Messages de BigusDickuss

bon je mange quoi
11/03/2021 14:01
une bone choucroute
t'es militaire?
La barbe
11/03/2021 12:56
sujet barbant avec tes pigments
stv mais mtn la ville s'appelle islambul
How to chat online
11/03/2021 12:47
den press start

Le 11 mars 2021 à 12:33:37 Vercassi a écrit :
Le minerai ne venait pas d'Algérie, c'est un fake.

le carbonne 14 réagit au sang dzdz

y pleure a chaude larme
Le journaliste Mohamed Allal garde une rancœur tenace quant au passé tourmenté de la France et de son ancienne colonie d'Afrique du Nord. Invité sur une chaîne algérienne de Lina Télévision le 28 janvier dernier, comme le rapporte Causeur, il n'a pas hésité à demander officiellement à la France de s’excuser pour avoir « volé son pays, ses richesses et ses trésors », en faisant référence à la guerre d'Algérie. Mohamed Allal a aussi expressément demandé à ce que « la France rende la tour Eiffel à l'Algérie » puisque cette dernière aurait, selon lui, été construite à partir de « fer volé » dans le pays colonisé. Dans cette requête, il a été soutenu par une partie des Algériens qui lui donnent raison sur la nature des matériaux utilisés pour bâtir l'un des monuments les plus connus au monde et qui se trouve à Paris. D'autres, en particulier sur les réseaux sociaux, se sont emparés du sujet pour se moquer du journaliste algérien. L'un des messages lui étant adressé qui indiquait qu'il « serait temps de rendre les Algériens à l'Algérie » a réveillé la presse locale qui a évoqué une xénophobie à l'encontre des Maghrébins de France.
Le fer utilisé pour la Tour Eiffel a été fabriqué en Lorraine, à partir de minerai venant d'Algérie (mines du Zaccar (Miliana) et de Rouina)..
ma braguette :noel:
sinon suffit qu'une tombe et avec l'effet domino tu te retrouves avec une inondation
moi aussi je vais mourrir?
t'offrir de chateau
je sais pas comment réagir
elle a kiffé
sauf ptet un trou c'est un troui
une expression plus gay que ça y'a pas
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/21/7/1527448262-nancypioupiou.png
perso je pisse dans un mouchoir
cette question sempiternel