La victime se trouvait à un arrêt de bus le 2 juillet dernier à Nantes (Loire-Atlantique) lorsqu'elle avait été enlevée puis violée par un automobiliste. Après de longues semaines d'investigations, les policiers ont interpellé vendredi l'auteur présumé des faits.
Un homme âgé de 49 ans, d'origine Malienne soupçonné d'avoir enlevé et violé une fillette de 11 ans en juillet dernier, a été interpellé ce vendredi matin dans le quartier Malakoff, à Nantes rapporte Ouest France. Il a été placé en garde à vue dans les locaux de la sûreté départementale, en charge de cette enquête.
Mardi 23 août dans la soirée, une jeune femme résidant à Vienne a déposé plainte dans un commissariat lyonnais pour viol. Les faits se seraient déroulés dans le quartier de la vallée de Gère où cette jeune femme raconte avoir rencontré deux hommes, deux étrangers en situation irrégulière.
Mardi 23 août dans la soirée, une jeune femme résidant à Vienne a déposé plainte dans un commissariat lyonnais pour viol. Les faits se seraient déroulés dans le quartier de la vallée de Gère où cette jeune femme raconte avoir rencontré deux hommes, deux étrangers en situation irrégulière.
Le 28 août 2022 à 01:16:58 :
Ba quoi il fait ce qu il veut et ya sûrement une raison derrière
«je ne peux pas imaginer ce qui aurait pu arriver»
Deux garçons ont harcelé et agressé plusieurs filles ce jeudi à la piscine de Rozebroeken à Gand. L’une d’elle est la fille de Frédéric Dupré, ancien footballeur professionnel passé notamment par le Standard. Ce dernier, en colère témoigne.
Jeudi, à Gand, deux garçons ont été sortis de l’eau de la piscine de Rozebroeken par les sauveteurs présents avant que la police ne prenne le relais. Comme l’explique le Nieuwsblad, les deux mineurs auraient harcelé et agressé plusieurs filles. Des faits graves pour lesquels ils ont été auditionnés au commissariat avant d’être relâchés.
Une décision que ne comprend pas Frédéric Dupré. L’ancien footballeur professionnel, passé notamment par le Standard et Zulte, est le papa d’une fille de 13 ans. Une adolescente traumatisée par une après-midi amusante « qui s’est transformée en cauchemar ». « Elle était choquée, ces gars-là étaient très agressifs », confie-t-il à nos confrères flamands. En effet, comme elle l’a raconté à son papa, les deux garçons lui auraient « peloté » les seins ainsi que les organes génitaux.
Maixent D. est jugé devant la cour d’assises d’Indre-et-Loire pour avoir tué par arme blanche Bertrand L., l’homme qui l’hébergeait à Joué-lès-Tours à la mi-décembre 2018.
Lorsque des cris percent la nuit du 11 au 12 décembre 2018, les résidents de l’immeuble de l’avenue Victor-Hugo à Joué-lès-Tours n’imaginent pas la scène qui vient de se jouer dans l’appartement de Bertrand L.. Une simple dispute, songent-ils. En réalité, vingt-huit coups de couteau viennent de s’abattre sur leur voisin de 56 ans, de la main de Maixent D., un étudiant ivoirien de 22 ans, hébergé depuis peu à son domicile.
Cinq jours plus tard, le 17 décembre, ce dernier propose à deux inconnus de boire un verre dans l’appartement de Bertrand L.. L’un d’eux s’étonne bientôt de l’odeur putride qui imprègne le logement.
Alors que Maixent D. est endormi dans le salon, l’invité se rend dans la salle de bain où il remarque des traces de sang séché et un couteau. L’odeur, insoutenable, se fait plus forte. Il pousse alors la porte de la chambre et découvre le corps de Bertrand L., dissimulé sous un matelas.