Le 15 avril 2021 à 17:02:09 :
Sa gueule pourrie fait que je n'ai jamais pu l'écouter plus qu'une 20 aine de seconde. Déso.
Tu t'y feras jeune égaré, et puis l'univers enchanteresque des DOM-TOM compense largement.
Petit livre de Rochedy « Nietzsche l’actuel »
Petites douches froides de surhomme
Petite formation pour devenir viril
Petite vidéo de Valek
Petit ebook de 30 pages à 20 euros d'El Rayhan
Petit antiracisme de pilule bleue
Petit exemplaire du Gai Savoir
Petit phénotype "méditerranéen"
Petite douche froide
Petite maxime latine pour briller
Petit commentaire d'idiot sous les vidéos de Moizi
Le 17 mars 2021 à 14:28:13 AzizZz010 a écrit :
Le 17 mars 2021 à 14:27:15 Reprouvable a écrit :
Hegel puisqu'il a inspiré Marx.tu voulais dire Engels je pense.. tu n'aurai peut être pas tord pour le coup
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494048058-pppppppppppppppppppp.png
Non il voulait dire Hegel.
Sinon pour la répondre à la question ça n'existe pas dans l'histoire de l'Humanité, donc encore moins au 21ème siècle. Le seul compétiteur serait Aristote mais ce serait un peu tiré par les cheveux.
Y'a quelques intuitions dans ce que tu dis mais Cioran le dit mieux.
« A un étudiant qui voulait savoir où j’en étais par rapport à l’auteur de Zarathoustra, je répondis que j’avais cessé de le pratiquer depuis longtemps. Pourquoi ? Me demande-t-il. Parce que je le trouve trop naïf. Je lui reproche ses emballements et jusqu’à ses ferveurs. Il n’a démoli des idoles que pour les remplacer par d’autres. Un faux iconoclaste, avec des côtés d’adolescents, et je ne sais quelle virginité, quelle innocence, inhérentes à sa carrière de solitaire. Il n’a observé les hommes que de loin. Les aurait-il regardés de près, jamais il n’eût pu concevoir ni prôner le surhomme, vision farfelue, risible, sinon grotesque, chimère ou lubie qui ne pouvait surgir que dans l’esprit de quelqu’un qui n’avait pas eu le temps de vieillir, de connaître le détachement, le long dégoût serein.
Bien plus proche m’est un Marc Aurèle. Aucune hésitation de ma part entre le lyrisme de la frénésie et la prose de l’acceptation : je trouve plus de réconfort, et même plus d’espoir, auprès d’un empereur fatigué qu’auprès d’un prophète fulgurant. »