Le 25 août 2022 à 22:14:56 :
Le 25 août 2022 à 22:13:32 :
Le 25 août 2022 à 22:11:59 :
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/14/1491418350-capture-d-ecran-2017-04-05-a-20-29-04.png Le motif du carré peint d’une seule couleur apparait chez Malevitch en 1913 dans les décors et les costumes réalisés pour l’opéra cubo-futuriste La Victoire sur le soleil, de Matiouchine*. * En décembre 1915, il présente parmi 39 œuvres suprématistes son premier Carré noir et son Carré rouge à l’exposition « 0,10 » (Zéro-Dix).
« Après cela, que faire ? » demandait-on déjà en 1916, voyant dans ce carré la mort de la peinture. Pour Malevitch, le Carré noir n’est pas un terme mais le début d’une nouvelle étape qui conduit la peinture vers une plus grande vérité, à une sensation pure. La peinture doit contribuer à libérer l’esprit du monde matériel pour faire pénétrer l’être dans l’espace infini. Trois ans (ou cinq selon les dires de l’artiste) après le premier Carré noir , il peint le Carré blanc sur fond blanc .
Pas tout à fait carrée non plus, cette peinture témoigne, comme pour le Carré noir , d’une grande sensibilité*.* La trace de la main de l’artiste est visible dans la texture de la peinture et ses subtiles variations de blanc les contours imprécis du carré asymétrique produisant une sensation d’espace infini…
Le blanc, légèrement blanc pour la forme centrale, plus chaud et ocré sur la périphérie, crée une matière dense et complémentaire au point qu’on ne peut séparer forme et fond. La position décentrée du carré, comme pesant sur la droite, et le léger cerne blanc autour, dynamisent l’ensemble, contribuant à la sensation d’espace.
Pour Malevitch, le blanc représente l’infini, le cosmos. Il écrit dans le catalogue de l’exposition Création non-figurative et suprématisme (1919), où étaient présentés le Carré blanc sur fond blanc et quelques autres peintures blanches suprématistes : « J’ai troué l’abat-jour blanc des limitations colorées, je suis sorti dans le blanc, voguez à ma suite, camarades aviateurs, dans l’abîme, j’ai établi les sémaphores du Suprématisme. […] Voguez ! L’abîme libre blanc, l’infini sont devant vous. »Cette branlette
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png ce C/C
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/52/5/1608899012-ahi-bg.png
Le 25 août 2022 à 22:03:02 :
Vous devez expliquer ce que vous ressentez en regardant cette imagehttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/34/4/1661457730-screenshot-2022-08-25-22-01-11-793.jpg ou celle de ma signature suivant votre style.
1 : pourquoi il neige sous les vagues
2 : pourquoi y a t-il Godzilla faisant l'étoile de mers en arrière plan
3 : pourquoi les marins japonais enculent-ils leurs bateaux
Le motif du carré peint d’une seule couleur apparait chez Malevitch en 1913 dans les décors et les costumes réalisés pour l’opéra cubo-futuriste La Victoire sur le soleil, de Matiouchine*. * En décembre 1915, il présente parmi 39 œuvres suprématistes son premier Carré noir et son Carré rouge à l’exposition « 0,10 » (Zéro-Dix).
« Après cela, que faire ? » demandait-on déjà en 1916, voyant dans ce carré la mort de la peinture. Pour Malevitch, le Carré noir n’est pas un terme mais le début d’une nouvelle étape qui conduit la peinture vers une plus grande vérité, à une sensation pure. La peinture doit contribuer à libérer l’esprit du monde matériel pour faire pénétrer l’être dans l’espace infini. Trois ans (ou cinq selon les dires de l’artiste) après le premier Carré noir , il peint le Carré blanc sur fond blanc .
Pas tout à fait carrée non plus, cette peinture témoigne, comme pour le Carré noir , d’une grande sensibilité*.* La trace de la main de l’artiste est visible dans la texture de la peinture et ses subtiles variations de blanc les contours imprécis du carré asymétrique produisant une sensation d’espace infini…
Le blanc, légèrement blanc pour la forme centrale, plus chaud et ocré sur la périphérie, crée une matière dense et complémentaire au point qu’on ne peut séparer forme et fond. La position décentrée du carré, comme pesant sur la droite, et le léger cerne blanc autour, dynamisent l’ensemble, contribuant à la sensation d’espace.
Pour Malevitch, le blanc représente l’infini, le cosmos. Il écrit dans le catalogue de l’exposition Création non-figurative et suprématisme (1919), où étaient présentés le Carré blanc sur fond blanc et quelques autres peintures blanches suprématistes : « J’ai troué l’abat-jour blanc des limitations colorées, je suis sorti dans le blanc, voguez à ma suite, camarades aviateurs, dans l’abîme, j’ai établi les sémaphores du Suprématisme. […] Voguez ! L’abîme libre blanc, l’infini sont devant vous. »
Le 25 août 2022 à 21:04:10 :
Sauf que le taureau, qu'il gagne ou qu'il perde, il meurt
bien dit ! "homme riche ou pauvre on finit tous à la tombe"
bise Ginette
Le 25 août 2022 à 18:28:45 :
- la chasse
- la corridac'est une bonne chose
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490886827-risibo.png Le reste..
Le 24 août 2022 à 21:37:03 :
on sait déjà qu'il y en a au moins un chez toihttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501185683-jesusjournalbestreup.png Tu parles de moi ou de la bestiole ?
Le 20 août 2022 à 01:53:37 :
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/43/3/1635345483-yaechamiko.png
Le 23 août 2022 à 13:08:07 :
Je suis noir et j'ai regardé les films quand j'étais petit autant vous dire que je connais rien à l'univers donc c'est quoi le problème avec la naine noire les kheys ?
y a pas la barbe donc c'est pas une naine