Le 27 avril 2022 à 15:26:23 :
Le 27 avril 2022 à 15:25:24 :
Logique pays de cuck gaucho l'URSS, les USA toujours déters comme d'hab en comparaisonc'est les USA qui ont crée l'idéologie woke et LGBT
Rappel : sous l'URSS l'homosexualité était considéré comme une perversion sexuelle et passible d'une peine de goulag
c'est Elstine le pantin américain qui a dépénalisé ça
Avant 1991 l'ONU considéré l'homosexualité comme une maladie, ça n'est pas propre à un pays en particulier.
Le 27 avril 2022 à 15:23:34 :
Tu es ici depuis combien de temps ?
Environ 5 ans, 5 ans que ce forum risible fait pleinement partie de ma vie bordel si on m'avait dit que je deviendrai ça, j'aurais préféré ne jamais connaître internet
Le 27 avril 2022 à 15:18:12 :
Retourne sur le 15-18 s'il te plait
Ravi de voir une telle argumentation.
Congrès de Stuttgart, 1907, les communistes donnent leur opinion définitive sur divers sujets :
Sur la colonisation :
Le Congrès est d’avis que la politique coloniale capitaliste, par son essence même, mène nécessairement à l’asservissement, au travail forcé ou à la destruction des populations indigènes dans le domaine colonial.
La mission civilisatrice dont se réclame la société capitaliste ne lui sert que de prétexte pour couvrir sa soif d’exploitation et de conquête. Seule, la société socialiste pourra offrir à tous les peuples la possibilité de développer pleinement leur civilisation.
La politique coloniale capitaliste, au lieu d’accroître les forces productives, détruit, par l’esclavage et la misère où elle réduit les indigènes, de même que par des guerres meurtrières et dévastatrices, la richesse naturelle des pays dans lesquels elle transplante sa méthode. Elle ralentit ou empêche par là même le développement du commerce et des débouchés pour les produits de l’industrie des Etats civilisés.
Le Congrès condamne les méthodes barbares de colonisation capitaliste et réclame dans l’intérêt de l’extension des forces productives, une politique garantissant le développement pacifique de la civilisation et mettant, par toute la terre, les richesses du sol au service du progrès de l’humanité tout entière.
Affirmant de nouveau ses résolutions de Paris (1900) et d'Amsterdam (1904), le Congrès réprouve la colonisation actuelle, qui, étant d’essence capitaliste, n’a d’autre but que de conquérir des pays et de subjuguer des peuples pour les exploiter sans merci au profit d’une infime minorité, tout en aggravant les charges des prolétaires de la métropole.
Ennemi de toute exploitation de l’homme par l’homme, défenseur de tous les opprimés sans distinction de races, le Congrès condamne cette politique de vol et de conquête, application effrontée du droit du plus fort qui foule aux pieds le droit des peuples vaincus, et constate encore que la politique coloniale augmente le danger de complications internationales et de guerres entre les pays colonisateurs, — aggravant ainsi les charges pour la marine et pour l’armée.
Au point de vue financier, les dépenses coloniales, aussi bien celles qui découlent de l’impérialisme que celles qui sont nécessaires pour favoriser l’évolution économique des colonies, doivent être supportées par ceux qui profitent de la spoliation commise et en tirent leurs richesses.
Le congrès déclare que les mandataires socialistes ont le devoir de s’opposer irréductiblement dans tous les parlements à ce régime d’exploitation à outrance et de servage, qui sévit dans toutes les colonies existantes, en exigeant des réformes pour améliorer le sort des indigènes, en veillant au maintien des droits de ceux-ci, en empêchant toute exploitation et tout asservissement, et en travaillant, par tous les moyens dont ils disposent, à l’éducation de ces peuples pour l’indépendance.
Sur le droit de vote des femmes :
Le Congrès salue avec la plus grande joie la conférence internationale des femmes socialistes, et se déclare solidaire des résolutions votées par celle-ci et relative au vote des femmes.
Le Congrès repousse le droit de vote limité, qui fausse le principe de l’égalité politique de la femme et lui porte atteinte. Les partis socialistes luttent pour l’unique, expression concrète et vivante de ce principe ; le Suffrage Universel général, accordé à toutes les femmes majeures et non limité par des conditions de propriété, de cens, de capacité et d’autres conditions, qui pourraient priver de ce droit des membres du peuple travailleur. Dans cette lutte pour l’égalité complète en matière de droit électoral, les femmes socialistes ne doivent pas s’allier aux féministes de la bourgeoisie, qui réclament le droit de suffrage, mais il mène la bataille côte à côte avec les partis socialistes qui luttent pour le suffrage des femmes et considèrent celui-ci comme une des réformes fondamentales et pratiques des plus importantes pour obtenir la démocratisation complète du suffrage.
Les partis socialistes de tous les pays ont le devoir de lutter énergiquement pour l’introduction du Suffrage Universel des femmes. C’est pourquoi leurs luttes pour la « démocratisation » du suffrage dans les organismes législatifs et administratifs de l’Etat et des communes en faveur du prolétariat doivent englober tout particulièrement la lutte pour le vote des femmes qu’ils réclament et doivent défendre avec force dans la propagande au sein du parlement. Dans les pays, où la démocratisation du suffrage des hommes a déjà fait des progrès considérables ou est réalisée complètement, les partis socialistes ont à entreprendre la lutte pour l’introduction du suffrage universel des femmes et défendre évidemment en même temps toutes les réformes que nous avons encore à réaliser pour le prolétariat masculin dans l’intérêt de l’octroi des droits complets inhérents à la qualité de citoyen.
Le Congrès Socialiste International ne peut prescrire une date déterminée à laquelle un mouvement pour la conquête du droit de suffrage doit commencer. Il déclare néanmoins que lorsque, dans un pays déterminé, pareil mouvement est entamé, celui-ci doit viser la conquête du suffrage universel pour tous les adultes, sans distinction de sexe, exclusivement et sans conditions.
Sur la guerre :
Le Congrès confirme les résolutions des précédents congrès internationaux concernant l’action contre le militarisme et l'impérialisme et rappelle que l’action contre le militarisme ne peut pas être séparée de l’ensemble de l’action contre le capitalisme.
Les guerres entre états capitalistes sont en général les conséquences de leur concurrence sur le marché du monde, car chaque état ne tend pas seulement à s’assurer des débouchés, mais à en acquérir de nouveaux, principalement pas l’asservissement des peuples étrangers et la confiscation de leurs terres.
Ces guerre résultent de la concurrence incessante provoquée par les armements du militarisme, qui est l’un des instruments principaux de la domination de la bourgeoisie et de l’asservissement économique et politique de la classe ouvrière.
Les guerres sont favorisées par les préjugés nationalistes que l’on cultive systématiquement dans l’intérêt des classes dominantes, afin de détourner la masse prolétarienne de ses devoirs de classe et de ses devoirs de solidarité internationale.
Elles sont donc de l’essence du capitalisme et ne cesseront que par la suppression du système capitaliste, ou bien quand la grandeur des sacrifices en hommes et en argent exigée par le développement de la technique militaire et la révolte provoquée par les armements auront poussé les peuples à renoncer à ce système.
La classe ouvrière, chez laquelle on recrute de préférence les combattants et qui principalement doit en supporter les sacrifices matériels, est l’adversaire naturelle des guerres parce que celles-ci sont en contradiction avec le but qu’elle poursuit : la création d’un nouvel ordre économique, basé sur la conception socialiste destinée à traduire en réalité la solidarité des peuples.
C’est pourquoi le Congrès considère qu’il est du devoir de tous les travailleurs et de leurs mandataires dans les parlements de combattre de toutes leurs forces les armements de terre et de mer, en signalant le caractère de classe de la société bourgeoise et les mobiles qui poussent au maintien des antagonismes nationaux, de refuser tout soutien pécuniaire à cette politique et, aussi, de s’appliquer à ce que la jeunesse prolétarienne soit élevée dans les idées socialistes de la fraternité des peuples et éveillée systématiquement à la conscience de classe.
C'était des opinions qui étaient ultra marginal et révolutionnaire à l'époque, aujourd'hui ce sont des opinions qui font consensus et que globalement personne ne conteste, c'est chaud comment les communistes sont des génies en avance sur leur temps.
Je suis sûr que d'ici 50 ans on dira la même chose des communistes d'aujourd'hui, perso je rate pas le train et j'envoie ma demande d'adhésion au pcf.
Le 27 mars 2022 à 22:22:23 :
Le 27 mars 2022 à 22:21:50 :
Le 27 mars 2022 à 22:20:49 :
Le 27 mars 2022 à 22:20:19 :
T’es pas homosexuel toi l’auteur ?Tu aimes les chèvres ?
Ah je crois qu’un homo s’est senti visé
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/43/2/1635205000-img-20210908-160601.png
Mec tu es HOMOSEXUEL, c’est même pas une vanne, ton ancien pseudo était « gaygentil », en quel honneur tu me parles ?
Le 27 mars 2022 à 22:20:49 :
Le 27 mars 2022 à 22:20:19 :
T’es pas homosexuel toi l’auteur ?Tu aimes les chèvres ?
Ah je crois qu’un homo s’est senti visé
On me le dit souvent, c’est vrai ?