Le 04 avril 2021 à 19:58:15 MrMacarons a écrit :
Le 04 avril 2021 à 19:47:32 SimpsCity3 a écrit :
Le 04 avril 2021 à 18:54:56 MrMacarons a écrit :
Le 04 avril 2021 à 17:25:08 VentureCapital a écrit :
Le 04 avril 2021 à 14:32:08 MrMacarons a écrit :
Perso j'ai mis un point d'honneur à ne jamais poser dans une startup frque de la daube l'Europe et la France sont tellement en retard sur tout
- Les meilleurs esprits qui se barrent et compliqué de trouver des teams god tier en France (pas attirant, trop cher, pas assez flexible,...)
- un marché trop petit (me parlez pas du marché européen svp)
- un capital risque pathétique finance par bcp d'argent public, incapable d'être vraiment early, et qui a un impact incomparable à celui des top VC us qui eux apportent vraiment quelque choseEl famoso impact incomparable des top VC US.
Tant de certitudes.
Bah des certitudes sur ce que j'ai observé depuis des années comme tu as tes certitudes sur ton observation du milieu franco français du capital risque
J'ai investis avec plusieurs et dans plusieurs vc (je suis LP) et que tu le veuilles ou non l'impact d'un a16z est pas le même que l'impact des fonds des secrétaires fr. Demande à tes founders qui ont pu tester les 2
Moi ce que je trouve fascinant c'est qu'un type qui a manifestement gagné 100 millions grâce aux cryptos et qui a des parts dans Stripe passe son temps à shitposter sur un forum de losers
Est-ce-que c'est plus étonnant que le consultant en strat qui bosse environ 70 heures de plus que moi par semaine mais qui trouve le temps de faire de même ?
malheureusement 100 millions aucune chance
Je suis un déchet j'ai le droit, je suis pas LP chez a16z
Le 04 avril 2021 à 14:38:12 AmiduDiable a écrit :
Le 04 avril 2021 à 14:36:31 MorphoRouge a écrit :
Le 04 avril 2021 à 14:25:55 AmiduDiable a écrit :
Le 04 avril 2021 à 14:16:33 MorphoRouge a écrit :
Le 04 avril 2021 à 14:12:37 AmiduDiable a écrit :
Le 04 avril 2021 à 14:08:04 MorphoRouge a écrit :
Le 04 avril 2021 à 14:04:55 AmiduDiable a écrit :
Le 04 avril 2021 à 14:00:19 MorphoRouge a écrit :
Le 04 avril 2021 à 13:57:42 AmiduDiable a écrit :
Le 04 avril 2021 à 13:52:15 MorphoRouge a écrit :
Le 04 avril 2021 à 13:50:46 AmiduDiable a écrit :
Le 04 avril 2021 à 13:44:45 MorphoRouge a écrit :
Le 04 avril 2021 à 13:41:05 AmiduDiable a écrit :
Le 04 avril 2021 à 13:39:43 MorphoRouge a écrit :
Le 04 avril 2021 à 13:38:28 AmiduDiable a écrit :
Le 04 avril 2021 à 13:37:19 MorphoRouge a écrit :
Le 04 avril 2021 à 13:33:14 Philodebar7 a écrit :
Personne ne lira ton bouquin à part ta maman mais courageAucun intérêt de dire ça. S'il bosse vraiment, pas de raison qu'il décroche pas un lectorat.
Le mec n'assume pas. Lorsqu'on lui dit que c'est le même fonctionne qu'un livre-jeu il répond "non mais c'est pas de la fantasy".
Ah mais son égo mal placé, c'est autre chose. D'autant que les LDVH réalistes ça existe.
Le mépris pour la fantasy / l'imaginaire est loin d'être subversif, et il est le plus souvent infondé.
Pour le premier point je suis d'accord, pour le second non. La fantasy c'est quand même globalement très mauvais.
Y a pas plus de bouse en fantasy qu'en littérature réaliste, clairement. On aime bien taper dessus parce que c'est une littérature plutôt jeune (moins actuellement mais au début de la décennie ça l'était) et que ça ne revêt pas le sérieux de la littérature réaliste.
La francophonie regorgent de grands noms (actuels ou en devenir) en fantasy. Thibault Latil-Nicolas, Grégory Da Rosa chez Mnémos pour ne citer que des étoiles montantes.
C'est les facilités d'écriture qui m'exaspèrent surtout, j'ai pas envie de relire systématiquement le même bouquin avec les mêmes poncifs.
La suspension d'incrédulité est, je trouve, bien plus facile à péter dans la littérature réaliste que fantastique.
Je suis pas un gros amateur de fantasy, loin de là. Mais c'est pas le genre que je qualifierais de plus flingué par les facilités scénaristiques.
Arrête de faire des comparaison, évidemment qu'on peut trouver plus mauvais ailleurs.
C'est pas juste ça, que je te dis.
C'est que le genre de la fantasy est loin d'être celui qui souffre le plus d'une écriture médiocre. Les romans de gare, la romance, les récits autobiographiques sont très souvent bien plus mauvais sur le plan du style et de la construction narrative.
De par mon métier, je suis au courant d'à peu près tout ce qui sort en France. Et clairement, c'est pas sur la fantasy que je taperais en premier s'il fallait pointer un genre globalement très mauvais.
En gros t'es en train de me dire qu'en dessous de la fantasy il y a Levy et Musso ? Je veux bien mais ça n'enlève en rien la médiocrité absolue de ce genre.
Non. Joue pas au plus con en m'obligeant à simplifier ça une troisième fois. Tu vaux mieux que ça, j'en suis certain.
Heureusement je n'ai pas un métier qui m'oblige à m'enfoncer dans les abimes de la littérature
Encore une fois, je suis pas un fanboy de ces littératures. Mais faut vraiment jamais en avoir lu pour penser que c'est là que tu trouves la qualité littéraire moyenne la plus abyssale. Ou, si tu veux jouer sur les mots "une des plus abyssales".
Quand j'étais ado on m'a offert le premier tome de la saga "Les Chevaliers d'Émeraude" à un anniversaire. J'en veux encore à la personne qui a fait ça.
Tu cites l'oeuvre par excellence qui brille par son style pourrave et sa narration mal maîtrisée.
Sans oublier que c'est de la littérature ado, en rien représentative du genre. Jette un oeil aux anthos des Imaginales, si tu veux avoir un aperçu de ce qui se fait vraiment dans ces genres.
Tu cites l'oeuvre par excellence qui brille par son style pourrave et sa narration mal maîtrisée.
Épinglée comme telle parce qu'elle a sa petite notoriété. Les autres personne achète donc ça peut pas se savoir.
Cette oeuvre a marché car elle séduisait les ados grâce à du contenu un peu sexy et une surenchère de pouvoirs. C'est typiquement une oeuvre qui fonctionne auprès des 13-15 ans mais dont le lectorat se détourne rapidement, avant même d'avoir fini la/les séries.
Si tu veux de la SFFF francophone qui marche en termes de ventes t'as l'embarras du choix : Bordage, Lhomme, Bry, Jaworski...
S'il suffisait de regarder le top des ventes pour avoir un aperçu cohérent d'un genre donné...
Jaworski je connais un peu, c'est infâme.
Enfin quelqu'un qui s'en rend compte !
Jarowski c'est un type qui écrit des trucs randoms et fait du ctrl c / ctrl v avec des mots techniques du Moyen-Age On se sent intellectuel
Le 04 avril 2021 à 18:54:56 MrMacarons a écrit :
Le 04 avril 2021 à 17:25:08 VentureCapital a écrit :
Le 04 avril 2021 à 14:32:08 MrMacarons a écrit :
Perso j'ai mis un point d'honneur à ne jamais poser dans une startup frque de la daube l'Europe et la France sont tellement en retard sur tout
- Les meilleurs esprits qui se barrent et compliqué de trouver des teams god tier en France (pas attirant, trop cher, pas assez flexible,...)
- un marché trop petit (me parlez pas du marché européen svp)
- un capital risque pathétique finance par bcp d'argent public, incapable d'être vraiment early, et qui a un impact incomparable à celui des top VC us qui eux apportent vraiment quelque choseEl famoso impact incomparable des top VC US.
Tant de certitudes.
Bah des certitudes sur ce que j'ai observé depuis des années comme tu as tes certitudes sur ton observation du milieu franco français du capital risque
J'ai investis avec plusieurs et dans plusieurs vc (je suis LP) et que tu le veuilles ou non l'impact d'un a16z est pas le même que l'impact des fonds des secrétaires fr. Demande à tes founders qui ont pu tester les 2
Moi ce que je trouve fascinant c'est qu'un type qui a manifestement gagné 100 millions grâce aux cryptos et qui a des parts dans Stripe passe son temps à shitposter sur un forum de losers
Le 04 avril 2021 à 13:16:33 ndkjcjknkjsdn a écrit :
Le 03 avril 2021 à 23:13:58 HerrDoktorF a écrit :
Ça peut être plus simple sous forme de jeux vidéo (VIsual Novel)Certes, mais je sais pas coder.
Sur Twine c'est super facile. Comme ca tu pourras le montrer à des studios etc. une fois que ça sera terminé.
Le 04 avril 2021 à 13:21:45 VentureCapital a écrit :
Paris 1er hub de l'UE
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/13/7/1617535291-screenshot-2021-04-04-at-13-20-17.png https://image.noelshack.com/fichiers/2021/13/7/1617535300-screenshot-2021-04-04-at-13-20-52.png
Oui en valeur absolue, pas per capita. Grosso modo c'est comme l'Allemagne la France, sauf que l'Allemagne fait plus de seed.
Le 04 avril 2021 à 13:16:58 VentureCapital a écrit :
+ numéro 2 de l'UE en nombre de licornes sachant que l'écosytème n'explose que depuis 2 ans et qu'il y a forcément un décalage pour l'arrivée de licorneOn va faire au moins + 10 licornes dans les 3-4 prochaines années. Je tiens les paris.
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/13/7/1617534977-screenshot-2021-04-04-at-13-15-27.png
Une grosse partie est du surinvestissement, parce que personne n'ose faire du seed. 300 millions pour Voodoo c'est énorme. 6 millions pour Cajoo juste parce que ça recopie une idée allemande aussi. Mais les vrais projets ne sont pas financés.
Le 04 avril 2021 à 13:14:07 VentureCapital a écrit :
"Si la croissance de la French tech a été fulgurante ces dernières années, le chemin est encore long avant de la voir se hisser dans le peloton de tête européen."Ca tombe bien, il y a pas besoin de se hisser sur le peloton de tête, vu qu'on est déjà le 1er pays de l'UE en terme d'investissement
https://www.ey.com/fr_fr/services-aux-entrepreneurs/frenchtech-bilan-des-investissements-en-2020
On est très loin du UK quand même, à PIB égal.
Le 04 avril 2021 à 09:38:45 TYthon a écrit :
La French tech en panne de géant (L’Express)L'écosystème de nos start-up ne décolle pas. En cause, une insuffisance de talents scientifiques et des débouchés financiers peu attractifs.
La French tech, c'est par exemple Meslegumes.fr financée par la BPI et le conseil régional; et, si l'entreprise décolle, elle deviendra Myvegetables.com, lèvera des fonds additionnels auprès de capital-risqueurs de la Silicon Valley, où elle finira par s'installer. Tel est, à peu près, l'état de la tech tricolore.
L'Hexagone compte une dizaine de licornes, ces entreprises dont la valorisation dépasse le milliard d'euros. Personne ne nie que toutes sont ce qu'on appelle de « belles boîtes » : managements solides, équipes techniques au top niveau, bons produits et un vrai marché potentiel. Pas question, donc, de gâcher l'autocongratulation endémique d'une French tech arborant son petit coq rouge en origami. « Ce sont des labradors. Ils ont le poil luisant, on les exhibe, on les cajole, regrette Nicolas Colin, inspecteur des finances passé au financement de start-up et aujourd'hui basé à Munich. Sauf qu'on a besoin de lévriers. » A y regarder de plus près, malgré de beaux spécimens et une chouette ambiance, l'écosystème de la start-up nation bleu-blanc-rouge est poussif. Pour en comprendre les maux et envisager les remèdes, un parallèle s'impose avec les succès étrangers, à commencer par celui de la tech américaine.
La Silicon Valley doit son succès à trois facteurs : l'argent public celui du secteur de la défense, notamment qui a irrigué un appareil de recherche ultradynamique constitué par des universités d'élite, une immense disponibilité en capitaux prompts à parier sur l'innovation et une flexibilité du marché du travail. On en voit les résultats dans les bâtiments scientifiques de l'université Stanford : sciences informatiques, ingénierie mécanique, chimie, physique des matériaux, etc. Tous les géants du complexe militaroindustriel américain figurent parmi les donateurs. Depuis maintenant des décennies, l'argent du Pentagone nourrit la recherche outre-Atlantique dans des domaines aussi variés que les microprocesseurs ou les véhicules autonomes.
« C'est impensable en France, pour deux raisons : d'abord, chez nous l'argent de la défense va vers les grandes entreprises du secteur et non vers la recherche académique, explique Gilles Babinet, coprésident du Conseil national du numérique. Ensuite, il n'est pas envisageable, pour l'université, d'accepter des financements militaires comme le fait l'enseignement supérieur américain avec la Darpa (l'agence pour les projets de recherche avancée de défense). Même chose, d'ailleurs, pour les programmes privés qui, la plupart du temps, sont malvenus dans le monde académique tricolore. »
C'est donc la double peine pour notre université. Non seulement elle est financièrement exsangue, mais le nombre d'ingénieurs qu'elle forme est comparativement faible, d'où une absence dans les grands classements internationaux. Celui du Times Higher Education recense les pôles d'excellence en sciences informatiques : sur les 20 premiers, 14 sont américains, 5 sont européens; la première place est occupée par Oxford, devant Stanford. Aucun pôle français ne figure dans ce classement. Quant aux publications académiques, si on les rapporte à la population, la France en produit deux fois moins que le Royaume-Uni et trois fois moins que la Suisse, la Suède ou encore le Danemark.
« L'impératif du moment est de massifier l'accès au savoir et aux compétences, poursuit Gilles Babinet. Il faut doter les établissements d'une vraie gouvernance, avec des présidents pouvant sélectionner les étudiants et choisir les meilleurs professeurs en leur donnant le salaire qu'ils méritent. » L'université doit aussi accepter de travailler avec le secteur privé, soulignent nos interlocuteurs. Les détracteurs du modèle américain invoquent la pollution de la recherche académique par l'argent du privé, ou la consanguinité avec les réseaux d'entreprises de tech. Tout cela est vrai. Mais le système anglo-saxon fonctionne. Selon Sifted, un think tank affilié au Financial Times, spécialisé dans l'innovation en Europe, sur 18 grosses start-up reposant sur des technologies avancées, 7 sont issues d'Oxford ou de Cambridge.
La troisième épine est l'absence de débouchés financiers pour les entreprises de la tech française. Le financement des start-up s'articule autour de deux phases : l'amorçage, pendant lequel l'entreprise développe un prototype, puis la croissance, où elle va aller chercher des suppléments de capitaux. Les montants vont de quelques centaines de milliers ou de millions d'euros pour l'amorçage, tandis que les séquences suivantes se chiffrent en dizaines, voire en centaines de millions.
Ici, le système est contraint comme un bonsaï. La phase d'amorçage est dominée par la Banque publique d'investissement (BPI) et une kyrielle de soutiens régionaux. Si l'on y ajoute l'assurance chômage et les généreuses exonérations de charges, les jeunes pousses hexagonales n'ont pas de problème de financement initial. C'est ensuite que cela se complique.
Une des causes tient à la taille et à la faible internationalisation des capitalrisqueurs français (VC). Sur les 1 000 plus grands fonds mondiaux répertoriés par la plateforme Crunchbase, la France n'a qu'un seul VC (en 435e position, le second est à la 1 236e place), là où l'Allemagne en compte 9 et le Royaume-Uni, 25. Outre la taille des investisseurs, une entreprise en croissance aura toujours intérêt à décrocher un grand nom du venture capital américain, qui sera un gage de confiance pour les levées de fonds futures et qui, surtout, aura l'expérience de dizaines de « sorties », rachats ou introductions en Bourse. D'où la prise de contrôle, consentie, voire recherchée, des licornes tricolores par des investisseurs anglo-saxons.
Ce plafond de verre du système de financement explique que l'élevage de licornes nationales reste anémique. Si on le rapporte à la population, la France en dénombre quatre fois moins que le Royaume-Uni, cinq fois moins que les Etats-Unis, vingt-six fois moins que l'Estonie, et trente-cinq fois moins qu'Israël. « Avec les grosses valorisations vient tout un système d'expérience collective et d'assistance, avec des gens qui aident à préparer les dossiers, arrangent les connexions, donnent des conseils qui font gagner un temps précieux », analyse Marc Verstaen, émigré de longue date en Californie, où il a travaillé pour Oracle, Apple et Docker avant de prendre la direction de l'ingénierie dans une start-up du secteur spatial.
Même chose en Europe : « Les licornes font émerger un écosystème. En Estonie, nous en avons cinq, ce qui est beaucoup rapporté à notre taille, souligne l'ancien président Toomas Hendrik Ilves, à qui l'on attribue le virage numérique du pays après la chute de l'URSS. Chez nous, le succès de ces entreprises a convaincu les ingénieurs et les investisseurs partis à l'étranger de revenir. » Il attribue cette densité à trois facteurs : la création d'une filière de mathématiques et sciences informatiques au début des années 1990; le choix d'une excellence dans la cybersécurité et... l'adoption systématique de l'anglais.
Là encore, les statistiques internationales se montrent accablantes. L'English Proficiency Index de 2020 place la France en 28e position pour sa maîtrise de l'anglais, avec tous les Etats européens devant elle. Et, dans le classement par villes, Paris est 15e, derrière Mumbai ou Buenos Aires. Il y a six ans, ce travers n'avait pas échappé à Nicolas Dessaigne. Dès la création d'Algolia un moteur de recherche pour les sociétés , en 2014, il avait pris une décision radicale : « Nous avons décidé de n'y parler qu'anglais. Nous sommes devenus plus attractifs pour les talents étrangers, notre développement à l'international a été grandement facilité. » Au point qu'Algolia a fait le grand saut en installant son siège à San Francisco dès lors qu'elle a rejoint le prestigieux incubateur Y Combinator. Algolia est aujourd'hui une licorne... américaine, avec plus de 10 000 clients dans le monde.
Que faire pour que la France développe un substrat d'entreprises de technologie correspondant à sa taille? Sur le plan du financement, le débat reste vif entre ceux qui dénoncent les effets toxiques de l'abondance de fonds publics BPI, crédit d'impôt recherche... et les défenseurs d'un volontarisme politique. Les premiers estiment que la prodigalité étatique maintient un système pas toujours viable et finalement peu apte à se projeter vers l'étranger. Les autres considèrent que l'Etat a un rôle à jouer, par exemple en abondant des fonds étrangers désireux d'investir dans notre pays. « C'est ce qu'ont fait les Israéliens », rappelle Nicolas Colin.
Reste que renforcer l'attractivité française n'est pas seulement une question de taille des start-up. Même si c'est parfois exagéré, la rigidité du droit du travail est souvent invoquée. Bill Gurley, associé au sein du géant du capital-risque Benchmark, a dit un jour, en présence d'Emmanuel Macron : « Si j'investis dans une boîte, je dois pouvoir remplacer le CEO très vite, car c'est une question de survie. En France : no way [c'est impossible]. » Si la croissance de la French tech a été fulgurante ces dernières années, le chemin est encore long avant de la voir se hisser dans le peloton de tête européen.
Tout est faux, on en est loin. Très dur de lever du seed, c'est tout le problème, parce que les fonds sont ultra-frileux. C'est plus simple de jeter de l'argent derrière des boîtes qui ont levé leur premiers millions auprès du family office de papa, parce que ce sont des boîtes "sûres". D'où des valos boursouflées, mais finalement peu d'innovation.
Le type qui a écrit ça n'a jamais monté une boîte. L'assurance chômage Difficile d'avoir une rupture conventionnelle. Quand bien même l'aurait-tu, c'est pas ça qui te permet de te financer.
La BPI La BPI est ultra-lente, c'est tout le problème. Tu peux aller grater 50k mais ça te prend 1 an à temps plein. Et il faut domicilier ta boîte dans le 93.
Le passage sur le complexe militaro-industriel est WTFesque au possible. C'était vrai dans les années 1950 sous Eisenhower, éventuellement.
Quant au type qui n'a jamais crée de boîte de sa vie de l'Inspection des Finances qui parle de lévriers et de labradors
Tandis que les deux vraies raisons ne sont pas citées. 1) Les fonds français sont ultra-frileux et se ruent tous sur des séries B/C/... plutôt que sur du vrai seed et 2) il n'y a pas de régimes de retraites par capitalisation donc pas de fonds de long-terme.
Avec des débiles pareils qui tiennent les cordons de la Bourse, on est pas rendu
Le 03 avril 2021 à 22:19:51 el-pollo a écrit :
Le 03 avril 2021 à 21:25:25 ExcelIence a écrit :
On peut faire quoi après un 1er stage en finance en tant que contrôleur interne financier en ministère ?https://image.noelshack.com/fichiers/2019/44/2/1572362532-img-20191029-161950-removebg-preview-1.png Audit interne ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/08/7/1614537698-zidanent-clope.jpg Go réseauter pour que Darmanin te pistonne
Surtout répond dans les 5 minutes à ses SMS "tu fé koi bb t debou?"
Si prévisible
Pourquoi il n'y a que des algériens sur ce topax ? Parce que le FLN a bien perdu militairement hein, aucun doute. Rien à voir avec le Vietnam.
Sinon, pour reprendre les mots du général Bigeard, on ne se déshonore pas en rendant hommage à l'adversaire. Le Nord-Vietnam a mené une guerre remarquable sur le plan tactique. La défaite de DBP tient au génie tactique de Giap, d'installer l'artillerie dans les grottes et de la transporter à vélo ou même à dos d'homme. C'est un exploit logistique qui a pris les français par surprise.
La France s'est aussi très bien battue. Il y a eu des victoires durant la guerre d'Indochine et, en terme de bilan humain, bien plus de morts Viêts que de soldats français. La résistance à DBP a été héroïque, les français se sont battus jusqu'au bout et, d'ailleurs, la plupart des prisonniers mourront d'épuisement et de mauvais traitement.
Le problème revient aux politiques français qui n'ont pas donné de mandat clair à l'armée et l'ont envoyé dans une guerre que le peuple français n'était pas prêt à soutenir.
Le 03 avril 2021 à 15:25:38 BasicFit a écrit :
Le 03 avril 2021 à 15:23:57 JeuneAlgerien3 a écrit :
Les vietnamiens se sont fait écrasé militairement que ça soit contre la France ou les USA (1 soldat américain mort pour 53 vietnamiens mort)https://image.noelshack.com/fichiers/2020/43/2/1603152901-carmangobelet.png Les français avait le dessus militairement que ça soit en Indochine ou en Algérie, ce qui paraît logique car dans les deux cas ils sont sur armés face à des paysans en sandale
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/43/2/1603152901-carmangobelet.png Mais l’issu guerre d’une guerre ne se décide pas aux nombres de morts
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/43/2/1603152901-carmangobelet.png Bof Dien bien phu fut une vraie défaite militaire française
C'était peu être une victoire à la Pyrrhus pour le Vietnam, mais ça reste une victoire
La France a fait des guerres qu'elle ne voulait pas mener surtout
Toute la métropole voulait la décolonisation : ils auraient dû l'accorder plus vite.
Quand tu abandonnes un camp assiégé, il finit par chuter
La France qui a abandonné ses soldats comme dans toutes les guerres décoloniales
Même mon grand-père, qui avait quitté l'armée pour ne pas partir en Indochine et ne pas se battre contre son peuple, m'a raconté qu'il avait les larmes au yeux quand il en parlait avec ses anciens camarades, qu'on abandonnait là-bas
C'est la même lâcheté en Algérie : si la France ne voulait pas se battre, il fallait rapatrier les français et ne pas envoyer l'armée.
Le 03 avril 2021 à 15:21:23 LeGrandNARBO25 a écrit :
Ma famille est vietnamienne khey, officiers français pendant la PGM, combattants des FFL pendant la SGM. Aucun de mes grands-parents étaient contre la guerre d'Indochine : c'était la lutte contre les communistes. Quand tu vois ce que ça a apporté
ça a apporté une nation souveraine, le destin du vietnam c'était soit continuer à devenir un DOM TOM Français soit maintenir la monarchie cuck à la solde de la France puis des USA.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/23/1496857842-sermionsclasse.png Bien content également que traîtres du sud vietnam ce soient fait roustés.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/23/1496857842-sermionsclasse.png
Parce qu'aujourd'hui, la Corée du Sud ou Taiwan, c'est des cucks ?
PIB par capita du vietnam : 10000$ par habitant aujourd'hui, 40000 à Taiwan
Le 03 avril 2021 à 15:07:26 FolieTrempe a écrit :
Les demeures de bouffons qui se disent d’extrême droite et donc disent que c’était la guerre c’est normale allez vous faire enculeEt aussi Arte qui enchaîne : les communistes se montrent tout aussi impitoyable
Alors que les communistes étaient meilleurs que les français
Cette propagande des qu’on parle d’une guerre
On parle des camps de prisonniers où 90% des prisonniers de guerre mourraient au Nord Vietnam ?
Le Vietnam c'était une sale guerre, qui était bien plus une guerre civile qu'une guerre coloniale : le Sud Vietnam, sous l'empereur Bao Dai, c'était pas des Vietnamiens qui se battaient peut-être ? Tout le monde ne voulait pas du Ho Chi Minh dream.
Après, il faut respecter le Vietnam, pays pauvre qui a repoussé toutes les tentatives d'invasion -- Cambodgienne, Chinoise, etc. -- et qui a produit des militaires de génie comme Giap. Mais n'exagérons rien : c'était une guerre idéologique, comme la guerre de Corée.
Dans un autre monde, avec un leader moins corrompu que Bao Dai, le Sud Vietnam aurait gagné contre le Nord et, comme la Corée du Sud avec les US, le Vietnam serait le meilleur ami de la France.
Le 03 avril 2021 à 13:49:26 ExAuditriceAmen a écrit :
Le 03 avril 2021 à 12:22:23 SimpsCity3 a écrit :
Le 03 avril 2021 à 12:04:16 Nendoroid a écrit :
Dans 2ans il sera junior chez les bleusje ferais des missions freelance pour les bleus, mais mieux payé (c'est pas dur en même temps)
Roland Berger fait aussi appel à un pool de free-lances et ça paye bien askip
oui mon ancien associé a bossé pour eux, c'est pas mal Mais ils sont un peu obsédé par le "Roland Berger Way" apparemment. Tu as fait 50 DD comme indep, mais ils vont te faire chier parce que tu suis pas le cahier des charges RB