La Chine a une identité, un territoire, des ambitions, et elle y tient.
Contrairement à l'Occident, nous n'importons pas de nègres, pas d'islam, pas de religions, et obtenir la nationalité pour les étrangers est très difficile (de plus, la double-nationalité n'est pas admise.)
Toutes ces dispositions permettent ainsi de préserver le quotient intellectuel de la population, sécurisant les progrès en matière de développement économique, scientifique et culturel, assurant un bien-être à son peuple pleinement épanoui dans une République solide comme du béton.
Les membres du parti ne peuvent pratiquer une religion, car ils se doivent de montrer l'exemple, et, bien que nous reconnaissons tout de même le droit de religion, cela ne devrait en aucun cas justifier le dépassement de certaines limites évidentes.
Les islamistes, en particulier de la province historique du Xinjiang où ils sont abondants, représentent un danger pour le peuple chinois, au-delà du quotient intellectuel et du temps perdu pour ces bêtises, il s'agit par dessus-tout d'une question sécuritaire, nous ne pouvons accepter que des gens opposent l'islam à la République populaire de Chine, toute personne pratiquant l'islam devra recevoir une rééducation afin qu'il s'assimile, non seulement en réhaussant son niveau de formation professionnelle souvent médiocre, favorisant son intégration dans le monde du travail et donc à la société chinoise, mais surtout s'agissant de la fin sincère de sa pratique et croyance en l'islam.
Ces personnes ne devraient en aucun cas sortir ou pouvoir communiquer avec le monde extérieur sans justifier de réels progrès, et tant qu'ils n'ont pas été stérilisés.
Il est cocasse que l'Occident, submergé par une immigration massive de personnes aux quotients intellectuels passables, violentes, assassins, violeurs, nègres, submersion continue dont à la fois tout le monde ni personne ne semble en porter la responsabilité et se rejettent la balle, tente désormais de donner des leçons à la Chine, qui n'a certainement pas besoin d'aide s'agissant de la sécurité de sa population, contrairement à l'Occident.