Les jours passent et se ressemblent. Même ciel morose, mêmes déambulations lassantes Place Stanislas et rue Saint-Jean, tentant d'harponner du regard les quelques donzelles passant par là . Parfois d'oser tenter une approche. En vain... Même la réouverture des restaurants universitaires laisse une fenêtre de tir très restreinte, les tables n'accueillant pas plus de trois personnes.
Les kheys, comment sortir de cette putain de boucle d'étudiant golem condamné à rester cloué à son ordi toute la journée ?