Messages de Gloubilax

Le 30 septembre 2024 à 11:16:22 :

Le 30 septembre 2024 à 11:07:07 :
Oui mais t'attends pas être une machine de guerre à part si t'es pdc -10 et ancien footeux pendant 15ans. Sinon soit progressif sinon c'est la blessure

je suis pdc -10 et j'ai fait de la boxe pendant 11 ans, le problème c'est que je fume et plus aucun sport depuis 5 ans ahi

Tu vas rentrer tes 8km sans difficulté au bout de 3 semaines.

1) ton "entreprise" n'en est probablement pas une
2) les "graphistes" qui accepteraient ça ne sont probablement pas graphistes non plus

Donc ne pas payer quelqu'un qui va te chier une bouse pour ton projet qui ne durera pas, c'est pas très cool mais c'est pas très grave.

Le 02 septembre 2024 à 10:26:04 :

Le 02 septembre 2024 à 10:14:45 :
Première crise de goutte vers 19 ans. Deuxième vers 20 ans. Des crises énormes qui m'immobilisaient pendant 10 jours avant de pouvoir enfiler une chaussure.

Ensuite ça s'est rapproché de plus en plus jusqu'à devenir quasi-chronique autour de la trentaine : enchaîner deux apéros, manger sans m'en rendre compte 2/3 aliments vac des purines dans la semaine (petit pois, viandes), ou simplement porter des chaussures un peu serrées... tout pouvait déclencher une crise énorme qui allait durer entre 5 et 20 jours.

Très mal conseillé par les médécins, j'avais pris l'habitude de gober de la colchicine lors des cirses. Ce qui fonctionne pas trop mal (surtout au début) mais comme c'est giga toxique, au bout de 3/4 jours c'est insupportable (diarrhée atroce, etc). Donc je jonglais avec des anti-inflammatoire. Tout en ayant une vie assez merdique, toujours à craindre le début d'une prochaine crise.

Jusqu'au jour où j'ai failli crever à force de médoc, ulcère médicamenteux et compagnie.

A partir de là on m'a (enfin) poussé vers l'allopurinol. Résultat incroyable. Après quelques semaines d'adaptation, fini les crises. Je peux manger TOUT ce que je veux, faire des excès ponctuellement, aucun symptômes de goute. Alors y'a 2/3 effets secondaires (l'allopurinol me file quotidiennement une petite chiasse), mais la balance est ultra-positive.

Et il s'est même produit un truc de dingue : j'ai "guérie" avec le temps, dans le sens où j'ai récupéré une énorme marge de manœuvre même sans allopurinol. Après 2 ans de traitement, j'ai commencé à l'oublier ponctuellement. Et maintenant je peux me passer pendant 15 jours tout en faisant plein d'écarts de régime sans avoir le moindre signe d'une hausse de mon acide urique.

Bilan : si la goutte revient régulièrement, go allopurinol direct avec le plus petit dosage.

(nb : et si c'est chronique, ne compte pas sur un "régime" anti-goutte >> c'est intenable, et ça ne marche que très moyennement)

Yes, la première fois, je ne savais pas ce que c'était, impossible de me déplacer pendant une semaine.
Mon médecin me prescrit de la colchicine pendant la crise et l'allopurinol après la crise. Lorsqu'une goutte démarre, prendre de l'allopurinol n'améliore pas l'état alors que prendre de la colchicine, oui.

Yes, j'ai également les effets secondaires de la diarrhée mais ça va, ça me gène pas. Qu'est-ce que t'entends par régime anti-goutte, éviter les produits riches en purines ?

T'arrives à faire du sport ? J'ai repris la course à pied et j'ai l'impression que ça peut être un élément déclencheur.

L'allopurinol ça fait 1 an que j'en prends mais bon, ça m'empêche pas d'avoir des crises.

Je suis encore obèse, j'espère que ça prendra fin ou que ça resurgira que très rarement une fois un IMC normal.

Okay, alors si t'es déjà sous allopurinol et que ça fonctionne pas, c'est un peu plus la merde. T'as essayé d'ajuster le dosage avec ton médecin ?

Pour ma part j'ai pas de problème d'obésité donc je peux pas témoigner avec ce facteur en plus. Ma goutte venait vraiment d'une prédisposition génétique, dans le sens où je produisait énormément d'acide urique même sans gros écart.

Pour le régime anti-goutte, dans ton cas c'est peut-être pas mal en complément (au moins pour le moment). Et oui, je parle d'éviter tout ce qui contient des purines / levures / etc. Donc la liste est longue, ne fait pas forcément consensus, et n'est pas évidente à respecter...

Niveau sport, en dehors des crises j'ai jamais eu trop de problème (mais je suis pas obèse ceci dit). J'ai toujours fait du running sur des sorties longues (1h et plus) sans conséquence. Pour l'escalade, c'était plus compliqué avec les chaussons ultraserrés : j'arrivais pas à enchaîner les séances sans que ça me pousse vers un début de crise à l'époque. Aujourd'hui encore je les supporte pas bien longtemps, même si ça enclenche pas de crise, ça devient douloureux sur l'articulation après 30min. Mais je pense que c'est les crises à répétition pendant 10 ans qui m'ont bouffées l'articulation, et pas un problème de cristaux dorénavant.

Première crise de goutte vers 19 ans. Deuxième vers 20 ans. Des crises énormes qui m'immobilisaient pendant 10 jours avant de pouvoir enfiler une chaussure.

Ensuite ça s'est rapproché de plus en plus jusqu'à devenir quasi-chronique autour de la trentaine : enchaîner deux apéros, manger sans m'en rendre compte 2/3 aliments vac des purines dans la semaine (petit pois, viandes), ou simplement porter des chaussures un peu serrées... tout pouvait déclencher une crise énorme qui allait durer entre 5 et 20 jours.

Très mal conseillé par les médécins, j'avais pris l'habitude de gober de la colchicine lors des cirses. Ce qui fonctionne pas trop mal (surtout au début) mais comme c'est giga toxique, au bout de 3/4 jours c'est insupportable (diarrhée atroce, etc). Donc je jonglais avec des anti-inflammatoire. Tout en ayant une vie assez merdique, toujours à craindre le début d'une prochaine crise.

Jusqu'au jour où j'ai failli crever à force de médoc, ulcère médicamenteux et compagnie.

A partir de là on m'a (enfin) poussé vers l'allopurinol. Résultat incroyable. Après quelques semaines d'adaptation, fini les crises. Je peux manger TOUT ce que je veux, faire des excès ponctuellement, aucun symptômes de goute. Alors y'a 2/3 effets secondaires (l'allopurinol me file quotidiennement une petite chiasse), mais la balance est ultra-positive.

Et il s'est même produit un truc de dingue : j'ai "guérie" avec le temps, dans le sens où j'ai récupéré une énorme marge de manœuvre même sans allopurinol. Après 2 ans de traitement, j'ai commencé à l'oublier ponctuellement. Et maintenant je peux me passer pendant 15 jours tout en faisant plein d'écarts de régime sans avoir le moindre signe d'une hausse de mon acide urique.

Bilan : si la goutte revient régulièrement, go allopurinol direct avec le plus petit dosage.

(nb : et si c'est chronique, ne compte pas sur un "régime" anti-goutte >> c'est intenable, et ça ne marche que très moyennement)

Après sortir solo c'est aussi un moyen de désescalader sans pour autant faire la victime. En mode "j'ai du monde avec moi, j'ai pas peur, et regarde trkil je sors solo te dire de pas faire le fou, donc saisis la perche".

J'aurai pu faire ça avec un pote qui est un gars sûr, en sachant qu'il va sortir si ça déarape.

Le 01 juillet 2024 à 15:32:25 :
Pour répondre au khey entrepreneur :

Il existe des milliards d'euros d'aide aux grandes entreprises qui servent uniquement à gonfler les poches des actionnaires dont devraient bénéficier les PME notamment

Tous ceux de mon entourage, dont mon frère, qui ont une boîte ont voté Macron pensant que c'était le messie pour eux

Ils ont rapidement déchanté quand ils comprit l'énorme quenelle qu'ils prenaient, eux encore plus que tous les autres

Bref, de l'argent il y en a et beaucoup. C'est la répartition comme souvent qui pose problème. Faudrait pas qu'on arrive à sortir de nos conditions de gueux comme ça non plus

Je suis d'accord sur la quenelle, perso je me suis bien abstenu de lui donner mon vote au Manu.

En revanche je suis dubitatif sur le ruissèlement entre les aides aux grandes entreprises qu'on "subtiliseraient" et ma PME. ou bien c'est un processus qui va prendre un temps de dingue, contrairement à l'impact de la hausse du smic.

Enfin sur le principe je demande qu'à voir. Si ça fonctionne c'est tant mieux, perso chaque mois quand je fais les paies je me dis que j'aimerai payer plus tout le monde.

Mais je trouve ça dommage / léger d'annoncer des mesures un peu populiste sur le smic sans dérouler la pelote sur le "comment ça va fonctionner pour nos énorme tissu de PME".

ils auraient tellement à gagner en étant moins démago. En étant chef d'entreprise d'une PME, tu sais jamais trop si on te compte dans le peuple à sauver ou dans celui qui est sacrifiable.

Le 01 juillet 2024 à 15:24:21 :

Le 01 juillet 2024 à 15:17:17 Gloubilax a écrit :
Moi j'ai une vrai question pour les jean-économiste.

Je dirige une PME de 20 salariés qui tourne plutôt bien même si c'est pas l'eldorado.

On vend du service à d'autres entreprises. Sur mon marché, je ne peux pas facilement augmenter mes prix. Je peux au mieux espérer 10/20% de hausse d'ici 5 ans. Si je force une augmentation soudaine, je suis sûr à 99% que je perds mes clients (ils iront voir ailleurs, même si c'est pas mieux, par principe).

Mais si le SMIC augmente drastiquement, j'ai l'impression que je serai contraint d'augmenter rapidement et fortement les niveaux de rémunérations de mes équipes (moyenne actuellement à 2K€ net) pour conserver une cohérence par rapport au niveau d'étude, à la sélectivité du job, etc.

Sauf que ma structure de coût ne le permet pas. Si je passe par exemple à 2,5K€ de moyenne du jour au lendemain, c'est dépôt de bilan d'ici moins de ~1 an.

Ou bien je me mets en sous-effectif chronique pour compenser (chose que j'évite depuis toujours). Mais ça ne me semble pas être souhaitable.

Ma question : comment les économistes de gauche imaginent la chose pour les PME ? Comment pourrait-on espérer s'ajuster de manière réaliste à une hausse soudaine du SMIC (et par cascade de tous les salaires) ?

A mon sens, le seul moyen serait d'associer une baisse des charges, au moins pendant une période tampon, afin que la hausse des salaires n'implique pas un surcoût proportionnel. Mais je crois que ce n'est pas au programme ?

Pas de cascade des salaires.

Le SMIC a déjà augmenté et y'a eu 0 cascade

On réduit juste l'écart entre les smicard et les autres.
J'imagine que tu n'embauches pas au SMIC dont ça ne change rien pour toi à part une légère hausse de prix chez certains de tes fournisseurs

Je sais pas si on peut dire ça. J'embauchais autour de 1700/1800 en sortie d'étude il y a ~5 ans quand le smic était à moins de 1200€.

Maintenant je suis à 2K€ en sortie d'étude pour répondre aux attentes des mêmes profils de candidat.

Alors c'est un peu un raccourcie si je dis que les attentes de rémunération ont progressé "à cause" du smic. Y'a corrélation et non pas causalité.

Mais si le smic augmente très vite, j'imagine quand même que dans les recrutements ça va être compliqué de séduire avec ce qui sera devenu un smic amélioré (pour un job qualifié).

D'une part car certains candidats vont préférer un job sans contraintes / sans difficultés s'il n'y a pas de compensation par le niveau de revenus.

D'autre part car j'imagine bien que les grosses boites vont arriver à suivre et augmenter les rémunérations. Côté PME ça sera plus difficile de tenir la cadence. Pourtant je pense sincèrement qu'on est autant si ce n'est plus "utile" à l'économie et à la société que certains de ces grands groupes.

Le 01 juillet 2024 à 15:34:00 :

Le 01 juillet 2024 à 15:17:17 :
Moi j'ai une vrai question pour les jean-économiste.

Je dirige une PME de 20 salariés qui tourne plutôt bien même si c'est pas l'eldorado.

On vend du service à d'autres entreprises. Sur mon marché, je ne peux pas facilement augmenter mes prix. Je peux au mieux espérer 10/20% de hausse d'ici 5 ans. Si je force une augmentation soudaine, je suis sûr à 99% que je perds mes clients (ils iront voir ailleurs, même si c'est pas mieux, par principe).

Mais si le SMIC augmente drastiquement, j'ai l'impression que je serai contraint d'augmenter rapidement et fortement les niveaux de rémunérations de mes équipes (moyenne actuellement à 2K€ net) pour conserver une cohérence par rapport au niveau d'étude, à la sélectivité du job, etc.

Sauf que ma structure de coût ne le permet pas. Si je passe par exemple à 2,5K€ de moyenne du jour au lendemain, c'est dépôt de bilan d'ici moins de ~1 an.

Ou bien je me mets en sous-effectif chronique pour compenser (chose que j'évite depuis toujours). Mais ça ne me semble pas être souhaitable.

Ma question : comment les économistes de gauche imaginent la chose pour les PME ? Comment pourrait-on espérer s'ajuster de manière réaliste à une hausse soudaine du SMIC (et par cascade de tous les salaires) ?

A mon sens, le seul moyen serait d'associer une baisse des charges, au moins pendant une période tampon, afin que la hausse des salaires n'implique pas un surcoût proportionnel. Mais je crois que ce n'est pas au programme ?

Quel secteur d'activité ?
L'idee de base de l'indexation des salaires sur l'inflation est que les entreprises ont tendance à augmenter les salaires quand tout va bien, mais pas quand tout va mal et que c'est justement dans ce cas que les employes ont besoin d'aide. Donc globalement on a un lissement des augmentations salariales où en forte periode de croissance les augmentations sont moindre pour compenser les periodes de decroissance (comme ce qui se passe en Belgique par exemple).
Maintenant dans le cas particulier des PME, premierement l'idee n'est jamais d'augmenter le smic d'un coup mais via un calendrier (typiquement sur 3 semestre)
Ensuite dans les cas vraiment compliqué où il est impossible pour l'entreprise de repercuter en partit l'augmentation sur ses prix, il faut que l'etat participe via comme tu l'as dit une baisse partielle des charges, des subvention etc... Mais c'est tres sectoriel et c'est difficile d'en dire plus

Secteur marketing / tech. Du service web pour les entreprises.

Moi j'ai une vrai question pour les jean-économiste.

Je dirige une PME de 20 salariés qui tourne plutôt bien même si c'est pas l'eldorado.

On vend du service à d'autres entreprises. Sur mon marché, je ne peux pas facilement augmenter mes prix. Je peux au mieux espérer 10/20% de hausse d'ici 5 ans. Si je force une augmentation soudaine, je suis sûr à 99% que je perds mes clients (ils iront voir ailleurs, même si c'est pas mieux, par principe).

Mais si le SMIC augmente drastiquement, j'ai l'impression que je serai contraint d'augmenter rapidement et fortement les niveaux de rémunérations de mes équipes (moyenne actuellement à 2K€ net) pour conserver une cohérence par rapport au niveau d'étude, à la sélectivité du job, etc.

Sauf que ma structure de coût ne le permet pas. Si je passe par exemple à 2,5K€ de moyenne du jour au lendemain, c'est dépôt de bilan d'ici moins de ~1 an.

Ou bien je me mets en sous-effectif chronique pour compenser (chose que j'évite depuis toujours). Mais ça ne me semble pas être souhaitable.

Ma question : comment les économistes de gauche imaginent la chose pour les PME ? Comment pourrait-on espérer s'ajuster de manière réaliste à une hausse soudaine du SMIC (et par cascade de tous les salaires) ?

A mon sens, le seul moyen serait d'associer une baisse des charges, au moins pendant une période tampon, afin que la hausse des salaires n'implique pas un surcoût proportionnel. Mais je crois que ce n'est pas au programme ?

Le 06 juin 2024 à 12:02:29 :
bro faut pas jouer dans la ligue supérieure, t'es un 6 ? tu chope des 6

C'est au mieux un 6 vu la description de l'OP

Les débiles qui rep 50 millions...

Selon le calcul de l'OP, tu les amasses en 6 mois à raison de 2h de marché par jour.

Probablement en 1 mois vu l'exponentielle si tu te fais quelques rando de 6/8h.

Sur une vie, ça sera des milliards sans trop forcer.

A moins de finir paraplégique dans les premières semaines, tu peux pas perdre.

Contexte :

This clip is a short extract from a National Geographic documentary made about 20 years ago. I believe it was called Eternal Enemies. It is an absolutely amazing video.
It really was almost like a thriller movie. The tension between the the lions and the hyenas grew and grew. The pack of hyenas really harassed the pride of lionesses and eventually even attacked them. If I remember correctly there were 2 or 3 male lions, but they were out on the periphery of their territory - marking and protecting it.
This video clip shows what happened after one male lion heard the commotion of the fight between the hyenas and the lionesses. He came storming in from the fringes of the territory. And yes, he did come in with a vengeance, and to make a statement. He went for the matriarg and took her out.
After that the pack of hyenas was in complete disarray and they took months to sort out they hierarchy again, let a matriarg emerge and and get cubs again.