Messages de paitonlamar

Le 10 août 2024 à 15:16:28 :
Tout à l'heure j'étais à intermarché je demande un renseignement et j'ai trouvé le vendeur incroyablement mignon, j'étais toute rouge
Sauf qu'il avait l'air d'avoir 19 ans :non2:
C'est tout le temps comme ça jzi 24 ans et je découvre que je préfère les mecs entre 19 et 23 ans ça fait trop mal :-(

encore un fake

Salut tout le monde,J'ai essayé Facebook Rencontres et je suis déçu de l'application.-Déjà je ne trouvais pas mon profil pour pouvoir modifier des infos.Il y a des raccourcis au dessus de la photo et il faut balayer a gauche pour voir le profil,pas très clair déjà.-La géolocalisation fonctionne et les résultats se situent bien aux périmètres de distance choisis,mais les profils cherchés ne se font que un par un;je m'attendais a une grille de résultats mais non,il faut soit aimer le profil ou le passer pour passer aux profils suivants et ainsi de suite.-Si on "Dislike" des profils,il y'a une option seconde chance pour les retrouver,mais rebelotte,pas de grille,il faut faire la croix (dislike) jusqu'a retrouver le profil qu'on veut retrouver.Pas pratique.-Enfin,surement le point que je ne comprends absolument pas,c'est quand on aime les profils (le coeur).J'ai eu beau cherché partout dans l'application,il n'y a aucuns moyens de revoir les profils likés.On ne peut pas envoyer de messages pour commencer une discussion.Donc on like,mais après ? Même s'il n'y a pas de match,je trouve toujours utile de tenter quand-même sa chance en communication.C'est la première fois que je teste une application de rencontres et honnêtement je ne suis pas pour.Mais elle est entièrement gratuite.Si vous avez déjà essayer Facebook Rencontres,quels sont vos retours ? Merci.
Chat entre mec
15/07/2024 16:37

Le 15 juillet 2024 à 16:36:38 :
c'est gay comme post

exact

Chat entre mec
15/07/2024 16:36
Je me demande coment faire.
Cette année j'ai 26 ans et JE SUIS DÉTERMINÉ A TROUVER L'AMOUR Je suis pucix, j'ai 0 cercle social, 0 réseaux sociaux et j'habite dans un trou paumé donc exit les "lol sort" C'est quoi LE SITE où j'ai le plus de chance de TROUVER QUELQU'UN SVP ??? Les CHADS 9000 likes Tinder c'est dehors je veux l'avis de personnes NORMALES qui ont RÉUSSI A CHOPER GRACE AUX APPLIS
Cette année j'ai 26 ans et JE SUIS DÉTERMINÉ A TROUVER L'AMOUR Je suis pucix, j'ai 0 cercle social, 0 réseaux sociaux et j'habite dans un trou paumé donc exit les "lol sort" C'est quoi LE SITE où j'ai le plus de chance de TROUVER QUELQU'UN SVP ??? Les CHADS 9000 likes Tinder c'est dehors je veux l'avis de personnes NORMALES qui ont RÉUSSI A CHOPER GRACE AUX APPLIS
Happen rencontre
15/07/2024 16:20
O matchs sur happen. Qui dit mieux ?Je suis pas incroyablement laid pourtant et je fais de bonnes études... + déjà un salaire mais rien y fait, impossible d'attirer qui que ce soit
Rencontre en 24h
15/07/2024 16:16
Voila je suis inscrit sur 10 app de rencontre et 0 match en 24h. Surement un bug des serveurs
Ma rencontre lesbienne
15/07/2024 16:13
Je m’appelle Alexandra. Je suis responsable dans une entreprise de prêt-à-porter de la région lyonnaise. Mon mari et moi nous menons la vie d’un couple aisé et moderne. Autrement dit les plaisirs de l’existence, à commencer par ceux du sexe, mais sans excès. Evidemment, je n’ai pas toujours été aussi mesurée. Sinon y aurait-il de quoi écrire une confession érotique ? Pendant mon enfance et mon adolescence, j’ai pourtant mené une existence assez paisible auprès de mes parents qui tenaient une boulangerie épicerie dans un village très rural, à une centaine de kilomètre de Lyon. Je ne prétendrai pas que je suis arrivée pucelle à l’age adulte, mais je n’étais pas une débauchée. Au reste les occasions de s’amuser entre filles et garçons étaient rares. Quand je ne me trouvais pas chez mon père et ma mère, j’étais interne au lycée d’une ville éloignée. Les toilettes et les dortoirs favorisent bien les amitiés troubles entre filles. D’autre part les fêtes de campagne et les sorties au cinéma en bande sont propices à des jeux moins innocents avec les garçons. Je ne sais pas si mes parents l’ignoraient. Néanmoins, tout cela n’allait pas loin. Du vice, je connaissais surtout ce que j’avais entendu, ou ce que j’avais lu dans les magazines et les livres que mes copines chipaient à leurs parents ou à leur grands frères, et que nous feuilletions en cachette. Mon histoire commence vraiment il y a une dizaine d’année, alors que j’avais 17 ans et venait de terminer mes études secondaires. C’était un dimanche au début du mois de juillet. Il faisait très chaud. Le matin, comme toujours j’avais aidé mes parents à servir mais, l’après-midi, la boulangerie épicerie était fermée. J’étais donc désœuvrée et je ne savais trop quoi faire pour passer le temps. Rien ne me tentait. Faute de mieux je me suis décidée pour une promenade. Tout naturellement mes pas m’ont protée vers les bois qui entouraient le village. Le soleil était trop brûlant pour rester à découvert. D’autre part, je connaissais un endroit où, depuis que j’étais tout gamine, je me rendais quand mon moral était bas. C’était le cas aujourd’hui, pour une raison très simple : maintenant que j’avais mon bac, il me fallait décider de ce que j’allais faire. J’avais envie de poursuivre mes études mais mes parents m’avaient fait comprendre, avec toutes les précautions nécessaires, qu’ils ne pouvaient subvenir aux dépenses inhérentes à un cursus universitaire. Il me fallait trouver un moyen de couvrir ces frais par moi-même. Ils n’avaient rien contre mon projet à condition que je le finance de ma poche. Je ne pouvais pas leur en vouloir : commerçant dans un patelin perdu ça ne rapporte pas des fortunes. J’étais arrivée à mon refuge : une grande clairière parfaitement isolée avec une mare au milieu. L’endroit était frais. En outre, une grande pierre plate, dressée contre le pied d’un arbre, avec un tapis de mousse devant, formait un siège confortable. Je me suis assise pour ruminer mes pensées. Je ne suis pas restée longtemps immobile. D’abord, j’étais énervée ; ensuite, avant de sortir, j’étais passée à la cuisine pour vider une bouteille d’eau minérale bien fraîche. A présent une forte envie de pisser me tenaillait. Je me suis levée et je me suis écarté de quelque mettre pour me placer au pied d’un autre arbre. Pas question de souiller mon fauteuil naturel. Là, j’ai soulevé ma légère robe d’été et j’ai baissé ma culotte. J’aurais pu me contenter de ça mais, je ne sais au juste pourquoi, peut-être une vague crainte de la souiller, je l’ai ôtée complètement et je l’ai posée par terre. Ensuite, je me suis accroupie. De deux doigts j’ai écarté les lèvres de mon sexe et j’ai uriné mais, après, je ne me suis pas relevée tout de suite. La situation me rappelait ce que m’avait confié une copine de pension alors que nous nous rendions ensemble aux toilettes, en toute innocence pour une fois. Elle m’avait avoué que ça l’excitait énormément de se masturber après s’être soulagée, voire en pissant. Je n’avais jamais éprouvé une pareille envie mais, aujourd’hui, j’étais déprimée ; en plus je n’avais pas eu de rapport sexuels, avec un garçon ou une fille, depuis un bon moment. Deux raisons expliquant la chaleur bien connue qui naissait dans mon bas-ventre. Cependant, j’hésitais à me caresser à l’endroit où je m’étais vidée, avec cette large flaque devant moi. Au lieu de me faire de l’effet, ç’avait plutôt tendance à me rebuter. Je suis retournée au pied de l’arbre où se dressait la pierre plate. La robe troussée à la taille, je me suis accroupie sur la mousse dont le contact frais et doux sous mes fesses a accru mon trouble. Les genoux écartés au maximum j’ai glissé une main entre mes cuisses. Du bout des doigts, j’ai tâté le contour de ma fente humide, guère étonnée de constater qu’elle baillait. Adolescente, j’avais déjà des lèvres intimes plus longues et plus larges que la moyenne. Cela ne s’était pas amélioré avec l’age mais, comme me l’avait dit, non sans amusement, une doctoresse pendant une visite médicale, il n’y avait pas de quoi en faire un drame. A vrai dire, le conseil était superflu. J’avais vite découvert que si les bords de mon sexe étaient épais, ils étaient aussi très sensibles ; une caractéristique dont je tirais profit quand je me donnais du plaisir. Plutôt de les caressais, je les massais avec deux doigts réunis. Dans l’intimité de ma chambre j’aimais à faire coulisser un doigt de chaque cotés de mon clitoris ; dans ces sillons formés par l’excroissance du capuchon. C’est donc ce que j’ai fait nonchalamment et, une fois de plus, le résultat ne s’est pas fait attendre : non seulement mon bourgeon a doublé de volume mais je me sentais mouiller comme une fontaine. Là aussi, en jouant à touche-pipi avec de copines, j’avais compris que mes sécrétions étaient plus abondantes que chez la plupart des filles. Cela dégoûtait certaines de mes camarades ; d’autres appréciaient, au contraire. Quant aux garçons, ils n’avaient rien de plus pressé que d’enfoncer leur queue dans mon vagin. Qu’il soit sec ou engorgé de cyprine, ça ne changeait rien pour eux, du moment qu’ils tiraient leur coup. Je suis passée au stade suivant qui consistait à remuer mon clitoris en le tapotant du bout de l’index. J’ai tiré en arrière sur son prépuce ; décalotté il avait l’apparence d’une bille écarlate et déjà électrique. Comme la plupart des filles ayant découvert la masturbation très tôt, je suis extrêmement sensible à ce niveau là. Mes pressions ont achevé de me faire perdre la tête. J’ai enfoncé deux doigts dans mon vagin et je les ai fait aller et venir à un rythme de plus en plus rapide. Dans un bruit de succion décuplé je pressais sur la paroi supérieure de mon orifice. Quand j’en étais là, l’orgasme ne tardait pas à me transpercer. C’est ce qui c’est produit une fois de plus et j’ai mordu le dos de ma main libre pour étouffer mes plaintes quand les décharges ont remonté ma colonne. Même au comble de l’excitation, je gardais une certaine prudence. En principe il n’y avait personne aux alentours mais on ne sait jamais. A cet instant, alors que je reprenais mes esprits, je me suis aperçue que je n’étais pas seule, contrairement à ce que je croyais. Une fille se tenait à quelque pas, la mine hilare, brandissant ma culotte comme un trophée.- Tu n’as pas perdu quelque chose ? J’étais trop surprise et penaude pour réagir. Elle m’a tendu la culotte et ma demandé si je voulais bien que nous bavardions un moment toutes les deux.- N’aie pas honte ! Tu sais, j’ai fait pire que toi et je savais qu’il y avait des gens qui me regardaient. Evidemment, j’avais éveillé sa curiosité. La réciproque était vraie ; au premier coup d’œil, cette fille m’avait l’air d’un sacré numéro. Il n’y en avait sans doute pas beaucoup qui se seraient amusées à chiper ma culotte. La plupart m’auraient épiée, en se gardant bien de se montrer. J’ai accepté de parler avec elle et elle s’est assise à coté de moi. Je ne savais pas qui elle était mais je l’avais vue le matin même à la boutique de mes parents où elle était venue acheter des provisions avec une femme d’une quarantaine d’années. Avec ses cheveux blonds cuivrés et ses tâches de son sur la figure on la reconnaissait facilement. J’avais honte mais, au fond, elle me l’a dit, j’avais de la chance.- Si c’était un garçon ou un homme qui t’avait surprise, il n’aurait pas manqué de profiter de la situation. Ma gêne se dissipait. Bien sûr ça ne m’était encore jamais arrivé en plein air, mais elle n’était pas non plus la première fille devant qui je me masturbais. En plus, sa complicité était évidente. Elle a montré ma culotte : un dessous très simple et couvrant, couleur parme, avec pour seule fantaisie un petit nœud au niveau de la ceinture.- C’est mignon mais pas très sexy ! J’ai dû rougir. J’aurais aimé porter des dessous affriolants, comme j’en voyais dans les vitrines ou les catalogues, mais ma mère tenait les cordons de la bourse ; et choisissait pour moi. Sweet?
Retour sur adopte un mec principalement, mais c'est encore pire sur Tinder. Pire. Impossible de trouver une femme qui réfléchit et qui a de la conversation. Elles ont absolument toutes les mêmes descriptions, toutes les mêmes"intérêts". Netflix, des bouquins à la con, souvent de développement personnel Quand par bonheur, on en trouve une qui a une description intéressante, la conversation s'estompe très rapidement du fait de son manque de culture et de réflexion.Tout ce qui est politique, littérature, sociologie, philosophie, vous pouvez oublier. Essentiel pour les points communs pourtant hein.Le plus amusant, c'est celles qui veulent un mec qui sait écrire, un mec cultivé et intelligent, alors qu'elles ne savent absolument pas écrire, n'ont aucune culture, et ont un QI de poulpe. Et ce à tout âge : je tape dans du 18-35 ans. Autre point important, elles sont pour une majorité laides, vraiment moches. Patate à la place du nez, traits grossiers, visage de mégère, corps de beauf américaine et j'en passe. La première photo est toujours retouchée, et quand vous regardez les autres vous vous dites "putain mais c'est pas la même". Je passe sur les "pulpeuses" qui indiquent faire 30 kilos Beaucoup de cassos, plus de la moitié ont des tatouages, c'est impressionnant (oui Jean-Tatouage je fais un lien direct entre cassos et tatouée). Le plus marrant: le grand classique, celles qui ont un voire plusieurs gosses Parfois à 22 ans et qui cherchent "un homme qui travaille et qui a des projets" Autre point, les grandes et surtout les petites qui veulent du 1m80 voire 1m85 minimum. Deux lignes avant elle indiquait que le physique n'avait pas d'importance Le pire c'est les naines d'1m60 qui veulent un mec d'1m80 parce que "je mets souvent des talons". Je passe sur les nanas de 30+ qui font encore des duckfaces Le truc qui m'a le plus choqué, c'est l'âge. Je m'explique. Beaucoup de nanas de 25 et moins font 40 ans c'est atroce. Certaines de 30 font 50 ans c'est hallucinant. Imaginez quand elles auront vraiment 50 ans, même pas avec un bâton.A l'inverse il y a quelques nanas de 35 ans qui en font 20 et c'est un vrai plaisir pour les yeux. Mais elles sont rares. Évidemment le dernier point elles ne recherchent JAMAIS DE PLAN CUL. C'est d'ailleurs pour ça qu'elles :-ne remplissent pas de description à part la partie sur la musique et le sexe -mettent des critères physiques dans ce qu'elles recherchent-arrêtent de discuter avec toi si tu n'as pas proposé au bout de dix messages de les voir en indiquant que tu veux les déglinguer-ne cherchent rien de spécial, veulent juste s'amuser et plus si affinités -vont parfois en ayant mis pas de plan cul, te proposer directement de les baiser-montrent leurs seins avec un énorme décolleté sur la première photo (souvent les grosses mais pas que) en cherchant du SÉRIEUXBref, de belles hypocrites et elles sont TOUTES TOUTES pareilles.C'est hallucinant. Quand tu creuses un peu, elles ont vu (et soufflé dans la bite de) 10 mecs du site en moyenne. Donc les mecs qui cherchent une vraie relation, ne veulent pas de décadentes, veulent une nana avec qui vous pourrez avoir de vraies conversations, ne vous inscrivez pas, et surtout NE PAYEZ JAMAIS.Pour ceux qui veulent juste baiser, évidemment allez y c'est open bar.
J'ai peu laissé le temps filé, histoire de créer mon entreprise, me poser dans un appart, bien geeker comme il faut... Bref j'ai 27 ans, Tinder c'est pas mon truc, je connais personne (je viens d'arriver dans une petite ville) mais j'ose pas trop, je suis plutôt introverti.Je vois pas vraiment comment je pourrais faire des rencontres autrement.Vous pensez que c'est une bonne idée ?
Je me demande coment faire.
Petites annonces sm
15/07/2024 15:59
Bon je reviens je vais me palucher un coup
Petites annonces sm
15/07/2024 15:57
Le bonheur est contagieux.
Chat trav trans
15/07/2024 15:54
Le respect est la clé de l'entente.
Tinder toulouse
15/07/2024 15:50
Et yoo, étant en vacances j'ai une envie de m'amuser à nouveau sur cette application !Mes anciens topics, on fait le tour de la France avec moi je vous le dit A Lyon Nantes fois on s'attaque à Toulouse, pour ceux qui se demandent, je fait 1.72 et j'ai jamais go muscu donc voilà, stop croire qu'il faut se montrer à oilp et faire 1.90 pour matcher Je vous repartage ce game dont je suis très fier (Petit jeu de mots pour ceux qui ont pas compris):LES NOUVELLES : (Normal que c'est la première fois, t'as vu ta gueule omg) (Teubée puissance 1000) Bonne soirée !
Vous connaissez des sites de rencontres sur lequel on peut trouver des femmes pour assouvir des fantasmes ?Je cherche un site de rencontre avec des femmes qui veulent ouvertement se faire baiser sans le délire séduction tout ça.
Salut, Je sais qu'ici je pourrai trouver d'ingénieux cerveaux, tout aussi filous que moi qui pourront m'aider...Vous devez sûrement connaître le site Adopteunmec, et qui sait, certains tout comme moi ont peut-être eu la chance de faire la chaleureuse et intime connaissance de nanas supers fraîches... Je me rends de temps en temps sur ce site, et j'ai pu suivre un peu l'évolution du côté "gratuit 48h avec 20 charmes offerts" au côté "onéreux 24h gratuit avec 0 charmes".. ce qui du coup rend le site inintéressant quand on veut débourser 0€ (comme moi).Résultat, ce que je faisais jusqu'à présent c'est que j'allais créer un compte meuf en plus du gars (puisque le compte gars avec 0 charmes, il sert à rien..) et j'ajoutais en "amie" les filles (ça marchait 1 fois sur 2 parce que AuM doit restreindre), mais je me suis rendu compte à l'instant que je ne pouvais même plus ajouter de meufs avec un compte meuf crée, du coup je rage. Est-ce que des petits malins auraient des astuces pour niquer AuM (et du coup, pas que AuM?)
Je suis au RSA et j'aimerais trouver l'amour. Même si ca ne dur qu'un soir
Rencontre plan
15/07/2024 15:35
j’ai trop envie de BAISERje suis en nofape depuis 1 mois je sens que je pourrais noyer une gourgandine de fo*tresi je swipe toutes les meufs y’en aura bien une qui voudra pratiquer le coït avec moi ? je viens d’installer fruitz je vais tester