Messages de CherryDollFace

J'ai beaucoup aimé ce roman.

Les musiques

Mettre des grains de poivre dans des bonbons, puis les distribuer à un type que je n'aimais pas.

Le 24 mai 2018 à 19:00:24 MarseilleOnTe a écrit :
No troll, vous voulez (espérez) faire quoi comme métier plus tard avec ça ?

Professeure agrégée de lettres modernes.

Je suis actuellement en hypokhâgne A/L et prochainement en khâgne. Si vous avez besoin d'informations, MP

Et bonne chance !

Le 22 février 2018 à 22:35:47 Mubiolle a écrit :
vous voulez déjà des enfants?
Risitas si c'est un garçon?

Non ahaha
Pas d'enfant avant mes 26 ans minimum. Je veux finir mes études

Le 22 février 2018 à 22:32:52 Mubiolle a écrit :
Couple de kheys mais pas rencontrés sur JVC c bô

T'as vu ça ! On fera la descendance pure de JVC --> 100% khey

Il l''a quittée avant que l'on ne soit ensemble (évidemment). Pas spécialement à cause de moi, je n'ai été qu'un catalyseur : son couple allait mal, il ne la supportait plus et ne se voyait plus rester avec elle, sinon par pitié

En couple depuis 7 mois avec un khey.
Un jour, il arrive dans mon lycée avec sa dégaine, vêtu de noir mais élégant : une petite mèche brune tombant sur ses yeux, un jean noir et des doc martens noires. Aucune provocation, juste un petit style et une certaine élégance. Forcément, je tombe immédiatement sous le charme, alors même que nous ne nous connaissions pas et qu'il ne m'a pas remarquée parmi les autres lycéennes. ( ). Le soir même, je décide de le trouver sur Facebook et de l'ajouter. Or, et malgré le fait que je ne connaisse rien de lui, j'avais l'intime conviction qu'il se trouverait dans les amis Facebook d'un pote, et par pressentiment, son prénom m'était évident : Nicolas.
Il m'accepte en ami, on discute rapidement et je comprends qu'il a une copine. Je me dis que ça ne sert pas à grand chose d'espérer, d'autant que quelques jours plus tard je le vois avec elle devant le lycée (alors qu'elle travaille dans le supermarché d'à côté). Bref : je laisse tomber l'affaire, même si l'on s'écrit parfois pour discuter, autant de musique que du monde en général. (+1 on a les mêmes goûts musicaux)
Etudiant en alternance (bac pro), il revenait toutes les deux semaines au lycée et l'on se retrouvait au détour d'une récré pour prendre de nos nouvelles IRL.
Premier échange
"Ah, tu as des tâches de rousseur !
- Et toi (=moi) un appareil dentaire"
Bon...
Vient le jour où j'ai envie de cuisiner un peu --> je lui ramène des brownies --> ils sont dégueu mais il est content
Vient le jour où il me demande si, par hasard, j'ai Roméo et Juliette et s'il peut me l'emprunter --> échange de livres
Vient le jour où il me propose de passer un après-midi chez lui, avec notre pote en commun : je suis euphorique, mais je ne tenterai aucun rapprochement
Vient la deuxième fois où je retourne chez lui, toujours avec ce même pote.
Ce n'est qu'à la fin de ce dernier après-midi qu'il m'embrasse ENFIN mais ni lui ni moi n'avons envie de commencer une relation à ce moment : sa vie est un peu compliquée (il a un fardeau chez lui) et moi je ne cherche rien de très posé, étant donné qu'à la rentrée je serai amenée à intégrer une prépa et que je n'étais pas certaine que le rythme puisse me laisser avoir une relation stable.

Finalement, on s'apprivoise et l'on vit notre meilleur été (l'été de mes 18 ans), entre balades à vélo, cinéma, promenades... Mais jamais on ne parle de nos sentiments. Pour se dire que l'on "s'aime/s'apprécie", on a inventé le code du "je t'aime bien"
Durant la soirée de mes 18 ans, alors que l'on cherchait ensemble des bières et que l'on était "bien" : il me dit "Je t'aime". Mais le pensant bourré, je lui fous un énorme vent !
Deux jours plus tard, il réitère sa déclaration mais je panique ! Je ne sais pas quoi faire, comment lui répondre, qu'avouer, que dire... alors même que je me sens extrêmement proche de lui ! Toutefois, sa déclaration me fait l'effet d'un ballon de baudruche que l'on crève : je peux enfin me libérer et lui dire, quand je serai plus sereine car moins surprise.
Le 1er août 2017 : "Tu sais, par rapport à hier.. Je voulais te dire que moi aussi, je t'aime"

Depuis, nous sommes ensemble et cela, malgré la prépa. Et l'on ne regrette rien.

(Si tu passes par là, d'ailleurs ... Pilou !)

On fêtait l'anniversaire de ma petite sœur dans le jardin, avec ses amis et la famille. Mon père avait oublié de ranger son matos de jardinage pour le potager et, en jouant avec mon chien, j'ai marché sur le râteau.
Le râteau s'est relevé instantanément.
Je me suis tapée le râteau dans la tronche, sous les yeux du peuple. J'ai subi la petite pitié des gens et le formidable "Tu t'es fait mal ?" alors que j'avais une bosse et les larmes aux yeux

Le 30 octobre 2017 à 12:08:27 Choysia76 a écrit :

Le 30 octobre 2017 à 12:01:09 CherryDollFace a écrit :
Un bac pro te permet d'apprendre un métier, alors qu'un bac général te lance souvent dans des études plus longues et plus théoriques. L'avantage du bac pro, c'est de savoir où l'on va et que l'on aura quelque chose de concret au terme du lycée, donc un métier.
Là, je suis en études sup' après un bac S et je sais que j'en ai encore au minimum pour 5 ans d'études, donc 5 ans sans être réellement indépendante, car 5 ans sans salaire.
Mon khey sortira d'un bac pro avec son métier ET la poursuite de son salaire (cf. le bac pro en alternance).

Donc, où est le problème de dire qu'on a un bac pro alors que ce sont leurs titulaires qui sont les mieux foutus aujourd'hui ?

Parce que dans l'inconscient collectif, Bac pro = Desco/ Cassos

Oui, mais c'est dommage.
En général, ce sont juste des gosses qui sont plus aptes à pratiquer qu'à théoriser. Le système scolaire "général" (donc de la primaire jusqu'au collège) n'est pas adapté à des élèves de ce type, qui se détournent de leurs parcours scolaire initial pour après se tourner vers une voie en accord avec (souvent) leur besoin de bouger, de faire quelque chose de concret et d'utile.
Après, ne pas oublier que : Les bacs pro sont utiles à tous. Ce sont notamment eux qui viennent gérer nos petits aléas de la vie quotidienne (genre : une panne de courant, une fuite d'eau), et ils ne sont pas négligeables dans la société. Dans mon cas, ce n'est pas mon bouquin qui va m'apprendre à installer une prise ou faire des saignées dans les murs.

Un bac pro te permet d'apprendre un métier, alors qu'un bac général te lance souvent dans des études plus longues et plus théoriques. L'avantage du bac pro, c'est de savoir où l'on va et que l'on aura quelque chose de concret au terme du lycée, donc un métier.
Là, je suis en études sup' après un bac S et je sais que j'en ai encore au minimum pour 5 ans d'études, donc 5 ans sans être réellement indépendante, car 5 ans sans salaire.
Mon khey sortira d'un bac pro avec son métier ET la poursuite de son salaire (cf. le bac pro en alternance).

Donc, où est le problème de dire qu'on a un bac pro alors que ce sont leurs titulaires qui sont les mieux foutus aujourd'hui ?