Messages de 2O25

Le 08 mai 2022 à 16:45:14 :
Askip la révolution industrielle et toutes les innovations et inventions qui ont été faites à cette époque ont été provoqué par l'arrivée du Café en Europe, avant c'était le Moyen âge et les gens ne faisaient que s'alcooliser

Si c'est vraiment véridique alors cimer le café grâce à lui on a toute cette technologie à notre disposition :ouch:

Le 08 mai 2022 à 16:40:04 :
Tous les matins une capsule Nespresso dans la machine perso :ok:

Go passer à la cafetière italienne franchement

https://image.noelshack.com/fichiers/2022/18/7/1652020917-bialetti-1166-moka-12-tasses-t1510244170547a-123526322.jpg

C'est plus chiant à nettoyer mais le goût et les effets stimulants sont large au dessus

Le 08 mai 2022 à 16:39:17 :
Stop penser que le café est une drogue

Le café est une drogue et l'alcool aussi

Le 08 mai 2022 à 16:39:50 :
Tu vas t'accoutumer et a force ça va plus rien te faire.

Ouais je sais, parfois j'essaye de pas en prendre genre le weekend pour reset la tolérance

Je peux plus m'en passer

Disparition de la fatigue dès le matin après la première tasse, tout est plus intéressant et t'es motivé pour construire ta journée et créer des projets

Seconde grosse tasse entre midi et 14h pour rebooster la clarté mentale et la motivation

J'essaye de pas en prendre une troisième l'après midi sinon je commence à avoir des palpitations

Bordel j'espère que je pourrai en prendre jusqu'à la fin de mes jours comme ça sans faire de dégâts

35
David
chevronnée de 35 ans.
Le seul moyen de le stopper serait d’arrêter
De tout temps, l'homme a tenté de comprendre puis
C’est lui aussi qui était à la base du dernier
C’est lui aussi qui était à la base du dernier
Le seul moyen de le stopper serait d’arrêter
C’est une informaticienne chevronnée de 35 ans.
La journée commence. Il s’habille comme il peut
David finit au bout d'une heure par s'assoupir. Il
Aujourd’hui, c’est son anniversaire. Il a
Mais ils étaient beaucoup plus rapides et plus
Oui et non. Ce n'est pas une blague, mais David y
Ce n’est pas une blague David, ton programme a
Il avait d’abord commencé par récupérer des
Florence est une jeune femme, grande et filiforme.
David avait dû s’asseoir lorsqu’il avait
Interloqué, David ne sait pas quoi répondre. En
David finit au bout d'une heure par s'assoupir. Il
L’ascenseur démarra tout seul après que la
Mais l'Intelligence Artificielle n'apportait pas
Comme je viens de te le dire Florence, ce n’est
Ça ne servira à rien, repris Prélude. J’ai en
Désormais, tous les ordinateurs lui étaient
En 1975, John Holland construisit un système
David se rappelait de ce programme mélangeant
David comprenait très bien où voulait en venir
Il sort de son lit, les yeux dans un brouillard
Aujourd’hui, c’est son anniversaire. Il a
David comprenait très bien où voulait en venir
C’est une informaticienne chevronnée de 35 ans.
Comme je viens de te le dire Florence, ce n’est
David comprenait très bien où voulait en venir
Ça ne servira à rien, repris Prélude. J’ai en
Florence venait d’avouer quelque chose qu’elle
Florence est très excitée à l’idée de se
Toutes les connaissances que les hommes avaient
Il avait d’abord commencé par récupérer des
Comme je viens de te le dire Florence, ce n’est
Il avait d’abord commencé par récupérer des
Soudain, David eut une idée. Florence jouait un
Mais ils étaient beaucoup plus rapides et plus
Tu vas le prendre avec toi. Tu brancheras ton
Je m’en rappellerais si j’avais créé un
« À la base militaire du 57e RA ? Mais
Aujourd’hui, c’est son anniversaire. Il a
La journée commence. Il s’habille comme il peut
« À la base militaire du 57e RA ? Mais
Une voiture venait d’arriver de l’autre côté
C’est lui aussi qui était à la base du dernier
Un long silence se fit dans la voiture. Le
D’ailleurs, le Dr. ne savait pas vraiment
David se rappelait de ce programme mélangeant
La route commença à s’enfoncer. On ne voyait
La route commença à s’enfoncer. On ne voyait
La grande porte s’ouvrit lourdement en
Florence avait l’esprit un peu mélangé entre
D’ailleurs, le Dr. ne savait pas vraiment
David se rappelait de ce programme mélangeant
Il sort de son lit, les yeux dans un brouillard
C’est une informaticienne chevronnée de 35 ans.
Ce n’est pas une blague David, ton programme a
Il a recommencé et recommencé. Pratiquement tous
C’est comme ça qu’il se voyait à cette
Une voiture venait d’arriver de l’autre côté
Ce n’est pas une blague David, ton programme a
Le militaire regagna sa voiture et la barrière
« À la base militaire du 57e RA ? Mais
Il sort de son lit, les yeux dans un brouillard
Un long silence se fit dans la voiture. Le
Mais l'Intelligence Artificielle n'apportait pas

L’ascenseur démarra tout seul après que la porte se soit fermée. Il descendait. Il n’arrêtait pas de descendre. Puis, il s’arrêta enfin. La porte s’ouvrit. Et David eut la stupeur de sa vie. Devant lui se déployait un complexe informatique. Une vingtaine de personnes se déplaçaient d’un poste à l’autre regardant au passage les écrans géants muraux situés au fond de la salle. Il y avait bien une cinquantaine d’ordinateurs, cinq écrans géants et, situé entre les écrans géants et les ordinateurs, une machinerie impressionnante.

Il prend sa sacoche remplie de papiers divers, de livres, de magazines, de crayons... « Le poids de mes connaissances. » comme il aime dire. En fait, la plupart des livres n’ont jamais été ouverts, les papiers sont, pour la plupart, des notes prises sur le vif depuis l’achat de cette sacoche et sont plus proches de la décomposition. Mais parfois, il met le nez dedans et s’amuse d’avoir un jour eu des idées aussi géniales.

Le seul moyen de le stopper serait d’arrêter tous les ordinateurs, ce qui aurait les mêmes conséquences que de laisser Prélude lancer les bombes. Depuis longtemps, toutes les installations à risque étaient contrôlées par des ordinateurs. Si l’on stoppait les ordinateurs, les centrales nucléaires s’emballeraient, les silos nucléaires cracheraient leur mort sur toute la planète. Bien entendu, l’économie mondiale dirigée par la bourse, s’effondrerait. David ne savait plus quoi faire et, manifestement, tous les militaires présents dans la salle comptaient sur lui pour résoudre cette crise.

Cela ressemblait aux gros ordinateurs que David avait pu voir dans des films de science fiction. Beaucoup de petites lumières indiquaient qu’il était en fonction. À la base, une sorte d’aquarium avait été installé tout autour. Certainement le système de refroidissement car des bulles montaient sans cesse, preuve que l’eau était en ébullition. Soudain, David resta bouche bée. Une voix caverneuse sortie des écrans où venait de s’afficher le mot « Prélude ».

C’est lui aussi qui était à la base du dernier processeur, le sphéro. Un processeur ayant une architecture en forme de sphère et capable de traiter les informations à une vitesse jamais atteinte. Tous les ordinateurs en étaient équipés. Le créateur officiel, le Dr. Stewart Davis, n’était bien sûr pas au courant de la présence de Prélude dans son projet. Prélude avait simplement suggéré légèrement au Dr. En modifiant légèrement ses documents.

Une voiture venait d’arriver de l’autre côté de la barrière. Une personne sortit. Un militaire. Il était comme dans les films de guerre pensa David. Les décorations remplissaient l’avant de sa veste. Il s’approcha de la voiture où se trouvait David. Le chauffeur ouvrit la fenêtre.

« Oui, mais rien d’exceptionnel. » David essaie de se rappeler si dans la lancée de sa jeunesse fougueuse, il n’aurait pas installé une bombe logique sur les ordinateurs de l’armée, mais il ne se rappelait pas avoir fait une telle bêtise. Planter tout le système informatique de la base aurait été trop grave de conséquences.

Aujourd’hui, c’est son anniversaire. Il a vingt-six ans, mais il ne s’en souvient plus. Il ne prête pas attention à ce genre de détails. David est un homme distrait, timide, mais sûr de lui. Il est grand et mince. De grandes mains prolongent ses longs bras. Il lui serait possible de tenir deux bouteilles de Champagne dans chacune de ses mains, mais il ne boit jamais. L'alcool le rend malade et malheureux, voir dépressif.

La journée commence. Il s’habille comme il peut tout en prenant son café. Chemise blanche repassée la veille par lui-même. Une cravate comme tous les jours. Et son costume noir de chez Sam Montiel, très chic et très branché. Chaussures cuir noir. Comme il aime faire remarquer : "Vous êtes soit dans vos chaussures, soit dans votre lit. Alors il faut de bonnes chaussures et une bonne literie !". La météo a annoncé un ciel bleu et des températures au-dessus de la normale saisonnière. C’est un très beau mois de mai qui s’annonce.

La route commença à s’enfoncer. On ne voyait plus les grillages sur les cotés, mais juste des rochers. Et soudain, les voitures s’arrêtèrent devant une énorme porte en métal entourée de béton. D’énormes blocs de béton. David avait visité d’anciennes fortifications de la ligne Maginot, mais rien de semblable. Même le Simserhof, situé à proximité de Bitche, semblait petit à côté de cette porte. Mais David n’était pas au bout de sa surprise.

Il prend sa sacoche remplie de papiers divers, de livres, de magazines, de crayons... « Le poids de mes connaissances. » comme il aime dire. En fait, la plupart des livres n’ont jamais été ouverts, les papiers sont, pour la plupart, des notes prises sur le vif depuis l’achat de cette sacoche et sont plus proches de la décomposition. Mais parfois, il met le nez dedans et s’amuse d’avoir un jour eu des idées aussi géniales.

L’ascenseur démarra tout seul après que la porte se soit fermée. Il descendait. Il n’arrêtait pas de descendre. Puis, il s’arrêta enfin. La porte s’ouvrit. Et David eut la stupeur de sa vie. Devant lui se déployait un complexe informatique. Une vingtaine de personnes se déplaçaient d’un poste à l’autre regardant au passage les écrans géants muraux situés au fond de la salle. Il y avait bien une cinquantaine d’ordinateurs, cinq écrans géants et, situé entre les écrans géants et les ordinateurs, une machinerie impressionnante.

Le général sorti un badge et se dirigea vers l’une des portes entourées de peinture jaune. Il glissa le badge dans la fente située à droite. La porte s’ouvrit. Une dizaine de militaires armées jusqu’aux dents étaient postés derrière.

L’ascenseur démarra tout seul après que la porte se soit fermée. Il descendait. Il n’arrêtait pas de descendre. Puis, il s’arrêta enfin. La porte s’ouvrit. Et David eut la stupeur de sa vie. Devant lui se déployait un complexe informatique. Une vingtaine de personnes se déplaçaient d’un poste à l’autre regardant au passage les écrans géants muraux situés au fond de la salle. Il y avait bien une cinquantaine d’ordinateurs, cinq écrans géants et, situé entre les écrans géants et les ordinateurs, une machinerie impressionnante.

Florence avait l’esprit un peu mélangé entre ce Prélude qui ne lui apportait que des questions sans réponse et « son » David. Prélude avait réveillé brusquement un sentiment que Florence avait au plus profond d’elle. Désormais, elle voulait savoir. Connaître la vérité. Et seulement alors, cette boule de nerf coincée dans l’estomac pourrait s’en aller.

Mais l'Intelligence Artificielle n'apportait pas le résultat tant recherché : donner une conscience aux ordinateurs. Alors l'homme oublia l'Intelligence Artificielle, et comme pour se prouver qu'il était bien le seul à avoir une conscience, se mit aux Arts. Les belles promesses sur l'intelligence des ordinateurs et des robots étaient oubliées. Le "complexe de Frankenstein" avec. De nouveaux ordinateurs plus puissants, mais dépourvus d'intelligence, virent le jour. C'était en 2004, un an après l'ouverture au grand public d'Internet 3.

Tu vas le prendre avec toi. Tu brancheras ton téléphone mobile dessus afin que je puisse rester en contact avec toi. Il te faudra aussi un câble de liaison pour brancher ton ordinateur sur le réseau militaire.

« Prélude m’avait dit qu’il désirait connaître l’amour. Les ordinateurs n’ont pas de sentiments et l’amour n’est que sentiments. Il y a bien l’amour physique, mais sans les sentiments, cela ressemble davantage à un instinct de reproduction qu’à de l’amour. Un ordinateur n’a pas ce besoin de reproduction. Et pourquoi m’avoir choisi ? »

Ne t’inquiète pas, elle n’a rien pour l’instant. Par contre, dès que je serais relié au réseau, Florence ne sera plus. Tu comprends, je ne peux pas laisser Florence me gêner dans ma tâche. Et puis, elle en sait beaucoup trop sur moi.

Dans le plancher pour savoir si quelqu'un marchait et quel poids il faisait. Le cœur pouvait alors déterminer de quelle personne il s'agissait. Dans les murs, des cellules photosensibles, des micro-caméras et tout un réseau de détecteurs divers (magnétique, pression, infrarouge...) permettait de déterminer la position exacte de chaque personne et objet dans la maison, de ventiler ou chauffer en conséquence, d'allumer ou d'éteindre la lumière...