Le 07 octobre 2020 à 23:33:43 LesMacrales a écrit :
Je vais me tatouer "Pas touche!" sur le ventrehttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/23/2/1591098807-ahi-gauche.png
Le 07 octobre 2020 à 23:31:39 TacosCheddar a écrit :
On rigole mais perso ça me fout vraiment mal, c'est un sentiment très bizarre que de découper des cadavreshttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/2/1595958721-legitimus-cigarettent.png
Je suis pas serein actuellementhttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/2/1595958721-legitimus-cigarettent.png
Et que des mecs le fassent comme dans un abattoir c'est plus inquiétanthttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/2/1595958721-legitimus-cigarettent.png
Déjà que les abattoirs me foutent mal a l'aisehttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/2/1595958721-legitimus-cigarettent.png
c'est des humains merde quoi certains d'entre eux vous les avez ptetre déjà vue , ou alors des mecs qui on fait un truc pour la france merde quoi
Le 07 octobre 2020 à 23:30:09 dessincognito2 a écrit :
Je suis déjà sur la liste des refus de dons d'organes, merci le forum
mais enfaite avec les organe on peut sauver des gens mais moi je veux pas qu'il prennent mon corps ces fous (">
Le 07 octobre 2020 à 23:28:49 Valfary2 a écrit :
Le 07 octobre 2020 à 23:24:46 BARRELIVEs a écrit :
Le 07 octobre 2020 à 23:23:23 Liberezryssen a écrit :
« J’ai expliqué que ce n’était pas acceptable. Quelques jours plus tard, le professeur Douard m’a demandé de prendre des photos. Il souhaitait, avec Brigitte Mauroy, présidente du comité d’éthique du CDC et directrice du Centre du don des corps de Lille, les présenter au président de l’université, Frédéric Dardel, afin de relancer les travaux promis depuis des années. J’ai découvert qu’un congélateur de 9 mètres carrés était rempli de têtes, de bras et de jambes congelés dans une accumulation inextricable. Pour y accéder, les préparateurs devaient marcher sur des morceaux de corps. C’était inimaginable et j’ai parlé de charnier. Tout de suite me sont venues les images des camps de concentration. » Ce document édifiant de 27 pages est, le 17 novembre 2016, remis en mains propres au président de l’universitéLien du famoso document en Aime-paix
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/36/6/1504980636-gundill3.png a lille aussi ? nan pas dans ma ville pas dans ma flandres
Partout où il faut découper des cadavres. Les médecins légistes aussi ils jouent avec les cadavres (sans aller jusqu'à faire un foot avec la tête bien sûr).
Et si ce n'est pas le préparateur qui charcute ton cadavre, ce sont des étudiants qui s'éclatent comme toi au collège avec ta grenouille.
mais faut faire la diff entre une grenouille et un MEC
Le 07 octobre 2020 à 23:27:08 LesMacrales a écrit :
Balle au prisonnier avec des têteshttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/05/1486154002-sans-titre-16.png "Joli jeu de jambe!" , "Un coup de main?" , "Tu te mets le doigt dans l'oeil!" Les gags qu'on peut faire bordel
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366224-risitas35.png Quelqu'un peut repost le pavé?
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366209-risitas24.png
Le 07 octobre 2020 à 23:26:45 PseudoBan116 a écrit :
On dirait un film d'horreur
Le 07 octobre 2020 à 23:24:44 Bf110c a écrit :
Ah d accord.Bon bah go incinération du coup /
non faut être simpliste les khey une tombe + cerceuil + pierre tombale . voila c'est pas compliqué mon dieu
Le 07 octobre 2020 à 23:23:23 Liberezryssen a écrit :
« J’ai expliqué que ce n’était pas acceptable. Quelques jours plus tard, le professeur Douard m’a demandé de prendre des photos. Il souhaitait, avec Brigitte Mauroy, présidente du comité d’éthique du CDC et directrice du Centre du don des corps de Lille, les présenter au président de l’université, Frédéric Dardel, afin de relancer les travaux promis depuis des années. J’ai découvert qu’un congélateur de 9 mètres carrés était rempli de têtes, de bras et de jambes congelés dans une accumulation inextricable. Pour y accéder, les préparateurs devaient marcher sur des morceaux de corps. C’était inimaginable et j’ai parlé de charnier. Tout de suite me sont venues les images des camps de concentration. » Ce document édifiant de 27 pages est, le 17 novembre 2016, remis en mains propres au président de l’universitéLien du famoso document en Aime-paix
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/36/6/1504980636-gundill3.png
a lille aussi ? nan pas dans ma ville pas dans ma flandres
Le 07 octobre 2020 à 23:19:31 TacosCheddar a écrit :
Les docteurs maboul qui fument une clope sur le balcon avec leur tablier couvert de sang humainhttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/2/1595958721-legitimus-cigarettent.png
Taper avec un foot avec la tête d'un enfant entre collègueshttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/2/1595958721-legitimus-cigarettent.png
Les collègues qui te font une farce en glissant une bite dans ton sandwichhttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/2/1595958721-legitimus-cigarettent.png
les modos QUI REFUSENT LA MORGUEPILL
« Atonie générale », « graves manquements éthiques qui ont perduré pendant plusieurs années », « présence de rongeurs, corps en décomposition »… C’est peu dire que les conclusions des deux inspections administratives (inspection générale des affaires sociales, IGAS, et inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche, IGÉSR) diligentées en novembre 2019 par le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche sur « le fonctionnement ces dix dernières années » du Centre du don des corps (CDC) de la rue des Saints-Pères, à Paris, sont sévères.
Centre du don des corps… L’appellation pudique cachait une réalité inimaginable. Ces murs ont abrité un scandale d’Etat.
"À Descartes, on travaillait dans une puanteur terrible avec les défunts qui restaient là pendant des jours. Il y avait de grandes baies vitrées et le soleil tapait sur les cadavres. On faisait aussi ce qu’on appelle 'le frais', c’est-à-dire des pièces anatomiques [des morceaux de corps] qui ne sont pas embaumées", détaille Léopold. Le démembrement concernait tous les cadavres, "tous finissaient démembrés et les têtes coupées. Il était extrêmement rare qu’un corps parte entier à la crémation", dit-il. Soit il y avait un besoin immédiat et les corps étaient tout de suite mis à disposition, soit ils étaient congelés.
"Ce qui me choquait le plus, c’était l’irrespect total des défunts. Certains préparateurs s'amusaient avec les cadavres, ils prenaient les têtes pour des ballons et jouaient au foot avec dans le couloir, assure Léopold. Pour les pièces anatomiques fraîches et congelées, je me souviens d’un technicien fouillant dans le congélateur dans cette pseudo chambre froide. Il prenait les têtes et me les jetait. Je devais les rattraper au vol. J’en ai fait part aux responsables qui m’ont dit que le préparateur en question était 'sanguin'. Mais pour moi, on peut être sanguin tout en respectant les morts !"
"Ce que j'ai vu au CDC, c'était l'horreur absolue. Les conditions de travail étaient atroces, les canalisations toujours bouchées. On en avait jusqu'au tibia, on pataugeait là-dedans toute la journée. L'odeur était insoutenable." Il assure pourtant faire ce métier par passion : "J'adore l'anatomie depuis que j'ai 7-8 ans. J'ai toujours voulu faire ça. Et l'éthique, c'est important pour moi : on se doit d’honorer les donneurs."
Un ancien dirigeant du centre confie : "J'ai mis beaucoup de temps à comprendre les préparateurs en anatomie. Des gens pour qui la frontière entre la vie et la mort s'est atténuée. Le problème, c'est qu'ils n'ont pas intégré nos règles d'éthique et d'hygiène. Leur manière de considérer les sujets [les corps] n'est pas la nôtre, leur éthique n'est pas la nôtre."
Selon plusieurs témoignages, le métier tutoie la folie. "Le Centre du don des corps, c’était Vol au-dessus d’un nid de coucou", glisse un ancien dirigeant de Descartes. Un autre ancien responsable du CDC ajoute : "Les préparateurs constituaient un royaume dans le royaume. C’est un monde à part. Il y avait 'le chef des têtes' et il était le seul à pouvoir y toucher. Je me suis toujours demandé s’ils exerçaient ce métier parce qu’ils étaient fous ou si c’était ce métier qui les rendait fous". Il y a cette anecdote révélatrice : un jour, un personnel administratif arrive dans le couloir, une tête très abîmée l’attend à l’entrée, posée par terre : "C’était une façon de me dire, ici on est chez nous, tu ne rentres pas." Un autre responsable ajoute : "Il y a des médecins qui voulaient des demi-têtes pour la chirurgie plastique ou ORL. Je leur ai dit que c’était terminé. J'ai ajouté : comment voulez-vous que les préparateurs ne deviennent pas zinzins si vous leur faites couper des têtes en deux ?"
La démence de certains préparateurs semble telle que l’un d’entre eux a même donné des coups de couteaux, un jour de colère, à un corps à l’intérieur d’une chambre froide, rapporte Jacques. Ce point est confirmé par un ancien responsable du centre.
Le jour de son arrivée au centre, Jacques se souvient avoir été accueilli par un préparateur paré d’un collier d’oreilles plastinées [la plastination est une technique de conservation]. "Je lui ai demandé comment il en était arrivé là. Il y avait aussi une tradition : mettre une gifle au mort avant de lui injecter du chlorure de zinc. Les corps n’avaient plus aucune valeur à part une valeur marchande". Et Jacques de détailler une "activité illégale avec des chirurgiens qui demandaient des mises à disposition de corps directement aux préparateurs, sans passer par la procédure normale. Ils les payaient sous le manteau." Là encore, cette information est confirmée par d’autres sources.
Ces techniciens gagnent le smic et, à l’université Paris-Descartes, ils étaient entre quatre et six à officier dans des conditions particulièrement sordides, un univers potentiellement propice à la violence et à la folie. Jusqu’à récemment, il n’était pas rare de les voir fumer dans la cour, vêtus de leurs grands tabliers tâchés de sang.
Un ancien responsable nous avait prévenus : "Les préparateurs qui démembrent les corps, c’est Zola. Comment peut-on demander à des gens de découper des cadavres pendant toute une vie ?"