Une perversion qui m’amena rapidement à fouiller dans les dessous de ma sœur, tous plus excitants les uns que les autres. Au début, c’était une fouille et très vite, je me retrouvai à me masturber dans ses dessous propres. Par la suite, à sentir ses strings portés ou à me branler avec. Toujours avec une excitation au départ mais un profond dégout de moi-même à l’arrivée mais qui ne m’empêchait pas de recommencer encore et encore. Sans oublier les intenses séances masturbatoires lorsqu’elle se faisait prendre par son copain.
Plus tard, elle largua finalement son mec et resta célibataire pendant un moment. J’en vins à me demander une nuit, comment elle prenait du plaisir seule. De nos jours avec la démocratisation du sexe, je m’imaginais mal ma sœur se fourrer des doigts pour prendre du plaisir. Je décidai donc de fouiller un peu sa chambre pour dénicher un gode par exemple. Je trouvai ce que je cherchais dans le faux-fond d’un tiroir. Un gode rose simple sans forme de phallus et un plug vibrant. J’étais en train de bander en pensant à comment elle les utilisait. Je finis sur mon lit en me masturbant avec un de ses strings et le gode que j’étais en train de sucer, en y goutant ses sécrétions vaginales. Je fis plusieurs séances dans le même genre en allant un peu plus loin à chaque fois, quand il n’y avait personne à la maison.
Les vidéos porno que j’apprécie ne mettent jamais en action un homme et une femme, voir une autre bite que la mienne me coupe particulièrement l’envie donc je préfère de loin les vidéos de masturbations féminines ou de lesbiennes. Et il y a une chose qui me fait venir vite, c’est l’utilisation des godes et plus spécifiquement des godes ceintures. Et y a une chose qui me rendait vraiment vraiment dur, c’était de penser à des femmes qui m’excitent me prenant avec un gode. Je n’y voyais rien de gay car l’anus est un organe sexuel et du moment que c’est pénétré par une femme, je vois pas de problème. D’ailleurs, si c’est gay, la sodomie sur une femme, c’est gay aussi. Je m’étais d’ailleurs doigté quelques fois sous la douche en pensant à ça. Tout ça pour dire qu’au fur et à mesure des ces séances, la pénétration de mon anus ne faisait aucun doute. Je commençais avec le plug vibrant que je glissais à l’intérieur de mon corps. C’était bon et j’étais déjà bien dur. Quand je mis la fonction vibration, il ne me fallut pas longtemps pour éjaculer. Toujours dans une petite culotte de ma sœur. J’en vins tout naturellement à utiliser le gode et là, je prenais un plaisir énorme en pensant à des cochonnes en train de me défoncer. Depuis que j’explorais l’intérieur de mon corps, je lâchais des cris de jouissance, chose que je ne faisais pas avant, tellement je prenais plaisir. Et tout ça, en me soulageant dans les dessous de ma sœur et utilisant les objets de ses orgasmes. Mais au moins je ne pensais plus à elle.
Il s’était déjà passé plus d’un an lorsque j’avais eu le premier émoi envers ma sœur. Et dans cette matinée du mois de juillet. Les parents étaient partis comme souvent. Je sortais de la douche, tout beau, tout propre et je passai devant la porte de chambre de ma sœur. Elle en sortait justement. Elle allait faire son jogging. Moulée dans un mini-short rouge qui mettait en valeur ses jolies fesses rebondies et un petit haut bien serré qui avait du mal à contenir sa poitrine (elle fait du 90B), elle était bandante.
- J’suis parti me lança-t-elle.
Allez je continue un peu, pour l'honneur!
Les jours passèrent. Certaines fois, je la voyais comme une sœur et rien ne se passait mais d’autres, je ne pouvais pas faire autrement que de la considérer comme une femme et c’était parti pour l’érection immédiate. Cependant, contrairement à la première fois où cela m’était arrivé, j’arrivais à contrôler cet afflux de sang dans ma verge, réprimé tout simplement par la morale. Et j’étais heureux comme ça. Heureux de ne pas avoir de pensées impures alors qu’objectivement, c’était tout-à-fait possible. Certes, j’avais des réactions dans le caleçon, mais après tout, je suis un homme qui a des envies et puis ça n’allait pas plus loin. Après ces érections, il n’y avait plus besoin, comme ce fut le cas, de faire disparaître cette envie par une masturbation et un visionnage frénétique d’images pornographiques.
Les jours passèrent donc et les mois aussi dans ce relatif contrôle de moi-même. Je perçus néanmoins un changement lorsqu’elle amena un petit copain à la maison pour nous le présenter. Nous apprîmes qu’ils étaient ensemble depuis quelques mois. Je savais qu’elle avait eu des petits copains jusque là mais jamais rien de sérieux. De plus, c’était le premier qu’elle nous présentait officiellement, tendant à nous faire penser que cette fois, c’était le cas. Je peux dire sans me tromper qu’avant de connaître Sébastien, elle était vierge. C’était une fille sérieuse, qui ne sortait pas beaucoup et que je ne voyais pas perdre sa fleur avec le premier boutonneux qui se présente. Alors certes, on ne peut jamais l’affirmer mais j’en étais sûr à 99%.
Sébastien était un mec sympa, un peu plus jeune que ma sœur, plus petit aussi. Il n’était pas très élégant, ni spécialement beau non plus. Au point où je me demandais comment il avait pu serrer ma frangine. Au fil des jours, je me rendis compte qu’il n’était pas très futé non plus. Il était déscolarisé et ne faisait rien de ses journées. Je m’interrogeais sur ce qui avait bien pu plaire à ma sœur. Je trouvais qu’il n’avait rien pour lui et je ne pouvais m’empêcher de penser qu’elle pouvait avoir bien mieux. J’en avais discuté avec mes parents et, tout comme moi, ils ne comprenaient pas bien ce qu’elle faisait avec lui. Mais bon, il n’y eut pas de changement notable dans son comportement, et elle semblait très heureuse donc nous ne lui avions pas fait part de nos remarques.
Au fur et à mesure, elle demandait à mes parents si Sébastien pouvait venir dîner. Mes parents acceptaient évidemment. Après ce fut pour savoir s’il pouvait rester pour la soirée. Et on en vint à la demande de passer la nuit à la maison. Et cette nuit-là, j’eus du mal à m’endormir.
Ma chambre, au premier étage, se trouve juste à côté de celle de ma sœur avec un mur en commun tandis que celle de nos parents se situe au rez-de-chaussée. Et la tête de nos lits respectifs sont contre ce mur donc je n’ai aucun mal à entendre ce qu’il se passe derrière ce mur. Quand le son de la télé n’est pas trop fort, je peux même arriver à entendre ce qu’il se dit. Par conséquent, je n’eus aucun mal à déceler des chuchotements sans toutefois parvenir à les comprendre. J’entendis par la suite qu’ils s’échangeaient des baisers. Puis plus rien. Le silence. Jusqu’à ce que j’entende des gémissements étouffés. Je n’en revenais pas. Elle était en train de le faire alors qu’elle savait que les murs étaient fins. Je trouvais ça très irrespectueux de sa part. Tout d’abord espacés, ses gémissements devenaient de plus en plus fréquents et de moins en moins étouffés. Elle prenait un sacré plaisir et se lâchait, me pensant sans doute bien endormi. J’entendais même les claquements de peau que je présumais venir des va-et-vient de son copain. J’entendais son lit craquer et ses gémissements étaient devenus des cris contenus entrecoupés de fortes respirations. Pendant tout ce temps, je ne pouvais penser à autre chose et inévitablement, l’érection se fit sentir. Et même si c’est moralement dégoutant, je me touchai tout en me l’imaginant. Etait-elle par exemple à 4 pattes et lui derrière ? Je l’imaginais rouge de plaisir, les yeux fermés, se mordillant la lèvre inférieure pour tenter de contenir ses gémissements ? Je n’entendais pas son copain et ce n’était pas un mal parce que je me masturbais férocement en pensant à ma sœur et en l’entendant. Quand vint son orgasme, je me finissais également. Ça y est. J’avais franchi la ligne, je m’étais masturbé en pensant à ma sœur. Mais comment aurai-je pu faire autrement ? A l’éjaculation, je pensai que c’était ma meilleure branlette. L’instant d’après, je me sentais honteux, sale et dégoutant. Ce moment marqua le début d’une perversion déjà bien entamée.
Je n’ai jamais considéré ma sœur comme un objet de désir sexuel. De 5 ans son ainé, je pense avoir été et être encore un grand frère disponible, bienveillant, protecteur. Bref, un grand frère modèle. Je la considérais comme un être asexué. Ce n’était pas une femme mais une sœur. Jusqu’à un certain samedi après-midi d’un mois d’avril. Nos parents sont très pris par leur vie professionnelle et pendant leur temps libre, ils ne sont plus souvent là, ils aiment bien voyager. Et ce week-end-ci, ils étaient partis en Bretagne. J’étais assis sur un fauteuil du salon, regardant la télé. Je nous avais fait à manger et à table, entre autre discussion, elle me dit qu’elle sortirait cet après-midi. Assis sur ce fauteuil, j’avais une vue directe sur notre porte d’entrée. J’entendis ma sœur descendre les escaliers et la vis se diriger vers la porte d’entrée. Elle prit ses clés sur la petite table d’entrée, se retourna vers moi, me lança un sourire et me dit :
- Bon, Max, j’suis parti
- Ouais, bon après-midi ! lui répondis-je
Elle ouvrit la porte et c’est à ce moment, qu’elle fit tomber les clés qu’elle venait de saisir. Cela arrive de faire tomber ses clés mais ma sœur est particulièrement maladroite.
- Merde ! s’exclama-t-elle.
Elle s’abaissa en pliant les genoux pour les ramasser. Et c’est là que la vision que j’avais de ma sœur changea radicalement. Je la voyais de dos et en s’abaissant, le chemisier qu’elle portait remonta pendant que son pantalon descendit. Cette action me permit de voir dépasser très légèrement de son pantalon un joli petit string bleu clair. Elle allait alors vers ses 18 printemps et elle devait déjà en porter depuis longtemps mais je ne l’avais jamais remarqué auparavant. Ça n’a duré que très peu de temps, elle les ramassa et s’en alla.
Pendant ce très court laps de temps, j’eus une érection instantanée. Je me sentais coupable d’avoir cette érection causée par ma sœur. J’essayais de ne plus y penser mais sans résultat. Voir ce petit bout de tissu dépassé m’avait chamboulé. Je passais alors 10 minutes à zapper sans réussir à penser à autre chose que ce bout de tissu. Et mon esprit se mit à fonctionner à plein et à dériver vers une chose qui ne me plaisait guère non plus. Je voyais les fesses de ma sœur moulées superbement dans ce jean slim taille basse. Mon érection n’en devenait que plus forte. Je me dis que je devais cesser de penser comme ça à ma sœur.
Je décidais donc de monter dans ma chambre, d’allumer le PC et faire défiler mes albums photos porn pour me soulager et ainsi arrêter de penser au string et aux fesses de ma sœur. Ce fut le cas. Je me masturbai avec succès sans pensées incestueuses. Je fus rassuré.
Je me suis mis à écrire alors pourquoi ne pas en faire profiter le 18-25. Je continue?