Le 27 août 2022 à 03:17:02 :
Et jean-charles usine qui bosse 12h par jour se prend des PV car il dépasse la vitesse de 0.5 km/h
Et se fait retirer son permis pour lui inculquer les valeurs de la République
Le 27 août 2022 à 03:10:28 :
Le parquet déplore l’absence d’arrestations
Ca aurait servi à quoi ? Ce même parquet aurait requis du sursis contre ces messieurs
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Un petit rappel à la loi pour inciter nos chances à arrêter de foutre la merde en France.
Les deux femmes, de 28 et 29 ans, se trouvaient dans un parc de Fontenay-sous-Bois jeudi vers 1H30 quand deux hommes ont commencé à les insulter copieusement “car elles se tenaient la main“, a relaté à l’AFP une source policière. Les deux femmes ont été touchées au niveau des fesses et de la poitrine, d’après cette source policière, et, alors qu’elles se trouvaient dans leur véhicule après avoir fui, ont essuyé des jets de projectiles.
“Vous êtes des meufs, bande de lesbiennes, je baise vos mères“, leur ont lancé les deux hommes, a rapporté une source proche du dossier. L’une d’entre elles a ensuite pris un coup de poing au niveau du nez, selon cette source. Une enquête en flagrance a été ouverte pour violences en réunion en raison de l’orientation sexuelle et agression sexuelle et confiée au commissariat de Fontenay-sous-Bois, a indiqué le parquet de Créteil, sollicité par l’AFP. Les victimes ont annoncé vouloir déposer plainte, a précisé le ministère public.
Dans “Apolline Matin” ce jeudi sur RMC et RMC Story, le maire communiste de Port-de-Bouc (Bouches-du-Rhône) a lancé un appel à l’aide face au trafic de drogue dans sa ville. Il demande au ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, la mise en place de moyens de police.
“Nous avons besoin de cette aide parce que la population est exaspérée”. Le maire communiste de Port-de-Bouc, une ville des Bouches-du-Rhône de 17.000 habitants entre Marseille et Arles, lance un appel au ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, pour lutter contre le trafic de drogue. “Nous savons que les trafics sont importants, explique Laurent Belsola dans ‘Apolline Matin’ ce jeudi sur RMC et RMC Story. Vous avez vu les dernières saisies, 30 kg de cannabis sur un quartier. Nous n’avons plus de police sur place, nous sommes dépendants du commissariat de Martigues depuis quelques années. Et donc nous avons besoin d’une présence policière constante pour pouvoir lutter efficacement contre ces trafics. Nous avons demandé un quartier de reconquête républicaine, pour que nous ayons 20 à 25 policiers de proximité, qu’ils soient présents dans les quartiers. Ça devient très compliqué.”
“Depuis deux ans, j’ai déjà appelé le ministre de l’Intérieur. Et nous n’avons eu que des réponses négatives, ajoute le maire de Port-de-Bouc. “Fin juin, nous avons eu un tir de kalachnikov, 25 balles tirées, à côté d’une pharmacie et d’un centre social. (…) On ne lâche pas, on est dans les quartiers. On a une présence constante parce qu’il ne faut pas lâcher, il faut y être. Par contre, nous avons ce recul de l’Etat depuis des années. La nature a horreur du vide. Comme l’Etat n’est plus là, ils ont pris le dessus et ça devient exaspérant pour tout le monde. En tant que maire, on ne peut pas lâcher, on ne peut que se battre. On espère que le ministère de l’Intérieur, que j’ai de nouveau interpellé vers le 25 juillet, va répondre positivement à nos demandes.”
Au quotidien, les habitants sont confrontés aux violences générées par les trafics. “C’est exaspérant, confirme Laurent Belsola. Vous imaginez, quand vous habitez dans un quartier où la moitié des logements sont privés et ne sont même pas des HLM, où tous les jours vous avez des guetteurs, des charbonneurs, du monde qui est cagoulé, ou pas, qui tourne dans le quartier… Un tir, vous imaginez ? Avec vos enfants, vous vivez dans une angoisse permanente. C’est anxiogène. Vous n’avez qu’une envie, c’est partir de là. Alors que toutes les conditions sont réunies pour bien vivre, avec des structures qui sont mises en place dans les quartiers. Et nous avons des commerces. Mais le trafic de drogue perturbe grandement cette tranquillité.
Une CRS arrive dans le quartier du Banlay, à Nevers, après une nuit de violences et de dégradations
Des hommes encagoulés ont brûlé des poubelles, cassé des vitrines, tiré des feux d’artifice, pris les policiers à partie dans la nuit du lundi 22 au mardi 23 août, dans le quartier du Banlay, à Nevers. Aucun n’a été interpellé.
« Nous avons vécu une nuit de cauchemar ! » Comme la plupart des habitants du Banlay, à Nevers, cette octogénaire, croisée mardi 23 août au matin, a peiné à trouver le sommeil. Des feux d’artifice puis une série de violences et de dégradations, commises par une trentaine d’hommes encagoulés, tout de noir vêtus et armés de barres de fer, a tenu le quartier en éveil entre 22 h 30 et 2 h. Les policiers ont été pris à partie: leurs véhicules ont été la cible de tirs de mortiers. Puis la bande s’est évaporée dans la nature. A bord de ces belles voitures en stationnement, « pas des 2 cv Citroën », au volant desquelles se trouvait un conducteur, prêt à démarrer, comme l’a remarqué l’octogénaire ?
Sans doute en signe de protestation après l’arrestation et la condamnation d’un apprenti de 18 ans, auteur d’un rodéo en voiture dans le quartier, samedi 20 août, ils ont massacré deux abribus, un panneau publicitaire, des vitrines de la mairie de proximité et de l’auto-école La Lycéenne, rue Ernest-Renan. Dans cette même rue, ils ont tenté de forcer l’un des rideaux métalliques du tabac-presse-librairie.
Le parquet déplore l’absence d’arrestations
Le Premier ministre Viktor Orbán gâte les classes supérieures afin de les inciter à faire plus d’enfants. Des avantages fiscaux qui poussent les familles à s’endetter et risquent de devenir une épée de Damoclès.
A califourchon sur sa minimoto en plastique bleu saphir, Liza déborde d’énergie : la fillette de 2 ans aux couettes blondes zigzague dans les allées à toute vitesse. Sa mère Cintia ne la quitte pas du regard. Ce matin de mai, le soleil inonde le parc Semsey Aladár, au grand bonheur des flâneurs. Dans ce quartier de Budapest, pas un bambin ne se balade sans son tricycle. Au-dessus des roues arrière, un autocollant affiche : « La Hongrie, pays des familles ». En 2019, le gouvernement de Viktor Orbán a largement distribué ces jouets, devenus objet de fierté pour les heureux petits propriétaires. Les motos multicolores sillonnent les parcs de la ville, et avec elles, circule la propagande gouvernementale.
Dans un autre parc du nord-est de la capitale hongroise, le Városliget, les bambins ne savent plus où donner de la tête parmi les toboggans, trampolines, tourniquets, balançoires, araignées, tyroliennes et parcours en lianes dernier cri. A l’ombre des platanes, les parents se reposent, rassurés par le grillage sécurisé entourant l’aire de jeux. Guillaume, 51 ans, Français expatrié à Budapest depuis 1994 et entrepreneur dans la santé, ne tarit pas d’éloges sur ce « paradis des mômes » et plus généralement sur la place faite aux enfants dans la société hongroise. Dès qu’il emprunte les transports en commun avec dans ses bras sa petite Marie-Charlotte, 5 ans, quelqu’un se lève pour lui laisser son siège. « Ça n’arriverait pas en France, assure-t-il. Ici, les enfants sont sacralisés.