On est en 2009 et c'est vraiment la meilleure époque possible qui existe. Je viens d'être foutu en lycée privé où tout roule sur des roulettes et où je parie des clopes aux profs contre des bras de fers, je défonce le globe entier sur CSS au cyber-café, DragonForce est encore sur sa période Ultra Beatdown, et j'allais bientôt me branler sur Miranda Cosgrove lorsque Sparks Fly allait sortir.
On passait des moments extraordinaires au lycée, on taquinait le profs en décrochant le tableau pour faire des kick-flip avec, on reliait leur bureau à du 220v, parfois on allait tabasser les bagnoles des pions à coups de batte de baseball. Le quotidien fun d'un adolescent qui vit à 200 à l'heure.
Dans mon bahut j'étais déjà apprécié de toute ma classe et respecté, sauf par une seule petite merde : Brian.
Brian c'etait le stéréotype le chad bully insupportable, 1m90 costaud, gueule de 9/10, casquette Obey et casque Beats par le docteur Dre autour du coup, avec une veste Marshall. Je le connaissais ni d'Eve ni d'Adam, mais tout à commencé dans la cour quand je fumais 20 clopes en 5 minutes :
"Eh sympa la coupe, ton coiffeur est mort ? "
"Ah mais t'es peut être juste pédé mdr "
Ma réaction ne se fit pas attendre :
"Y'a un problème espece d'enculé ?"
J'etais prêt à sortir mon cran d'arrêt et à poignarder cette erreur de la nature 153 fois dans le thorax, puis je me suis rappelé que j'avais été viré de 17 établissements avant ça, notamment la dernière fois pour avoir foutu le feu à ma prof de français avec un bidon d'essence pour déconner. Autant dire que j'étais sur la sellette tel Maurice le taulard en sursis qui doit pas tripoter de petites filles pendant 5 ans histoire que ca soit pas Momo qui l'encule en cellule.
"On t'a causé la tarlouze ? "
"Éclate lui la gueule Brian "
Ah oui, il fallait parler bien évidemment de sa bande de connards, tous avec des gueules de futurs puceaux de compétition qui n'étaient que là pour flatter l'égo de Brian, à obéir en bons toutou. L'ambiance est bien montée et j'avais décidé coûte que coûte de régler son compte à ce petit bâtard. A la sortie, 17h35, était prévue l'heure du deathmatch.
"T'auras besoin d'un coup de main Knarf ?
"Que dalle, je pratique le cassage de gueule depuis 14 ans (j'en avais 15) ca va être easy maggle"
Putain si j'avais su.
Le moment venu je suis allé au spot du rdv, Brian était là comme convenu.
"Ca va aller le pouilleux ? Allez viens que je t'éclate. "
Putain l'adrénaline d'un duel comme j'aime, j'allais lui éclater la gueule, j'en bandais putain.
Enfin le temps de 5 secondes. Je me suis pris une putain de patate derrière la tête par un enculé qui campait comme moi sur cs_italy dans la baraque, avant de voir débouler 6-7 autres tafioles qui m'ont défoncé la gueule en beauté, avant de finir au sol et que Brian m'éclate la moitié de la tronche pendant que les autres me tenaient les membres.
"Allez à plus fils de pute, la prochaine fois que t'ouvre ta gueule on te rase la tête. "
Putain j'étais vener, ce moment de réalisation où tu as les larmes de haine de t'être fait baiser d'une manière aussi lâche. J'ai commencé à défoncer des poubelles, balancer des vélos sur les bagnoles, et renverser un 33 tonnes sur le côté de colère.
Je croise Gustave qui attendait plus loin pour ma victoire prévue de base
"Putain merde enculé, t'as branlé quoi ? Tu t'es servi de ta tronche au lieu de tes poings ?
Je lui explique un peu le délire, le courage du gars etc
"Mais quelle lopette. Va pas falloir laisser ça Knarf. J'ai peut-être bien une idée mais il va falloir baisser ta garde quelques semaines
Gustave m'expliqua son plan. Il était magistral. J'avais enfin une idée de vengeance parfaite qui allait pourvoir rectifier l'affront que cette fiote m'avait fait.
"Cependant faut être méticuleux dans ce genre de coup, et toi t'es quand même un peu con comme un manche Knarf, je te parie une cartouche de clope que t'es pas cap
"Pari accepté enculé "
"Par contre t'as une sale gueule mec
"Ta gueule enculé"
"Allez viens y'a concert de Dragonforce à Paris on y va ce soir ca va te changer les idées
"Je te rapelle qu'on a 15 ans et pas le permis"
"Pas grave je vais emprunter celui de mon père on a la même gueule
Après plusieurs semaines, l'ambiance était vraiment infernale au lycée. Tout allait bien, mais à croiser ce troupeaux de cons, ça allait beaucoup moins bien.
"Eh fils de pute ca va ta sale gueule ? "
"Hihihi t'es trop fort Brian bien fait à ce crasseux "
Je lui expliquait vite fait que maman n'est pas une prostituée déjà, mais plutôt une strip-teaseuse car elle avait du se faire de l'argent après que mon père ai décidé de franchir le mur de Berlin dans le mauvais sens (RDA) car il aimait pas la bière bavaroise
"Non mais en s'en branle de ta vie ferme ta gueule "
Putain j'allais lui tordre le cou à cet enculé. Mais je devais baisser ma garde, l'air de rien, pour la suite du plan. Il devait me penser faible et sans intentions.
Et une semaine après, le jour J arriva.
C'était un lundi, début de semaine. Je connaissais son emploi du temps par cœur. Entre midi et 14h il était toujours dans la cour de récréation à zoner et à ne rien foutre, c'était le moment. Enfin.
J'abordai Mélissa une fille de ma classe.
"Eh Mélissa ? Tu serai cap d'aller voir Brian, de lui dire de te suivre dans les couloirs du sous-sol, et lui mettre ce collier ?"
"Euh.. En quel honneur ?"
"Je te file 100 balles si tu le fais."
"Ah la je dis pas non ))"> "
Mélissa était royalement conne et c'est tout ce dont j'avais besoin.
"Mais euh il est chelou ton collier, et je dois le fermer avec un cadenas ?"
"Oui, pose pas de questions, c'est une blague entre potes, et surtout dis rien pour moi ! "
Je voyais ce gourgandine avec ses gros seins ballotants dans son décolleté insolent avancer vers cet idiot, qui était accompagné de ses deux meilleurs amis, comme je l'avais prévu. J'étais planqué à espionner la scène, tel un voyeur en train de s'astiquer en voyant deux ados niquer dans une Nissan Primera. Puis ils allaient dans le sous-sol, très important. Vous savez pourquoi ? Tout ce bâtiment est vide le midi et insonorisé à l'extrême, loin de tout dans le lycée.
"Bon alors ma belle qu'est ce ce que tu veux ? Une petite partouze ? ))"> "
"Mais non hihihi, ferme les yeux j'ai une surprise ^^ "
"Oh je vois quel genre de surpr... *clic* qu'est-ce que c'est que cette merde que tu viens de me mettre ???"
"Ah ça je peux pas le *BANG* "
"Salut, petite baltringue. "
Je venais d'exploser le crâne de Mélissa par derrière d'un coup de canon scié. Il y avait des éclats de cervelle de partout. Ces trois merdes étaient en train de se pisser dessus en couinant comme des petited putes.
"OH FERMEZ VOS GUEULE LÀ. On va jouer. Ensemble. Tu aimes bien jouer hein Brian ? "
"Qu'est... Espèce de sale taré, qu'est-ce ce que tu veux ???"
"Tu vois ce bouton que je maintiens dans ma main ? C'est un détonateur. Ce que tu as rivé autour du cou, c'est un collier explosif. Tu vois, si je lâche le bouton, tu exploses Brian. "
"Qu... quoi.... n.... non..." il réalisait. Il n'était rien. J'étais tout.
"Tu veux vivre Brian ? Alors tu vas devoir M'OBÉIR. "
"d'ac...d'accord.."
"D'accord GRAND KNARF. "
"D'a...d'accord grand Knarf.. "
Je le voyais s'etre fait dessus. Il était terrorisé. La peur incarnée. L'épouvante. J'avais un orgasme mental. Cette petite merde était à moi. Sous mon contrôle. J'etais Dieu. Le meurtre m'avait sanctuarisé en Dieu. Chacun de mes membres étaient envahis d'une grâce divine.
J'avais au préalable laissé une caisse à l'endroit prévu.
"Dis à ton pote le petit gros d'ouvrir cette caisse. "
"Charles, gros, ouvre la caisse"
"O...ok... C'est... C'est une tronçonneuse ?"
" oui, démarre la. "
Le petit gros dégueulasse au faciès de tête à claque essaya pendant 30 secondes de demarrer fébrilement la machine de mort avant d'enfin y arriver. Je me mis à pointer le dernier gars du bout de mon canon scié fraîchement rechargé ainsi que le petit porc.
"Maintenant Brian, tu vas obliger Charles à fendre la tête de ton autre pote en deux. "
"Q...quoi ??? Mais t'es malade !!!!!!! " Tout le monde était pris de panique et hurlait. Je tirai un coup dans les jambes du gars pour calmer tout ce bordel et l'empêcher de fuir.
"Fait le où je lâche le bouton. Dans 5. 4."
"Ok !!!!!! Charles FAIT LE !!!!!!!"
"Dé... Désolé.."
La scène était macabre et d'une violence sans nom. Ce fils de putain se fait ouvrir verticalment la boîte crânienne, en hurlant comme jamais j'aurais pu imaginer l'entendre. Un pur plaisir.
"Je... Quelle horreur je t'en supplie arrête" me suppliais Charles l'obèse.
"Tu veux arrêter ? Ok. Brian attape ça. "
"Arrose ton pote avec. Maintenant. "
Cette grosse merde s'exécuta. Je menaçais désormais Brian de lâcher le bouton si il ne jetait pas mon briquet allumé dessus.
"Pardon Charles je n'ai pas le choix gros..."
"AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH" ce putain de SAC A MERDE HURLAIT EN BRÛLANT, je le voyais courir, essayer de de rouler, il hurlait à la mort, ses cheveux brûlaient, ses vetements fondaient sur lui, je l'ai vu devenir totalement inhumain. Ce supplice a duré 3 minutes. 3 minutes de pur plaisir comme jamais j'en avais encore ressenti.
"..qu...T...Tu me veux quoi maintenant ???????"
"Maintenant ? Oh. Tu vas vite le savoir. "
Mon téléphone sonnait. Un Sony Ericsson W810i, une vraie bombe je mis le téléphone en haut-parleur.
"Prends ça sale pute" on entendait en fond une femme hurler à la mort, et un homme qui supplait de mourir.
"Tu entends Brian ? "
"que..."
"Ca c'est mon copain Ambroise. Il a un pénis de 9cm de large. Il est en train de violer ta mère. Il la sodomise. Devant ton père ligoté qui supplie de mourir. Tu sais pourquoi il supplie de mourir, Brian ? Car tes deux petites sœurs ont ete violées et massacrées juste avant. "
"Non, non non non non NOOOOOOOOOOOOOOON NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !!!!!!!!"
Cette grosse baltringue s'effondrait au sol en hurlant de désespoir. Je laissais le haut-parleur bien fort. Je voulais qu'il entende le viol. Le meurtre. Tout ce qu'il avait causé. C'etait sa faute.
"POURQUOIIIIIIIIIIIIIII ??????"
"On me baise pas Brian. On me baise jamais. Pas moi. Pas le grand Knarf. "
Je me mis à glisser le détonateur dans les doigts de ce fils de putain.
"Tu as désormais ton propre droit de mort. Obéis moi. Affirme que je suis ton Dieu. "
"tu... tu es mon dieu.."
"Plus fort. Et je suis le GRAND KNARF. "
"Grand Knarf tu.. tu es mon dieu.."
"PLUS FORT "
"Grand Knarf tu es mon dieu !!!"
"PLUS FORT TU ME DOIS TOUT ET OBÉISSANCE ! "
"GRAND KNARF TU ES MON DIEU ET JE T'OBEIS !!!!!"
"PLUS FORT HURLE LE !!!!! "
"TU ES MON DIEU MA VIE EST A TOI !!!!!!"
"SUICIDE TOI ! OBÉIS "
"OUI DIEU J'OBÉIS ! OUI !!!!! OUI !!!!!!!"
Et cette merde lâcha le bouton et se fit exploser la caboche. Mes oreilles sifflaient une demie minute. Un silence radieux, en étant couvert de la cervelle de cette sous-merde. J'étais en extase totale. J'etais dieu. Grâce au meurtre, je venais de comprendre ce qu'étais d'en être un. Le droit de vie ou de mort était la chose la plus puissante, la quintescence de l'existence.
J'ai glissé le canon scié dans ses mains en foutant ses empruntes partout (j'avais anticipé d'en mettre aucune avec des gants) et ca me faisait quand même chié j'avais raqué pour chopper cette merde.
La vie était enfin redevenue radieuse au lycée Plus personne pour oser me défier de quelconque manière. Visiblement le lycée a été tres peu sous le choc de la mort de cette erreur de la nature, l'affaire ayant été le moins relayée possible dans l'établissement pour ne pas nuire à sa réputation. La police en a conclu que ce con avait massacré sa famille avant d'en finir avec ses amis et lui même.
On se retrouvait ensuite au bistrot du coin sur la borne d'arcade Crazy Taxi avec Gustave, à boire un diabolo menthe glaciale et en fumant 47 clopes.
"Putain merde tu l'as vraiment fait, tu fais chier tiens v'la tes clopes enfoiré !
On est en 2009 et c'est vraiment la meilleure époque possible qui existe. Je viens d'être foutu en lycée privé où tout roule sur des roulettes et où je parie des clopes aux profs contre des bras de fers, je défonce le globe entier sur CSS au cyber-café, DragonForce est encore sur sa période Ultra Beatdown, et j'allais bientôt me branler sur Miranda Cosgrove lorsque Sparks Fly allait sortir.
On passait des moments extraordinaires au lycée, on taquinait le profs en décrochant le tableau pour faire des kick-flip avec, on reliait leur bureau à du 220v, parfois on allait tabasser les bagnoles des pions à coups de batte de baseball. Le quotidien fun d'un adolescent qui vit à 200 à l'heure.
Dans mon bahut j'étais déjà apprécié de toute ma classe et respecté, sauf par une seule petite merde : Brian.
Brian c'etait le stéréotype le chad bully insupportable, 1m90 costaud, gueule de 9/10, casquette Obey et casque Beats par le docteur Dre autour du coup, avec une veste Marshall. Je le connaissais ni d'Eve ni d'Adam, mais tout à commencé dans la cour quand je fumais 20 clopes en 5 minutes :
"Eh sympa la coupe, ton coiffeur est mort ? "
"Ah mais t'es peut être juste pédé mdr "
Ma réaction ne se fit pas attendre :
"Y'a un problème espece d'enculé ?"
J'etais prêt à sortir mon cran d'arrêt et à poignarder cette erreur de la nature 153 fois dans le thorax, puis je me suis rappelé que j'avais été viré de 17 établissements avant ça, notamment la dernière fois pour avoir foutu le feu à ma prof de français avec un bidon d'essence pour déconner. Autant dire que j'étais sur la sellette tel Maurice le taulard en sursis qui doit pas tripoter de petites filles pendant 5 ans histoire que ca soit pas Momo qui l'encule en cellule.
"On t'a causé la tarlouze ? "
"Éclate lui la gueule Brian "
Ah oui, il fallait parler bien évidemment de sa bande de connards, tous avec des gueules de futurs puceaux de compétition qui n'étaient que là pour flatter l'égo de Brian, à obéir en bons toutou. L'ambiance est bien montée et j'avais décidé coûte que coûte de régler son compte à ce petit bâtard. A la sortie, 17h35, était prévue l'heure du deathmatch.
"T'auras besoin d'un coup de main Knarf ?
"Que dalle, je pratique le cassage de gueule depuis 14 ans (j'en avais 15) ca va être easy maggle"
Putain si j'avais su.
Le moment venu je suis allé au spot du rdv, Brian était là comme convenu.
"Ca va aller le pouilleux ? Allez viens que je t'éclate. "
Putain l'adrénaline d'un duel comme j'aime, j'allais lui éclater la gueule, j'en bandais putain.
Enfin le temps de 5 secondes. Je me suis pris une putain de patate derrière la tête par un enculé qui campait comme moi sur cs_italy dans la baraque, avant de voir débouler 6-7 autres tafioles qui m'ont défoncé la gueule en beauté, avant de finir au sol et que Brian m'éclate la moitié de la tronche pendant que les autres me tenaient les membres.
"Allez à plus fils de pute, la prochaine fois que t'ouvre ta gueule on te rase la tête. "
Putain j'étais vener, ce moment de réalisation où tu as les larmes de haine de t'être fait baiser d'une manière aussi lâche. J'ai commencé à défoncer des poubelles, balancer des vélos sur les bagnoles, et renverser un 33 tonnes sur le côté de colère.
Je croise Gustave qui attendait plus loin pour ma victoire prévue de base
"Putain merde enculé, t'as branlé quoi ? Tu t'es servi de ta tronche au lieu de tes poings ?
Je lui explique un peu le délire, le courage du gars etc
"Mais quelle lopette. Va pas falloir laisser ça Knarf. J'ai peut-être bien une idée mais il va falloir baisser ta garde quelques semaines
Gustave m'expliqua son plan. Il était magistral. J'avais enfin une idée de vengeance parfaite qui allait pourvoir rectifier l'affront que cette fiote m'avait fait.
"Cependant faut être méticuleux dans ce genre de coup, et toi t'es quand même un peu con comme un manche Knarf, je te parie une cartouche de clope que t'es pas cap
"Pari accepté enculé "
"Par contre t'as une sale gueule mec
"Ta gueule enculé"
"Allez viens y'a concert de Dragonforce à Paris on y va ce soir ca va te changer les idées
"Je te rapelle qu'on a 15 ans et pas le permis"
"Pas grave je vais emprunter celui de mon père on a la même gueule
Après plusieurs semaines, l'ambiance était vraiment infernale au lycée. Tout allait bien, mais à croiser ce troupeaux de cons, ça allait beaucoup moins bien.
"Eh fils de pute ca va ta sale gueule ? "
"Hihihi t'es trop fort Brian bien fait à ce crasseux "
Je lui expliquait vite fait que maman n'est pas une prostituée déjà, mais plutôt une strip-teaseuse car elle avait du se faire de l'argent après que mon père ai décidé de franchir le mur de Berlin dans le mauvais sens (RDA) car il aimait pas la bière bavaroise
"Non mais en s'en branle de ta vie ferme ta gueule "
Putain j'allais lui tordre le cou à cet enculé. Mais je devais baisser ma garde, l'air de rien, pour la suite du plan. Il devait me penser faible et sans intentions.
Et une semaine après, le jour J arriva.
C'était un lundi, début de semaine. Je connaissais son emploi du temps par cœur. Entre midi et 14h il était toujours dans la cour de récréation à zoner et à ne rien foutre, c'était le moment. Enfin.
J'abordai Mélissa une fille de ma classe.
"Eh Mélissa ? Tu serai cap d'aller voir Brian, de lui dire de te suivre dans les couloirs du sous-sol, et lui mettre ce collier ?"
"Euh.. En quel honneur ?"
"Je te file 100 balles si tu le fais."
"Ah la je dis pas non ))"> "
Mélissa était royalement conne et c'est tout ce dont j'avais besoin.
"Mais euh il est chelou ton collier, et je dois le fermer avec un cadenas ?"
"Oui, pose pas de questions, c'est une blague entre potes, et surtout dis rien pour moi ! "
Je voyais ce gourgandine avec ses gros seins ballotants dans son décolleté insolent avancer vers cet idiot, qui était accompagné de ses deux meilleurs amis, comme je l'avais prévu. J'étais planqué à espionner la scène, tel un voyeur en train de s'astiquer en voyant deux ados niquer dans une Nissan Primera. Puis ils allaient dans le sous-sol, très important. Vous savez pourquoi ? Tout ce bâtiment est vide le midi et insonorisé à l'extrême, loin de tout dans le lycée.
"Bon alors ma belle qu'est ce ce que tu veux ? Une petite partouze ? ))"> "
"Mais non hihihi, ferme les yeux j'ai une surprise ^^ "
"Oh je vois quel genre de surpr... *clic* qu'est-ce que c'est que cette merde que tu viens de me mettre ???"
"Ah ça je peux pas le *BANG* "
"Salut, petite baltringue. "
Je venais d'exploser le crâne de Mélissa par derrière d'un coup de canon scié. Il y avait des éclats de cervelle de partout. Ces trois merdes étaient en train de se pisser dessus en couinant comme des petited putes.
"OH FERMEZ VOS GUEULE LÀ. On va jouer. Ensemble. Tu aimes bien jouer hein Brian ? "
"Qu'est... Espèce de sale taré, qu'est-ce ce que tu veux ???"
"Tu vois ce bouton que je maintiens dans ma main ? C'est un détonateur. Ce que tu as rivé autour du cou, c'est un collier explosif. Tu vois, si je lâche le bouton, tu exploses Brian. "
"Qu... quoi.... n.... non..." il réalisait. Il n'était rien. J'étais tout.
"Tu veux vivre Brian ? Alors tu vas devoir M'OBÉIR. "
"d'ac...d'accord.."
"D'accord GRAND KNARF. "
"D'a...d'accord grand Knarf.. "
Je le voyais s'etre fait dessus. Il était terrorisé. La peur incarnée. L'épouvante. J'avais un orgasme mental. Cette petite merde était à moi. Sous mon contrôle. J'etais Dieu. Le meurtre m'avait sanctuarisé en Dieu. Chacun de mes membres étaient envahis d'une grâce divine.
J'avais au préalable laissé une caisse à l'endroit prévu.
"Dis à ton pote le petit gros d'ouvrir cette caisse. "
"Charles, gros, ouvre la caisse"
"O...ok... C'est... C'est une tronçonneuse ?"
" oui, démarre la. "
Le petit gros dégueulasse au faciès de tête à claque essaya pendant 30 secondes de demarrer fébrilement la machine de mort avant d'enfin y arriver. Je me mis à pointer le dernier gars du bout de mon canon scié fraîchement rechargé ainsi que le petit porc.
"Maintenant Brian, tu vas obliger Charles à fendre la tête de ton autre pote en deux. "
"Q...quoi ??? Mais t'es malade !!!!!!! " Tout le monde était pris de panique et hurlait. Je tirai un coup dans les jambes du gars pour calmer tout ce bordel et l'empêcher de fuir.
"Fait le où je lâche le bouton. Dans 5. 4."
"Ok !!!!!! Charles FAIT LE !!!!!!!"
"Dé... Désolé.."
La scène était macabre et d'une violence sans nom. Ce fils de putain se fait ouvrir verticalment la boîte crânienne, en hurlant comme jamais j'aurais pu imaginer l'entendre. Un pur plaisir.
"Je... Quelle horreur je t'en supplie arrête" me suppliais Charles l'obèse.
"Tu veux arrêter ? Ok. Brian attape ça. "
"Arrose ton pote avec. Maintenant. "
Cette grosse merde s'exécuta. Je menaçais désormais Brian de lâcher le bouton si il ne jetait pas mon briquet allumé dessus.
"Pardon Charles je n'ai pas le choix gros..."
"AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH" ce putain de SAC A MERDE HURLAIT EN BRÛLANT, je le voyais courir, essayer de de rouler, il hurlait à la mort, ses cheveux brûlaient, ses vetements fondaient sur lui, je l'ai vu devenir totalement inhumain. Ce supplice a duré 3 minutes. 3 minutes de pur plaisir comme jamais j'en avais encore ressenti.
"..qu...T...Tu me veux quoi maintenant ???????"
"Maintenant ? Oh. Tu vas vite le savoir. "
Mon téléphone sonnait. Un Sony Ericsson W810i, une vraie bombe je mis le téléphone en haut-parleur.
"Prends ça sale pute" on entendait en fond une femme hurler à la mort, et un homme qui supplait de mourir.
"Tu entends Brian ? "
"que..."
"Ca c'est mon copain Ambroise. Il a un pénis de 9cm de large. Il est en train de violer ta mère. Il la sodomise. Devant ton père ligoté qui supplie de mourir. Tu sais pourquoi il supplie de mourir, Brian ? Car tes deux petites sœurs ont ete violées et massacrées juste avant. "
"Non, non non non non NOOOOOOOOOOOOOOON NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !!!!!!!!"
Cette grosse baltringue s'effondrait au sol en hurlant de désespoir. Je laissais le haut-parleur bien fort. Je voulais qu'il entende le viol. Le meurtre. Tout ce qu'il avait causé. C'etait sa faute.
"POURQUOIIIIIIIIIIIIIII ??????"
"On me baise pas Brian. On me baise jamais. Pas moi. Pas le grand Knarf. "
Je me mis à glisser le détonateur dans les doigts de ce fils de putain.
"Tu as désormais ton propre droit de mort. Obéis moi. Affirme que je suis ton Dieu. "
"tu... tu es mon dieu.."
"Plus fort. Et je suis le GRAND KNARF. "
"Grand Knarf tu.. tu es mon dieu.."
"PLUS FORT "
"Grand Knarf tu es mon dieu !!!"
"PLUS FORT TU ME DOIS TOUT ET OBÉISSANCE ! "
"GRAND KNARF TU ES MON DIEU ET JE T'OBEIS !!!!!"
"PLUS FORT HURLE LE !!!!! "
"TU ES MON DIEU MA VIE EST A TOI !!!!!!"
"SUICIDE TOI ! OBÉIS "
"OUI DIEU J'OBÉIS ! OUI !!!!! OUI !!!!!!!"
Et cette merde lâcha le bouton et se fit exploser la caboche. Mes oreilles sifflaient une demie minute. Un silence radieux, en étant couvert de la cervelle de cette sous-merde. J'étais en extase totale. J'etais dieu. Grâce au meurtre, je venais de comprendre ce qu'étais d'en être un. Le droit de vie ou de mort était la chose la plus puissante, la quintescence de l'existence.
J'ai glissé le canon scié dans ses mains en foutant ses empruntes partout (j'avais anticipé d'en mettre aucune avec des gants) et ca me faisait quand même chié j'avais raqué pour chopper cette merde.
La vie était enfin redevenue radieuse au lycée Plus personne pour oser me défier de quelconque manière. Visiblement le lycée a été tres peu sous le choc de la mort de cette erreur de la nature, l'affaire ayant été le moins relayée possible dans l'établissement pour ne pas nuire à sa réputation. La police en a conclu que ce con avait massacré sa famille avant d'en finir avec ses amis et lui même.
On se retrouvait ensuite au bistrot du coin sur la borne d'arcade Crazy Taxi avec Gustave, à boire un diabolo menthe glaciale et en fumant 47 clopes.
"Putain merde tu l'as vraiment fait, tu fais chier tiens v'la tes clopes enfoiré !
On est en 2009 et c'est vraiment la meilleure époque possible qui existe. Je viens d'être foutu en lycée privé où tout roule sur des roulettes et où je parie des clopes aux profs contre des bras de fers, je défonce le globe entier sur CSS au cyber-café, DragonForce est encore sur sa période Ultra Beatdown, et j'allais bientôt me branler sur Miranda Cosgrove lorsque Sparks Fly allait sortir.
On passait des moments extraordinaires au lycée, on taquinait le profs en décrochant le tableau pour faire des kick-flip avec, on reliait leur bureau à du 220v, parfois on allait tabasser les bagnoles des pions à coups de batte de baseball. Le quotidien fun d'un adolescent qui vit à 200 à l'heure.
Dans mon bahut j'étais déjà apprécié de toute ma classe et respecté, sauf par une seule petite merde : Brian.
Brian c'etait le stéréotype le chad bully insupportable, 1m90 costaud, gueule de 9/10, casquette Obey et casque Beats par le docteur Dre autour du coup, avec une veste Marshall. Je le connaissais ni d'Eve ni d'Adam, mais tout à commencé dans la cour quand je fumais 20 clopes en 5 minutes :
"Eh sympa la coupe, ton coiffeur est mort ? "
"Ah mais t'es peut être juste pédé mdr "
Ma réaction ne se fit pas attendre :
"Y'a un problème espece d'enculé ?"
J'etais prêt à sortir mon cran d'arrêt et à poignarder cette erreur de la nature 153 fois dans le thorax, puis je me suis rappelé que j'avais été viré de 17 établissements avant ça, notamment la dernière fois pour avoir foutu le feu à ma prof de français avec un bidon d'essence pour déconner. Autant dire que j'étais sur la sellette tel Maurice le taulard en sursis qui doit pas tripoter de petites filles pendant 5 ans histoire que ca soit pas Momo qui l'encule en cellule.
"On t'a causé la tarlouze ? "
"Éclate lui la gueule Brian "
Ah oui, il fallait parler bien évidemment de sa bande de connards, tous avec des gueules de futurs puceaux de compétition qui n'étaient que là pour flatter l'égo de Brian, à obéir en bons toutou. L'ambiance est bien montée et j'avais décidé coûte que coûte de régler son compte à ce petit bâtard. A la sortie, 17h35, était prévue l'heure du deathmatch.
"T'auras besoin d'un coup de main Knarf ?
"Que dalle, je pratique le cassage de gueule depuis 14 ans (j'en avais 15) ca va être easy maggle"
Putain si j'avais su.
Le moment venu je suis allé au spot du rdv, Brian était là comme convenu.
"Ca va aller le pouilleux ? Allez viens que je t'éclate. "
Putain l'adrénaline d'un duel comme j'aime, j'allais lui éclater la gueule, j'en bandais putain.
Enfin le temps de 5 secondes. Je me suis pris une putain de patate derrière la tête par un enculé qui campait comme moi sur cs_italy dans la baraque, avant de voir débouler 6-7 autres tafioles qui m'ont défoncé la gueule en beauté, avant de finir au sol et que Brian m'éclate la moitié de la tronche pendant que les autres me tenaient les membres.
"Allez à plus fils de pute, la prochaine fois que t'ouvre ta gueule on te rase la tête. "
Putain j'étais vener, ce moment de réalisation où tu as les larmes de haine de t'être fait baiser d'une manière aussi lâche. J'ai commencé à défoncer des poubelles, balancer des vélos sur les bagnoles, et renverser un 33 tonnes sur le côté de colère.
Je croise Gustave qui attendait plus loin pour ma victoire prévue de base
"Putain merde enculé, t'as branlé quoi ? Tu t'es servi de ta tronche au lieu de tes poings ?
Je lui explique un peu le délire, le courage du gars etc
"Mais quelle lopette. Va pas falloir laisser ça Knarf. J'ai peut-être bien une idée mais il va falloir baisser ta garde quelques semaines
Gustave m'expliqua son plan. Il était magistral. J'avais enfin une idée de vengeance parfaite qui allait pourvoir rectifier l'affront que cette fiote m'avait fait.
"Cependant faut être méticuleux dans ce genre de coup, et toi t'es quand même un peu con comme un manche Knarf, je te parie une cartouche de clope que t'es pas cap
"Pari accepté enculé "
"Par contre t'as une sale gueule mec
"Ta gueule enculé"
"Allez viens y'a concert de Dragonforce à Paris on y va ce soir ca va te changer les idées
"Je te rapelle qu'on a 15 ans et pas le permis"
"Pas grave je vais emprunter celui de mon père on a la même gueule
Après plusieurs semaines, l'ambiance était vraiment infernale au lycée. Tout allait bien, mais à croiser ce troupeaux de cons, ça allait beaucoup moins bien.
"Eh fils de pute ca va ta sale gueule ? "
"Hihihi t'es trop fort Brian bien fait à ce crasseux "
Je lui expliquait vite fait que maman n'est pas une prostituée déjà, mais plutôt une strip-teaseuse car elle avait du se faire de l'argent après que mon père ai décidé de franchir le mur de Berlin dans le mauvais sens (RDA) car il aimait pas la bière bavaroise
"Non mais en s'en branle de ta vie ferme ta gueule "
Putain j'allais lui tordre le cou à cet enculé. Mais je devais baisser ma garde, l'air de rien, pour la suite du plan. Il devait me penser faible et sans intentions.
Et une semaine après, le jour J arriva.
C'était un lundi, début de semaine. Je connaissais son emploi du temps par cœur. Entre midi et 14h il était toujours dans la cour de récréation à zoner et à ne rien foutre, c'était le moment. Enfin.
J'abordai Mélissa une fille de ma classe.
"Eh Mélissa ? Tu serai cap d'aller voir Brian, de lui dire de te suivre dans les couloirs du sous-sol, et lui mettre ce collier ?"
"Euh.. En quel honneur ?"
"Je te file 100 balles si tu le fais."
"Ah la je dis pas non ))"> "
Mélissa était royalement conne et c'est tout ce dont j'avais besoin.
"Mais euh il est chelou ton collier, et je dois le fermer avec un cadenas ?"
"Oui, pose pas de questions, c'est une blague entre potes, et surtout dis rien pour moi ! "
Je voyais ce gourgandine avec ses gros seins ballotants dans son décolleté insolent avancer vers cet idiot, qui était accompagné de ses deux meilleurs amis, comme je l'avais prévu. J'étais planqué à espionner la scène, tel un voyeur en train de s'astiquer en voyant deux ados niquer dans une Nissan Primera. Puis ils allaient dans le sous-sol, très important. Vous savez pourquoi ? Tout ce bâtiment est vide le midi et insonorisé à l'extrême, loin de tout dans le lycée.
"Bon alors ma belle qu'est ce ce que tu veux ? Une petite partouze ? ))"> "
"Mais non hihihi, ferme les yeux j'ai une surprise ^^ "
"Oh je vois quel genre de surpr... *clic* qu'est-ce que c'est que cette merde que tu viens de me mettre ???"
"Ah ça je peux pas le *BANG* "
"Salut, petite baltringue. "
Je venais d'exploser le crâne de Mélissa par derrière d'un coup de canon scié. Il y avait des éclats de cervelle de partout. Ces trois merdes étaient en train de se pisser dessus en couinant comme des petited putes.
"OH FERMEZ VOS GUEULE LÀ. On va jouer. Ensemble. Tu aimes bien jouer hein Brian ? "
"Qu'est... Espèce de sale taré, qu'est-ce ce que tu veux ???"
"Tu vois ce bouton que je maintiens dans ma main ? C'est un détonateur. Ce que tu as rivé autour du cou, c'est un collier explosif. Tu vois, si je lâche le bouton, tu exploses Brian. "
"Qu... quoi.... n.... non..." il réalisait. Il n'était rien. J'étais tout.
"Tu veux vivre Brian ? Alors tu vas devoir M'OBÉIR. "
"d'ac...d'accord.."
"D'accord GRAND KNARF. "
"D'a...d'accord grand Knarf.. "
Je le voyais s'etre fait dessus. Il était terrorisé. La peur incarnée. L'épouvante. J'avais un orgasme mental. Cette petite merde était à moi. Sous mon contrôle. J'etais Dieu. Le meurtre m'avait sanctuarisé en Dieu. Chacun de mes membres étaient envahis d'une grâce divine.
J'avais au préalable laissé une caisse à l'endroit prévu.
"Dis à ton pote le petit gros d'ouvrir cette caisse. "
"Charles, gros, ouvre la caisse"
"O...ok... C'est... C'est une tronçonneuse ?"
" oui, démarre la. "
Le petit gros dégueulasse au faciès de tête à claque essaya pendant 30 secondes de demarrer fébrilement la machine de mort avant d'enfin y arriver. Je me mis à pointer le dernier gars du bout de mon canon scié fraîchement rechargé ainsi que le petit porc.
"Maintenant Brian, tu vas obliger Charles à fendre la tête de ton autre pote en deux. "
"Q...quoi ??? Mais t'es malade !!!!!!! " Tout le monde était pris de panique et hurlait. Je tirai un coup dans les jambes du gars pour calmer tout ce bordel et l'empêcher de fuir.
"Fait le où je lâche le bouton. Dans 5. 4."
"Ok !!!!!! Charles FAIT LE !!!!!!!"
"Dé... Désolé.."
La scène était macabre et d'une violence sans nom. Ce fils de putain se fait ouvrir verticalment la boîte crânienne, en hurlant comme jamais j'aurais pu imaginer l'entendre. Un pur plaisir.
"Je... Quelle horreur je t'en supplie arrête" me suppliais Charles l'obèse.
"Tu veux arrêter ? Ok. Brian attape ça. "
"Arrose ton pote avec. Maintenant. "
Cette grosse merde s'exécuta. Je menaçais désormais Brian de lâcher le bouton si il ne jetait pas mon briquet allumé dessus.
"Pardon Charles je n'ai pas le choix gros..."
"AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH" ce putain de SAC A MERDE HURLAIT EN BRÛLANT, je le voyais courir, essayer de de rouler, il hurlait à la mort, ses cheveux brûlaient, ses vetements fondaient sur lui, je l'ai vu devenir totalement inhumain. Ce supplice a duré 3 minutes. 3 minutes de pur plaisir comme jamais j'en avais encore ressenti.
"..qu...T...Tu me veux quoi maintenant ???????"
"Maintenant ? Oh. Tu vas vite le savoir. "
Mon téléphone sonnait. Un Sony Ericsson W810i, une vraie bombe je mis le téléphone en haut-parleur.
"Prends ça sale pute" on entendait en fond une femme hurler à la mort, et un homme qui supplait de mourir.
"Tu entends Brian ? "
"que..."
"Ca c'est mon copain Ambroise. Il a un pénis de 9cm de large. Il est en train de violer ta mère. Il la sodomise. Devant ton père ligoté qui supplie de mourir. Tu sais pourquoi il supplie de mourir, Brian ? Car tes deux petites sœurs ont ete violées et massacrées juste avant. "
"Non, non non non non NOOOOOOOOOOOOOOON NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !!!!!!!!"
Cette grosse baltringue s'effondrait au sol en hurlant de désespoir. Je laissais le haut-parleur bien fort. Je voulais qu'il entende le viol. Le meurtre. Tout ce qu'il avait causé. C'etait sa faute.
"POURQUOIIIIIIIIIIIIIII ??????"
"On me baise pas Brian. On me baise jamais. Pas moi. Pas le grand Knarf. "
Je me mis à glisser le détonateur dans les doigts de ce fils de putain.
"Tu as désormais ton propre droit de mort. Obéis moi. Affirme que je suis ton Dieu. "
"tu... tu es mon dieu.."
"Plus fort. Et je suis le GRAND KNARF. "
"Grand Knarf tu.. tu es mon dieu.."
"PLUS FORT "
"Grand Knarf tu es mon dieu !!!"
"PLUS FORT TU ME DOIS TOUT ET OBÉISSANCE ! "
"GRAND KNARF TU ES MON DIEU ET JE T'OBEIS !!!!!"
"PLUS FORT HURLE LE !!!!! "
"TU ES MON DIEU MA VIE EST A TOI !!!!!!"
"SUICIDE TOI ! OBÉIS "
"OUI DIEU J'OBÉIS ! OUI !!!!! OUI !!!!!!!"
Et cette merde lâcha le bouton et se fit exploser la caboche. Mes oreilles sifflaient une demie minute. Un silence radieux, en étant couvert de la cervelle de cette sous-merde. J'étais en extase totale. J'etais dieu. Grâce au meurtre, je venais de comprendre ce qu'étais d'en être un. Le droit de vie ou de mort était la chose la plus puissante, la quintescence de l'existence.
J'ai glissé le canon scié dans ses mains en foutant ses empruntes partout (j'avais anticipé d'en mettre aucune avec des gants) et ca me faisait quand même chié j'avais raqué pour chopper cette merde.
La vie était enfin redevenue radieuse au lycée Plus personne pour oser me défier de quelconque manière. Visiblement le lycée a été tres peu sous le choc de la mort de cette erreur de la nature, l'affaire ayant été le moins relayée possible dans l'établissement pour ne pas nuire à sa réputation. La police en a conclu que ce con avait massacré sa famille avant d'en finir avec ses amis et lui même.
On se retrouvait ensuite au bistrot du coin sur la borne d'arcade Crazy Taxi avec Gustave, à boire un diabolo menthe glaciale et en fumant 47 clopes.
"Putain merde tu l'as vraiment fait, tu fais chier tiens v'la tes clopes enfoiré !
On est en 2009 et c'est vraiment la meilleure époque possible qui existe. Je viens d'être foutu en lycée privé où tout roule sur des roulettes et où je parie des clopes aux profs contre des bras de fers, je défonce le globe entier sur CSS au cyber-café, DragonForce est encore sur sa période Ultra Beatdown, et j'allais bientôt me branler sur Miranda Cosgrove lorsque Sparks Fly allait sortir.
On passait des moments extraordinaires au lycée, on taquinait le profs en décrochant le tableau pour faire des kick-flip avec, on reliait leur bureau à du 220v, parfois on allait tabasser les bagnoles des pions à coups de batte de baseball. Le quotidien fun d'un adolescent qui vit à 200 à l'heure.
Dans mon bahut j'étais déjà apprécié de toute ma classe et respecté, sauf par une seule petite merde : Brian.
Brian c'etait le stéréotype le chad bully insupportable, 1m90 costaud, gueule de 9/10, casquette Obey et casque Beats par le docteur Dre autour du coup, avec une veste Marshall. Je le connaissais ni d'Eve ni d'Adam, mais tout à commencé dans la cour quand je fumais 20 clopes en 5 minutes :
"Eh sympa la coupe, ton coiffeur est mort ? "
"Ah mais t'es peut être juste pédé mdr "
Ma réaction ne se fit pas attendre :
"Y'a un problème espece d'enculé ?"
J'etais prêt à sortir mon cran d'arrêt et à poignarder cette erreur de la nature 153 fois dans le thorax, puis je me suis rappelé que j'avais été viré de 17 établissements avant ça, notamment la dernière fois pour avoir foutu le feu à ma prof de français avec un bidon d'essence pour déconner. Autant dire que j'étais sur la sellette tel Maurice le taulard en sursis qui doit pas tripoter de petites filles pendant 5 ans histoire que ca soit pas Momo qui l'encule en cellule.
"On t'a causé la tarlouze ? "
"Éclate lui la gueule Brian "
Ah oui, il fallait parler bien évidemment de sa bande de connards, tous avec des gueules de futurs puceaux de compétition qui n'étaient que là pour flatter l'égo de Brian, à obéir en bons toutou. L'ambiance est bien montée et j'avais décidé coûte que coûte de régler son compte à ce petit bâtard. A la sortie, 17h35, était prévue l'heure du deathmatch.
"T'auras besoin d'un coup de main Knarf ?
"Que dalle, je pratique le cassage de gueule depuis 14 ans (j'en avais 15) ca va être easy maggle"
Putain si j'avais su.
Le moment venu je suis allé au spot du rdv, Brian était là comme convenu.
"Ca va aller le pouilleux ? Allez viens que je t'éclate. "
Putain l'adrénaline d'un duel comme j'aime, j'allais lui éclater la gueule, j'en bandais putain.
Enfin le temps de 5 secondes. Je me suis pris une putain de patate derrière la tête par un enculé qui campait comme moi sur cs_italy dans la baraque, avant de voir débouler 6-7 autres tafioles qui m'ont défoncé la gueule en beauté, avant de finir au sol et que Brian m'éclate la moitié de la tronche pendant que les autres me tenaient les membres.
"Allez à plus fils de pute, la prochaine fois que t'ouvre ta gueule on te rase la tête. "
Putain j'étais vener, ce moment de réalisation où tu as les larmes de haine de t'être fait baiser d'une manière aussi lâche. J'ai commencé à défoncer des poubelles, balancer des vélos sur les bagnoles, et renverser un 33 tonnes sur le côté de colère.
Je croise Gustave qui attendait plus loin pour ma victoire prévue de base
"Putain merde enculé, t'as branlé quoi ? Tu t'es servi de ta tronche au lieu de tes poings ?
Je lui explique un peu le délire, le courage du gars etc
"Mais quelle lopette. Va pas falloir laisser ça Knarf. J'ai peut-être bien une idée mais il va falloir baisser ta garde quelques semaines
Gustave m'expliqua son plan. Il était magistral. J'avais enfin une idée de vengeance parfaite qui allait pourvoir rectifier l'affront que cette fiote m'avait fait.
"Cependant faut être méticuleux dans ce genre de coup, et toi t'es quand même un peu con comme un manche Knarf, je te parie une cartouche de clope que t'es pas cap
"Pari accepté enculé "
"Par contre t'as une sale gueule mec
"Ta gueule enculé"
"Allez viens y'a concert de Dragonforce à Paris on y va ce soir ca va te changer les idées
"Je te rapelle qu'on a 15 ans et pas le permis"
"Pas grave je vais emprunter celui de mon père on a la même gueule
Après plusieurs semaines, l'ambiance était vraiment infernale au lycée. Tout allait bien, mais à croiser ce troupeaux de cons, ça allait beaucoup moins bien.
"Eh fils de pute ca va ta sale gueule ? "
"Hihihi t'es trop fort Brian bien fait à ce crasseux "
Je lui expliquait vite fait que maman n'est pas une prostituée déjà, mais plutôt une strip-teaseuse car elle avait du se faire de l'argent après que mon père ai décidé de franchir le mur de Berlin dans le mauvais sens (RDA) car il aimait pas la bière bavaroise
"Non mais en s'en branle de ta vie ferme ta gueule "
Putain j'allais lui tordre le cou à cet enculé. Mais je devais baisser ma garde, l'air de rien, pour la suite du plan. Il devait me penser faible et sans intentions.
Et une semaine après, le jour J arriva.
C'était un lundi, début de semaine. Je connaissais son emploi du temps par cœur. Entre midi et 14h il était toujours dans la cour de récréation à zoner et à ne rien foutre, c'était le moment. Enfin.
J'abordai Mélissa une fille de ma classe.
"Eh Mélissa ? Tu serai cap d'aller voir Brian, de lui dire de te suivre dans les couloirs du sous-sol, et lui mettre ce collier ?"
"Euh.. En quel honneur ?"
"Je te file 100 balles si tu le fais."
"Ah la je dis pas non ))"> "
Mélissa était royalement conne et c'est tout ce dont j'avais besoin.
"Mais euh il est chelou ton collier, et je dois le fermer avec un cadenas ?"
"Oui, pose pas de questions, c'est une blague entre potes, et surtout dis rien pour moi ! "
Je voyais ce gourgandine avec ses gros seins ballotants dans son décolleté insolent avancer vers cet idiot, qui était accompagné de ses deux meilleurs amis, comme je l'avais prévu. J'étais planqué à espionner la scène, tel un voyeur en train de s'astiquer en voyant deux ados niquer dans une Nissan Primera. Puis ils allaient dans le sous-sol, très important. Vous savez pourquoi ? Tout ce bâtiment est vide le midi et insonorisé à l'extrême, loin de tout dans le lycée.
"Bon alors ma belle qu'est ce ce que tu veux ? Une petite partouze ? ))"> "
"Mais non hihihi, ferme les yeux j'ai une surprise ^^ "
"Oh je vois quel genre de surpr... *clic* qu'est-ce que c'est que cette merde que tu viens de me mettre ???"
"Ah ça je peux pas le *BANG* "
"Salut, petite baltringue. "
Je venais d'exploser le crâne de Mélissa par derrière d'un coup de canon scié. Il y avait des éclats de cervelle de partout. Ces trois merdes étaient en train de se pisser dessus en couinant comme des petited putes.
"OH FERMEZ VOS GUEULE LÀ. On va jouer. Ensemble. Tu aimes bien jouer hein Brian ? "
"Qu'est... Espèce de sale taré, qu'est-ce ce que tu veux ???"
"Tu vois ce bouton que je maintiens dans ma main ? C'est un détonateur. Ce que tu as rivé autour du cou, c'est un collier explosif. Tu vois, si je lâche le bouton, tu exploses Brian. "
"Qu... quoi.... n.... non..." il réalisait. Il n'était rien. J'étais tout.
"Tu veux vivre Brian ? Alors tu vas devoir M'OBÉIR. "
"d'ac...d'accord.."
"D'accord GRAND KNARF. "
"D'a...d'accord grand Knarf.. "
Je le voyais s'etre fait dessus. Il était terrorisé. La peur incarnée. L'épouvante. J'avais un orgasme mental. Cette petite merde était à moi. Sous mon contrôle. J'etais Dieu. Le meurtre m'avait sanctuarisé en Dieu. Chacun de mes membres étaient envahis d'une grâce divine.
J'avais au préalable laissé une caisse à l'endroit prévu.
"Dis à ton pote le petit gros d'ouvrir cette caisse. "
"Charles, gros, ouvre la caisse"
"O...ok... C'est... C'est une tronçonneuse ?"
" oui, démarre la. "
Le petit gros dégueulasse au faciès de tête à claque essaya pendant 30 secondes de demarrer fébrilement la machine de mort avant d'enfin y arriver. Je me mis à pointer le dernier gars du bout de mon canon scié fraîchement rechargé ainsi que le petit porc.
"Maintenant Brian, tu vas obliger Charles à fendre la tête de ton autre pote en deux. "
"Q...quoi ??? Mais t'es malade !!!!!!! " Tout le monde était pris de panique et hurlait. Je tirai un coup dans les jambes du gars pour calmer tout ce bordel et l'empêcher de fuir.
"Fait le où je lâche le bouton. Dans 5. 4."
"Ok !!!!!! Charles FAIT LE !!!!!!!"
"Dé... Désolé.."
La scène était macabre et d'une violence sans nom. Ce fils de putain se fait ouvrir verticalment la boîte crânienne, en hurlant comme jamais j'aurais pu imaginer l'entendre. Un pur plaisir.
"Je... Quelle horreur je t'en supplie arrête" me suppliais Charles l'obèse.
"Tu veux arrêter ? Ok. Brian attape ça. "
"Arrose ton pote avec. Maintenant. "
Cette grosse merde s'exécuta. Je menaçais désormais Brian de lâcher le bouton si il ne jetait pas mon briquet allumé dessus.
"Pardon Charles je n'ai pas le choix gros..."
"AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH" ce putain de SAC A MERDE HURLAIT EN BRÛLANT, je le voyais courir, essayer de de rouler, il hurlait à la mort, ses cheveux brûlaient, ses vetements fondaient sur lui, je l'ai vu devenir totalement inhumain. Ce supplice a duré 3 minutes. 3 minutes de pur plaisir comme jamais j'en avais encore ressenti.
"..qu...T...Tu me veux quoi maintenant ???????"
"Maintenant ? Oh. Tu vas vite le savoir. "
Mon téléphone sonnait. Un Sony Ericsson W810i, une vraie bombe je mis le téléphone en haut-parleur.
"Prends ça sale pute" on entendait en fond une femme hurler à la mort, et un homme qui supplait de mourir.
"Tu entends Brian ? "
"que..."
"Ca c'est mon copain Ambroise. Il a un pénis de 9cm de large. Il est en train de violer ta mère. Il la sodomise. Devant ton père ligoté qui supplie de mourir. Tu sais pourquoi il supplie de mourir, Brian ? Car tes deux petites sœurs ont ete violées et massacrées juste avant. "
"Non, non non non non NOOOOOOOOOOOOOOON NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !!!!!!!!"
Cette grosse baltringue s'effondrait au sol en hurlant de désespoir. Je laissais le haut-parleur bien fort. Je voulais qu'il entende le viol. Le meurtre. Tout ce qu'il avait causé. C'etait sa faute.
"POURQUOIIIIIIIIIIIIIII ??????"
"On me baise pas Brian. On me baise jamais. Pas moi. Pas le grand Knarf. "
Je me mis à glisser le détonateur dans les doigts de ce fils de putain.
"Tu as désormais ton propre droit de mort. Obéis moi. Affirme que je suis ton Dieu. "
"tu... tu es mon dieu.."
"Plus fort. Et je suis le GRAND KNARF. "
"Grand Knarf tu.. tu es mon dieu.."
"PLUS FORT "
"Grand Knarf tu es mon dieu !!!"
"PLUS FORT TU ME DOIS TOUT ET OBÉISSANCE ! "
"GRAND KNARF TU ES MON DIEU ET JE T'OBEIS !!!!!"
"PLUS FORT HURLE LE !!!!! "
"TU ES MON DIEU MA VIE EST A TOI !!!!!!"
"SUICIDE TOI ! OBÉIS "
"OUI DIEU J'OBÉIS ! OUI !!!!! OUI !!!!!!!"
Et cette merde lâcha le bouton et se fit exploser la caboche. Mes oreilles sifflaient une demie minute. Un silence radieux, en étant couvert de la cervelle de cette sous-merde. J'étais en extase totale. J'etais dieu. Grâce au meurtre, je venais de comprendre ce qu'étais d'en être un. Le droit de vie ou de mort était la chose la plus puissante, la quintescence de l'existence.
J'ai glissé le canon scié dans ses mains en foutant ses empruntes partout (j'avais anticipé d'en mettre aucune avec des gants) et ca me faisait quand même chié j'avais raqué pour chopper cette merde.
La vie était enfin redevenue radieuse au lycée Plus personne pour oser me défier de quelconque manière. Visiblement le lycée a été tres peu sous le choc de la mort de cette erreur de la nature, l'affaire ayant été le moins relayée possible dans l'établissement pour ne pas nuire à sa réputation. La police en a conclu que ce con avait massacré sa famille avant d'en finir avec ses amis et lui même.
On se retrouvait ensuite au bistrot du coin sur la borne d'arcade Crazy Taxi avec Gustave, à boire un diabolo menthe glaciale et en fumant 47 clopes.
"Putain merde tu l'as vraiment fait, tu fais chier tiens v'la tes clopes enfoiré !