Outre la drôlerie du schéma l'auteur souligne un point intéressant et capital qu'il convient d'avoir en tête à tout moment : vous évoluez dans une grande ville, vous voyez une personne se faire agresser par une bande de maghrébins ou de subsahariens et vous ne savez pas si vous devez intervenir ou rester de marbre. Moi, je vais vous donner un conseil : SI VOUS TENEZ À LA VIE, BARREZ-VOUS.
Les gens dont nous parlons agressent des gens en bande organisée tout en étant armés au mieux de couteaux et matraques, au pire de flingues. Qu'est-ce que vous espérez faire, sérieusement ? Vous voulez vous prendre un coup de couteau et risquer de crever au seul titre de vouloir passer pour un bonhomme devant les dames ?
Quand allez-vous finir par comprendre que LA GUERRE CIVILE A DÉJÀ COMMENCÉ et que vous risquez votre VIE en agissant de la sorte ? C'est drôle, au sein de la France profonde, dans les campagnes, ce genre d'histoire n'existe pas. Savez-vous pourquoi ? Parce que les hommes règlent leurs différends à l'ancienne ; une bagarre reste une bagarre et on ne cherche pas à égorger son voisin pour un oui ou pour un non. En ville, la situation est très différente.
Vous souhaitez réagir et prouver que vous êtes des hommes ? Bien : communautarisez-vous, résistez à l'invasion, préparez-vous à la guerre civile, mais en aucun cas ne risquez votre vie inutilement.