Messages de AymericPourbaix

https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/series/une-souffrance-des-techniciens-denoncent-les-conditions-de-tournage-de-la-serie-jusquici-tout-va-bien-03-09-2023-HBUXDKW3W5AVTN6ZOZCAQKV7A4.php

"L'humoriste et réalisatrice belge Nawell Madani est accusée d'avoir contribué à mettre en place un climat de tension lors du tournage de la série « Jusqu’ici tout va bien »".

"Des témoins évoquent ainsi une brimade sur l’orientation sexuelle lancée ce jour-là à l’encontre de l’une des membres de l’équipe par la réalisatrice Nawell Madani".

https://www.leparisien.fr/paris-75/paris-75020/paris-xxe-il-entre-de-force-dans-le-bureau-du-maire-pour-faire-avancer-sa-demande-de-logement-social-03-09-2023-FY2ZVETN2VHYZGX3QAWCN2IOQU.php

"Mehdi a dégoupillé. C’est ce qu’on comprend ce samedi après-midi lorsque la présidente de l’audience de comparutions immédiates du tribunal de Paris lit les insultes qu’il a proférées mardi 29 août à l’encontre d’un agent de la ville de Paris avant de tenter d’intimider Éric Pliez, le maire (Paris en commun) du XXe arrondissement, pour l’obtention d’un logement social quatre mois après le dépôt de sa demande.

Pour ces faits, il écope de quatre mois à effectuer sous surveillance électronique. Il a aussi l’interdiction d’entrer en contact avec les quatre personnes, dont le maire, constituées parties civiles pendant un an. Il ne doit plus non plus se rendre à la mairie de XXe arrondissement et va devoir faire un stage de citoyenneté.

La formule est désormais connue : le maire peut être facilement « à portée de baffe ». Éric Pliez l’a vérifié ce 29 août quand Mehdi surgit dans le couloir de son cabinet. L’homme âgé de 42 ans est bien connu de la ville. Après avoir fait une demande de logement social, il s’impatiente et vient d’abord, en paix, les 25 et 27 juillet, puis le 2 août. Le ton est plus virulent le 25 août lorsqu’il croise Maxime Sauvage, 1er adjoint au maire d’arrondissement.

Le 29 août, il s’appuie sur sa béquille quand il voit l’opportunité d’accéder au bureau du maire. Un agent municipal, serrurier, est justement présent pour renforcer la sécurité d’une porte qui s’ouvre avec un code. Lorsque l’agent compose le code, Mehdi se faufile, le pousse même. L’altercation est vive, les noms d’oiseaux fusent. Mehdi lance à l’agent qui tente de l’empêcher d’avancer : « Fils de p… laisse-moi rentrer, je vais lui n… sa race. T’es pas la police. »

Mehdi aurait alors brandi sa béquille et menacé de « fracasser » la tête de l’agent. Ce qu’il conteste. Il force ensuite l’entrée du bureau d’Éric Pliez. Puis redescend un peu : « Je m’excuse, mais Monsieur le maire vous avez intérêt de faire votre boulot. »

« Tout cramer », « tout péter », « ramener tout le quartier des Fougères »…
L’agent bousculé hérite de quatre jours d’incapacité totale de travail (ITT). Six jours d’ITT pour Mehdi. Les mains posées sur son crâne rasé, il tente de justifier sa venue en mairie : « La secrétaire du maire m’avait appelé la veille pour me dire qu’il manquait un document. » Puis il se défend, reconnaissant juste avoir un peu forcé le passage. La béquille ? Depuis qu’il a été mordu par un chien en 2008, il a des douleurs chroniques qui ne l’empêchent pas de marcher mais se réveillent parfois".

https://lejournal.info/article/pourquoi-je-quitte-cnews/

"J’avais pris l’habitude de me rendre régulièrement aux débats organisés par la chaîne CNews pour faire valoir mes idées et pour apporter, aux opinions souvent exprimées sur cette chaîne, une contradiction aussi vive et argumentée que possible

Certains me le reprochaient sur le thème « on ne dîne pas avec le diable ». Il m’avait semblé que puisque l’extrême-droite représentait en France plus d’un quart des électeurs, il était de meilleure politique d’argumenter pied à pied contre elle plutôt que de se retirer sur un Aventin commode. Les réactions que je pouvais recueillir auprès de spectateurs qui me croisaient ici ou là me montraient d’ailleurs que l’audience de la chaîne est loin d’être composée uniquement de sympathisants de tel ou tel parti extrême. Certains, à gauche, s’étonnaient de m’y voir régulièrement, ce à quoi je répondais : « Vous la regardez régulièrement, donc ? » Aussi bien, les animateurs de la chaîne et sa direction me laissaient toute latitude pour m’exprimer et m’accueillaient, il faut le dire, avec une courtoisie constante, Pascal Praud notamment.

Mais cet été, sous l’impulsion de Vincent Bolloré, le Journal du Dimanche a été soudain arraisonné et sa direction remplacée par de jeunes journalistes qui ne faisaient pas mystère de leur proximité avec Éric Zemmour, de leur adhésion aux thèses extrêmes qu’il professe et qu’eux-mêmes défendaient très ouvertement là où ils s’exprimaient.

En quoi cela me concernait-il ? Il se trouve que, tout au long de ma vie professionnelle, j’ai défendu et mis en œuvre l’idée d’une autonomie journalistique et politique des rédactions dont j’étais membre. Dans les deux journaux que j’ai eu l’honneur de diriger, Le Nouvel Observateur et Libération, j’ai même participé de près à l’élaboration de chartes internes qui garantissaient un traitement équilibré de l’information dans les articles courants (quitte à prendre nettement position dans les éditoriaux ou les chroniques). J’avais surtout tenu à négocier, à Libération et au Nouvel Observateur, un mécanisme de partage du pouvoir entre journalistes et propriétaires sur le fonctionnement du journal, qui prévoyait notamment un droit de veto des rédactions sur la nomination du directeur de la rédaction, auquel je me suis moi-même soumis à cinq reprises au cours de mes pérégrinations professionnelles. Il s’agissait, non d’établir une sorte d’autogestion, mais d’assurer, en cas de changement de propriétaire, le respect de la charte et de l’identité du titre concerné.

Tous principes et toutes pratiques qui ont été balayées sans ménagement dans le cas du Journal du Dimanche, déclenchant l’hostilité de plus de 90% des rédacteurs de l’hebdo, qui ont mené la plus longue grève de son histoire, sans parvenir à se faire entendre. Dans ces conditions, et pour cette raison précise, il ne semble incohérent de continuer à travailler dans une chaîne dirigée par le même propriétaire, dont j’ai dénoncé hautement, à plusieurs reprises dans cette lettre, les méthodes qu’il a employées au JDD. Je le regrette à certains égards : je crois à la controverse rationnelle, à la contradiction pluraliste et je pense utile de débattre, même avec des interlocuteurs situés radicalement à l’opposé de mes idées. Mais il s’agit d’un cas particulier, qui tient au fonctionnement de la presse écrite, à laquelle j’ai consacré tous mes efforts pendant une trentaine d’années et que je ne saurais désavouer, même implicitement".

Pour rappel JDG c'est

- Un raté sans aucun talent qui s'est fait connaître à 35 ans en pompant intégralement le concept et des blagues d'un youtubeur qui avait déjà tout inventé, l'Angry video game nerd. Il est du même acabit que Roi des rats.

- Une serpillère qui s'est jeté sur Twitch quand il a vu que ça pouvait rapporter gros

- Traine avec full gauchistes alors qu'il est de droite et s'écrase complètement face à eux, les positions pro police qu'il a tenues par le passé il ne les tiendrait pas face à eux.

Bref c'est pas parce que ce mec a peut être bercé votre enfance avec ses vidéos qu'il faut l'idéaliser. Je suis très content qu'il se fasse bouffer par le système dont il profite et j'aimerais qu'il se fasse ban def honnêtement ça lui ferait les pieds.

Le 01 septembre 2023 à 09:50:27 :
10 secondes à l'écouter et j'ai envie de pioncer qui sont les QI négatifs qui regardent ce mec ?

formidable analyse

Pour rappel JDG c'est

- Un raté sans aucun talent qui s'est fait connaître à 35 ans en pompant intégralement le concept et des blagues d'un youtubeur qui avait déjà tout inventé, l'Angry video game nerd. Il est du même acabit que Roi des rats.

- Une serpillère qui s'est jeté sur Twitch quand il a vu que ça pouvait rapporter gros

- Traine avec full gauchistes alors qu'il est de droite et s'écrase complètement face à eux, les positions pro police qu'il a tenues par le passé il ne les tiendrait pas face à eux.

Bref c'est pas parce que ce mec a peut être bercé votre enfance avec ses vidéos qu'il faut l'idéaliser. Je suis très content qu'il se fasse bouffer par le système dont il profite et j'aimerais qu'il se fasse ban def honnêtement ça lui ferait les pieds.

Le pire c'est les hommes celibataires sans enfants, y a plus qu'une solution, la rue.
Ce que j'ai fait pendant un moment avant de retourner chez ma mère. Quasiment 5 ans en fil d'attente, jamais un seul contact, j'ai supprimé mon dossier, c'est du vrai foutage de gueule, la réalité c'est qu'on peut crever, tout le monde s'en branle, si on a pas de famille ou de pote pour nous heberger, on est fini.
On en parle de ces putains de commissions d'attribution ?
Toujours un couple pour te passer devant qui connaît le maire ou un membre du jury. C'est exactement comme ça que ça se passe. Ça me fout une haine incommensurable, on a un dossier béton avec les plus hauts critères de priorités. Sauf qu'en fait ils enchaînent les dossiers et ne prennent même pas le temps de bien le regarder car pas le temps.
Et alors si t'as une magalie mère célib' face à toi c'est bon c'est foutu. On va pas se mentir, la plupart c'est full cassos qui font des gosses avec le premier venu, mais bon elle a un gosse et elle est seule, c'est triste hein. Pendant que toi ta meuf avec AAH enchaîne les soucis de santé et tout le monde s'en balec.

Le 31 août 2023 à 09:41:42 :
Les hlm c'est donner de la confiture aux cochons

Malheureusement il n'y aura aucun club israélien cette année :(

Il va bientôt publier les mosaïques de cigarette :(

Facile d'être auteur à succès
Les kheys au RSA, c'est quoi votre excuse ? Elle a intéret à être bonne !

Bordel les commentaires sous les vidéos :malade:https://image.noelshack.com/fichiers/2023/35/4/1693468276-capture-d-ecran-2023-08-31-a-09-51-07.png

Le 31 août 2023 à 09:47:15 :
On est au 38 ème mort par règlement de compte cette année à Chicago Marseille, non ?

On est au 38 ème mort par règlement de compte cette année ce mois à Chicago Marseille, non ?