Messages de Francienn

Le 16 septembre 2022 à 20:51:35 :
Le problème de vos "BG" là, c'est que c'est des BG pour mecs.

Aucun va pécho une meuf. C'est des nénettes vos mecs. LOL.

En dehors des réalités toi :rire:

Clairement, je suis dans un milieu à l'étranger avec beaucoup de classes hautes et il y a plein de blonds chads 8/10 1m90 tu peux pas rivaliser

Sandrine Rousseau est une turbo raciste qui souhaite appliquer le programme du Kampuchea Démocratique.

Regardez la liste des pays incapables de subvenir à leurs besoins et dépendants de l'Occident pour leur "sécurité alimentaire". Oui, ce sont exactement les mêmes pays qui génèrent les plus forts excédents démographiques au monde.https://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/3/1663149143-cc667e59-5602-45df-8270-cb9073066ef9.jpeg

Le "contrat social" version planétaire : l'Europe produit des excédents agricoles qui sont utilisés pour nourrir l'Afrique qui ensuite nous expédie son excédent démographique.

Notre agriculture nourrit les vagues migratoires.

https://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/3/1663149171-98810150-8e21-443c-a23c-59509a550d17.jpg

Réduire la production agricole pour cette suprémaciste blanche, et notamment l'usage de pesticides et d'engrais minéraux, est donc bon pour la planète à plusieurs titres :
- réduction de la pollution
- préservation des sols
- réduction de l'empreinte démographique

Le 14 septembre 2022 à 11:35:00 :
Le problème les gauchistes c'est que vous parlez dans le vent pour finalement vous faire humilier à chaque moment de l'Histoire par la supériorité des peuples à QI élevé.

Un peuple à QI élevé n'a pas besoin de verbiage marxiste pour construire une société prospère et paisible pour tous. Il se contente de laisser faire son peuple dans un cadre économiquement libéral. Ce qui débouche sur les pays maître course germains/scandinaves.

Le Grand Ravalement est une question centrale, la seule qui compte réellement, car elle détermine si on reste un pays qui n'a besoin que de faire exister sa population de souche pour briller, ou si on sombre dans les ténèbres desquels 10 volumes de sociologie gauchiste n'arriveront jamais à nous extraire.

Exact. La biologie, la génétique, la psychologie comparée nous donnent raison sur tout mais nous habitons encore, mentalement parlant, dans l'ancien monde, celui défini par les chercheurs marxistes des années 70-80 ("les races n'existent pas", "tout est culturel", etc.)

Pour ceux qui cherchent des intellectuels de droite :d)

Lamartine Pascal Saint-Simon Heidegger Nietzsche Rozenkranz Schopenhauer Rosenberg Weininger Salomon Ferguson Burke Adams Maistre Bonald Saint-Bonnet Cortès Ortega y Gasset Aron Sherringham Scruton Boèce Le Cusain Le Nolain Bayle Murray Peterson Compagnon Sainte-Beuve Gilson Taine Brague Carcopino Ranke Mommsen Moellendorff Fustel de Coulanges Dumézil Guarin Furet Burckhardt Wölfflin Hildebrand Chastel Bredekamp Gobineau Quesnay Bainville La Rochefoucauld La Bruyère Goethe Hölderlin Chénier Valéry Lebrun-Pindare Claudel Wagner Strauss Karajan Baudelaire Milton Byron Dali Speer Le Corbusier Cézanne Lemercier de La Rivière Rodin Renoir Toulouse-Lautrec Degas Denis La Tour du Pin Boisguilbert Gournay Turgot Lemercier Legendre Huerta de Soto Hayek Mises Böhm-Bawerk Menger Schmitt Peladan Gehler Molinari Salin Weber Tönnies Acton Tocqueville Pareto Monnerot Rougemont Chesterton Theodoracopoulos Soljénitsyne Paul Buchanan Freund Huntington Chamberlain Fukuyama Bonnard Bloy Bardèche Barrés Rebatet Brasillach Céline Le Play Jünger Bernanos Mirbeau Hofmannsthal Kraus Spengler Engels Brunetière Camus Evola Simpson Malaparte Faye Marinetti Jünger Balzac Aurevilly Lorenz Carrel Lynn Woodley of Menie Duhem

Cette vidéo explique très bien le phénomène des demi-habiles, qui ont besoin d’idées faussement complexes pour se sentir plus intelligents que la moyenne : https://youtu.be/9agM261CSJU

Le 14 septembre 2022 à 11:10:57 :
Perso j’ai l’impression que les gauchistes ne comprennent pas nos idées

Leur image d'eux-mêmes comme camp de la Culture et du Savoir est très importante psychologiquement.
La gauche est totalement imperméable aux idées de droite et les gauchistes sont incapables de penser contre eux-mêmes. Cette "ouverture" de la droite est une faiblesse mortelle.https://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/3/1663146766-d1c00ac6-cb8b-4615-bc6a-602ed1d2a0fa.jpeg

"Bonaparte prend des mesures pour mater la révolte. Il ordonne à ses troupes de repousser les Arabes dans le désert, l’artillerie est braquée tout autour de la ville rebelle. Les insurgés sont acculés et doivent se concentrer dans la grande mosquée. Par chance pour les Français, le temps devient orageux. Ce phénomène, rarissime en Égypte, est interprété par une population superstitieuse comme un mauvais présage. Les insurgés demandent à Bonaparte d'accepter leur reddition : « Il est trop tard, leur fait-il répondre ; vous avez commencé, c’est à moi de finir ». :ouch: Et, tout de suite, il ordonne à ses canonniers de faire feu sur la grande mosquée. Les Français en brisent les portes et s’y introduisent de vive force : ils massacrent les Égyptiens." .

El famoso musulman :)

Le comportement de Bonaparte en Orient vis à vis de l'Islam relève de la politique et non de la spiritualité.

Lecteur de Volney (un orientaliste), Bonaparte connaissait bien les prédictions alarmiste de ce dernier sur ce plan là :
"Pour nous approprier l'Egypte, il faudra soutenir trois guerres [celles contre les Turcs et les Anglais]
La troisième enfin, de la part des naturels de l'Egypte, et celle-là, quoiqu'en appence la moins redoutable, serait en effet la plus dangereuse. L'on ne compte de gens de guerre que six ou huit mille Mamlouks ; mais si des Francs, si ennemis de Dieu et du Prophète osaient y débarquer, Turcks, Arabes, paysans, tout s'armerait contre eux ; le fanatisme tiendrait lieu d'art et de courage, et le fanatisme est toujours un ennemi dangereux ; il règne encore dans toute sa ferveur en Egypte ; le nom des Francs y est en horreur, et ils ne s'y établiraient que par la dépopulation."
(Guerre d'Orient. Campagnes de Égypte et de Syrie, 1798-1799. Mémoires pour servir à l’histoire de Napoléon dictés par lui-même à Sainte-Hélène, et publiés par le général Bertrand)

Dès le départ, Bonaparte a joué sur cette corde sensible :
Proclamation du 21 juillet 1798 :
"Faites connaître au peuple que, depuis que le monde est monde, il était écrit qu'après avoir détruit les ennemis de l'islamisme, fait abattre les croix, je viendrais du fond de l'Occident remplir la tâche qui m'a été imposée. Faites voir au peuple que, dans le saint livre du Koran, dans plus de vingt passages, ce qui arrive a été prévu, et ce qui arrivera est également expliqué.
[...]
Je sais tout, même ce que vous n'avez dit à personne ; mais un jour viendra que tout le monde verra avec évidence que je suis conduit par des ordres supérieurs et que tous les efforts humains ne peuvent rien contre moi. heureux ceux qui, de bonne foi, sont les premiers à se mettre avec moi !"

A noter que s'il opta pour ces méthodes pour s'attacher les Orientaux (sans véritable réussite d'ailleurs ; il tenta par la suite l'arabisme, mais c'est une autre histoire...).

A Sainte-Hélène, face à Bertrand, Napoléon a assez bien expliqué sa position :
"Les politiques qui avaient le mieux observé le génie des peuples de l'Egypte, regardaient la religion comme le principal obstacle à l'établissement de l'autorité française.
[...]
Maîtres d'Alexandrie et du Caire, vainqueurs à Chobrakhit et aux Pyramides, la position des Français était incertaine. Ils n'étaient que tolérés par les fidèles qui, étourdis par la rapidité des évènements, avaient fléchi devant la force, mais qui déjà déploraient ouvertement le triomphe des idôlatres, dont la présence profanaient les eaux bénies. Ils gémissaient de l'opprobe qui rejaillissait sur la première clef de la sainte Kaaba ; les imans récitaient avec affectation les versets du Coran les plus opposés aux infidèles.
Il fallait arrêter la marche de ces idées religieuses ; ou l'armée, malgré ses victoires, était compromise. Elle était trop faible, trop dégoûtée pour qu'il fût possible de soutenir une guerre de religion.
[...]
Il fallait se rembarquer ou se concilier les idées religieuses, se soustraire aux anathèmes du Prophète, ne pas se laisser mettre dans les rangs des ennemis de l'islamisme ; il fallait convaincre, gagner les muphtis, les ulémas, les schérifs, les imams, pour qu'ils interprétassent le Coran en faveur de l'armée."
(Guerre d'Orient. Campagnes de Égypte et de Syrie, 1798-1799. Mémoires pour servir à l’histoire de Napoléon dictés par lui-même à Sainte-Hélène, et publiés par le général Bertrand )

De la même manière, il confiait à Roederer (Mémoires) :
"C'est en me faisant catholique que j'ai fini la guerre de Vendée ; en me faisant musulman que je me suis établi en Égypte ; en me faisant ultramontain que j'ai gagné les esprits en Italie. Si je gouvernais un peuple de ***, je rétablirais le temple de Salomon."

Cette légende voulant que Bonaparte se soit converti à l'Islam lors de la campagne d'Egypte est ancienne. Ainsi, il la combattit à Sainte-Hélène devant O'Meara (Napoléon en exil) :
« Le docteur a dit que j'étais devenu mahométan en Egypte. Il n'en est rien ; je n'ai jamais suivi aucun des usages prescrits par cette religion ; je n'ai jamais fait de prières dans les mosquées ; je ne me suis point abstenu de vin, ni ne me suis fait circoncire. Je me suis contenté de dire que nous étions les amis des musulmans, ce qui était vrai ; et que je respectais leur prophète, ce qui était vrai aussi ; je le respecte encore. J'ai voulu que les imans lisent des prières pour moi dans les mosquées , afin de me faire plus respecter par le peuple qu'il ne le faisait , et pour qu'il m'obéît plus volontiers. Les imans répondirent qu'il y avait un grand obstacle à ce que je demandais, parce que leur prophète, dans le Coran, leur avait défendu expressément de respecter les infidèles, de leur obéir et de leur tenir la parole donnée, et que je passais pour infidèle. Je leur enjoignis alors de se consulter, et de voir ce qu'il était nécessaire de faire pour devenir musulman, attendu qu'il y avait dans leur religion des préceptes que nous ne pouvions pas suivre ; que quant à la circoncision , Dieu nous en avait rendus incapables ; que quant au vin, nous étions d'un tempérament froid, et que nous ne pouvions exister sans en boire ; et que, par conséquent, nous ne pouvions ni nous faire circoncire , ni nous abstenir de vin.
Ils se consultèrent, et environ trois semaines après, ils rendirent un fetham qui déclarait que l'on pouvait se dispenser de la circoncision ; que quant à boire du vin, les musulmans pouvaient en boire, mais que ceux qui en buvaient n'iraient pas dans le paradis, mais en enfer. J'ai répondu que cela ne pouvait me convenir , que nous n'avions pas besoin de nous faire musulmans pour aller en enfer, qu'il y avait d'autres moyens d'y aller sans venir en Egypte; et je leur enjoignis de se consulter de nouveau. Après en avoir délibéré et s'être chamaillés les uns avec les autres, ils décidèrent enfin qu'on pouvait se faire musulman sans se faire circoncire , ni s'abstenir de vin ; mais qu'il fallait faire de bonnes œuvres en proportion du vin qu'on buvait. Je leur dis alors que nous étions tous musulmans et amis du prophète, ce qu'ils crurent volontiers, attendu que les soldats français n'allaient point à la messe et n'avaient pas de prêtres avec eux : car il faut que vous sachiez que, pendant la révolution , l'armée française n'avait pas de religion. Menou , au contraire , s'est réellement fait musulman , et ce fut la raison pour laquelle je le laissai en arrière. »

On retrouve de nombreuses similitudes dans ses dictées à Bertrand :
« Le cheik El-Cherqâouy, le chef des ulemas de Gâma el-Azhar, prit la parole et dit, après s'être longtemps recueilli : « Vous voulez avoir la protection du Prophète, il vous aime; vous voulez que les Arabes musulmans accourent sous vos drapeaux, vous voulez relever la gloire de l'Arabie, vous n'êtes pas idolâtre. Faites-vous Musulman : 100,000 Egyptiens et 100,000 Arabes viendront de l'Arabie, de Médine, de la Mecque, se ranger autour de vous. Conduits et disciplinés à votre manière, vous conquerrez l'Orient, vous rétablirez dans toute sa gloire la patrie du Prophète. » Au même moment ces vieilles physionomies s'épanouirent. Tous se prosternèrent pour implorer la protection du ciel. A son tour le général en chef fut étonné. Son opinion invariable était que tout homme doit mourir dans sa religion. Mais il comprit promptement que tout ce qui serait un objet d'entretien et de discours sur ces matières serait d'un bon effet. Il leur répondit : « Il y a deux grandes difficultés qui s'opposent à ce que moi et mon armée.puissions nous faire Musulmans : la première est la circoncision, la seconde est le vin. Mes soldats en ont l'habitude dès l'enfance, je ne pourrai jamais leur persuader d'y renoncer. » Le cheik El-Mohdi proposa de permettre aux soixante cheiks de Gâma el-Azhar de poser la question publiquement et de délibérer sur cet objet. Le bruit se répandit bientôt dans toutes les mosquées que les grands cheiks s'occupaient nuit et jour à instruire des principes de la loi le sultan El-Kebir et les principaux généraux, et que même ils discutaient un fetfa pour faciliter, autant que cela serait possible, un si grand événement. L'amour propre de tous les Musulmans fut flatté, la joie fut générale. Il se répandit que les Français admiraient Mahomet, que leur chef savait par cœur le Coran, qu'il convenait que le passé, le présent, l'avenir étaient contenus dans ce livre de toute sagesse, mais qu'il était arrêté par la circoncision et la défense du Prophète de boire du vin. Les imams, les muezzins de toutes les mosquées furent, pendant quarante jours, dans la plus vive agitation. Mais cette agitation était tout à l'avantage des Français : déjà ils n'étaient plus des infidèles. Tout ce que le Prophète avait dit ne pouvait plus s'appliquer à des vainqueurs qui venaient déposer leurs lauriers au pied de la chaire de l'islamisme. Mille bruits se répandirent parmi le peuple. Les uns disaient que Mahomet lui-même avait apparu au sultan El-Kebir, qu'il lui avait dit : «Les Mameluks n'ont gouverné que par leurs caprices; je te les ai livrés. Tu sais et tu aimes le Coran; tu as donné le pouvoir aux cheiks, aux ulemas, aussi tout te réussit. Mais il faut achever ce que tu as commencé. Reconnais, professe les principes de ma loi : c'est celle de Dieu même. Les Arabes n'attendent que ce signal; je te donnerai la conquête de toute l'Asie.» Les discours et les réponses qu'on faisait faire au sultan El-Kebir variaient et se répandaient sous mille formes diverses. Il en profita pour insinuer que dans ses réponses il avait demandé un an pour préparer son armée, ce que Mahomet lui avait accordé; qu'il avait promis de construire une grande mosquée; que toute l'armée se ferait musulmane; et que déjà les grands cheiks El-Sadat et El-Bekry le considéraient comme tel.

Les quatre muftis portèrent enfin le fetfa rédigé et signé par eux. Il y était dit que la circoncision était une perfection; qu'elle n'avait pas été instituée parle Prophète, mais seulement recommandée; qu'on pouvait donc être Musulman et n'être pas circoncis; que, quant à la deuxième question, on pouvait boire du vin et être Musulman; mais que, dans ce cas, on était en état de péché et sans espoir d'obtenir les récompenses promises pour les élus. Napoléon témoigna sa satisfaction pour la solution de la première question; sa joie parut sincère. Tous ces vieux cheiks la partagèrent. Mais il exprima toute sa douleur sur la deuxième partie du fetfa. Comment persuader à des hommes d'embrasser une religion, pour se déclarer eux-mêmes réprouvés et s'établir en état de rébellion contre les commandements du ciel ? Les cheiks convinrent que cela était difficile, et dirent que l'objet constant de leurs prières, depuis qu'il était question de ces matières, avait été de demander l'assistance du Dieu d'Ismaël. Après un long entretien, où les quatre muftis ne paraissaient pas également fermes dans leur opinion, les uns ne voyant aucun moyen d'accommodement, les autres, au contraire, pensant que cela était susceptible encore de quelques modifications, le cheik El-Mohdi proposa de réduire le fetfa à sa première moitié, que cela serait d'un heureux effet dans le pays, qu'il éclairerait le peuple dont les opinions n'étaient pas conformes, et de faire de la deuxième partie une question qui serait soumise à une nouvelle discussion; peut-être pourrait-on consulter les cheiks et chérifs de la Mecque, quoiqu'ils parussent avoir une plus haute opinion de leur science et de leur influence sur l'Orient. Cet avis fut adopté. La publication du fetfa eut lieu dans toutes les mosquées; les imâms, après la prière du vendredi, où ils ont l'habitude de prêcher, expliquèrent le fetfa et parlèrent, unanimement, fort en faveur de l'armée française.

Le deuxième fetfa fut l'objet de vives et longues discussions et d'une correspondance avec la Mecque. Enfin, ne pouvant vaincre toutes les résistances ni tout concilier avec le texte et le commandement précis du Prophète, les muftis portèrent un fetfa par lequel il était dit que les nouveaux convertis pourraient boire du vin et être Musulmans, pourvu qu'ils rachetassent le péché par de bonnes œuvres et des actions charitables; que le Coran ordonne de donner en aumônes ou d'employer en œuvres charitables au moins le dixième de son revenu; que ceux qui, Musulmans, continueraient à boire du vin seraient tenus de porter ces aumônes au cinquième de leur revenu. Ce fetfa fut accepté et parut propre à tout concilier. Les cheiks, parfaitement rassurés, se livrèrent tout entiers au service du sultan El-Kebir, et ils comprirent qu'il avait besoin d'une année au moins pour éclairer les esprits et vaincre les résistances. Il fit faire les dessins, les plans et les devis d'une mosquée assez grande pour contenir toute l'armée, le jour où elle reconnaîtrait la loi de Mahomet. Dans ce temps, le général Menou embrassa publiquement l'islamisme. Musulman, il alla à la mosquée de Rosette. Il ne demanda aucune restriction. Cette nouvelle combla de joie toute la population de l'Egypte et ne laissa pas de doute sur la sincérité des espérances quelle concevait. Partout les cheiks prêchèrent que Napoléon, n'étant pas infidèle, aimant le Coran, ayant mission du Prophète, était un vrai serviteur de la sainte Kaaba. »
(Guerre d'Orient. Campagnes de Égypte et de Syrie, 1798-1799. Mémoires pour servir à l’histoire de Napoléon dictés par lui-même à Sainte-Hélène, et publiés par le général Bertrand)

Les tunnels verbeux de Lordon et des gauchistes en général sont une perte de temps ahurissante face au fait biologique.

Toutes leurs théories marxistes se fracassent chaque jour un peu plus sur le mur du réel. La France devient un dépotoir non pas à cause de combines capitalistes/ réactionnaires alambiquées mais à cause d'une évolution démographique qui implique directement une évolution anthropologique.

L'évolution de la France s'explique en quelques lignes et les solutions à sa déchéance aussi. Tandis que plus la gauche fait face à cette trajectoire qu'elle ne sait pas analyser, plus elle se contorsionne pour recoller des morceaux de réflexion capillotractée de plus en plus hors-sol. La panique les guette chaque jour un peu plus, tandis que la droite accomplie vit dans le confort du diagnostic simple mais efficace.

Pas forcément en cité d'ailleurs. Mais ça reste très facile.

En dehors de el famoso fusil de chasse en brocante, n'importe quel random peut se procurer une arme de poing pour pas cher. C'est le genre d'objet qui tourne beaucoup chez les gens, ça change de proprio d'une année sur l'autre.

Un fusil d'assaut ça reste plutôt spécifique mais fait savoir que le stock qui circule en Europe de l'ouest est directement issu du matériel d'ex yougoslavie pour l'écrasante majorité, ça suit le même schéma c'est des machins qui circulent depuis 20 ans.

Il y avait un maghrébin qui connaissait bien mon entourage familial depuis très longtemps, il nous disait que pour lui on est "sa famille" il m’appellait "frère "..etc,

En 2017, au détour d'une conversation il m'a avoué ne pas voter, mais, que si l'extrême droite était au pouvoir il n’hésiterait pas à "enculer tous les fachos, amis ou pas amis, famille ou pas famille" (facho =blanc, si jamais).

A partir de là j’ai compris qu’on peut pas se faire ami avec ces gens, ils n'oublient jamais d'où ils viennent, et ils n'hésiteront jamais à te planter s’il le faut. J’ai coupé toutes interactions avec eux.

Ça aurait été la moindre des choses de mettre une photo de lui pour illustrer l'article

Le 02 septembre 2022 à 13:24:10 :

Le 02 septembre 2022 à 13:22:15 :
Je préfère avoir un fils qui met une patate à une mamie qu'un fils qui se fait victime au collège comme 90% des haineux du topic.

Ou comme tes 90 messages en 3 jours le caïd :rire:

Algérien moyen incapable d’imaginer qu’on peut avoir un fils non harcelé mais qui ne met pas de patates par derrière à des vieilles femmes.

Le 02 septembre 2022 à 13:13:42 :

Le 02 septembre 2022 à 13:11:45 :
Si des schémas biologiques récurrents sont observés et qu'ils indiquent une prédisposition à tel ou tel type de maladie mentale, on en tient compte et on médite sur ce que ça implique/explique dans la société.

Quand on fait de la génétique pour faire de la prévention de telle ou telle maladie on fait pareil. Là il faut aussi se poser la question de ce qu'une forte propension (pas seulement environnementale) à la psychopathie des QLF implique, civilisationnellement parlant.

Tu parles de la consanguinité ? :hap:

Entre autres oui mais ça n’explique pas tout.

Si des schémas biologiques récurrents sont observés et qu'ils indiquent une prédisposition à tel ou tel type de maladie mentale, on en tient compte et on médite sur ce que ça implique/explique dans la société.

Quand on fait de la génétique pour faire de la prévention de telle ou telle maladie on fait pareil. Là il faut aussi se poser la question de ce qu'une forte propension (pas seulement environnementale) à la psychopathie des QLF implique, civilisationnellement parlant.

La Picardie est plutôt épargnée en fait, même dans l’école publique.https://image.noelshack.com/fichiers/2022/35/5/1662115525-bce5ff0b-3870-497f-b4d6-2d7f2c17cdf9.jpeg

Des allogènes qui traînent des grands mères au sol pour leur voler leur sous ça existe depuis qu'ils ont mis un pied en France. La différence entre leur arrivée et maintenant, c'est que nous avons des voix alternatives aux médias qui nous permettent d'informer nos semblables.

Il ne faudra jamais oublier le rôle qu'ont joué les médias dans la désinformation, l'individualisme et la division des Français. C'est de la haute trahison et il faudra tous les juger pour cela. D'autant plus qu'ils sont subventionnés par l'état.

C'est tout à fait normal au contraire de pouvoir décider à qui tu loues. Sans ça, il serait impossible de faire fonctionner le système locatif.

En fonction du locataire les coûts ne sont pas les mêmes pour le proprio. Certains locataires détruisent littéralement chaque appart dans lequel ils vivent. D'autres ne paient jamais leur loyer à temps.

L'augmentation de prix de la location serait monstrueuse si les proprio ne pouvait pas éviter ce genre de propriétaires. C'est pour ça qu'ils vérifient l'historique de location, le crédit et l'emploi occupé par leur futurs locataires. Ça leur donne une bonne indication du sérieux de leur futur locataire et leur permettent d'éviter de faire faillite à cause de leurs locataires.