Quand cela devient bien plus qu'un délirehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/17/1493438414-oyooofisher.pngL'alcool ce n’est pas bien les Kheys, nom de dieu je me dégoûtehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/17/1493438414-oyooofisher.pngEn plus, y'a eu eye contact et les boules ont touchéeshttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/17/1493438414-oyooofisher.pngEt ce salopard ne s'était pas lavéhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/17/1493438414-oyooofisher.png
Sans rire. J'enculais ma femme sans ambages, tout se passait bien, à part une légère remontée d'effluves mais rien de grave. Je bourrinais de plus en plus fort, elle aimait ça la roulure. Puis au moment de juter, j'étais complètement dans son cul, le pénis enfoncé au max du max afin de bien retapisser le fond et lui pousser le repas de la veille comme il faut. J'avais les couilles pleines. Mais malheureusement j'ai dû trifouiller un peu trop loin car j'ai senti les vibrations de son bide remonter jusque dans son cul, puis est arrivée une énorme et compacte bulle de méthane. J'étais complètement dans son cul et la peau de mes couilles recouvrait son trou de balle, ce qui fermait le tout hermétiquement. Je n'étais pas bien, j'ai senti mon sexe chauffer sous l'impulsion du pet et la pression s'accroître de mal en pis. Et là, le drame. Le gaz flatulique était si puissant que je fus projeté en arrière sous un son assourdissant. La puissance de celui-ci m'a également renvoyé tout mon sperme dans la gueule. Je suis resté immobile quelque secondes avec devant moi le trou du cul de ma femme complètement dilaté qui faisait des petites bulles de sperme sous l'effet des restes de gaz qui continuaient de sortir. Je suis allé vomir et me rincer tout de suite après. Ma femme est restée prostrée la tête dans l'oreiller. Elle prend sa douche et j'ai l'impression de pouvoir encore sentir l'odeur de sperme au prout juste sous mon nez
Des questions ? Avant que quelqu’un dise « gros cuck », alors pas du tout, ça ne dérange absolument pas ma copine que quelqu'un d'autre qu'elle m'enculehttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/10/3/1551884377-snapchat013859.jpg
Et attendre qu'un juilletiste ou un aoûtien aille déféquer dans un buisson ou entre la broussaille, et se faire plaisir avec cette merveille. Vivement la saison estivale, j'ai hâte, mon dernier coup c'était une batave qui avait fait une grosse flaque de pisse, et avait laissé un morceau de sopalin imbibé de pisse, je l'ai pris et je l'ai aspiré à plein poumon, j'avais dès lors une gorgée de pisse dans la bouche. Je suis là pour nettoyer la nature en gobant le tas de bouse des femmes, et ça ne fait de mal à personne. Je sais qu'il y a des toilettes sur les aires d'autoroute, et lécher la cuvette d’une femme après qu’elle soit allée aux toilettes, on l’a tous fait. Et même, pourquoi se contenter de lécher ses toilettes alors qu'on peut devenir ses toilettes ?
Patrice Graff, rappeur guitariste et éleveur de porc bordelais du Pays Basque, reçu par Jesus Quintero dans le célèbre programme Ratones Coloraos sur Canal Sur Andalucia https://youtu.be/ihKacqt543I Il lâche un 1er flow https://youtu.be/ihKacqt543I?t=94 Puis un 2e flow en coupant du jambon https://youtu.be/ihKacqt543I?t=174 Patrice Graff, nom de scène El Tito, s’est fait connaître en France notamment avec son tube « La casquette en plomb », où il reprend les rythmes traditionnels de Lebrija, un village près de Séville, d'où sa rencontre avec Jesus Quintero &feature=youtu.be
Incroyable. Deux belles fesses d'une presque MILF. Un de ces fessiers mes Kheys. Je vous le jure, c'était deux fesses fabriquées dans les forges d’Héphaïstos lui-même. Je promenais tout simplement mon chihuahua au parc près de chez moi, lorsque je fus happé par ces deux belles fesses. Je fus si choqué que j'ai shooté mon chien par un coup de pied aussi rapide qu'Usain Bolt. Mon pauvre chien s'est envolé dans le pommier, s'est agrippé à une branche et a commencé à niquer une branche car, lui-aussi bandait comme un buffle tunisien face à ce chef d'œuvre. La vue de ce fessier me chauffa tellement que mes testicules devinrent lourds, très lourds. Si lourds que lorsque je marchais, ils se balançaient lourdement et faisaient ce bruit si commun des cloches aux colliers des vaches. Mon pénis, lui, était toute veineux. Comme un chanteur d’opéra, forçant énormément sur sa voix, devenant si rouge et laissant apparaître toutes les veines présentent sur son front. Il était à deux doigts d'éclater. Mes amis, ce cul. Je fus tellement choqué et excité que j'en ai perdu toute la force de mes muscles. À un tel point que mes sphincters se sont relâchés, laissant couler un liquide chaud et agréable, semblable aux eaux du Nil. Je n'en puis plus. Ma respiration ressemblait à celle d'un bison en rut, traînant sa longue queue sur le sable afin de créer un petit chemin, la sueur coulait tellement de mon front qu'elle atterri dans ma bouche, me retrouvant presque noyé par ma propre excitation