C'est un plan rencontré sur Wannonce. Je ne sais pas vraiment si c'est un transsexuel, il n'avait pas l'air opéré mais elle était vachement féminine peut-être qu'elle prend des hormones. Je précise que je rencontre des transsexuels, traps, androgynes, etc, depuis plusieurs années, ce fantasme est arrivé quand j'ai un peu trop traîné sur ces putains de trap thread il y a 10 ans. On a fait l'amour pendant deux heures comme des gorets, j'ai craché quatre de fois. Chaque fois elle me disait, « tu bandes encore ? C'est incroyable, je te fais autant d'effet ? ». Je n'avais jamais fait une fucksession aussi longue de toute ma vie, et j'ai TOTALEMENT adoré. À la fin, elle ne voulait absolument pas me lâcher, elle est restée agrippée à moi pendant au moins quinze minutes, le malaise était un peu palpable sachant que j'avais arrêté mon délire de caresser le dos, lui mettre des doigts mais elle ne voulait pas se lever malgré que nos sueurs se mélangeaient. Je vous jure sur mes trois neveux que c'est totalement véridique. À tel point que maintenant elle cherche du sérieux avec moi quand bien même je lui ai dit que j'étais discret et que je ne voulais pas m'afficher avec lui. PS : non il n'a absolument pas touché à mon derrière et je n'ai pas touché son pénis, pour ceux qui vont demander
Photo de la concernée :https://image.noelshack.com/fichiers/2020/38/1/1600118418-7f759542-9414-454b-bb9b-b56cb22ab8cc.jpeg
Le seul truc qui m'a mis en de rogne c'est que ce sacripant, pendant qu'il était sur moi à la fin, a lâché un peu de liquide pré séminal sur mon denimhttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/38/1/1600118945-e0ab3424-1b99-4879-8a94-79756bf35f24.jpeg
J'ai failli me faire griller devant ma mère qui me demande ce que c'est, elle vient laver mon linge le dimanche, moi en sueur et lâchant des petits pets nerveux qui réponds que c'est du gel hydroalcoolique qui a coulé. Bref, precum is real
Non mais sérieusement, une semaine sans se connecter sur Chaturbate. Je la prends en private show, 140 tokens la minute (=14 euros la minute il me semble), je ne fais pas loin de 20 minutes j’étais tellement excité. Et là : plus de tokens = il faut que je recharge. Et soudain il y a un salopard d’anglais qui reprend le private show seulement pour 2 minutes, et il a eu le cumshot. L’addition est salée, maudite addiction malsaine. Et dire que pour ce prix, j'aurais pu aller voir une vraie trans. Les sites de cam c’est de la vraie merde, ne tombez jamais dans la spirale, enfin, c'est un peu comme du porn personnalisé, mais pourquoi un tarif aussi élevé ? Pour certaines c'est le même prix à la minute qu'une vraie escort ! Certaines camgirl demandent bien ces tarifs ! Plus de 250 balles pour 20 minutes ! Alors que je pourrais avoir une heure avec une escort top tier !
Et le plus drôle, c'est les domina. Dans leur menu, y a « lèche moi les pieds », « strap-on » etc... Mais comment tu veux faire alors qu’on n’est pas dans la même pièce ? Je lèche mon écran ? Je dois imaginer le god Michel ceinture me pénétrer ? (Bon on peut utiliser un toys, mais pas du tout pareil lol). Ridicule. Ce sont des sites à montrer aux femmes occidentales progressed qui prétendent qu'il n'y a pas de misère sexuelle. Seraient-elles prêtes à débourser autant juste pour voir un homme faire ce qu'elles veulent par écran interposé ? Y a-t-il autant de sites de cam mettant en avant des hommes ? (Ou autant d'hommes en live que de femmes, et sur les mêmes tarifs ? hé bien non, beaucoup moins !)
Alors oui, ce sont un peu les hommes sojas qui créent cette dynamique en acceptant de payer, bien évidemment (et mettant par la même occasion en difficulté les hommes pauvres). Mais c'est aussi une preuve qu'une femme a bien plus de facilité à ce niveau que c'en est écœurant, surtout chez la nouvelle génération post-millénial. Et les blédards homosexuels refoulés, les shemales c'est un délire d'hétérosexuel à la base, la shemale Dany Daniel me fait cracher comme un fou, je fais des « self facial » comme elle. Pour me consoler je me suis masturbé sur du shemale brésilien old school : les productions Brasileirinhas, les films avec l'acteur Kid Bengala, les productions spécialisées dans le shemale comme Brazilian Transexuals ou Shemale From Hell
L'anulingus est un pacte tacite entre les époux, une sorte de fiançailles par le léchage du fion. C'est par une intuition, au sortir de la mairie un samedi d'avril, que cette idée m'est venue à l'esprit. Je n'étais pas loin derrière les époux, qui atteignaient déjà le parvis de l'hôtel de ville, lorsque l'hypothèse d'une alliance tacite est passée par l'examen de ma raison et qu'elle s'y est soumise. Les invités accueillirent les mariés selon la coutume : avec une grosse poignée de riz, jetée par dessus la tête du couple, avant qu'au moins deux salves d'applaudissements les couronnent. Leur alliance fut reconnue publiquement. Cependant que monsieur goûtait aux félicités nouvelles que le mariage lui offrait - le sourire ému de sa mère - la mariée, déjà, s'amollissait du morne quotidien dans lequel elle s'était condamnée. Ce fut lorsque le père fit amener la décapotable que la mariée daignait enfin sourire et que, soudain, elle reprit conscience de sa tenue. Alors, maladroitement elle se faisait femme et ébouriffa son voile, encombré de riz, pendant que la foule excitée les acclamait aux cris de « vive les mariés ! ». La cérémonie avait été faite à la mairie et un accord fut signé, mais rien n'y faisait : jamais ces mariages ne duraient. Ni le faste champêtre qu'on y mettait ces jours-là, ni l'accueil républicain à l'entrée de la mariée ne rendaient à l'évènement toute sa puissante symbolique d'antan. C'est ainsi que le vide abyssal de la salle à marier voit naître les comportements les plus artificiels de la vie sociale d'une commune : les conviés, par une folle envie de sacré, font de cette formalité une véritable cérémonie religieuse. Et tandis que les sceptiques s'étonnent de leur mine grave ; les plus dévots, quant à eux, le regard louvoyant entre les spectaculaires ornements du plafond, et les grandes figures des splendides frises, cherchent désespérément une idole méritant leur dévotion ; et ensemble, après s'être dévisagés, ils s'arrêtent sur Marianne, alors, ils se souviennent de la farce à laquelle ils participent. L'effroi vécu face au spectacle aigre de ce mariage formalisé et paperassé, a ainsi fait naître en moi l'ambition de repenser le mariage. Cependant que le couple s'échangeait l'adverbe monosyllabique et que la salle gonflait aux pleurs de la bientôt-mariée, l'idée d'une nouvelle forme d'alliance s'échafaudait en mon esprit, par vagues successives qui fussent les suivantes. Désormais que mon raisonnement se mettait à la besogne, il me fallait trouver un lieu encore non débauché et pur de toute manipulation, où les fiançailles pussent se faire sans trahison. L'anus, ce coinstot sage, ce recoin intime, le point central des émotions refoulées et honteuses, s'affirmait naturellement comme le symbole auprès duquel une promesse pourrait être prononcée sans que jamais elle ne soit déshonorée. Alors, les expériences passées avec des filles que j'avais un peu aimées me revinrent ; ces réminiscences scabreuses venaient ainsi étayer mes desseins matrimoniaux, et au rythme du sang battant mes tempes et ma trompe, ma conviction s'épaississait jusqu'à s'affirmer comme une évidence absolue. Parce que, si j'avais été leur premier amour, j'avais surtout été leur premier mari, car, sans même que nous fussions face au maire, nous nous échangeâmes pourtant la bague au doigt. Autrement dit, mes phalanges s'aventurèrent en elles, par là où la décence veut que rien n'entre. Et ces soir-là, où je volais leur innocence, je leur jurais, du bout de mes lèvres posées sur leur anus, de garder pour moi seul le labyrinthe formé par les sillons bruns de leur pourtour anal. Alors elles ne protestaient plus, et nos fiançailles se faisaient. Je les embrassais plus tendrement encore, pendant qu'elles se soumettaient entièrement à moi ; et comme dans une mairie, elles me disaient "Oui je le veux" par saccades, entre deux inspirations du malade qui suffoque tandis que l'anneau de leur fente venait marier mon annulaire tressé de leur brousse sauvage de vierge. Puis enfin, elles éclataient. C'est comme ça que je m'imaginais un mariage, plein de symbolique, avec un bout de l'autre sur le doigt. J'avais d'elles tout ce le monde récrimine, à savoir l'odeur de leurs seins et l'image nette de leur fion. J'avais leur honneur entre mes mains, et pour des femmes d'apparence si saintes, c'était énorme. Alors, nous nous aimions, par contrainte et obligation. Moi d'un amour désintéressé et elles d'un amour calculé. L'anulingus que je leur avais procuré faisait de nous un couple. Ainsi, entre elles et moi, une alliance tacite. Quand je rencontrais l'une d'elles dans la rue, dont j'avais miroité l'oignon, son regard plaintif suivi d'une parole de paupières me disaient : "Je sais que tu connais bien mon anus, mais promets-moi de le garder pour toi.". Et d'un clin d'œil maladroit, je promettais. J'étais toujours sur le parvis de l'hôtel lorsque cette construction mentale du mariage par l'anus prit fin. Il ne restait plus personne, sinon des employés municipaux qui battaient le sol pour le nettoyer des restes de la fête. Des pigeons vinrent les assister en picotant les derniers grains de riz oubliés. Vingt-deux mois plus tard, le couple dont j'avais assisté au mariage divorça suite à des différends irréconciliables. Définitivement, ils ne s'étaient pas mignardés le séant