Le 18 février 2022 à 00:03:52 :
Photo de ta carte comme preuve ?
Intérêt d'avoir une carte en 2022?
Le 18 février 2022 à 00:03:16 :
Tu regrettes de pas être celui invité à l'aligot ?
Oui
L’Ehpad des Tourelles hébergeait des mineurs isolés. Mais des violences au sein de la structure ont conduit le CCAS de Toulouse, propriétaire des lieux à mettre fin à l’expérience.
Depuis deux ans, l’ancien Ehpad des Tourelles, à Toulouse, héberge des mineurs isolés. Un dispositif expérimental mis en place dans ces locaux appartenant au Centre communal d’actions sociales, soutenu par la mairie et diverses associations et collectifs qui viennent en aide à ces jeunes dont la minorité n’est pas reconnue par le Conseil départemental, et qui sont, de ce fait, exclus des dispositifs de protection de l’enfance.
De son côté, le CCAS explique que la décision de mettre fin à l’expérimentation menée aux Tourelles est notamment justifiée par le comportement de certains jeunes hébergés sur place. Dans son courrier, la directrice générale du CCAS indique ainsi que les cadres mis en place pour cette expérimentation ont « été régulièrement malmenés » évoquant « plusieurs événements d’une grave violence« .
« Plusieurs exclusions ont été menées suite à des incidents très violents et un renfort en gardiennage les soirs, nuits et les week-ends a été mis en place, détaille Nadège Grille. Le climat ne s’est pour autant pas apaisé, conduisant même la grande majorité des jeunes hébergés à refuser avec un comportement agressif de se faire recenser le 12 janvier 2022 par les équipes d’intervenants sociaux. »
Le 18 février 2022 à 00:05:07 :
Il a pas eu de chance.
Un sentiment d'assassinat...
La cour d’assises des mineurs de Haute-Garonne juge toute cette semaine, du 14 au 18 février, une affaire d’une rare violence. Quatre hommes, dont un qui n’avait que 17 ans au moment des faits, sont accusés d’avoir assassiné un sexagénaire en le jetant dans la Garonne du haut du pont d’Empalot. Les faits remontent au mois de juillet 2018. La victime s’est semble-t-il retrouvée au mauvais endroit au mauvais moment.
Des violences comparables à celles du film Orange mécanique
Cette nuit du 17 juillet 2018, la victime, 61 ans décide de la passer dans sa voiture à Toulouse sur le parking de la piscine Nakache. L’homme est réveillé par ses quatre agresseurs qui le frappent, l’emmènent avec eux jusqu’à un distributeur, retirent deux fois 100 euros puis le jettent dans la Garonne en le passant par dessus la rambarde du haut pont d’Empalot sur la rocade.
L’un d’entre eux aurait dit : “Et s’il nous reconnaissait et s’il portait plainte ?”
Juste avant de commettre l’irréparable, les quatre agresseurs auraient passé deux heures dans différents quartiers de Toulouse, pont des Catalans, avenue de Muret, l’un à vélo les 3 autres à pied, à s’en prendre à des passants qu’ils ne connaissent pas pour leur dérober cartes bancaires et téléphones portables. Rien ne semblait pouvoir les arrêter. Plusieurs acteurs du dossier parlent d’équipée sauvage et de scénario façon Orange mécanique où la violence frappe au hasard.
L’expression est sans doute galvaudée mais c’est bien un témoignage exceptionnel que la cour d’assises a entendu mercredi, au troisième jour du procès de l’attentat de Saint-Étienne-du-Rouvray, le 26 juillet 2016. Nicole Klein, préfète de la région Normandie au moment des faits, est venue à la barre, en personne et sans protection, à la demande de Mgr Lebrun, archevêque de Rouen et partie civile.
En réponse à une question de l’avocate générale, elle précise : « En réunion de sécurité, quand on a appris que le juge pensait que Kermiche était, si je puis dire, sur la voie de la rédemption, on n’y a pas cru une seconde. »
(…) Enfin, la préfète honoraire lâche : « Je me souviens aussi des klaxons de réjouissance le soir de l’attentat à Saint-Étienne. Suffisamment limités pour que certains disent que cela n’a pas existé. Mais, très minoritaire, c’est une réalité. »
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/pere-hamel-le-temoignage-choc-d-une-prefete-20220216
C’est bientôt la fin pour « Plus belle la vie ». Après 17 ans d’existence, la série française emblématique diffusée sur France 3 et produite par Newen (filiale de production du groupe TF1), va définitivement s’arrêter, selon « Le Figaro ». Le feuilleton quotidien se terminera pour de bon à la fin de cette dernière saison.
Depuis quelques années, l’audience était de moins en moins au rendez-vous. La série plafonne en dessous des 2,5 millions de téléspectateurs et une part inférieure à 10 % d’audience. Pourtant, « Plus belle la vie » a longtemps été une série très regardée, faisant figure de poids lourds des programmes de France 3. Entre 2006 et 2014, plus de 5 millions de personnes suivaient quotidiennement les aventures des habitants du Mistral, un quartier imaginaire de Marseille. La chaîne avait même enregistré des pics à 6,8 millions de spectateurs certains soirs.
Lundi soir, dans le Petit Bayonne, un couple a été agressé par deux hommes, pour une histoire de cigarettes. L’homme a été blessé par des coups de couteau. Les deux mis en cause seront jugés ce jeudi 17 février
Lundi 14 février, aux alentours de 23 heures, alors qu’il sortait d’un bar, dans le quartier du Petit-Bayonne, un jeune couple a été agressé par deux hommes, manifestement très alcoolisés. Les deux hommes, en situation irrégulière, s’étaient approchés du couple pour leur demander des cigarettes, qu’ils n’ont pas eu.
Le ton est alors monté et la situation a dégénéré jusqu’à ce que l’un des deux agresseurs présumés, un Algérien de 26 ans, sorte un couteau et frappe l’homme du couple avec. Sa compagne, elle, a chuté au sol, mais n’a pas reçu de coups.
(…) Les blessures heureusement superficielles ont causé un seul jour d’ITT (incapacité totale de travail) à la victime. (…)
Sud Ouest
(…) La victime a reçu d’abord des coups de poing puis des coups de couteau au bras et à la tête.
France Bleu
Alors qu’un jeune couple rentrait de leur soirée de Saint Valentin, lundi 14 février 2022 deux individus leur ont demandé une cigarette dans la rue à Bayonne. Suite à leur refus les deux hommes les ont violemment agressés.
Mourad, 39 ans, a écopé d’une peine de quinze mois de prison ferme, mercredi 16 février 2022. Il est l’un des visages du trio qui a sévi au printemps 2018 entre Tours-Nord et Joué-lès-Tours.
Un vol de 27.000 € au Pont-Volant
(…) Mais en mettant la main sur lui, lundi, ce sont deux dossiers de cambriolage que les enquêteurs sont parvenus à boucler. Des faits remontant au printemps 2018, quand un trio de malfaiteurs s’était abattu avec fracas sur deux commerces.
Entrée forcée à l’aide d’une pioche, razzia sans gants sous le regard des caméras de vidéosurveillance… Et un butin de près de 27.000 € de cartouches de cigarettes et de jeux à gratter, emporté en quittant le Bar des Amis, au Pont-Volant, à Joué-lès-Tours.
Un peu moins de 700 € avaient été puisés dans les caisses de la boulangerie Proust, un mois plus tôt, à Tours-Nord.
(…) Les deux fois, ses empreintes permettent de l’identifier. En situation irrégulière, sans domicile fixe, Mourad se fait discret. Jusqu’à l’ultime tentative, lundi.
(…) À chacun des vols – trois condamnations pour des faits similaires à son casier judiciaire – Mourad convoque l’excuse de l’ivresse.
(…) Déjà sous le coup d’une obligation de quitter le territoire, le trentenaire devrait être expulsé en même temps qu’il libérera sa cellule de la rue Henri-Martin.
Des habitants du quartier du Monteil à Pessac, près de Bordeaux, se mobilisent après avoir appris l’existence d’un projet de construction d’un Centre de rétention administrative (CRA) en bordure de leur zone pavillonnaire
La patate chaude pourrait vite devenir incandescente, surtout en période électorale. Les habitants du quartier du Monteil, à Pessac, dans la banlieue de Bordeaux, ont appris il y a quelques jours l’existence d’un projet de Centre de Rétention Administrative (CRA) en bordure de leur zone pavillonnaire, d’ici à 2024. La préfecture a lancé les premiers marchés publics pour la réalisation de l’infrastructure, d’un montant d’environ 20 millions d’euros. (…)
« La mobilisation est très forte »
La nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre dans le quartier, dont les habitants se sont mobilisés en un temps record. Une première manifestation a eu lieu mardi, et une réunion publique est organisée ce lundi en vue de monter un collectif. « Le quartier du Monteil c’est 6.000 habitants, dont 3.000 rien que sur ce secteur, prévient Jean-Claude Juzan, président du comité de défense et des fêtes des quartiers du Monteil. Et la mobilisation est très forte. »
Pas une démarche « politique »
Si les CRA font régulièrement l’objet de critiques concernant les conditions de rétention des étrangers qui y sont maintenus, les habitants ne souhaitent pas se positionner dans ce débat, précisant que leur mouvement « n’est pas politique ». Ils s’élèvent contre un projet « qui n’a rien à faire dans un secteur pavillonnaire ». Le bâtiment principal serait installé en bordure du lotissement Monbalon 1, et le parking en bordure des pavillons du lotissement Village de Madran.
« Pour nous, poursuit Jean-Claude Juzan, c’est inadmissible par rapport aux nuisances que cela va engendrer, notamment la destruction d’un petit bois pour en faire un parking, la bétonisation des sols, et par répercussion le volume de véhicules dans ce secteur, sans parler du bruit. Pourquoi ne le fait-on pas aux abords de l’aéroport, ce qui est le cas généralement pour les autres CRA ? Il y a une vraie crainte de la part des résidents de subir une dévalorisation de leurs biens. »
“Pour éviter la victoire de l’extrême-droite, la Présidente de la République a seulement trois jours pour changer le cours de l’Histoire”
LE MONDE D’HIER de Diastème, avec Léa Drucker et Denis Podalydès et Alban Lenoir.
6 ans après Juillet Août, Diastème revient à la réalisation avec le thriller politique Le Monde d’hier dans lequel il dirige Léa Drucker, Denis Podalydès, Benjamin Biolay et Alban Lenoir, qu’il retrouve après Un Français (2014).
Alors qu’elle s’apprête à quitter la vie politique, Elisabeth de Raincy (Drucker), Présidente de la République, découvre qu’un scandale va éclabousser son successeur désigné et donner la victoire au candidat d’extrême-droite. Elle et son équipe ont trois jours pour changer le cours de l’Histoire.
Co-écrit par Diastème, Fabrice Lhomme, Gérard Davet et Christophe Honoré, le film évoque la montée de l’extrême-droite en France. Ce qui était déjà le cas dans Un Français, sauf qu’ici le long-métrage montre le point de vue de la politique et des institutions.
Le metteur en scène explique à ce sujet* : “Le problème n’a malheureusement fait qu’empirer depuis 2015, non seulement en France mais partout dans le monde. C’est évidemment un sujet qui me préoccupe. Quelque temps après l’élection d’Emmanuel Macron, après avoir vu ce qui s’était passé autour de la candidature de François Fillon, je n’ai pas pu m’empêcher de me dire : et si une histoire de ce genre, plus grave peut-être, était arrivée à Macron entre les deux tours, que ce serait-il passé ?
Dans le même temps, il y a eu Trump, Bolsonaro, la Turquie, la Hongrie, la Pologne, Salvini en Italie. Je ne me voyais pas écrire sur autre chose… Un Français a été le premier film à parler de l’extrême-droite d’aujourd’hui, de manière frontale, et je crois qu’il n’y en a eu qu’un depuis : Chez nous de Lucas Belvaux. C’est surprenant car c’est à mon sens le plus gros problème de notre société à court terme.“
Également porté par Jacques Weber, Thierry Godard et Emma De Caunes que le cinéaste retrouve après Le bruit des gens autour, Le Monde d’hier sort dans nos salles le 30 mars prochain, soit 11 jours avant le 1er tour des élections présidentielles…
https://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18707090.html
Immigration: Mélenchon annonce qu’il commencera par une opération de régularisation de sans-papiers s’il est élu
Romain Patoux ne cache pas ses intentions de vote. À 33 ans ce père de famille qui réside à Gap entend voter pour Éric Zemmour à cette élection présidentielle. Il ne comprend pas comment Mélenchon ne parle pas la sécurité et de l’immigration alors que, selon lui, c’est un sujet crucial aujourd’hui.
Une position que ne partage pas le candidat insoumis qui a d’ailleurs annoncé une mesure qu’il entend mettre rapidement en oeuvre s’il est élu: “je commencerai par une opération de régularisation des sans papiers”.