Le 14 juillet 2023 à 13:39:43 :
https://twitter.com/CerfiaFR/status/1679806296533397504?s=20Après l'incendie d'un Coran devant la mosquée de Stockholm, la Suède autorise un rassemblement demain pour brûler des Torah et des Bibles devant l’ambassade d’Israël.
La Bible, (Thora et Évangile) sont aussi les enseignements sacrées de Dieu, Allah dis dans le Coran
5 : 46 "Nous envoyâmes après eux Jésus, fils de Marie, confirmant les Écritures précédentes, la Torah. Nous lui avons donné l’Évangile, contenant guidance et lumière, et un guide et une exhortation pour les pieux, et authentifiant ce qui était présent avec lui de la Torah."
Clairement ces gens sont incultes, aucun d'eux ne devraient être président
Le secrétaire d'État Blinken invite le ministre Attaf. Une telle proximité vient confirmer que l'Algérie et les États-Unis sont des partenaires stratégiques.
Au moment où la planète oscillent entre pro et anti-Occidentaux, l'Algérie s'en tient à sa position de pays non aligné. Le ministre des Affaires étrangères, Attaf, a reçu de la part de son homologue américain, Blinken, une lettre l'invitant à effectuer une visite de travail à Washington "dans les délais les plus rapprochés que permettraient les engagements respectifs des deux parties" indique un communiqué du ministère. Le communiqué note que la visite de Attaf à Washington sera "l'occasion de tenir une session de dialogue stratégique algéro-américain". Le même document précise également qu'une attention particulière sera accordée à la sécurité régionale, à la lutte contre le terrorisme, au partenariat économique en développement constant, ainsi qu'aux domaines de la culture et de l'éducation qui prennent une place grandissante dans les relations entre les deux pays. Une telle proximité vient confirmer que l'Algérie et les États-Unis sont des partenaires stratégiques. Les relations entre les deux pays étaient semblent avoir acquis plus de stabilité, grâce à un dialogue permanent entre les responsables des deux pays. "Nous sommes un État neutre et nous nous considérons comme étant amis des États- Unis. Le non-alignement est notre politique" Un message reçu par les américains.
L'invitation adressée par Blinken, à son homologue algérien Attaf, arrive après le message élogieux et chaleureux envoyé par le président des États-Unis d'Amérique, Joe Biden "Au nom du peuple américain, je vous présente, mes meilleurs voeux à l'occasion de la célébration de la fête de l'indépendance" a écrit Biden. Le président américain a souligné dans son message la qualité d'un fort partenariat et d'une relation qui a contribué à la promotion de la paix et de la prospérité pour les deux peuples. "Nous travaillons ensemble pour relever les grands défis de sécurité régionale, notamment la lutte contre le terrorisme" a ajouté Biden soulignant le rôle pivot que joue l'Algérie au niveau continental.
Biden n'a pas manqué d'exprimer également sa réjouissance de voir l'Algérie entrer au Conseil de sécurité de l'ONU avant de conclure qu'il a "hâte d'approfondir encore plus, au cours de l'année à venir, le partenariat entre nos deux pays et l'amitié entre nos peuples"
C'est avec les mêmes termes chaleureux et des messages forts que le secrétaire d'État américain Blinken a lui aussi félicité le gouvernement algérien "Nos deux pays s'associent à un attachement profond d'indépendance qui constitue une base solide de notre partenariat permanent et historique. Nos deux peuples partagent également des liens culturels, éducatifs et économiques profonds et qui ne cessent de s'agrandir" a écrit Blinken
Ces gestes et ces messages témoignent de manière très claire du respect qui lient les deux pays.
Algérie : Après la Russie, le président Tebboune en visite d'état en Chine
Le président algérien Tebboune entame à partir de lundi une visite d’Etat en Chine, à l’invitation de son homologue chinois Xi Jinping, indique un communiqué de la Présidence.
Une visite à haute valeur politique autant qu'économique, un mois après celle effectuée en Russie. "L'Algérie a clairement tourné son attention vers l'Est", a déclaré le professeur d'économie Kouachi à l'Université algérienne Oum el Bouaghi. "Avec la Chine, la coopération est particulièrement axée sur les infrastructures et d'autres partenariats, profitant de la position stratégique de l'Algérie en tant que port nord-africain du projet Belt and Road Initiative (BRI)" a ajouté l'universitaire. Il convient de mentionner que l'Algérie a officiellement demandé à adhérer à l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) en tant que membre observateur, et a l'intention de rejoindre l'institution financière du bloc des pays émergents : "la BRICS Development Bank".
Il y a aussi ce maghrébin qui dis "ana 3arbi Mich gaouri" c'est a dire "je suis maghrebin, pas un gaouri (infidèle/Mécréant)"
"Chiller comme un babtou fragile avec sa go, c'est la gênance": les nouveaux mots du Petit Robert 2023
C'est des bons Var Matin 😂
Le 14 juillet 2023 à 00:10:00 :
Le 14 juillet 2023 à 00:08:07 :
Ils se foutent de sa gueule tout simplementPersonne ne dirais sérieusement "je suis Ukrainien" se serait comme dire "je suis Roumain", tu passe pour un pestiféré
Les ukrainiens sont des gens respectables
La seule ukrainienne que j'ai connu c'était une prostituée et elle fuyait pas la guerre, parceque c'était bien avant
En plus cette timp' est tombée folle amoureuse et a même essayer de m'embrasser
Ils se foutent de sa gueule tout simplement
Personne ne dirais sérieusement "je suis Ukrainien" se serait comme dire "je suis Roumain", tu passe pour un pestiféré
La Tunisie appelée à se positionner dans la nouvelle géopolitique, et à rompre avec la neutralité
A l’heure où semble s'accélérer l’émergence d’un nouvel ordre mondial, sur fond de dépendance énergétique et de fragmentation de l’économie mondiale, de nombreux pays sont en train de revoir leurs positions sur la scène internationale.
C’est dans ce contexte que s’est tenue la 8ème édition du Forum de Tunis organisé par l’Institut arabe des chefs d’entreprise (IACE), ce jeudi 13 juillet à Tunis avec pour thème « La Tunisie et la nouvelle géopolitique ».
Sur la question de savoir vers quels pays la Tunisie devrait se diriger dans les années à venir, les trois pays les plus cités sont la Chine, les Etats-Unis et l’Algérie.
Rafaa Tabib, universitaire et géopoliticien, a présenté sa vision de la position de la Tunisie face à l’évolution de la carte géopolitique.
Il a dans ce sens fait signifier que la Tunisie se trouve géographiquement parlant autour d’une zone de dégénérescence des États. Il évoque notamment la situation de la Libye, mais également le recul de la barre de feu du Sahel comprenant des pays comme le Mali, le Niger et la Mauritanie, ou le contexte politique est très difficile et où l’Etat est inexistant, faisant planer l’exposition d’une menace migratoire vers la Tunisie.
Par ailleurs, l’expert fait état de l’opportunité économique de la Tunisie dans la nouvelle géopolitique, affirmant que le pays deviendra dans les années à venir un véritable promontoire pour le continent Africain. "La Tunisie est au centre de tous les grands projets énergétiques. Il ne faut pas oublier que la Tunisie sera un point de passage vers l’Europe du mégaprojet de gazoduc reliant le Nigeria, à l’Europe à travers l’Algérie. Les eaux Tunisienne sont également un passage pour les câbles sous-marins reliant l’Afrique et l’Europe" relève Tabib.
Rafâa Tabib rappelle aussi, carte à l’appui, que 35% du trafic maritime mondial passe au large des côtes Tunisiennes. "La aussi il s’agit d’un un enjeu géopolitique essentiel pour le pays" lance l’expert, insistant sur le fait que la Tunisie doit tirer profit de cette situation.
Rafâa Tabib considère que l’enjeu géopolitique de la Tunisie se trouve désormais en partie en Afrique. "Le monde change et nous devons suivre ce changement. Nous assistons à une «désoccidentalisation» profonde et aussi à une «défrancisation» des relations internationales" remettant ainsi en question la coopération historique de Tunis avec l’Europe et notamment la France.
Hamza Meddeb, chercheur pour le Think Tank Carnegie Middle East Center, a mis en évidence une forme de léthargie de la Tunisie dans un monde en plein changement.
Il explique dans ce sens que les relations internationales se brutalisent, menant, dans un premier temps, certains états à se diriger vers une diversification de leurs alliances diplomatiques. "Il y a aujourd’hui une tendance à adhérer au groupe BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), comme c’est le cas de certains pays du Moyen-Orient. Nous sommes désormais dans un monde multipolaire et dans ce sens la Tunisie doit réfléchir stratégiquement quant à la place qu’elle veut avoir" a affirmé Meddeb.
Dans un second temps, le chercheur évoque l’interdépendance, notamment énergétique et alimentaire, des Etats qui s’est construite au fil des décennies et de la manière de la limiter car "elle devient une arme entre Etat", souligne Hamza Meddeb. "C’est une question à laquelle la Tunisie doit réfléchir en faveur de sa classe moyenne et des ses entreprises et de son tissu industriel" poursuit-il.
Enfin, le chercheur a insisté sur la nécessité de réfléchir à un changement de paradigme dans l’ouverture de ce monde nouveau où l’économie devient une arme de coercition. En ce qui concerne l’impact de la dette dans la position géopolitique de la Tunisie, Hamza Meddeb indique qu’elle révèle les déficiences structurelles de l’économie.
"Elle est causée par un déficit énergétique croissant qui alimente une dépendance" nous dit-il.
Aujourd’hui la Tunisie peine à entretenir sa solvabilité, s’isolant depuis maintenant 2 ans, de tous ses partenaires historiques. "Les partenaires sont désormais dans une logique de transaction, en témoigne, il y a un mois, la proposition du package de partenariat global entre l’UE et la Tunisie"
Meddeb affirme également que la position géopolitique de la Tunisie doit également être experimée clairement vis-à-vis du FMI dont les contours de l’accord restent encore flous. A cet égard, ce dernier souligne que ce statu quo hypothèque l’avenir du pays.
"Il faut revenir sur les fondements historiques de la politique étrangère de la Tunisie sans pour autant remettre totalement en cause la neutralité de la Tunisie. Elle doit faire preuve de multipositionnalité et diversifier ses alliances" conclut le chercheur.
Anne Gueguen, prochaine Ambassadrice de France en Tunisie
André Parant, Ambassadeur de France en Tunisie, sera remplacé à compter du 7 août par Anne Gueguen, actuel Directrice Afrique-du-Nord et Moyen-Orient au Quai d'Orsay. Diplômée de Sciences Po et diplomate de carrière, elle fut première conseillère à l’Ambassade de France à Tunis, et la première femme française à occuper le poste de représentante permanente adjointe de la France à l'ONU, depuis 2017.
Tunisie : grâce à la baisse des importations, allégement du déficit commercial
Le déficit de la balance commerciale s’est allégé de 26,22% au cours des six mois de 2023. Il s’est établi à -8.686,9 millions de dinars (MD) jusqu’à fin juin 2023 contre -11.775,5 MD une année auparavant, avec un taux de couverture en hausse de 7,6 points passant de 70,7% à 78,3%. Ce sont les chiffres que vient de publier l'Institut national de la statistique (INS).
Pour sa part, le déficit énergétique accapare 56% du déficit total. La balance énergétique s’établit à -4.891,8 MD fin jusqu’à fin juin 2023 contre -4.224,6 MD fin juin 2022.
Le solde déficitaire est expliqué en grande partie par le déficit enregistré avec certains pays, tels que la Chine (-4.067,7 MD), la Russie (-2.893,4 MD), l’Algérie (-2.164MD), la Turquie (-1.527,5 MD), l’Ukraine (-725,9 MD), l’Égypte (-502,2 MD) et la Grèce (-344,2 MD)
Et de spécifier que le solde de la balance commerciale des biens a enregistré un excédent avec d’autres pays principalement avec la France (+2.896,5 MD), l’Allemagne (+1.725,7 MD), la Libye (+1.029,5 MD) et l’Italie (+406,5 MD).
En effet, les indicateurs publiés montrent que les exportations ont augmenté de 10% pour atteindre le niveau de 31.271MD alors que les importations ont baissé de 0,6% contre une hausse +32,4% durant la même période en 2022, pour se situer à 39.957,9 MD en juin 2023. Cela ne peut être que le résultat des restrictions à l’importation et l’instauration d’un contrôle au préalable.
Selon ces mêmes données, l’augmentation observée au niveau des exportations durant le premier semestre de 2023 concerne plusieurs secteurs. En effet, les exportations du secteur des industries agro-alimentaires ont augmenté de 9,3%, celles des textiles, habillement et cuirs de 13,7% et celles des industries mécaniques et électriques de 18,6%. En revanche les exportations du secteur de l’énergie ont baissé de 31,5% et celles des mines, phosphates et dérivés de 3,4%.
Selon une enquête réalisée par l’IACE, sur les relations internationales de la Tunisie.
Il est estimé que la Tunisie parviendra à acquérir un véritable poids sur la scène internationale si elle développe davantage d'échanges (commerce, partenariat, industries) et renforce ses accords avec l’Union européenne et la Chine.
La Chine, les USA, et l’Algérie sont les principaux pays avec lesquels la Tunisie devrait avoir partie liée dans les années à venir. L’Algérie et la Tunisie entretiennent depuis longtemps des relations fraternelles sur le plan politique, et les deux pays sont aujourd’hui appelé à renforcer leurs liens économique.
En termes d’implantation, plus de 763 sociétés tunisiennes sont actives actuellement en Algérie dans des domaines variés (industrie, services, ingénierie, TIC, distribution, communication).
Concernant les Etats-Unis, les relations ont connu une nouvelle dynamique depuis 2011. Une nouvelle approche de la coopération bilatérale a dès lors été instaurée entre les deux pays, basée sur la concertation.
La Chine, depuis une vingtaine d’années, est considérée comme un pays d’accueil de l’investissement international.
La grande majorité du déficit de la Tunisie est concentrés sur dix pays, avec en tête, la Chine, la Russie et la Turquie, qui sont, à eux seul, l’origine de 52% du dit déficit.
Avec la Chine, les échanges ont donné lieu, en 2015, à un déficit de l’ordre de 3263 MD, représentant près du tiers du déficit commercial tunisien. Les exportations vers la Chine représentent 0.2% des exportations tunisiennes, alors que les importations tunisiennes en provenance de la Chine ont dominé, représentant 8.4% des importations totales de la Tunisie.
Desecration of Quran: UNHRC resolution condemns acts of religious hatred
The debate held in Geneva on the session of the United Nations Human Rights Council (UNHRC) was highlighted by the adoption of a resolution condemning acts of religious hatred, which constitute incitement to violence.
The resolution was adopted by 28 in favor, 12 against and seven abstentions, at the meeting convened in the wake of desecration of the Holy Quran.
Members of the Organization-of-Islamic-Cooperation voted unanimously in favor of the resolution, while all votes "against" were from Western countries.
The text views desecration as incitement to hatred, and stressed the need to hold the perpetrators of such acts of religious hatred accountable under international human rights law.
“These demonstrations must be unequivocally condemned” Omar Zniber stated.
Élections en Espagne : l’Algérie et le Maroc au centre des débats
La campagne électorale se poursuit en Espagne avec comme thématique principale, la politique étrangère : l’Algérie, le Maroc et le Sahara occidental.
Feijoo, tête de liste du Parti populaire, a déclaré que "Le premier ministre marocain m’a demandé si j’allais garder la position de M. Sanchez, mais il faudrait d’abord que je connaisse ce qu’il a convenu avec le Maroc" à-t-il lancé à son adversaire, Sanchez, chef de file du PSOE, actuel président du gouvernement, en pointant l’opacité de l’accord conclu entre Sanchez et le Maroc.
Les propos du leader de la droite donné gagnant aux prochaines élections selon El País, ont de quoi susciter l’inquiétude du Maroc quant à un retour à la position initiale de l’Espagne sur le Sahara occidental.
L’inquiétude du Maroc se ressent depuis quelques semaines avec le retour en force de la vague migratoire originaire d'Afrique subsaharienne vers l’Espagne depuis les côtes marocaines. La presse espagnole considère qu'il s'agit d'un laisser-faire de la part des autorités marocaines.
Le revirement opéré par Sanchez en 2022 dans la position officielle de l’Espagne sur le Sahara occidental rythme la vie politique espagnole depuis plusieurs mois.
En apportant son soutien au plan marocain, Sanchez a fait sortir la diplomatie espagnole de sa neutralité dans le conflit qui empoisonne les relations entre l’Algérie et le Maroc depuis des années. Le gouvernement espagnol, à ainsi provoqué une crise sans précédent avec l’Algérie, principal soutien de la lutte du peuple sahraoui.
Feijoo a déclaré assez clairement qu’il allait revenir à un équilibre dans les relations de l’Espagne avec l’Algérie accusant Sanchez de l’avoir rompu en faveur du Maroc.
"Vous avez mis fin à une trentaine d’années d’équilibre entre l’Algérie, le Maroc, le Sahara occidental, l’ONU et l’Espagne. Je reviendrai à une position équilibrée avec l’Algérie, le Maroc et le peuple sahraoui. La position qu’ont toujours eue les gouvernements espagnols avant votre décision" a-t-il déclaré
Le Président Algérien Tebboune visitera Pékin à partir du 17 juillet
La Présidence de la République a annoncé que le président Abdelmadjid Tebboune effectuera une visite d’État en Chine à partir du lundi 17 juillet, le chef de l’État se rendra à Pékin à l’invitation de son homologue chinois Xi Jinping,
"La visite intervient dans le cadre de la consolidation de relations solides et vise à renforcer la coopération économique entre les deux pays amis" a indiqué la Présidence.
La Russie et la Chine sont, tout deux, d'importants partenaires de l’Algérie.
Le mois dernier, le président Tebboune a effectué une visite d’État de trois jours en Russie, pays avec lequel l’Algérie entretient des relations stratégiques notamment dans le domaine militaire. L’armée algérienne est essentiellement équipée en armement russe.
La Chine est également un partenaire stratégique pour l’Algérie notamment dans le domaine économique. Les groupes chinois ont décroché l’essentiel des plus importants contrats dans le domaine du BTP en Algérie.
La construction de la majeure partie de l’autoroute est-ouest pour plus d'une dizaine de milliards de dollars, ainsi que la réalisation de la Grande mosquée d’Alger pour plus de 1,5 milliard de dollars, le Centre international des conférences d'Alger pour 500 millions de dollars, et plusieurs milliers de logements AADL, entre autres
La Chine a rapidement progressé sur le marché en tant que fournisseur. En 2020, leurs part de marché était de 17 %, contre seulement 10% pour la france et 7% pour l’Italie.
La Chine, dont le modèle intéresse le président du Conseil de la nation Salah Goudjil, est aussi un partenaire politique de l’Algérie.
Algeria Navy's training ship Soummam visits UK naval base
According to WarshipCam, the Algerian National Navy's training ship Soummam visits the HM Naval Base Devonport.
Unprecedented cooperation in defence and military fields between Algeria and Britain has been noted. This has been exemplified by the visits of two senior British officials, including Minister of State in charge of the Armed Forces, Stephen Heppey.
These interactions focused on enhancing military relations between the two nations and addressing global and regional security challenges. Both sides have expressed readiness to further develop bilateral military cooperation in various fields, promoting a dynamic of cooperation based on frank exchange and a pragmatic vision.
Le 13 juillet 2023 à 15:29:55 :
Germany ‘needs 1.5 million new immigrants per year’
Olaf Scholz claims only new arrivals can save the country's pension system
Olaf Scholz called for more high-skilled foreign labour.
In a recent interview, Chancellor Olaf Scholz claimed that Germany needed more immigration in order to save the country’s pension system. The question of just how many was answered shortly after by the chair of the Council of Economic Experts, an institution that advises the federal government. In order to account for population decline and emigration, Germany will need no fewer than 1.5 million new immigrants per year.
Just to put that number into context, during the refugee crisis of 2015 Germany accepted slightly over 1 million people, straining the capabilities of the country’s social services perilously close to breaking point, and marking the beginning of the rise of the AfD. Not to worry, argue German politicians, since these 1.5 million would be skilled workers and their families, not a wave of refugees like those who arrived in 2015.
The question remains, however, as to why such large numbers of highly talented individuals should come to Germany year after year. In the United States, 55% of startup companies valued at $1 billion or more have been founded by immigrants, like Elon Musk; this figure rises to 64% when including the children of immigrants, such as Steve Jobs. But the United States has a very different offer to make: whatever one thinks of the current state of the American Dream, the ideal remains that anyone can move to the US, start their own company and within a generation be the head of a multi-billion-dollar corporate empire. The German pitch, on the other hand, seems to consist of coming to the country, paying extremely high taxes and financing the pension of German retirees. It is unlikely that a software engineer from Taiwan or India will find this more appealing than the opportunities available in North America.
It is, in fact, not even clear if Germany is still appealing to Germans. Every year 180,000 of them leave the country, 75% of whom have higher education degrees and in many cases under the age 40. The emigration rate of 5.1% is the third highest among the 38 member states of the OECD and a clear indicator that skilled labour is not only not coming to Germany, but is actually leaving.
At the same time, 45% of the recipients of unemployment benefits don’t hold a German passport, which demonstrates that a significant part of the current migration system is draining, rather than strengthening, the welfare state. This creates a vicious cycle of an ever-growing need for higher taxes or reduced social services, which in turn makes the country less attractive to high-skilled immigrants.
Instead of solving this dilemma, there are growing calls for taxes on high-income citizens, because apparently German politicians believe that immigrants would prefer paying taxes to getting rich. This is a dangerous delusion that will continue to prevent the emergence of a German Jeff Bezos or Mark Zuckerberg while encouraging immigration into the welfare state. Not only is this unsustainable, it will also exacerbate the brain drain already taking place. Germany, clearly, is not the mecca for highly skilled labour that it was just a few decades ago.
La raison pour laquel je suis contre les clandestins, illégaux et refugiés, c'est que les types ne peuvent pas vivre une vie normal et trouver du travail sans papiers et du coup deviennent délinquant et marginaux, je pense qu'ils vivraient beaucoup mieux en immigrant dans une autre partie de leurs pays où ils pourront trouver un meilleur travail, un meilleur salaire ou la paix (dans le cas des pays en guerre)
En plus de ça, les types donnent une mauvaise images aux immigrés légaux, qui viennent dans le cadre de la loi, c'est a dire avec un passeport, un visa et un billet d'avion
Et qui sont généralement, éduquer et friqué, diplomé et travailleurs
Le 13 juillet 2023 à 00:11:35 :
https://streamable.com/w7acns
😂
Le 13 juillet 2023 à 12:26:10 :
https://twitter.com/Asterionlebon/status/1679430429982576640
😍
La Bible parle du seul peché impardonnable "Le Blasphème contre le Saint Esprit" il s'agit de tout ceux qui accuse l'élu de la prophétie de la pire abomination pratiqué par les satanistes, et qui amalgame volontairement ça avec l'ephebolie, attirance naturel pour les adolescentes pubères
Luc 12:10
"quiconque parlera contre le Fils de l'homme, il lui sera pardonné; mais à celui qui blasphémera contre le Saint-Esprit il ne sera point pardonné."
Hébreux 10:29
"de quel pire châtiment pensez-vous que sera jugé digne celui qui aura foulé aux pieds le Fils de Dieu, qui aura tenu pour profane le sang de l'alliance, par lequel il a été sanctifié, et qui aura outragé l'Esprit de la grâce ?"
Kremlin says Putin trip to China is "on the agenda"
The Kremlin said that a visit by President Vladimir Putin to China was on the agenda, adding that now was a good time to build on the already strong relationship between the two countries.
Kremlin spokesman Peskov told a news briefing that the date of Putin's trip would be announced when it had been finalised. "Now is an absolutely opportune moment to maintain high dynamics in the development of bilateral Russian-Chinese relations. The exact dates will be agreed and you will be informed. Dialogue continues at various levels" he said.
Russia has further strengthened its economic, trade, political and military ties with China after its decision to send tens of thousands of troops into Ukraine drove relations with the West to post-Cold War lows. Putin and Chinese President Xi Jinping committed to a "no limits" partnership just weeks before Russia launched what it calls a "special military operation"
During Putin's expected trip to Beijing, Peskov said, the two presidents would focus on bilateral trade and economic cooperation and on global issues.
"Based on the similarity of Moscow and Beijing's vision of the essence of international relations, we have very, very good prospects for further discussions and, most importantly, for constructive interaction" Peskov said.