Le 01 mars 2023 à 01:31:22 :
Le 01 mars 2023 à 01:28:46 :
Le 01 mars 2023 à 01:26:54 :
Le 01 mars 2023 à 01:25:17 :
Le 01 mars 2023 à 01:24:09 :
Le symbole du cœur est en forme de la plante qu'ils utilisaient pour pratiquer l'avortement durant l'antiquité, hein.C'était assez risqué j'imagine et ça fonctionnait pas souvent
En fait, non. C'était tellement efficace que c'était consommé tout les jours en tisane comme moyen de contraception.
Ah oui ? Pourquoi elles n'utilisent plus ça ?
Ça a été surcultivé + monoculture. Donc, la plante s'est éteinte au Ve siècle.
Ah ok
Le 01 mars 2023 à 01:26:54 :
Le 01 mars 2023 à 01:25:17 :
Le 01 mars 2023 à 01:24:09 :
Le symbole du cœur est en forme de la plante qu'ils utilisaient pour pratiquer l'avortement durant l'antiquité, hein.C'était assez risqué j'imagine et ça fonctionnait pas souvent
En fait, non. C'était tellement efficace que c'était consommé tout les jours en tisane comme moyen de contraception.
Ah oui ? Pourquoi elles n'utilisent plus ça ?
Le 01 mars 2023 à 01:24:09 :
Le symbole du cœur est en forme de la plante qu'ils utilisaient pour pratiquer l'avortement durant l'antiquité, hein.
C'était assez risqué j'imagine et ça fonctionnait pas souvent
Le 01 mars 2023 à 01:14:38 :
Le 01 mars 2023 à 01:13:02 :
Le 01 mars 2023 à 01:12:06 :
Puis je vois pas où est le problème d'être puceau, ça change rien à ta vie, je vois pas comment tu peux devenir malsain pour quelque chose que t'as jamais expérimentéhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png Comment je suis venu au monde khey ? Et comment je suis équipé après ma puberté ? Le désir sexuel m'est imposé.
Tu comptes avoir des enfants demain ?
Jamais de la vie, même si j'avais l'occasion. Je ne suis pas câblé pour être père, rien, aucune expérience n'a été favorable à développer ma masculinité, mon sens de la pédagogie ou de la responsabilité, alors je refuse de mettre un gosse au monde. Et sûrement pas de surcroit dans un monde pareil.
Le 01 mars 2023 à 01:12:06 :
Puis je vois pas où est le problème d'être puceau, ça change rien à ta vie, je vois pas comment tu peux devenir malsain pour quelque chose que t'as jamais expérimentéhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
Comment je suis venu au monde khey ? Et comment je suis équipé après ma puberté ? Le désir sexuel m'est imposé.
Le 01 mars 2023 à 01:10:46 :
Bah on pourrait dire aussi que c'est anormal qu'autant de gens soient malades et pas soignésVu qu'en médecine on ne soigne pas, on traite les symptômes, jamais la cause, même le rhume on sait pas le soigner
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490886827-risibo.png
J'ai pas l'impression d'être malade d'un rhume ou je ne sais pas trop quoi En tout cas les symptômes de la pucellerie crois moi y'en a
Le 01 mars 2023 à 01:09:42 :
On est pas assez beau/grand/riche pour faire partie des 20%https://image.noelshack.com/fichiers/2021/15/6/1618662991-leo-django-3.png C'est comme ça, faut juste l'accepter
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/15/6/1618662991-leo-django-3.png
Faut se résigner oui, hélas. De toute façon le plus douloureux est passé j'imagine, après 25 ans on a plus trop d'espoirs...
Le 28 février 2023 à 23:46:19 :
Des personne qui puisent dans le savoir, simulacre de la connaissance. L'intuition leur échappant, il leur reste le privilège de l'instruction, pour apparaître, par mimétisme, aussi habile que celui qui s est éprouvé pour le devenir
Il faut y puiser un minimum pour savoir de quoi on parle, sans connaître ses prédécesseurs dans un domaine ça risque d'être compliqué
Le 28 février 2023 à 23:14:14 :
L'op ton excuse pour ne pas avoir dl l'intégralité de wikipédia ?
c'est en cours
Bof, celle là par contre est pas mal :
La souffrance est telle une houle immense,
Qui déferle en moi, m'emporte, me blesse,
Telle une épée de Damoclès qui s'abat,
Sur mon cœur meurtri, brisé par le combat.
Elle est un poison insidieux, perfide,
Qui sournoisement m'atteint, me chagrine,
Et s'immisce en moi, telle une vipère,
Qui de son venin, me prive de toute lumière.
Elle est un nuage sombre, qui obscurcit le ciel,
Et m'enveloppe de son voile mortel,
Qui étouffe mes cris, et m'arrache des pleurs,
Et m'offre pour seul horizon, la douleur.
Mais malgré l'abîme béant qui se dessine,
Dans l'horizon sombre de mes souffrances divines,
Je garde l'espoir en mon cœur, flamme ardente,
Qui m'anime et me guide, même dans la tourmente.
Et ainsi, je suis comme un phénix ressuscité,
Qui renait de ses cendres, purifié,
Et même si la douleur demeure, à jamais,
Je sais que la vie est faite de combats, de défis, de vérités.
Et tel un navire ivre, qui brave les tempêtes,
Je poursuis mon chemin, sans jamais baisser la tête,
Et je danse, même sous la pluie, même sous la neige,
Car la souffrance n'est qu'une étape, avant que la joie ne prenne le relais.
99% du forum fait pas mieux, je dirais même 99% de l'humanité actuellement.
Une belle journée se levait, les oiseau chantaient, Stéphane Edouard pris une douche chaude, il exerçait sa voix dans les effluves de lavandins. Les petites chevilles de Stéphane flottaient à l'intérieur de son large peignoir Italien quand il débarquait dans le snobisme de son séjour. Il caressa le tout dernier disque de Riccardo Corréa, l'introduit dans le vinyle.
Il trémoussait ses petites jambettes, électrifiées par la voix rauque du chanteur. Il fit quelques tours sur lui-même, son peignoir s'épanouit dans d'amples ondulations, ouvrait grand ses ailes comme un bel oiseau, puis la corde se détachait. Enfin, son peignoir glissait. Après cet effort, il transpirait à grosse goutte. Sous les reflets chauds et dorés du soleil, son crâne nu avait l'air d'une pierre précieuse. Il était très coquet.
De l'autre côté de la rue, depuis une fenêtre crasseuse, un homme l'observait. Curieux, se disait il, comment un aussi gros fion peut-il avoir été disposé au milieu d'un corps si frêle, en plus c'est un mec, on dirait une autruche. L'homme essayait d'isoler cette paire de fesses du reste, révolter par cet homme-femme, mais intéresser par la fertilité de son derrière. En face, la fenêtre de Stéphane, décorée de somptueuse roses versicolores, s'était recouverte de buée. Il continuait à dandiner des hanches, larges et furieuses, ses deux fesses potelées se chamaillant entre elles.
Soudain, comme une proie se sentant observée, Stéphane tressaillit. Il dirigeait lentement son regard sur la gauche. Un homme rustre, un latin au regard perçant, déposait un regard sévère sur Stéphane. Il se retournait, troublé, ses fesses prenaient le soleil, elles étaient maintenant chatoyantes et luisantes. Il retournait timidement son crâne difforme en forme d'oeuf renversé, et déposait un regard interloqué sur le torse viril. C'était une garrigue de poils dans laquelle il se perdait un instant. Il déposait son petit doigt bien fuselé sur sa lèvre. Cet homme là, se dit Stéphane à lui-même, c'est du H en grande quantité. Malgré que, continuait t-il pour lui-même, je fasse partis des hommes les plus virils, je sens que ma part de F ne lui résistera pas bien longtemps...
Il ramassait hâtivement son peignoir aux multiples teintes mauves, puis le renfila. Ses deux mains étaient croisés sur son vêtement refermé. Comme du fil sur un papier cadeau, il refusait de s'offrir si facilement. Un sourire lui zigzaguait sur les lèvres, ses cils battaient comme deux papillons. Il se précipita à la fenêtre, toussait légèrement dans son poing, dégageait la voie avant de libérer sa voix artificiellement virilisée.
L'homme en face secouait la tête, et face à tant de virilité, il perdait tout moyens. Il ne pu extérioriser qu'une voix fluette en s'expliquant sur la situation : " Salve, caro ascoltatore, uh, voglio dire, caro signore, vi prego di scusarmi per questo trucco, o meglio, questa mancanza di abbigliamento. " Disait il avec une voix tremblotante.
L'homme restait bras croisés, imperturbable, il pouvait ressentir tout le mépris lui éclabousser à la figure. Stéphane fit des gestes, des manières, paradait comme une jeune fille mais rien n'y faisait. Son désir de plaire était au maximum, il venait de se rendre compte que ce F, si bien connu de lui, était en fait lui-même.