Messages de SurhommeDemain

Oh bordel, même virtuellement, l'élite se fait humilier.

Ben-Aboul-Kiba, dans son Miroir des fidèles, rapporte qu’un des vizirs du grand Soliman tint ce discours à un agent du grand Charles-Quint :

« Chien de chrétien, pour qui j’ai d’ailleurs une estime toute particulière, peux-tu bien me reprocher d’avoir quatre femmes selon nos saintes lois, tandis que tu vides douze quartauts par an, et que je ne bois pas un verre de vin ? Quel bien fais-tu au monde en passant plus d’heures à table que je n’en passe au lit ? Je peux donner quatre enfants chaque année pour le service de mon auguste maître ; à peine en peux-tu fournir un. Et qu’est-ce que l’enfant d’un ivrogne ? Sa cervelle sera offusquée des vapeurs du vin qu’aura bu son père. Que veux-tu d’ailleurs que je devienne quand deux de mes femmes sont en couches ? Ne faut-il pas que j’en serve deux autres, ainsi que ma loi me le commande ? Que deviens-tu, quel rôle joues-tu dans les derniers mois de la grossesse de ton unique femme, et pendant ses couches, et pendant ses maladies ? Il faut que tu restes dans une oisiveté honteuse, ou que tu cherches une autre femme. Te voilà nécessairement entre deux péchés mortels, qui te feront tomber tout raide, après ta mort, du pont aigu au fond de l’enfer.

« Je suppose que dans nos guerres contre les chiens de chrétiens nous perdions cent mille soldats : voilà près de cent mille filles à pourvoir. N’est-ce pas aux riches à prendre soin d’elles ? Malheur à tout musulman assez tiède pour ne pas donner retraite chez lui à quatre jolies filles en qualité de ses légitimes épouses, et pour ne pas les traiter selon leurs mérites !

« Comment donc sont faits dans ton pays la trompette du jour, que tu appelles coq, l’honnête bélier, prince des troupeaux, le taureau, souverain des vaches ? Chacun d’eux n’a-t-il pas son sérail ? Il te sied bien vraiment de me reprocher mes quatre femmes, tandis que notre grand prophète en a eu dix-huit, David le Juif autant, et Salomon le Juif sept cents de compte fait, avec trois cents concubines ! Tu vois combien je suis modeste. Cesse de reprocher la gourmandise à un sage qui fait de si médiocres repas. Je te permets de boire ; permets-moi d’aimer. Tu changes de vins, souffre que je change de femmes. Que chacun laisse vivre les autres à la mode de leur pays. Ton chapeau n’est point fait pour donner des lois à mon turban ; ta fraise et ton petit manteau ne doivent point commander à mon doliman. Achève de prendre ton café avec moi, et vas-t’en caresser ton Allemande, puisque tu es réduit à elle seule. »

Réponse de l’Allemand.

« Chien de musulman, pour qui je conserve une vénération profonde, avant d’achever mon café je veux confondre tes propos. Qui possède quatre femmes possède quatre harpies, toujours prêtes à se calomnier, à se nuire, à se battre : le logis est l’antre de la Discorde. Aucune d’elles ne peut t’aimer : chacune n’a qu’un quart de ta personne, et ne pourrait tout au plus te donner que le quart de son cœur. Aucune ne peut te rendre la vie agréable : ce sont des prisonnières qui, n’ayant jamais rien vu, n’ont rien à te dire. Elles ne connaissent que toi : par conséquent tu les ennuies. Tu es leur maître absolu : donc elles te haïssent. Tu es obligé de les faire garder par un eunuque, qui leur donne le fouet quand elles ont fait trop de bruit. Tu oses te comparer à un coq ! mais jamais un coq n’a fait fouetter ses poules par un chapon. Prends tes exemples chez les animaux ; ressemble-leur tant que tu voudras : moi, je veux aimer en homme ; je veux donner tout mon cœur, et qu’on me donne le sien. Je rendrai compte de cet entretien ce soir à ma femme, et j’espère qu’elle en sera contente. À l’égard du vin que tu me reproches, apprends que s’il est mal d’en boire en Arabie, c’est une habitude très-louable en Allemagne. Adieu. »

La pauvreté, ça facilite grandement les choses.
Parce que la religion, c'est savoir sans raisonner quand la science, c'est raisonner sans savoir.
C'est fou à quel point c'est éclaté.
Oh bordel, c'est quoi ces prix. Méritax, nonobstant.
Bien joué le demeurax, c'est une citation attribuée à Diogène de Sinope.
Ne rougis-tu pas de ce que la nature a eu de toi meilleure opinion que toi-même ? elle t'a fait homme et tu t'efforces d'être femme.
Pour l'été… 2023 au plus tôt.
Il ne fait que mettre en lumière l'abêtissement de la population et la dépossession culturelle de la France. Mais ce discours est inadapté en 2022 où cette déconstruction française permit la fertilisation de cultures importées (et particulièrement l'islam). Parce que le problème, ce n'est pas que la France devienne un espace à majorité noire, maghrébine ou métissée, le fléau à considérer, c'est le remplacement de la tradition française et la perte de repères du XXème siècle par des traditions étrangères et primitives qui accélèrent le processus de régression de l'humanité.
C'est à toi de faire en sorte que cette tainp devienne une meuf respectable, de la même manière qu'on dresse les animaux.
Cuckification en règle.
La SUITENT bordel
Vos anecdotes de moche
17/04/2022 10:05
Ce serait légendaire si on avait vos photos accolées à vos histoires, je me rends pas bien compte à quel moment dans ta vie tu peux être aussi violent avec tes congénères.
On perd des points de vie à regarder une vidéo pareille.
Une euthanasie qui échoue, paie ton vétérinaire.
Après, t'es caissier.
Le RAPPEUR Koba La D
16/04/2022 22:22
Un homme dont on parlera encore dans mille ans, pour sûr.
Oh le cétacé.