C’était un samedi soir, ou plutôt un dimanche, à 2h du matin. Fin de soirée bien arrosée, je décide de rentrer chez moi, seul et à pied. Sur ma route, j’ai croisé un clochard éveillé, mendiant quelques centimes, avec un air désespéré. Il puait la mort dans un rayon d’au moins 15 mètres. Bizarrement, je me suis arrêté, et l’odeur au lieu de me rebuter, a procuré une excitation en moi. Je suis allé le voir, je me suis posé à coté de lui, et lui offris ma barre de céréale qui était dans ma poche. Il me remercia, puis la mangea en deux bouchés, comme s’il n’avait pas mangé depuis 3 semaines. Il n’y avait pas de bruit, le silence régnait. J’étais secrètement attiré par ce clochard, que je voyais comme un héros, qui vivait sans argent dans ce monde capitaliste. Il déposa alors sa main contre ma cuisse, et commença a me caresser tendrement. Je n’ai rien su dire, étant à la fois entre culpabilité contre moi même, et excitation. Je ne bougeais plus. Il su alors qu’il fallait qu’il aille plus loin. Au fond de moi, je n’attendais que ça. Il descendit sa main sous mon pantalon, et commencera à me caresser le sexe au travers de mon boxer moulant Black Lives Matter aux motifs africains. Ma bite commençait à durcir le long de sa main. Je n’avais jamais eu une gaule aussi forte. A ce moment même, je pris sa tête entre mes mains, admira ses lèvres toutes noires et gercées, ses dents jaunâtres et cassés, et senti son haleine forte. Je colla alors mes lèvres contre les siennes, et l’embrassa tendrement. Il enfourna alors sa langue dans ma bouche, et nous échangions nos salives. Son haleine étant si nauséabonde, j’eu plusieurs rejets de suite, jusqu’à ce que le vomi sorte. J’ai vomi dans sa bouche. Mais nous continuons à nous embrasser, et l’odeur nous excitait de plus belle. Etant excité comme jamais, sur le point d’éjaculer lorsqu’il passa sa main sous mon boxer et empoigna mon gros chibre qu’il masturbe en faisant des vas et viens avec sa main sale et poilu. Je sentais mon gland se décalotter puis recalloter. Je le stoppai net. J’étais trop excité, un seul mouvement et je pouvais éjaculer des litres de sperme. Je lui fis retirer sa main de mon sexe, et je lui retirai son pantalon et son slip en même temps. Je voyais sa petite bite dressée de soixantenaire. Son gland n’étant pas décalotté, j’empoigna son petit pénis d’environ 10cm en main, et tira sur la peau recouvrant sa verge. Son gland était gros, sa bite ressemblait alors à un marteau. Mais que vis-je ? Il était recouvert d’une substance blanchâtre, avec une odeur répugnante. Du fromage de bite. Je me rapprochai alors avec ma bouche, et suça tendrement son gland tout en aspirant toute cette substance dans ma bouche. Il avait l’air si heureux. Je le suçai pendant quelques secondes, mais il éjacula dans ma bouche. Je n’avais jamais gouté quelque chose de si bon. Même la cuisine de ma mère ne faisait pas le poids à coté. A peine qu’il éjacula, il rebanda de suite lorsque je lui montrai mon petit cul sans poil. Il enfourna son index dedans. Mon cul s’était auto lubrifié, l’envie de sentir une bite en moi était au plus fort. Je me suis mit alors sur le dos, les jambes en l’air, les cuisses écartées. Il me pénétra de suite avec son engin, n’étant pas plus gros que son doigt. Il fit des vas et viens tout en branlant mon sexe gros et dur. J’étais au 7ème ciel. Quelques minutes passèrent, il éjacula au même moment que moi. Sentir sa semence en moi me rendit puissant. Je me sentais libre, mon anus contenait la semence de mon héros, cet homme si courageux de vivre seul dans la rue. M’étant arrosé de mon sperme sur tout mon corps et mon visage, je ne voyais plus rien, j’étais comme dans un rêve. Je senti alors sa langue lécher mon visage pour retirer tout le sperme. Je l’aidai en avalant celui qui était au bord de mes lèvres. Il le prit mal. Il me dit de lui laisser ce repas. Il prit une dizaine de minute à avaler tout ce sperme et à me nettoyer le corps avec sa langue rempli de boutons sur le point d’expulser tout le pus. Il me demande de me mettre à 4 pattes et me fit un anulingus pour récupérer sa semence et la manger. Il me remercia pour le repas et je m’en allais
J’étais complètement déchiré ça ne m'était pas arrivé depuis un bail, au moment d'aller me coucher, il faisait jour donc bien tard, j'éteins la lumière et je ne sais pas ce qui m'a pris j'étais chaud j'ai pris une bière vide sur ma table de nuit et naturellement j'me suis rentrer le goulot de la Heineken dans le fion. Je me suis masturbé, j'ai éjaculé, je retire la Heineken, bref schéma classique.
Je vais dans la salle de bain en titubant pour nettoyer mon torse plein de foutre, et en allant m'allonger sur le lit d'un coup je prends une bière pour boire une dernière gorger avant de dormir, ET PUTAIN j'ai pris la mauvaise. Une seconde après avoir la bière en bouche je sens une odeur de merde, je recrache tout, j'allume la lumière, le goulot était plein de merde.
Ça va je n'ai pas vomi mais direct je suis parti me laver les dents et la bouche avec un bain de bouche. J'ai quand même vomi dans mon sommeil sur mon oreiller, me suis réveillé la tête dedans les cheveux collés au vomi
J'en suis encore tout papillotant, il y a quelques instants, je prends mon téléphone portable et mon rouleau de sopalin comme d'habitude et vais me masturber sur les photos de ma cousine sur Instagram. Là, j'ai distinctement entendu des rires et le mot « micropénis » sortir de mon téléphone alors que je ne le touchais pas. C'est quoi ce bordel ? ON NOUS ESPIONNE ??! C'est les minéraux qui me trollent ? En fait, ils filment avec la caméra frontale ??! Moi qui fouette l'écran avec mon pénis pendant que je me masturbe pour que ça m'excite plus, ils doivent avoir des images compromettantes, sans compter les fois où je m'épile l'anus