Messages de Naintelectuel
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Oh my lord le bidehttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/18/4/1651786207-johnny-multiple-pint.png
Alors des avis ?https://image.noelshack.com/fichiers/2022/18/6/1651882754-sticker-johnny.png
Ready or not readyhttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/20/1/1652718341-johnny-depp-new-real-megapint-removebg-preview.png
Ne soyez pas timidehttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/20/1/1652718341-johnny-depp-new-real-megapint-removebg-preview.png
Alors les clés je suis ouvert à la critiquehttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/20/1/1652718341-johnny-depp-new-real-megapint-removebg-preview.png
Le 26 juin 2022 à 10:14:39 :
La vie est Dieu, nous sommes la vie, il n'y a pas de créateur séparé de la création, et donc pas de Dieu au-delà de la vie, la vie est sans fin et éternelle et la mort en tant que fin de la vie n'est qu'un concept inventé par des gens aveugles qui tirent des conclusions hâtives
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Sur la nécessité de la doctrine et de la pratique religieuse
Nous ne savons donc pas si Dieu existe. La croyance en Dieu n’est pas une nécessité. Quid de la
doctrine et la pratique ?
Le rite profite aux Hommes ; pas à Dieu. Soyons bons envers autrui ; et je ne veux pas d’un Dieu qui
m’oblige à la pratique. Et pourtant j’en admets volonté les bienfaits. La prière semble apaiser l’esprit,
et chez les chrétiens, et les juifs, et les musulmans, la pratique crée la cohésion sociale. L’Homme est
un animal social parait-il, et la religion est par essence profondément sociale. Et la pratique, et la
doctrine peuvent s’expliquer sans Dieu : et si Dieu n’existait pas, elles seraient le fruit de grands
philosophes, de grand esprit ayant compris l’Homme et ses besoins.
Et le mariage et la prohibition des rapports hors-mariages ne seraient plus des faveurs à dieu ; mais
une institution et une pratique permettant à l’homme d’avoir l’assurance de transmettre ses gènes,
et à la femme de donner vie et élever en sécurité. Et chaque homme aura accès à une femme, et il
n’élèvera pas l’enfant d’un autre. Et la femme sera protégée et ne connaitra pas l’abandon.
Et le jeûne bénéficiera à la santé ; comme la prohibition de la gourmandise. Et la religion
transcendera la condition de l’Homme, comme porte d’entrée sur le collectif.
Sur la nécessité de la croyance
Nous ne savons donc pas si Dieu existe et d’égale manière nous ne savons pas si il n’existe pas. Il
convient alors de questionner la croyance : doit-on croire en Dieu ?
La science explique le monde, sans Dieu, nous n’avons donc pas besoin de croire pour comprendre.
L’Homme n’a pas besoin de Dieu pour être bon, et le divin n’a jamais empêché l’Homme d’être
mauvais. Et pourtant, la croyance semble rester un invariable chez biens des gens et biens des
peuples. Il peut être intéressant d’envisager deux pistes de réflexions sur la persistance de la
croyance ; chacune d’entre elles s’expliquant sans faire appel au concept de Dieu.
D’une part, la croyance au sens large et l’extension de la culture, de la tradition. On est chrétiens
comme on bois le vin et mange le fromage, on est musulmans comme on partage le thé et les
loukoums. On croit parce que nos parents ont cru et nous ont appris à croire. Ici Dieu ne répond à
aucune nécessité, simplement un principe logique de transmission.
D’autre part, le concept de Dieu est une réponse simple à tout : si l’on n’a pas accès à l’information,
si l’on n’est pas capable de la comprendre ou si une réponse n’est toujours pas trouvée alors on peut
faire appel à Dieu. Dieu est ici envisagé comme un puissant logiciel, une grille de lecture du réel
infaillible. Dieu donne du sens. Ici Dieu répond à une nécessité, le sens, l’esprit cherche des réponses
et à donner du sens, parfois et bien souvent là où il n’y en a pas. Cette nécessité n’est pas un absolu :
et les peuples n’y seront soumis que corrélativement à leurs niveaux de développement.
Est-il donc nécessaire de croire en Dieu : je ne pense pas. Doit-on ne pas croire en Dieu ? Je ne pense
pas non plus. Doit pouvoir croire qui en a besoin, car Dieu agit en boussole en temps de tempête.
La croyance ici envisagé ne se limitait pas à la religion, quelle qu’elle soit : ici était envisagé la
conviction de l’existence d’un être supérieur et créateur. Il conviendra maintenant de s’interroger sur
la nécessité de la pratique religieuse.
Sur l’existence de Dieu
Dieu existe-t-il ? La question reste et restera sans réponse ; elle est donc dépourvue de tout intérêt.
En effet, admettons l’axiome suivant : ni les sens ni la science ne nous permettrons jamais de prouver
l’existence de dieu. La nature en est peut-être le fruit mais le naturel n’a aucune force probante sur
le surnaturel, pas plus que l’ordinaire sur l’extraordinaire. Vous pensez probablement que ce premier
raisonnement est faible, et il l’est : mais pourquoi perdre son temps, sa vie à chercher une réponse
objective à une question que les plus brillants esprits n’ont pas réussi à résoudre. La démonstration
de l’existence de Dieu appelle à biens des choses qui nous dépassent, concentrons-nous sur le
tangible et le rationnel
Le 26 juin 2022 à 10:09:46 :
dieu n'est pas de même nature que nous, il n'y aura donc pas de réponse.
topic clos
Justement j'en parle
Bon comme par hasard j'ai un problème avec WORD
Bon le titre est putaclic, je vais couper mon mini pavé en paragraphe