Selon le secrétaire général de la préfecture, la plupart des individus opposés aux forces de l'ordre durant ces deux nuits sont des jeunes de 13 à 17 ans, originaires d'Afrique subsaharienne et de Mayotte. Depuis, aucun nouvel incident n'a été signalé, mais certains habitants évoquent leurs craintes de voir le quartier être le théâtre d'une «guérilla»: «On m'avait vendu du rêve avec ces immeubles dans le quartier. J'insiste là-dessus, mais aujourd'hui, je n'ai pas envie de payer un loyer pour être au milieu d'une guérilla», confie l'un d'eux au quotidien Le Populaire du Centre .
Un jeune de homme de 18 ans, originaire du Congo qui a semé le trouble dans le tramway, à l'occasion d'un contrôle, était jugé en comparution immédiate, lundi.
C’est une affaire de violence qui, comme le soulignent le parquet et la partie civile, aurait pu ne pas avoir lieu. Vendredi dernier, à Clermont-Ferrand, un jeune homme de 18 ans monte dans le tramway sans ticket. Il tombe nez à nez avec un contrôleur. Celui-ci, magnanime, lui demande de descendre. Or, il reste. Le tramway repart.
Ils ont tous les deux été arrêtés dans la nuit du samedi à dimanche 7 août et placés en garde à vue.
Deux hommes, suspectés de déambuler en plein centre-ville de Montpellier armés d’une machette, ont été arrêtés dans la nuit du samedi à dimanche 7 août et placés en garde à vue.
Grâce aux signalements de plusieurs commerçants, le premier, un Guinéen âgé de 25 ans, a été contrôlé par un équipage de police secours, à minuit, sur l’esplanade de Gaulle. Sur lui, les forces de l’ordre ont mis la main sur un large couteau, des pochons d’herbe de cannabis d’un poids total de 13 g ainsi qu’une petite sacoche dans laquelle ils ont découvert un téléphone portable et une carte bancaire appartenant à un tiers.
Un jeune majeur guinéen a été interpellé samedi après-midi chez Undiz, magasin situé rue Dombey à Mâcon spécialisé dans la vente de lingerie, pyjamas et maillots pour femmes.
Il est défavorablement connu des services de police pour des troubles manifestes à l’ordre public, le plus souvent en état d’ivresse. Samedi, il s’est une nouvelle fois manifesté sous ses plus mauvais jours. Une nouvelle fois, c’est sous l’emprise de l’alcool que le jeune majeur a fait parler de lui.
Un centre de rétention à Marseille
Après être entré dans la boutique Undiz, il s’est mis à copieusement insulter le personnel et les clients avant d’effectuer quelques dégradations à l’intérieur du commerce. Interpellé puis emmené au commissariat de Mâcon, il a été entendu par les enquêteurs.
Un homme de 19 ans a été agressé à deux reprises par trois individus dans le parc de Beauregard, à Rennes, au mois de mai dernier. Ses agresseurs ont été condamnés à plusieurs mois d’emprisonnement.
Trois mois après la double agression d’un jeune Guinéen de 19 ans dans un parc de la ville de Rennes, trois hommes ont été condamnés. Les faits se sont déroulés dans le parc de Beauregard, dans le nord-ouest de la ville, au mois de mai dernier.
Le 28 août 2022 à 01:27:24 :
Le 28 août 2022 à 01:22:55 :
Le 28 août 2022 à 01:18:27 :
psychopathe, mais les droitardé vont t'expliquer que tous les ivoriens sont comme ça. Sortez vos trou du cul d'internet et partez explorer le vrai monde les perdantsPerso, je suis allé trois fois en côte d'Ivoire et à chaque fois, on a tenté de me planter (dont une fois deux mecs en moto on voulu me flinguer). C'est simplement dans les habitudes.
VRAI
Sérieux ?
Le gérant d’un bureau de tabac de Bonneuil-sur-Marne, dans le Val-de-Marne, a été victime d’un violent vol à l’arraché, ce mardi matin, selon nos informations. Vers 6h45, alors qu’il ouvrait son commerce place des Libertés, l’homme a été surpris par derrière par trois individus masqués et vêtus de noir, qui l’ont agrippé, étranglé et lui ont dérobé sa gourmette en or.
Le buraliste s’est débattu et a réussi à faire fuir les assaillants en direction du magasin Leclerc avant de hurler sa colère en pleine rue, montrent les images de vidéo-surveillance que s’est procuré Valeurs actuelles. Sur les trois auteurs, deux sont de type « africain » et un de type « nord-africain », précise une source policière.
La victime, légèrement blessée, présente des égratignures au poignet droit et des traces d’étranglement au cou. Elle n’a pas souhaité l’assistance des sapeurs-pompiers et devrait déposer plainte prochainement.
La victime, âgée de 31 ans et enceinte de 8 mois, est décédée mercredi à l'hôpital. Son mari et la deuxième compagne de celui-ci, tous deux de nationalité sénégalaise, comparaissent pour meurtre avec acte de torture et barbarie.
L'homme soupçonné d'avoir tué son épouse enceinte de huit mois mercredi à Montargis (Loiret) va être présenté vendredi 5 août, avec sa deuxième compagne, devant le pôle criminel d'Orléans pour meurtre avec acte de torture et barbarie, a annoncé le procureur de la République de Montargis.
«Les infractions qui seront reprochées peuvent être qualifiées de meurtre précédé, accompagné ou suivi d'un autre crime, (...) constitué d'actes de torture et barbarie», a déclaré lors d'une conférence de presse le procureur de la République Loïc Abrial, en précisant que l'information judiciaire serait confiée à un juge d'instruction du pôle criminel d'Orléans. Le procureur a requis les placements en détention provisoire du mari de la victime et de sa deuxième compagne, elle aussi enceinte. Ils sont tous deux de nationalité sénégalaise.