Le 05 juin 2022 à 18:50:57 :
J'étais sur le FF, je débarque ici et je vois ce topic.C'est ouf comme la stupidité peut vous faire perdre du temps. Vous n'en avez rien à carrer du match, vous vous êtes posés devant uniquement pour sortir votre théorie du complot si l'Ukraine gagne ou vous satisfaire en cas de défaite.
Posez-vous vraiment des questions sur l'état de votre santé mentale.
Même pas étonné de voir le forumeur Bomby en first.
Premier urgent ukrainien
Le 05 juin 2022 à 18:48:14 :
Autant j'ai pas envie de voir l'Ukraine gagner mais bordel les gallois meritent tellement pashttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/4/1596129454-ahi-fondu.png
Gareth si
Le 05 juin 2022 à 18:45:42 :
le match est rejoué si l'Ukraine perd ?https://image.noelshack.com/fichiers/2022/20/1/1652718341-johnny-depp-new-real-megapint-removebg-preview.png
Le 05 juin 2022 à 17:16:39 :
Le 05 juin 2022 à 17:15:37 :
En quoi excelle tu ?Je suis dans chaque catégorie au dessus de 130, mais en particulier la logique
D'accord, mais en quoi excelle tu ?
Là, ce sont juste vraisemblablement tes capacités propre.
Le 05 juin 2022 à 15:32:10 :
https://image.noelshack.com/fichiers/2022/20/1/1652718341-johnny-depp-new-real-megapint-removebg-preview.png
Très bon topic qui soulève quelque chose de plus profond.
Évoqué notamment dans le bouddhisme, c'est la spirale de la souffrance tous désir et attachement au "soi" n'est que souffrance infini.
Cioran en parle :
Aucune volupté ne surpasse celle qu'on éprouve à l'idée qu'on aurait pu se maintenir dans un état de pure possibilité. Liberté, bonheur, espace, ces termes définissent la condition antérieure à la malchance de naître. La mort est un fléau quelconque ; le vrai fléau n'est pas devant nous mais derrière. Nous avons tout perdu en naissant. Mieux encore que dans le malaise et l'accablement, c'est dans des instants d'une insoutenable plénitude que nous comprenons la catastrophe de la naissance.
Nos pensées se reportent alors vers ce monde où rien ne daignait s'actualiser, affecter une forme, choir dans un nom, et, où, toute détermination abolie, il était aisé d'accéder à une extase anonyme. Nous retrouvons cette expérience extatique lorsque, à la faveur de quelque état extrême, nous liquidons notre identité et brisons nos limites. Du coup, le temps qui nous précède, le temps d'avant le temps, nous appartient en propre, et nous rejoignons, non pas notre figure, qui n'est rien, mais cette virtualité bienheureuse où nous résistions à l'infâme tentation de nous incarner.