Le 12 mai 2023 à 22:37:53 :
Ton hygiène déplorable
Faut changer de caleçon khey
à chaque huitaine
une urétrite exactement
on m'explique ?
jeune et flexeur
et non pas genuflexeur
je ne suis pas cap de ne pas cap
ce mec je peux pas fuck avec
par ce qu'il ne porte pas les bonnes brand
il est en retard de 2 trends
je pop une pill puis
j'effectue un money mouvement
les fachos veulent que je retourne en kabylie
moi je suis cool ici
je fais des tours dans la city avec la xantia!
à l'ancienne je faisais des tours de tram
je m'en bas les couilles de passer pour un clown
tant que j'ai fait rire mon pote
je traine sur un forum et je traine sur quatre channel
je suis juste un petit étudiant qui porte du créateur
et qui rock comme johnny
je stack les dividendes pour la family
tu portes des sapes de skater mais t’as jamais skater t’es un larper
j’ai enhance la plugg music
j’suis un topliner
ce rebeux est une pussy il veski tous les tetes
j'en place une pour tous mes slimes
shawty est ce que tu veux surfer sur la vague scélérate ?
j'en place aucune pour tous mes snakes
t'es un faux n*gro
comme françois de negroni
je veux des stickers à mon effigie
je met une paire de hoka puis je pull on un petit cavempt enfin je steppin
si tu diffames c'est que tu loose
moi t'es fool jamais je diffame!
alors les bros ??? soyez indulgent je débute
vous pourrez valider le nofake céans
ça marche ? je score là ?
subhanallah, les exhalaisons de pieds fermentés à l’entrée où les dévots déposent leurs chaussures
contempler cette antichambre du paradis où les babouches et les baskets reposent comme des centaines de merveilles entassées, sentir, voltigeant dans l’espace, l’odeur d’un essaim d’orteils et d’ambre, un amalgame de sueur humide et rance, comme une tempête de sables sur les sens
en profiter pour, chastement, en affleurer une, jusqu’à lui tendre maladroitement un baiser
viens la salle de prière où tout le monde, assis en tailleur, écoute le saint prêche de l’imam
moi, mon âme est trop transit de la vue de ces majestueuses colonnes de feets en rangées parfaites
tout le monde est pieds nus comme dans un rêve, et moi je suis en état d’éjaculation permanente sur ce tapis que tant de pieds ont foulés, je le malaxe de ma main comme si j’arrachais l’herbe d’un pré ou que j’effleurais l’onde d’une rivière, tentant de me rassurer à chaque instant que tout ça est réel
enfin vient l’Adhan, tout le monde se joint pour exécuter la prière, un silence pieux précède le moment où l’imam commence la sourate Al Fatiha et dans l’air toujours cet encens de pieds pénètre mes sens
la sunnah veut que l’on se colle les orteils entre nous durant la prière, ceci afin d’éviter que le sheytan ne se faufile entre nous, je trouve cette coutume à la fois belle et étrange
puis vient le moment parfait de la prosternation
à ce moment je jouis de la vue des feets du frère en face de moi, je les vois pliés sous son train, je discerne les stries de sa plante, les croûtes de ses talons, et mon regard s’étiole à mesure de chaque détails
j’ai trop de mal à maintenir mon front contre le sol comme je le devrais face à cette vision sublime d’un univers réduit dans une chose
il reste encore 2 rakhat, et pour 2 fois j’essaye d’effacer la distance qui me sépare des feets d’en face par la pensée
sonné, à la fin où l’imam prononce la fin de la prière par deux « salamu alaykoum rahmatulah wa barakutu » successifs, je me rend compte comme si j’étais victime d’une absence, que tout ça est fini, je rentre chez moi reprendre mon existence prosaïque, langoureusement, l’air pensif, et je remercie le Très Haut pour cet agape de feets
subhanallah, les exhalaisons de pieds fermentés à l’entrée où les dévots déposent leurs chaussures
contempler cette antichambre du paradis où les babouches et les baskets reposent comme des centaines de merveilles entassées, sentir, voltigeant dans l’espace, l’odeur d’un essaim d’orteils et d’ambre, un amalgame de sueur humide et rance, comme une tempête de sables sur les sens
en profiter pour, chastement, en affleurer une, jusqu’à lui tendre maladroitement un baiser
viens la salle de prière où tout le monde, assis en tailleur, écoute le saint prêche de l’imam
moi, mon âme est trop transit de la vue de ces majestueuses colonnes de feets en rangées parfaites
tout le monde est pieds nus comme dans un rêve, et moi je suis en état d’éjaculation permanente sur ce tapis que tant de pieds ont foulés, je le malaxe de ma main comme si j’arrachais l’herbe d’un pré ou que j’effleurais l’onde d’une rivière, tentant de me rassurer à chaque instant que tout ça est réel
enfin vient l’Adhan, tout le monde se joint pour exécuter la prière, un silence pieux précède le moment où l’imam commence la sourate Al Fatiha et dans l’air toujours cet encens de pieds pénètre mes sens
la sunnah veut que l’on se colle les orteils entre nous durant la prière, ceci afin d’éviter que le sheytan ne se faufile entre nous, je trouve cette coutume à la fois belle et étrange
puis vient le moment parfait de la prosternation
à ce moment je jouis de la vue des feets du frère en face de moi, je les vois pliés sous son train, je discerne les stries de sa plante, les croûtes de ses talons, et mon regard s’étiole à mesure de chaque détails
j’ai trop de mal à maintenir mon front contre le sol comme je le devrais face à cette vision sublime d’un univers réduit dans une chose
il reste encore 2 rakhat, et pour 2 fois j’essaye d’effacer la distance qui me sépare des feets d’en face par la pensée
sonné, à la fin où l’imam prononce la fin de la prière par deux « salamu alaykoum rahmatulah wa barakutu » successifs, je me rend compte comme si j’étais victime d’une absence, que tout ça est fini, je rentre chez moi reprendre mon existence prosaïque, langoureusement, l’air pensif, et je remercie le Très Haut pour cet agape de feets
subhanallah, les exhalaisons de pieds fermentés à l’entrée où tout le monde dépose ses chaussures
observer cette antichambre du paradis où les babouches et les baskets reposent comme des centaines de trésors abandonnés, embaumant l’espace du musc encore frais des orteils poisseux, un amalgame de sueur humide et rance, comme une tempête de sables sur les sens
en profiter pour, discrètement, en affleurer une
viens la salle de prière où tout le monde, assis en tailleur, écoute le prêche de l’imam
moi je suis trop accaparé pour tous ces feets en rangées parfaites, tout le monde est pieds nu comme dans un rêve, moi je suis en état d’éjaculation permanente sur ce tapis que tant de pieds ont foulés, je l’agrippe de ma main comme si j’arrachais l’herbe d’un pré ou que j’effleurais l’onde d’une rivière, je tente de me rassurer que tout cela est réel
vient l’adhan, tout le monde se joint pour exécuter la prière, un silence précède le moment où l’imam commence la sourate al fatiha
la sunnah veut que l’on se colle les orteils entre nous durant la prière, ceci afin d’éviter que le sheytan ne se faufile entre nous, je trouve cette coutume à la fois belle et étrange
puis vient le moment parfait de la prosternation
à ce moment je jouis de la vue des feets du frère en face de moi, pliés sous son train, je discerne les stries de sa plante, les croûtes de ses talons
j’ai trop de mal à maintenir mes yeux contre le sol comme je le devrais face à cette vision sublime
il reste encore 3 rakhat, et pour 3 fois j’essaye d’effacer la distance qui me sépare des feets d’en face par la pensée
sonné, à la fin où l’imam prononce la fin de la prière par deux « salamu alaykoum rahmatulah wa barakutu » successifs, je me rend compte que tout ça est fini, je rentre chez moi reprendre mon existence prosaïque, langoureusement, l’air pensif, et je remercie le Très Haut pour cet agape de feets
on va bien s'amuser , mina san
je dissimule toujours mon drapax avec ma couettard parce qu'absolument toutes les traces de fluide qu'on trouverait présentes dessus c'est en fait rien que mon cash
sauf que ma couettard blanche aussi commence à virer au dégradé jaunâtre à cause du cash que je crache dare-dare sans vergogne sur une base de 4 itération par jourax minimoum's
en sus, il reste un truc qui a échappax à ma jugeote, le CASH séché présentement contenu dans mon caleçon que je lui donne à laver chaque semaine, il est évident que la ronnedax a déjà établi la causlitax entre mes frocards imbibés d'une substance louche et l'idée de mon cash, je vous dis pas le malaisax qui s'accapare de moi là les igos
ces fameuses variables si particulières, véritables artefacts de la programmation informatique, utilisées notamment dans le langage C
ici on discute adressage indirect et tout ce qui gravite autour, donc take a sit bro, install gentoo, et cetera
pas de grabuge type diffamation ici svp, c'est l'esprit coubertin
oui j'ai vu ça, c'est la grossesse, d'ailleurs cette chienne de guerre continuait les vidéos encore enceinte
triste réalité
Le 05 mai 2022 à 05:59:36 :
Les daronnax lèche le cash du slibard de leurs progénituraxes en s'credax quand personne les regardax mon amiNot readax
oh si moi je regardax mon igo, not readax cependant
je dissimule toujours mon drapax avec ma couettard parce qu'absolument toutes les traces de fluide qu'on trouverait présentes dessus c'est en fait rien que mon cash
sauf que ma couettard blanche aussi commence à virer au dégradé jaunâtre à cause du cash que je crache dare-dare sans vergogne sur une base de 4 itération par jourax minimoum's
en sus, il reste un truc qui a échappax à ma jugeote, le CASH séché présentement contenu dans mon caleçon que je lui donne à laver chaque semaine, il est évident que la ronnedax a déjà établi la causlitax entre mes frocards imbibés d'une substance louche et l'idée de mon cash, je vous dis pas le malaisax qui s'accapare de moi là les igos