Neuroplasticité : La consommation régulière de pornographie peut entraîner des changements dans la structure et la connectivité du cerveau. Certaines études suggèrent que cela pourrait conduire à une réorganisation des circuits neuronaux liés à la récompense et au plaisir, ce qui peut contribuer à la dépendance.
Déséquilibre de la dopamine : La pornographie peut stimuler la libération de dopamine, un neurotransmetteur associé au plaisir et à la récompense. Une exposition répétée à des stimuli pornographiques intenses peut entraîner une tolérance, ce qui signifie que le cerveau a besoin de niveaux plus élevés de dopamine pour ressentir le même plaisir, ce qui peut contribuer à la dépendance.
Altération de la réponse sexuelle : Des études suggèrent que la consommation excessive de pornographie peut perturber la réponse sexuelle normale. Certains individus peuvent développer des difficultés à s'exciter ou à atteindre l'orgasme lors de relations sexuelles réelles en raison de la désensibilisation causée par la pornographie.
Altération de la plasticité sexuelle : La consommation de pornographie peut influencer la façon dont le cerveau apprend et se adapte aux stimuli sexuels. Cela peut entraîner une préférence accrue pour les stimuli pornographiques spécifiques, rendant plus difficile l'excitation sexuelle avec des partenaires réels ou des situations sexuelles non alignées avec les scénarios pornographiques.
Réduction de la matière grise : Certaines études ont suggéré que la consommation excessive de pornographie était associée à une diminution de la matière grise dans certaines régions du cerveau, notamment le cortex préfrontal, qui est impliqué dans la prise de décision, la régulation des émotions et le contrôle des impulsions.
