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A peine le sms envoyé elle me réponds de suite, m'appelle par mon prénom (la maligne) et me réserve un moment de son emploi du temps.
Elle me reçois avec toute la gentillesse qu'elle peut offrir, me fait entrer et me demande si je suis bien propre et préparé. Comme je ne suis plus une bleusaille, le ménage avait été fait en profondeur. Dès qu'elle a su que j'étais prêt, l'ambiance a subitement changé.
Elle m'a mis à genoux face à son entrejambe, a relevé sa petite robe là j'ai relevé la tête et ai remarqué que son sourire avait changé. On était passé d'un regard plein de gentillesse et d'hospitalité à ce que je pourrais qualifier de sourire carnassier, j'étais dorénavant sa chose...
Vous avez certainement remarqué que cette charmante personne était légèrement dominante, c'est intrinsèque à sa personnalité.
Me voici donc face à la trompe. Elle me la met en bouche et l'enfonce jusqu'à mes tréfonds. Jusque là je maitrise, elle est encore en sommeil. Puis tenu par une poigne certaine derrière la tête, je sens la bête prendre du volume. Petit à petit elle prend toute la place, la glotte est largement enfoncée et tente de s'élargir à la mesure de ce doux corps étranger.
La belle, sentant probablement que je suis à la fin de mes capacité d'apnée, desserre son étreinte et retire son magnifique vit d'une longueur approchant ma règle d'écolier d’antan, me dis-je sur le coup...
Là elle m'indique le coin de son lit (ah ces miroirs où l'on peut prendre conscience de l'image que l'on renvoie, et bien sur de cette très belle femme qui vous besogne) et me dit de prendre la pose mes cuisse de chaque côté du matelas. Et là c'était parti. Je me suis fait dégonder comme cela faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé. Pas de répit!
Son membre incroyablement durci m'investit de toute sa puissance déclenchant en moi une jouissance à chaque aller/retour défonçant ma rondelle interne (pas celle qui se trouve à notre orifice, mais bien l'autre qui déclenche la jouissance) jusqu'à me faire pleurer le chibre...
Ça a bien duré un bon quart d'heure, je n'en pouvait plus...
Puis elle s'est allongée sur le dos, la tête au bord du matelas et m'a pris en bouche. Quel plaisir! Elle sait y faire la bougresse!
Voyant qu'elle appréciait vraiment, je me suis permis de à mon tour de lui enfiler, bien plus modestement, mon engin jusqu'à la glotte, ce qu'elle a eu m'ait de réellement goûter...
Je ne sais pas si ce fût pour me rendre la monnaie de ma pièce, mais elle me remis à genoux et entreprit de me ramoner sérieusement l’œsophage (heureusement j'avais pris la précaution de sauter le déjeuner).
Jamais personne n'étais allée aussi profond !!!
Au bout d'une bonne heure elle m'a intimé l'ordre de me faire jouir, ce que je n'ai pas manqué de faire. Et là ce fut l'explosion me laissant vidé à ses pieds, j'en ai encore la trique rien que dit penser...
Voilà, elle avait retrouvé son sourire plein de gentillesse, puis j'ai pris ma douch et suis reparti le cœur étonnamment léger...
un mardi comme on en redemande
