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Quel plaisir les tds en maths

Je commence à regretter de ne pas être aller en MPSI

Le 05 octobre 2022 à 18:12:18 :
Les clés, quelles sont les meilleures écoles étant accessibles, je veux dire les écoles dont le ratio prestige/difficulté à avoir est le plus grand ?

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Dans un premier temps, au moins 129 personnes , dont deux policiers, ont été tuées et près de 200 blessées dans une flambée de violence après un match de football, lorsque des supporters se sont rendus sur le terrain parce que leur équipe avait perdu sur l' île indonésienne de Java . Dimanche.

Cependant, les autorités indonésiennes viennent de porter à 174 le nombre de morts de la bousculade lors du match de football.

La police, qui a fait usage de gaz lacrymogène, a indiqué que les émeutes se sont produites samedi soir au stade Kanjuruhan , dans la province de Java oriental , lors d'un match au cours duquel l' équipe d' Arema a été battue 2-3 par Persebaya Surabaya .

Comme l'a expliqué le chef de la police de Java oriental, Nico Afinta, lors d'une conférence de presse, 24 personnes ont perdu la vie à l'intérieur du stade , tandis que les autres sont décédées à l'hôpital.

Un directeur d'hôpital a déclaré à la télévision locale qu'un garçon de cinq ans faisait partie des victimes.

Au moins 180 autres personnes ont été blessées dans les événements et sont sous traitement médical dans différents hôpitaux de la région.

Afinta a indiqué que la plupart des décès sont survenus à la suite de la bousculade des fans, qui tentaient de fuir le combat général, lorsque des dizaines d'entre eux ont étouffé.

C'était un espace bondé, ce qui provoquait des difficultés respiratoires, un manque d'oxygène

"C'était un espace plein de monde, ce qui provoquait des difficultés respiratoires, un manque d'oxygène, ce que l'équipe médicale et l'équipe conjointe ont tenté de faciliter dans le stade", a expliqué le commissaire.

Après le drame, le président indonésien, Joko Widodo, a exprimé "ses plus sincères condoléances" et annoncé avoir demandé "une évaluation exhaustive de l'exécution des matches de football " et "des procédures de sécurité pour leur célébration", ainsi qu'une enquête pour "découvrez en profondeur" les événements de Malang.

"J'ai demandé au ministre de la Santé et au gouverneur de Java oriental de superviser les services médicaux spéciaux pour les victimes qui sont soignées dans les hôpitaux afin qu'ils bénéficient du meilleur service", a ajouté le président dans un discours télévisé.

La spirale de la violence a commencé lorsque près de 3 000 fans de l'équipe perdante ont pris d'assaut le terrain et ont commencé à attaquer les joueurs , déclenchant un affrontement féroce avec les forces de sécurité, qui ont utilisé des gaz lacrymogènes pour tenter d'arrêter les attaques.

Dans les images et vidéos diffusées sur les réseaux sociaux, on voit comment une foule enragée envahit le terrain, tandis que les équipes et les arbitres tentent rapidement de fuir le terrain pour éviter la fureur des supporters.

Critique pour l'utilisation de gaz lacrymogène
L'utilisation de ces gaz par la police a été critiquée par certaines entités internationales, comme Amnesty International , qui a exhorté les autorités indonésiennes à mener une "enquête rapide, approfondie et indépendante sur l'utilisation de gaz lacrymogène dans le stade".

L'organisation a souligné que "les gaz lacrymogènes ne doivent jamais être tirés dans des espaces confinés" en raison de leur niveau de danger élevé et a rappelé que les règlements de sécurité des stades de la FIFA interdisent le transport ou l'utilisation de soi-disant "gaz de contrôle des foules".

"Les gaz lacrymogènes ne doivent être utilisés pour disperser les foules que lorsque des violences généralisées se sont produites et lorsque d'autres méthodes ont échoué. Les gens doivent être avertis que les gaz lacrymogènes seront utilisés et autorisés à se disperser", a déclaré dans une note le directeur exécutif d'Amnesty International, Usman. Hamid.

Mahfud MD, ministre coordinateur des affaires de sécurité, a révélé quelques irrégularités dans la célébration de la rencontre , comme la vente de 42 000 billets, alors que le stade n'a qu'une capacité de 38 000 spectateurs.

Malgré les premières informations et ce que l'on peut voir sur les images, il a souligné que l'épidémie n'avait rien à voir avec une confrontation entre supporters des deux équipes, car les supporters de Persabaya n'étaient pas autorisés à assister au match. "Les victimes sont généralement mortes en poussant, en serrant et en piétinant, et par manque d'air" , a déclaré le ministre sur Instagram. "Il n'y a eu aucune victime de passages à tabac ou de persécution entre les fans."