defonce John Snow en 1vs1
T'en a d'autre des comme ça ?
t'es complètement un fan boy 2IQ
Le 29 avril 2019 à 19:56:41 Multikiller64 a écrit :
Le 29 avril 2019 à 19:19:44 LALOIDUMAUVAIS a écrit :
Le 29 avril 2019 à 18:44:37 PeakyPK a écrit :
Theon, Jaime, Sansa sont clairement plus intéressants comme personnage
Arya n'a aucune évolution sauf en force et maniement d'armesSoit on a pas vu la même série, soit t'es taré toi
Theon et Jaime je veux bien mais Sansa bordel !!
tu peux pas nier son évolution incroyable, passé de meuf casse bonbons, à une femelle alpha.
Le 21 avril 2019 à 15:15:39 Anhedonie01 a écrit :
Kheyette du 18-25 qui se faisait passer pour un homme, connue sous les pseudos KafirDeter, PomeloSuffisant, CitronFier et tant d'autres, je dévoile les pratiques de la psychiatrie en Belgique. Ceux qui n'aiment pas les pavés passent leur chemin.Je m’appelle Alicia, je suis belge, j’ai fêté mes 29 ans fin novembre 2018. C’est à cette époque que j’ai présenté une première phase haute bipolaire par le psychiatre qui me suivait depuis 2 ans pour fatigue chronique. Je suis devenue hyperactive et ne savait plus dormir.
Le psychiatre m’a prescrit de l’abilify. En une dizaine de jours, j’ai mal réagi au traitement et j’ai été prise de spasmes, de mouvement involontaire, de douleurs dans les jambes et d’un trouble nommé akathisie. J’ai également eu des difficultés à respirer. Je ne savais plus tenir en place. J’ai du arrêter le traitement d’un coup. Je me suis rendue chez mon psychiatre pour savoir ce qui m’arrivait, le psychiatre m’a dit que comme j’avais arrêté le traitement depuis une quinzaine de jours ça ne pouvait pas être l’abilify. Il m’a donné un correcteur.
Les spasmes se sont atténués, j’ai écrit un rapport sur tout ce qui m’arrivait. Je suis rentrée chez ma marraine parce que je ne me sentais pas bien. Nous sommes allées chez le médecin traitant qui m’a prescrit du loramet pour dormir. A un moment j’ai été prise de mouvement de bassin incontrôlables, et j’ai terminé aux urgences psychiatriques. Je voulais pleurer mais les larmes ne coulaient pas. En voyant le psychiatre de garde je lui ai dit ʺ je veux mourir ʺ . Je tremblais de partout. Il m’a regardé d’un air compatissant et m’a dit que j’avais été victime d’effets que je ne peux pas maîtriser. Je lui ai demandé si c’était possible d’avoir quelque chose pour dormir. Il m’a ramené un comprimé que je pensais être un somnifère. Je l’ai avalé sans me poser de question. Il s’agissait en fait de quetiapine. Immédiatement je me suis remise à étouffer. On m’a donné de la bromacriptine. 2 jours plus tard je me suis réveillée. J’ai paniqué, je n’entendais plus mes pensées, je me balançais dans le lit en disant ʺ je n’entends plus mes pensées je n’entends plus mes pensées ʺ et là quelque chose a éclaté dans ma tête et je me suis détendue. Je n’avais plus aucune émotion. J’avais même perdu le sens du toucher et ne me reconnaissais plus dans le miroir.Ma famille et mon copain venaient me voir et je leur disais avec indifférence que je ne ressentais rien. Je faisais des exercices de physique sur ma tablette pour aider mon cerveau à se remettre. Au bout d’un certain temps, je dirais une semaine, les psychiatres voyant que mes émotions ne revenaient pas ont conclu que j’étais bipolaire phase basse et m’ont prescrit de l’effexor. Au début de traitement à 37,5mg j’ai ressenti quelque chose comme de l’espoir, je n’avais pas spécialement d’émotions mais je riais. Je pouvais rentrer chez moi les we et à Noël, le séjour à l’hopital n’était de toute façon prévu que pour 3 semaines.
Au bout des 3 semaines, j’ai pu rentrer chez moi, mes émotions n’étaient toujours pas revenues, le médecin qui s’occupait de moi m’a demandé ʺ mais on a servi à quoi alors ? ʺ. Je l’ai regardé sans lui répondre. Quoi qu’il en soit j’ai suivi les recommandations du médecins et ai augmenté la posologie à 75mg. J’ai commencé à avoir des attaques de panique, des insomnies, des sueurs, des courbatures dans tout le corps, des vibrations internes et des spasmes musculaires. Je n’avais toujours pas récupéré mes émotions. J’ai téléphoné à mon père, ne pouvant toujours pas pleurer, je hurlais que j’allais mourir sans émotions.
Je suis retournée d’urgence chez ma marraine pour être surveillée, j’ai arrêté l’effexor, tout les problèmes ont disparu sauf l’insomnie et l’absence d’émotions. Mes battements cardiaques ne se sont pas remis non plus, je suis restée à 90 battements cardiaques alors qu’avant les médicaments j’étais à 65.
J’ai fait des cauchemars où j’étais un zombie, un squelette, ou une deuxième personnalité rampait sur moi et arrachait ma personnalité de mon propre corps et rentrait dedans en disant qu’elle ne me laisserait plus jamais revenir.
Après 3 mois mes émotions et mes pensées commençaient doucement à revenir, mais très lentement. Le psychiatre m’a prescrit du wellbutrin en disant que c’était impossible que ce soit le neuroleptique qui soit en cause. Au début je ne voulais pas le prendre. Puis j’ai craqué, j’en étais à 4 stilnox pour dormir 6h. Du coup j’ai pris le wellbutrin, le premier et deuxième jour j’ai eu l’impression d’avoir un certain relief. Le troisième jour, j’ai senti de grosses douleurs dans mes bras et mes jambes puis plus rien. De nouveau, plus d’émotions, plus de pensées.
Perte du réflexe de mon pied. Perte du réflexe du genou. Plus rien.
J’ai compris que quelque chose s’était cassé. Je n’arrivais plus à réfléchir.
J’ai voulu sauter du haut d’un toit et ai été emmenée d’urgence à l’hôpital dans un combi de police, où j’ai du expliquer mon cas en 2 minutes. De la, la psychiatre m’a saisi le bras et m’a dit que j’étais en état de choc, que je devais être hospitalisée d’urgence, et qu’elle allait me faire une piqure d’haldol pour me calmer. J’ai voulu m’en aller, j’ai été saisie par 2 policiers et des infirmiers et conduite dans un isoloir, j’ai frappé de toutes mes forces sur la porte en criant que je voulais voir un neurologue. On m’a piquée 2 fois avec de l’haldol, je n’ai pas dormi, mais ma peau s’est endormie et j’ai eu des douleurs partout. La psychiatre est passée devant l’isoloir, a ri et a dit ʺ elle ne dort pas ʺ. J’ai passé ma nuit sans dormir, allongée sur un matelas par terre. J’ai eu droit à un sandwich sec au matin.
Ensuite rapidement on m’a placée des capteurs sur le crâne, demandé de regarder à gauche, à droite, on a rapidement vérifié mes réflexes aux bras, on a sur cette base conclu que je n’avais rien sur le plan somatique.
J’ai été donc internée de force. J’ai été enfermée une semaine à l’isoloir, on m’a immédiatement administré des médicaments que j’ai pris sans me poser des questions, toujours sans émotions et sans pensées. Ensuite ils ont décidé d’instaurer un traitement. Je ne voulais pas prendre les médicaments qu’on me donnait, le psychiatre m’a dit que je devais admettre que j’avais une maladie, sinon je n’avancerais jamais dans la vie. Je crachais tout leurs médicaments, ils ont fini par le découvrir. Je suis maintenant obligée de suivre le traitement, je ne vais pas mieux, je vais encore moins bien, je ne sais plus pleurer, je souffre d’insomnie presque totale, j’ai encore moins d’émotions du coup le psychiatre veut augmenter les doses. J’ai la tête qui tourne quand je me lève, je vois très flou. Mes battements cardiaques sont montés à 140, on m’a donné du bisaprolol.
Pour eux tout est psychosomatique, de la maladie du foie que j’ai développé, en passant par le fait que du jour au lendemain en prenant ces médicaments j’ai perdu mes pensées, mon amour pour mes proches notamment mon conjoint depuis 13 ans, mes passions (lecture, paléogénétique, jeux vidéo, infographie 2D-3D) jusqu’aux battements cardiaques que j’avais à 65 avant les médicaments, documents médicaux à l’appui. Mon QI, je le sais, a fortement baissé.
Pour eux l’anhédonie s’accompagne d’avolition, chose que je n’ai pas encore totalement parce que je sais comment j’étais avant et que j’ai une seule envie : redevenir normale.
J’ai demandé à changer de clinique, je voulais aller en neuro-psychiatrie que je suppose plus sérieux, mais manque de chance, la clinique en question ne fait pas partie du complexe psychiatrique où je suis actuellement, je peux donc seulement quitter Lierneux pour aller au petit Bourgogne, qui fait partie du complexe ISOSL. Tout ça est une histoire de sous, les mendiants drogués suicidaires dans la rue, on ne les interne pas, on les laisse crever dehors.
Actuellement en we chez moi, je dois rentrer à l'asile ce soir, et suis transférée mardi.
Depuis l'haldol je ne sens plus mes dents, ma peau et j'ai une pression sur la tête.
COURAGE. J'ai jamais, vécu ou connu quelqu'un qui a eu des problème d'ordres psychologie, (je dis pas que t'es folle juste tout ce qui est bipolarité, dépression, alzheimer etc..), mais bonne chance, abandonne pas.
Le 17 mars 2019 à 17:10:55 DieuSpyOunet a écrit :
C'est mon anniversaire l'auteur, je t'accorde le droit de continuer la fic
whaou, quelle modestie.
Le 16 août 2018 à 03:34:06 Eliosun a écrit :
-Mon père est allé en prison alors que je fais des études de droit ( on va dire que ça m’a motivé) , je le déteste pas et je l’aime , je suis convaincu que c’est une erreur de justice ( pas en France).-J’arrive pas à oublier mon ex quoi que je fasse elle me hante , j’arrive pas a prendre de plaisirs avec les autres filles à cause de ça et je suis limite impuissant ( j’arrive a bander après beaucoup d’efforts). Mais avec ma réputation de yes-life je dois faire « genre » c’est parce que je suis bourré
- j’ai des énormes flash-back des fois , à la vietnam vous voyez ce que je veux dire ? J’ai une scène dans ma vie qui m’a énormément marqué et je phase complètement pendant 30-45 minutes avant de redevenir normale. Un jour j’avais tellement besoins de parler de ce qu’il m’est passé que pendant une séance contre l’harcèlement de merde au collège j’ai tout dit , tout de A à Z , mes camarades ce sont moqués de moi et j’ai perdu beaucoup de potes à cause de ça , et j’ai dû reconstruire une réputation , alors que c’est extrêmement hardcore ce qu’il s’est passé , mais je me sens pas en parler a quelqu’un ici , plus jamais. Je sue des grosses gouttes en parlant de ça alors que je ne devrais même pas avoir honte vu qu’ils étaient plusieurs. C’est comme ça .
Si tu veux te confier pour te libérer (un peu) je suis là khey