Messages de rvlf_bttfpuceau

Je sais pas s'il y a des kheys sur le topic qui connaissent suffisamment bien le concours pour en appréhender toute la difficulté, mais, si oui, est-ce que vous pensez que c'est possible d'aller gratter une admissibilité au concours de l'INSP en le travaillant tout seul ?

Je suis en quatrième année d'IEP de province (disons bon élève, je gravite entre 15 et 16 en droit et en économie) et je rejoindrai un centre de préparation conventionné par l'ENA lors de ma cinquième année (Paris I si je suis admis, sinon celle de mon IEP).

En attendant, mon année scolaire se termine mi-février. Bon, en fait, elle est déjà quasiment terminée, car l'essentiel de mes cours avait lieu au premier semestre, si bien qu'il ne me reste que 9 heures par semaine (de bullshit en plus) à tirer pour ce second semestre, après quoi je dois commencer un stage long (4 mois) à partir de mars, que j'effectuerai vraisemblablement en préfecture.

Etant donné qu'actuellement j'ai plus vraiment d'objectif scolaire à court terme, je suis en train de me dire depuis quelques heures que, quitte à avoir rien de concret à me mettre sous la dent pendant plusieurs mois, autant commencer à préparer sérieusement une première tentative du concours de l'INSP, car j'ai presque 10 mois pour le faire.

Je ne pars pas de rien, j'ai déjà des solides bases en économie et en finances publiques, en regardant les annales je pense qu'en travaillant très sérieusement plusieurs semaines je peux atteindre les prérequis nécessaires. En revanche j'accuse un retard plus criant en droit public, surtout en droit administratif (disons que mes connaissances s'y limitent au fonctionnement des institutions et à une dizaine de grands arrêts) et surtout à l'épreuve de culture générale. Quant à l'épreuve de questions sociales, c'est pour moi un exercice inédit dont je ne connais pour l'instant pas grand-chose, et je ne sais pas dans quelle mesure le bachotage y est prépondérant. Sinon j'ai l'avantage d'avoir une mémoire d'éléphant et de rédiger plutôt bien, enfin je pense pas être le seul dont ce soit le cas parmi tous les candidats.

Est-ce que je me berce d'illusion si je vise l'admissibilité aux oraux, selon vous ?

Je sais pas s'il y a des kheys sur le topic qui connaissent suffisamment bien le concours pour en appréhender toute la difficulté, mais, si oui, est-ce que vous pensez que c'est possible d'aller gratter une admissibilité au concours de l'INSP en le travaillant tout seul ?

Je suis en quatrième année d'IEP de province (disons bon élève, je gravite entre 15 et 16 en droit et en économie) et je rejoindrai un centre de préparation conventionné par l'ENA lors de ma cinquième année (Paris I si je suis admis, sinon celle de mon IEP).

En attendant, mon année scolaire se termine mi-février. Bon, en fait, elle est déjà quasiment terminée, car l'essentiel de mes cours avait lieu au premier semestre, si bien qu'il ne me reste que 9 heures par semaine (de bullshit en plus) à tirer pour ce second semestre, après quoi je dois commencer un stage long (4 mois) à partir de mars, que j'effectuerai vraisemblablement en préfecture.

Etant donné qu'actuellement j'ai plus vraiment d'objectif scolaire à court terme, je suis en train de me dire depuis quelques heures que, quitte à avoir rien de concret à me mettre sous la dent pendant plusieurs mois, autant commencer à préparer sérieusement une première tentative du concours de l'INSP, car j'ai presque 10 mois pour le faire.

Je ne pars pas de rien, j'ai déjà des solides bases en économie et en finances publiques, en regardant les annales je pense qu'en travaillant très sérieusement plusieurs semaines je peux atteindre les prérequis nécessaires. En revanche j'accuse un retard plus criant en droit public, surtout en droit administratif (disons que mes connaissances s'y limitent au fonctionnement des institutions et à une dizaine de grands arrêts) et surtout à l'épreuve de culture générale. Quant à l'épreuve de questions sociales, c'est pour moi un exercice inédit dont je ne connais pour l'instant pas grand-chose, et je ne sais pas dans quelle mesure le bachotage y est prépondérant. Sinon j'ai l'avantage d'avoir une mémoire d'éléphant et de rédiger plutôt bien, enfin je pense pas être le seul dont ce soit le cas parmi tous les candidats.

Est-ce que je me berce d'illusion si je vise l'admissibilité aux oraux, selon vous ?

j'ai raté mes partiels
14/12/2022 18:59

Je sais pas s'il y a des kheys sur le topic qui connaissent suffisamment bien le concours pour en appréhender toute la difficulté, mais, si oui, est-ce que vous pensez que c'est possible d'aller gratter une admissibilité au concours de l'INSP en le travaillant tout seul ?

Je suis en quatrième année d'IEP de province (disons bon élève, je gravite entre 15 et 16 en droit et en économie) et je rejoindrai un centre de préparation conventionné par l'ENA lors de ma cinquième année (Paris I si je suis admis, sinon celle de mon IEP).

En attendant, mon année scolaire se termine mi-février. Bon, en fait, elle est déjà quasiment terminée, car l'essentiel de mes cours avait lieu au premier semestre, si bien qu'il ne me reste que 9 heures par semaine (de bullshit en plus) à tirer pour ce second semestre, après quoi je dois commencer un stage long (4 mois) à partir de mars, que j'effectuerai vraisemblablement en préfecture.

Etant donné qu'actuellement j'ai plus vraiment d'objectif scolaire à court terme, je suis en train de me dire depuis quelques heures que, quitte à avoir rien de concret à me mettre sous la dent pendant plusieurs mois, autant commencer à préparer sérieusement une première tentative du concours de l'INSP, car j'ai presque 10 mois pour le faire.

Je ne pars pas de rien, j'ai déjà des solides bases en économie et en finances publiques, en regardant les annales je pense qu'en travaillant très sérieusement plusieurs semaines je peux atteindre les prérequis nécessaires. En revanche j'accuse un retard plus criant en droit public, surtout en droit administratif (disons que mes connaissances s'y limitent au fonctionnement des institutions et à une dizaine de grands arrêts) et surtout à l'épreuve de culture générale. Quant à l'épreuve de questions sociales, c'est pour moi un exercice inédit dont je ne connais pour l'instant pas grand-chose, et je ne sais pas dans quelle mesure le bachotage y est prépondérant. Sinon j'ai l'avantage d'avoir une mémoire d'éléphant et de rédiger plutôt bien, enfin je pense pas être le seul dont ce soit le cas parmi tous les candidats.

Est-ce que je me berce d'illusion si je vise l'admissibilité aux oraux, selon vous ?

Je sais pas s'il y a des kheys sur le topic qui connaissent suffisamment bien le concours pour en appréhender toute la difficulté, mais, si oui, est-ce que vous pensez que c'est possible d'aller gratter une admissibilité au concours de l'INSP en le travaillant tout seul ?

Je suis en quatrième année d'IEP de province (disons bon élève, je gravite entre 15 et 16 en droit et en économie) et je rejoindrai un centre de préparation conventionné par l'ENA lors de ma cinquième année (Paris I si je suis admis, sinon celle de mon IEP).

En attendant, mon année scolaire se termine mi-février. Bon, en fait, elle est déjà quasiment terminée, car l'essentiel de mes cours avait lieu au premier semestre, si bien qu'il ne me reste que 9 heures par semaine (de bullshit en plus) à tirer pour ce second semestre, après quoi je dois commencer un stage long (4 mois) à partir de mars, que j'effectuerai vraisemblablement en préfecture.

Etant donné qu'actuellement j'ai plus vraiment d'objectif scolaire à court terme, je suis en train de me dire depuis quelques heures que, quitte à avoir rien de concret à me mettre sous la dent pendant plusieurs mois, autant commencer à préparer sérieusement une première tentative du concours de l'INSP, car j'ai presque 10 mois pour le faire.

Je ne pars pas de rien, j'ai déjà des solides bases en économie et en finances publiques, en regardant les annales je pense qu'en travaillant très sérieusement plusieurs semaines je peux atteindre les prérequis nécessaires. En revanche j'accuse un retard plus criant en droit public, surtout en droit administratif (disons que mes connaissances s'y limitent au fonctionnement des institutions et à une dizaine de grands arrêts) et surtout à l'épreuve de culture générale. Quant à l'épreuve de questions sociales, c'est pour moi un exercice inédit dont je ne connais pour l'instant pas grand-chose, et je ne sais pas dans quelle mesure le bachotage y est prépondérant. Sinon j'ai l'avantage d'avoir une mémoire d'éléphant et de rédiger plutôt bien, enfin je pense pas être le seul dont ce soit le cas parmi tous les candidats.

Est-ce que je me berce d'illusion si je vise l'admissibilité aux oraux, selon vous ?

Le 14 décembre 2022 à 14:38:54 :

Le 14 décembre 2022 à 14:38:25 :
Et toi, tu faisais quoi à 26 ans ? :)

Je crachais sur ce même gouvernement de corrompus :)

Zolaski t'es pour quelle équipe ce soir frerot ??
debug

Le 14 décembre 2022 à 14:08:17 :

Le 14 décembre 2022 à 14:07:19 :
retourne sur twitter.

Ferme ta gueule fils de pute.

Je sais pas s'il y a des kheys sur le topic qui connaissent suffisamment bien le concours pour en appréhender toute la difficulté, mais, si oui, est-ce que vous pensez que c'est possible d'aller gratter une admissibilité au concours de l'INSP en le travaillant tout seul ?

Je suis en quatrième année d'IEP de province (disons bon élève, je gravite entre 15 et 16 en droit et en économie) et je rejoindrai un centre de préparation conventionné par l'ENA lors de ma cinquième année (Paris I si je suis admis, sinon celle de mon IEP).

En attendant, mon année scolaire se termine mi-février. Bon, en fait, elle est déjà quasiment terminée, car l'essentiel de mes cours avait lieu au premier semestre, si bien qu'il ne me reste que 9 heures par semaine (de bullshit en plus) à tirer pour ce second semestre, après quoi je dois commencer un stage long (4 mois) à partir de mars, que j'effectuerai vraisemblablement en préfecture.

Etant donné qu'actuellement j'ai plus vraiment d'objectif scolaire à court terme, je suis en train de me dire depuis quelques heures que, quitte à avoir rien de concret à me mettre sous la dent pendant plusieurs mois, autant commencer à préparer sérieusement une première tentative du concours de l'INSP, car j'ai presque 10 mois pour le faire.

Je ne pars pas de rien, j'ai déjà des solides bases en économie et en finances publiques, en regardant les annales je pense qu'en travaillant très sérieusement plusieurs semaines je peux atteindre les prérequis nécessaires. En revanche j'accuse un retard plus criant en droit public, surtout en droit administratif (disons que mes connaissances s'y limitent au fonctionnement des institutions et à une dizaine de grands arrêts) et surtout à l'épreuve de culture générale. Quant à l'épreuve de questions sociales, c'est pour moi un exercice inédit dont je ne connais pour l'instant pas grand-chose, et je ne sais pas dans quelle mesure le bachotage y est prépondérant. Sinon j'ai l'avantage d'avoir une mémoire d'éléphant et de rédiger plutôt bien, enfin je pense pas être le seul dont ce soit le cas parmi tous les candidats.

Est-ce que je me berce d'illusion si je vise l'admissibilité aux oraux, selon vous ?

jai lu "chez Mickey"... j'ai eu peur

Le 11 décembre 2022 à 12:17:53 :

Le 11 décemb 2022 à 09:28:02 :
Je ne sais pas s'il y a des kheys sur le topic qui connaissent suffisamment bien le concours pour en appréhender toute la difficulté, mais, si oui, est-ce que vous pensez que c'est possible d'aller gratter une admissibilité au concours de l'INSP en le travaillant tout seul ?

Je suis en quatrième année d'IEP de province (disons bon élève, je gravite entre 15 et 16 en droit et en économie) et je rejoindrai un centre de préparation conventionné par l'ENA lors de ma cinquième année (Paris I si je suis admis, sinon celle de mon IEP).

En attendant, mon année scolaire se termine mi-février. Bon, en fait, elle est déjà quasiment terminée, car l'essentiel de mes cours avait lieu au premier semestre, si bien qu'il ne me reste que 9 heures par semaine (de bullshit en plus) à tirer pour ce second semestre, après quoi je dois commencer un stage long (4 mois) à partir de mars, que j'effectuerai vraisemblablement en préfecture.

Etant donné qu'actuellement j'ai plus vraiment d'objectif scolaire à court terme, je suis en train de me dire depuis quelques heures que, quitte à avoir rien de concret à me mettre sous la dent pendant plusieurs mois, autant commencer à préparer sérieusement une première tentative du concours de l'INSP, car j'ai presque 10 mois pour le faire.

Je ne pars pas de rien, j'ai déjà des solides bases en économie et en finances publiques, en regardant les annales je pense qu'en travaillant très sérieusement plusieurs semaines je peux atteindre les prérequis nécessaires. En revanche j'accuse un retard plus criant en droit public, surtout en droit administratif (disons que mes connaissances s'y limitent au fonctionnement des institutions et à une dizaine de grands arrêts) et surtout à l'épreuve de culture générale. Quant à l'épreuve de questions sociales, c'est pour moi un exercice inédit dont je ne connais pour l'instant pas grand-chose, et je ne sais pas dans quelle mesure le bachotage y est prépondérant. Sinon j'ai l'avantage d'avoir une mémoire d'éléphant et de rédiger plutôt bien, enfin je pense pas être le seul dont ce soit le cas parmi tous les candidats.

Est-ce que je me berce d'illusion si je vise l'admissibilité aux oraux, selon vous ?

Merci infiniment pour ton message.

Je sais pas s'il y a des kheys sur le topic qui connaissent suffisamment bien le concours pour en appréhender toute la difficulté, mais, si oui, est-ce que vous pensez que c'est possible d'aller gratter une admissibilité au concours de l'INSP en le travaillant tout seul ?

Je suis en quatrième année d'IEP de province (disons bon élève, je gravite entre 15 et 16 en droit et en économie) et je rejoindrai un centre de préparation conventionné par l'ENA lors de ma cinquième année (Paris I si je suis admis, sinon celle de mon IEP).

En attendant, mon année scolaire se termine mi-février. Bon, en fait, elle est déjà quasiment terminée, car l'essentiel de mes cours avait lieu au premier semestre, si bien qu'il ne me reste que 9 heures par semaine (de bullshit en plus) à tirer pour ce second semestre, après quoi je dois commencer un stage long (4 mois) à partir de mars, que j'effectuerai vraisemblablement en préfecture.

Etant donné qu'actuellement j'ai plus vraiment d'objectif scolaire à court terme, je suis en train de me dire depuis quelques heures que, quitte à avoir rien de concret à me mettre sous la dent pendant plusieurs mois, autant commencer à préparer sérieusement une première tentative du concours de l'INSP, car j'ai presque 10 mois pour le faire.

Je ne pars pas de rien, j'ai déjà des solides bases en économie et en finances publiques, en regardant les annales je pense qu'en travaillant très sérieusement plusieurs semaines je peux atteindre les prérequis nécessaires. En revanche j'accuse un retard plus criant en droit public, surtout en droit administratif (disons que mes connaissances s'y limitent au fonctionnement des institutions et à une dizaine de grands arrêts) et surtout à l'épreuve de culture générale. Quant à l'épreuve de questions sociales, c'est pour moi un exercice inédit dont je ne connais pour l'instant pas grand-chose, et je ne sais pas dans quelle mesure le bachotage y est prépondérant. Sinon j'ai l'avantage d'avoir une mémoire d'éléphant et de rédiger plutôt bien, enfin je pense pas être le seul dont ce soit le cas parmi tous les candidats.

Est-ce que je me berce d'illusion si je vise l'admissibilité aux oraux, selon vous ?

Je sais pas s'il y a des kheys sur le topic qui connaissent suffisamment bien le concours pour en appréhender toute la difficulté, mais, si oui, est-ce que vous pensez que c'est possible d'aller gratter une admissibilité au concours de l'INSP en le travaillant tout seul ?

Je suis en quatrième année d'IEP de province (disons bon élève, je gravite entre 15 et 16 en droit et en économie) et je rejoindrai un centre de préparation conventionné par l'ENA lors de ma cinquième année (Paris I si je suis admis, sinon celle de mon IEP).

En attendant, mon année scolaire se termine mi-février. Bon, en fait, elle est déjà quasiment terminée, car l'essentiel de mes cours avait lieu au premier semestre, si bien qu'il ne me reste que 9 heures par semaine (de bullshit en plus) à tirer pour ce second semestre, après quoi je dois commencer un stage long (4 mois) à partir de mars, que j'effectuerai vraisemblablement en préfecture.

Etant donné qu'actuellement j'ai plus vraiment d'objectif scolaire à court terme, je suis en train de me dire depuis quelques heures que, quitte à avoir rien de concret à me mettre sous la dent pendant plusieurs mois, autant commencer à préparer sérieusement une première tentative du concours de l'INSP, car j'ai presque 10 mois pour le faire.

Je ne pars pas de rien, j'ai déjà des solides bases en économie et en finances publiques, en regardant les annales je pense qu'en travaillant très sérieusement plusieurs semaines je peux atteindre les prérequis nécessaires. En revanche j'accuse un retard plus criant en droit public, surtout en droit administratif (disons que mes connaissances s'y limitent au fonctionnement des institutions et à une dizaine de grands arrêts) et surtout à l'épreuve de culture générale. Quant à l'épreuve de questions sociales, c'est pour moi un exercice inédit dont je ne connais pour l'instant pas grand-chose, et je ne sais pas dans quelle mesure le bachotage y est prépondérant. Sinon j'ai l'avantage d'avoir une mémoire d'éléphant et de rédiger plutôt bien, enfin je pense pas être le seul dont ce soit le cas parmi tous les candidats.

Est-ce que je me berce d'illusion si je vise l'admissibilité aux oraux, selon vous ?

Le 14 décembre 2022 à 12:59:35 :
Un khey fort en droit des affaires pour me donner quelques conseils ? Je connais tout le cours, les termes mais bordel je crois en compréhension je suis juste une énorme merde. Donc, si quelqu'un pourrait jeter un coup d'oeil à mon galop d'essai, merci

Est-ce que je me berce d'illusion si je vise l'admissibilité aux oraux, selon vous ?

INSP
14/12/2022 12:59
Est-ce que je me berce d'illusion si je vise l'admissibilité aux oraux, selon vous ?
INSP
14/12/2022 12:34

Je sais pas s'il y a des kheys sur le topic qui connaissent suffisamment bien le concours pour en appréhender toute la difficulté, mais, si oui, est-ce que vous pensez que c'est possible d'aller gratter une admissibilité au concours de l'INSP en le travaillant tout seul ?

Je suis en quatrième année d'IEP de province (disons bon élève, je gravite entre 15 et 16 en droit et en économie) et je rejoindrai un centre de préparation conventionné par l'ENA lors de ma cinquième année (Paris I si je suis admis, sinon celle de mon IEP).

En attendant, mon année scolaire se termine mi-février. Bon, en fait, elle est déjà quasiment terminée, car l'essentiel de mes cours avait lieu au premier semestre, si bien qu'il ne me reste que 9 heures par semaine (de bullshit en plus) à tirer pour ce second semestre, après quoi je dois commencer un stage long (4 mois) à partir de mars, que j'effectuerai vraisemblablement en préfecture.

Etant donné qu'actuellement j'ai plus vraiment d'objectif scolaire à court terme, je suis en train de me dire depuis quelques heures que, quitte à avoir rien de concret à me mettre sous la dent pendant plusieurs mois, autant commencer à préparer sérieusement une première tentative du concours de l'INSP, car j'ai presque 10 mois pour le faire.

Je ne pars pas de rien, j'ai déjà des solides bases en économie et en finances publiques, en regardant les annales je pense qu'en travaillant très sérieusement plusieurs semaines je peux atteindre les prérequis nécessaires. En revanche j'accuse un retard plus criant en droit public, surtout en droit administratif (disons que mes connaissances s'y limitent au fonctionnement des institutions et à une dizaine de grands arrêts) et surtout à l'épreuve de culture générale. Quant à l'épreuve de questions sociales, c'est pour moi un exercice inédit dont je ne connais pour l'instant pas grand-chose, et je ne sais pas dans quelle mesure le bachotage y est prépondérant. Sinon j'ai l'avantage d'avoir une mémoire d'éléphant et de rédiger plutôt bien, enfin je pense pas être le seul dont ce soit le cas parmi tous les candidats.

Est-ce que je me berce d'illusion si je vise l'admissibilité aux oraux, selon vous ?

mars, que j'effectuerai vraisemblablement en préfecture.

Etant donné qu'actuellement j'ai plus vraiment d'objectif scolaire à court terme, je suis en train de me dire depuis quelques heures que, quitte à avoir rien de concret à me mettre sous la dent pendant plusieurs mois, autant commencer à préparer sérieusement une première tentative du concours de l'INSP, car j'ai presque 10 mois pour le faire.

Je ne pars pas de rien, j'ai déjà des solides bases en économie et en finances publiques, en regardant les annales je pense qu'en travaillant très sérieusement plusieurs semaines je peux atteindre les prérequis nécessaires. En revanche j'accuse un retard plus criant en droit public, surtout en droit administratif (disons que mes connaissances s'y limitent au fonctionnement des institutions et à une dizaine de grands arrêts) et surtout à l'épreuve de culture générale. Quant à l'épreuve de questions sociales, c'est pour moi un exercice inédit dont je ne connais pour l'instant pas grand-chose, et je ne sais pas dans quelle mesure le bachotage y est prépondérant. Sinon j'ai l'avantage d'avoir une mémoire d'éléphant et de rédiger plutôt bien, enfin je pense pas être le seul dont ce soit le cas parmi tous les candidats.

Est-ce que je me berce d'illusion si je vise l'admissibilité aux oraux, selon vous ?

Je sais pas s'il y a des kheys sur le topic qui connaissent suffisamment bien le concours pour en appréhender toute la difficulté, mais, si oui, est-ce que vous pensez que c'est possible d'aller gratter une admissibilité au concours de l'INSP en le travaillant tout seul ?

Je suis en quatrième année d'IEP de province (disons bon élève, je gravite entre 15 et 16 en droit et en économie) et je rejoindrai un centre de préparation conventionné par l'ENA lors de ma cinquième année (Paris I si je suis admis, sinon celle de mon IEP).

En attendant, mon année scolaire se termine mi-février. Bon, en fait, elle est déjà quasiment terminée, car l'essentiel de mes cours avait lieu au premier semestre, si bien qu'il ne me reste que 9 heures par semaine (de bullshit en plus) à tirer pour ce second semestre, après quoi je dois commencer un stage long (4 mois) à partir de mars, que j'effectuerai vraisemblablement en préfecture.

Etant donné qu'actuellement j'ai plus vraiment d'objectif scolaire à court terme, je suis en train de me dire depuis quelques heures que, quitte à avoir rien de concret à me mettre sous la dent pendant plusieurs mois, autant commencer à préparer sérieusement une première tentative du concours de l'INSP, car j'ai presque 10 mois pour le faire.

Je ne pars pas de rien, j'ai déjà des solides bases en économie et en finances publiques, en regardant les annales je pense qu'en travaillant très sérieusement plusieurs semaines je peux atteindre les prérequis nécessaires. En revanche j'accuse un retard plus criant en droit public, surtout en droit administratif (disons que mes connaissances s'y limitent au fonctionnement des institutions et à une dizaine de grands arrêts) et surtout à l'épreuve de culture générale. Quant à l'épreuve de questions sociales, c'est pour moi un exercice inédit dont je ne connais pour l'instant pas grand-chose, et je ne sais pas dans quelle mesure le bachotage y est prépondérant. Sinon j'ai l'avantage d'avoir une mémoire d'éléphant et de rédiger plutôt bien, enfin je pense pas être le seul dont ce soit le cas parmi tous les candidats.

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sur paris
nofake il m'a dit choisis celle que tu veux je te la réserve
il sait que je suis puceau et je lui fais clairmeent pitié
...je sais pas quoi faire là
mug
Le 1er est l'un des meilleurs, sinon le meilleur film d'horreur found footage qui existe.