Messages de YellowmanDr
Pourquoi tu reste fixer sur la merde ? c'est une métaphore. Cela englobe beaucoup de choses.
Tu reste fixer sur l'image que je me suis définis. Mais ma quête spirituel c'est de me poser la question comment je me suis définis. Par quelle moyen ? Par l'esprit ? Dieu ?
la réflexion sur mon sens de la vie c'est ceci. C'est pas être une merde, mais être.
Ce n'est qu'une question de perception, d'esprit.
Je suis une merde par la vie, les choix que j'ai effectué. Qui ma amener a me percevoir comme t'elle. Seulement par moi, mon observation.
Haha j'ai toujours était pour Sasuke.
Et go skb, ta raison essaye ! et vous aussi, essayer d'écrire en freestyle.
Si cela vous inspire.
Haha j'ai toujours était pour Sasuke.
Et go skb, ta raison essaye ! et vous aussi, essayer d'écrire en freestyle.
Si cela vous inspire.
Tout va bien et je suis positif. J'avais juste envi d'écrire. Mais merci pour ton propos.
Je devrais écrire.
Ces mots sont gravées sur mon âme. Le nombre de soirée en tête a tête me pousse l’envie d’écrire mais la démotivation prend le dessus. Voila, avec ces quelques lignes je me sens minable, pitoyable.
Seul en train de rigoler a cette macabre solitude, celle qui consiste a tous détester.
Surtout entrepris par moi.
Je me perd dans mes pensées, essayant me paraître moins bête. A me sentir un courage,
une motivation a écrire.
Encore écrire. Ne pas s’arrêter, arrêter de penser. Mettre mon envie sur ces lignes futures.
Réflexion, bloquage, la routine qui se réinstalle. Le cycle revient, je me laisse endormir par ces paroles, par sa mélodie. J’ai envie de rester mais la motivation s’estompe. écrire.
Mais a quelle sujet ? Je.
Je commence par quoi. Enfin, je veux dire je t’appelle comment ? Journal intime ? Roman, Testament ?
Ha Ha. Pas aussi terre a terre, mais continu t’écrire.
Tu veux parler de quoi ? A la base c’était une pensée sur dieu. Toujours. L’existence pose question.
Et j’ai trop temps a perdre. Je me consacre du temps a perdre. Maintenant je le perd en écrivant.
C’est plus physique et moins rapide.
Qui suis je ? Voila. Encore. Toujours le même refrain. Suis je ? Qui ? Ou ? Et pour quoi ? Pourquoi?
Qui somme nous ?
J’ai fait du mal aujourd’hui. Je n’ai pas tenu une promesse. Pourquoi ? Tu le sais.
Et comme d’habitude, je regrette. Comme d’habitude je souffre. Et oui, je suis une merde.
Voila écrit, verbaliser, certifier dans le marbre. Voila la hantise, le fait que je suis qu’une merde.
Je cherche un autre adjectif mais rien ne me vient. Conclusion. Ecrire m’a ramené a cette idée du moi.
Et la réponse est la même.
Le cycle continu.
Quelle solution. écrire ? Je me sens pas mieux. Pareil mais avec une touche de flemmardise.
J’essaye de pas pensée, j’essaye d’écrire, écrire a l’instinct. Voir ou cela nous mène.
Dans quelle contré. Vais-je écrire une histoire d’aventure, de roi, de dragon de princesse ?
Ou tout simplement apparaitre une solution au problème. Ce fameux problème qui me donne envi d’écrire. Une solution clair serait bienvenu. Puis je me répondre ? Cette instinct me guide t’il vers la délivrance ? Ne pas se préoccuper, ne plus pensée, écrire. écrire, écrire le vide. Le vide.
Sympa comme source d’inspiration. Je me marre tout seul.
Mais ne plus pensée, m’emmène vers une section de vide.
Comme si j’étais debout devant un puit sans fond. Sauter. Tomber dans le vide pour ressentir.
Le passage est obligé. La solution la voila. Simple. Se jeter dans le vide. Affronter l’obscurité, le néant et découvrir notre vérité. Ma vérité, la perception. Affronter ses peurs. Simple pour ne pas dire basique. Mais toujours le même refrain, la même mélodie. L’idée reste, persiste. Concentre toi sur la solution.
Sauter, être courageux. tout simplement être. Etre ou ne pas être ? La question est simple. Tout question se pose en être.
Et l’état de mon image par la seul force de ma pensée résulte que je suis qu’une merde.
Et que je vous emmerde.
Ha voici venir le temps de la haine. De tous vous crier que je vous emmerde.
Que vous me faite chier, que je vous aime pas. Vous ne m’aimez pas, je ne vous aime pas.
M’aime je ? Bien sur que non.
C’est pour cela, laisser moi seul. Je ne vous demande rien.
Enfin, compliqué j’ai faim et j’ai froid.
Ha mais pas de soucis il suffit de travailler, de t’engager dans cette Union qu’on nome la Société.
Société, celle constitué par des Homme libres. Homme ? Excusez moi je voulais dire citoyen.
Libre ?
En faite libre sous le cadre de la loi. Mais la loi, est elle crée par les Hommes ou par les citoyens ?
Par les Hommes . Alors je fais une lois pour la distribution de nourriture gratuite.
Mais suis je un homme ? Ou un citoyen ? J’ai faim.
Assez drôle, je ne suis ni un homme ni libre. Mais j’existe dans cette société. Formé depuis des générations, passé par des périodes d’histoire, transformé, sculpté depuis l’antiquité. Qui suis je ? Le bien et le mal. La pécheresse et la vertu. L’ordre et le chaos. Ne suis je pas tout ceci ? L’esprit ne se compose t’il pas de toutes ces choses. La morale est elle inée ? Cela serait bien ou mal ? Suis-je l’alpha ou l’oméga ? écrire, trouver la réponse. écrire, penser, se tourner vers le credo . Rien n’est vrai. Tout est permis.
Dieu et mon droit
La réponse a l’univers, la réponse a mon mal être est en moi. Tout est en moi.
Connais-toi toi-même. Merde, la solution a été dit il y a 2000 ans.
Alors pourquoi cherchons nous encore. Alors que la réponse est en nous.
Une seul réponse a ce que je suis.
Qu’il n’existe qu’une seul vérité.
La vérité je vous le dis.
Je suis celui qui suis.
Malgré cette réponse par mon esprit pour mon âme, j’écris et je reste vide.
Et le cycle…
Si tu es chaud et gg au key qui. a affronter j 'ai craqué
https://lichess.org/nkmIpeKy
Il n y a pas de secret, vous pouvez retrouver leurs savoir dans les livres de philo et métaphysiques, dans les livres d histoire des civilisations précédentes. Et aussi dans les premiers ouvrages religieux (la genèse).
Apres tout comme dirait Jean "au commencement était le verbe. Et le verbe était avec dieu. Le verbe était dieu".
Il n y a pas de secret. Cest écrit et dit depuis longtemps. On est tout simplement trop con.